Secte aux amulettes [Enquête]

Des deux mains, le Roi attrapa le dernier des bandits et le colla au mur. La seconde d'après, il gisait inerte sur le sol, un filet de sang sur les lèvres et la main crispé sur sa poitrine éventrée. Il n'en restait plus un seul, tous jonchaient sur le sol humide et aucun n'avait pu donner l'alerte.

"Bon boulot...", souffla le Roi en constatant qu'ils se rapprochaient enfin du but. Dans moins d'une heure, tout ce cirque sera résolu, et ces fanatiques ne seront plus de ce monde.

"Il faut en finir...Allons-y"

Ils continuèrent le couloir.
Soudain, une énorme porte. Non, cete fois, il n'y avait pas d'énigme.
La porte était fermée. Dessus, il y avait de nombreux symboles, plus gros que les précédents, et des crânes décoraient les battants.
Le premier milicien s'avança d'un air assuré, et soudain, il disparut.
Un cri retentit, suivit d'un bruit mat.

La trappe qui s'était ouverte emportant le pauvre ne lui avait laissé aucune chance.

Ce fut la consternation.

Néanmoins, on remarqua que les pavés, qui étaient imposant, un mètre sur un mètre, certains portaient des petits symboles. On vit que le piège n'en portait pas, lui.

Un peu plus loin, sur les murs, on voyait des trous. Qui savait comment les pieux qui s'y trouvaient étaient déclanchés.

Néanmoins, il y avait encore des symboles sur les pavés.

La porte était tout près, mais il fallait encore traverser ce couloir.


//'pouvez foncer, y'aura pas de surprise en cours de route. Mais la porte reste fermée pour le moment.//

Balthazar resta bouché-bée quand le piège se déclencha.
Il s'écria.

-Oh, par Eru, quelle horreur.

Mais son tour 'y aller fini par venir. Il posa prudemment le pied sur un pavé gravé. Comme prévu, rien n'arriva. Il continua prudemment.

-Oh, bon sang, quelle folie, ce couloir...

Alors qu'il devait être à la motié, il perdit l'équilibre et chancela, faillit tomber mais se ratrappa en posant son pied sur un autre pavé.

-Oh, merci Eru...

Il s'arrêta un instant pour reprendre ses émotions et continua lentement.

Je ne participa au massacre. J'étais trop occupé à chercher une arme. Je pris finalement un vieil arc et un carquois contenant une dixaine de flèches. Pencher sur mon arc, je ne vis pas le piège se déclancher. C'est quand je vis la tête des autres que je me suis rendu compte qu'il s'était passé quelque chose. On m'expliqua puis mon anxiété augmenta d'un cran. J'observais tous le monde passer et compris le stratagème. Stréssé quelque peu, j'atteinds un porte où était regroupé le reste de la compagnie. Pour la première fois, je parlai au reste du groupe.

"Surtout, ne forçons pas la porte, car nous avons l'effet de surprise. Nous le perdrions en faisant un bruit pas possible. Sans compter quenous pourions ne pas l'ouvrir et rester bloquer alors que derrière la porte, nos ennemis nous tendrais un piège."

Je reflechis quelques instants puis dit:

"J'ai une idée: plaçons nous sur plusieurs rangs avec devant les soldats armés de bouclier et d'épée. Derrière s'il yen a, les lanciers. Puis encore derrière, les archers. Les lanciers et les épéistes devront être écartés afin que les archers tirent. Après la première salve, les rangs se ressèrent, et nous entrons. Qu'en pensez vous?"

Je regardais le Roy.

"Mais nous devrions crier quelque chose du genre Vite ouvrez et venez! Vite."

Aussi je chuchotai...

J'écoutai les paroles du soldats...

Mais il est c*n lui? Non, il a droit de se dire ça...

"Mais je vous signale que nous ne sommes pas nombreux. On est pas obliger de se battre sur trois rangs. Si on peut se mettre trois par ligne, ça ne change rien. Justement, on aura une plus grande force d'impact. Une fois dans la salle, dispersion. Les archers restent près de la porte. Et même si quelqu'un crochète la porte, qu'est ce qui vous dit qu'un piège ne se déclanchera pas non plus? [HRP: genre comme dans Naheulbeuk]"

Je me retourna vers le groupe, me détachant du soldats qui tournait en rond.

"Mais si nous nous établissons sur plusieurs ligne, il faut mettre les archers devant, puis leur laisser de la place pour qu'ils se replient. Monseigneur, messeigneurs, qu'en pensez vous?"

Je vérifiai aussi la porte, cherchant un moyen pour que quelqu'un regarde de l'interieur vers l'éxterieur sans ouvrir la porte.

"Qui va crier? Mais chuchoter pour l'instant... Bon, on a combien d'archer?"

Un milicien examina la porte et répondit :

-Mais qui a dit que la porte est vérouillée ? Il y a un loquet ici, je pense qu'il suffit de le soulever. Et il n'y a l'air d'y avoir personne de l'autre côté

Il continua son inspection et après cinq minutes, il pu dire que tout allait.

Le chef de la milice dit alors :

-Dans, ce cas, il ne faut pas foncer ! Nous entrerons silencieusement et discrètement pour analyser la scène. Ensuite, quand tout le monde sera rentré et que nous serons en position stratégique, nous donnerons l'assaut. J'entends des chants, ils doivent être en pleine messe maudite ou du genre.
Mais attendons l'ordre du Roy avant de faire quoi que ce soit !

Balthazar serrait quelque chose dans sa poche. Il était anxieux, cela allait être son premier vrai affrontement.
Dans sa main, il serrait des petites statuettes d'un pouce de haut.

-Des grigris de chez moi, dit-il, ils sont chancé apporter courage et chance. Je ne sais pas si ici on est superstitieux, mais j'y crois...

Il en déposa sur une pierre.

-Si quiconque y croit, qu'il se serve, il vous portera chance...

Forlong traversa le couloir juste apres Hobasianm et s'arreta comme les autres devant la porte. Les miliciens etaient excites par le combat qui allait surement se declencher dans un moment. Forlong sorta son epee et commenca a la nettoyer en attendant les ordres du Roy.


Argent: 7860 pieces d'or

Meneldir s'avança et ouvra la porte et enfonça la torche dans l'encadrement.
Devant s'étendait un escalier déscendant droit dans la terre.
Menekldir fit un signe puis s'enfonça vers l'obscurité une torche à la main.

Des voix s'élevaient de derrière la porte, provenant de la dernière salle située juste devant nous. Nous nous approchâmes en silence, guettant le moindre bruit suspet. Des murmures et des sifflements se faisait entendre. Le Roy osa jeter un regard par l'ouverture : dans la salle, une vingtaine d'hommes étaient à genoux, devant un autre, plus petit et trapu. Ils portaient tous de longues capes noires et leur visage était cachés.

Il devait s'agir d'une de leur réunion secrète. Cette secte était vraiment étrange, en fin de compte. Après avoir longuement analyser la situation, le Seigneur se retourna pour donner ses instructions:

"Il semblerait que nous soyons en pleine réunion d'une bande de fanatiques. Ils sont à priori trop occupés pour avoir fait attention et nous remarquer. Nous allons pénétrer dans la pièce et les encercler de façon à ce qu'aucun d'eux ne puisse d'échapper. Positionnez-vous mais attendez mon signal avant d'y aller. Je veux m'assurer que tous soient bien placés avant.
Nous allons enfin en finir, courage !"

Toutes les tactiques que j'avais prévu tombèrent à l'eau lorsque que le milicien en chef nous annonça que la porte n'était pas vérouillée. Je descendis avec le reste de la troupe. Hobasian demanda un stratège et je commença directement à reflechir à la question... Nous arrivions bientôt à la porte d'où provenait les cris. J'examinai brièvement l'intérieur de la salle et dit:

"Bon, maintenant que nous connaissons l'endroit de la bataille, nous pouvons établir une stratégie. Ils ont l'air en adoration devant un bonhomme bizarre, donc il nous regarde pas sauf celui qui semble être le prêtre. Je suis archer, et je me suis entrainer. A cette distance, je devrais pouvoir l'abattre. Ensuite, le temps que ceux qui prient ce rende compte de ce qui se passe, vous entrez et vous les achevez... Cela vous va t'il?"

Cette fois, j'espérais que l'on m'accorde un peu d'attention...

Balthazar remarqua quelques miliciens ayant pris un grigri. Celui-ci leur donnerais clarté dans l'âme. Il en restait encore.
Puis, Balthazar sortit doucement son épée. Puis, se tournant vers Turgon :

-Cela me paraît bien. Mais il faudrait tout de même déjà entrer et se placer autour, c'est vrai que nous serons très bien placés. Après, cela me paraît un exelent plan.

Et comme c'était celà qu'avait suggéré le Roi, après tout, il pénétra dnas la salle accroupit parmis les premiers. Quelques miliciens le suivaient déjà.

Il alla discrètement se placer sur la droite, examinant cette pièce étrange.

Il était fort excité, regardant derrière, il supposa que le roi donnerait ses ordres après que tous ses compagnons soient rentrés. Il était impatient. Etait-ce son porte-bonheur qui le rendait si intrépide?