Secte aux amulettes [Enquête]

Je propose qu'on commence le combat par envoyer une salve de fleches sur toute la piece. Ceci va non seulement causer des lourdes pertes, mais aussi semer la panique.

Le chef milicien dit :

"Huhu...ça me paraît parfait. Mais avant de de penser à ça, il faut aller se placer. Si nous restons groupés, nous n'aurons pas le même impact. Alors suivez le garde, là, Balthazar et les autres. Les archers en premiers et les autres suivront. Mais de grâce ne restont passur place à discuter. Allez vous placer, cette messe risque de finir d'un moment à l'autre.
Signalez vous quand vous serez prêts et n'attaquez pas avant !"

Le milicien passa devant et alla se placer doucement. Il tenait son épée fermement. Quand tous les autres auraient signalé qu'ils étaient prêt, cela allait pouvoir commencer.

Forlong se placa non loin de Hobasian et d'Eronn. Il posa une arbalette sur le sol, il prit l'autre en main et se coucha par terre pour mieux viser. Il attendait seulement les ordres du Roy pour mettre une fleche dans le dos d'un des bandits.

Meneldir avait devancé la troupe et c'était placé de l'autre coté près de la pièce dos à la porte il avait prit un couteau dans une main l'épe dans l'autre.Sa hache était posé sur le mur.
Soudain,le meneur se retourna.
Le signal allait être donné.

Une incantation monta de la pièce, le maître rondouillard leva les bras vers le plafond.
La pièce était éclairée de hautes bougies et elle était encombrée de fumée d’encens ou d’autres substances. Il faisait lourd à respirer et les flammes voilées se reflétaient sur les innombrables symboles garnissant les murs de cette pièce sinistre.

Derrière le maître, une effigie morbide, et tout autour, des squelettes et des crânes dressés comme symboles. Elle était bâtie au bord d’une grande crevasse.
Le maître se mit à psalmodier son office :

_Il est temps ! Il est grand temps, nous ne devrons plus attendre. Tous ces sacrifices nous ont amenés plus loin sur le chemin de la vie éternelle. Bientôt, Scharmorscha maître de la Mort va nous l’accorder. Et nous vivrons pour l’éternité !

Il prononçait son discours en vrai fanatique, il croyait vraiment ce qu’il disait.

_Au Nord ils nous ont chassé mais ici nous triompherons. Un ultime sacrifice, celui qui nous permettra d’atteindre notre but. Il ne nous reste plus qu’à pratiquer un sacrifice de sang…royal…

Et à ce moment, une voix se leva dans l’assemblée des miliciens, de ceux qui avaient œuvrés pour le Roy qui était ici visé.

« Et il est ici ! »

Pendant ce temps, Balthazar avait rampé vers la droite, là où une sorte d’atelier se trouvait. Il y avait là d’étranges objets entreposés, mais aussi des herbes diverses, en poudre, aux propriétés étranges, des drogues de combat et hallucinogène.

Alors, Balthazar absorba une petite quantité d’un produit poudreux dans un flacon poussiéreux. Un milicien tout prêt se demandant ce qu’il faisait, mais quand il vit son regard il comprit qu’il était déjà sous l’effet de la drogue. Etait-il devenu fou ? En tout cas, l’homme du sud, ce Balthazar, enleva son armure, elle était inutile, pour revêtir un mince robe sombre. Sans son casque, on put remarquer son crâne rasé si ce n’était une queue de cheval. Il jeta son épée par terre provoquant un petit bruit mat.
Il se retourna. Son expression était effrayante à voir. Il portait à présent une chaîne se terminant en pointe acérée dans la main droite et un poignard dans la main gauche.

Il prit à nouveau la parole, d’une voix déraillée et surnaturelle.

« Tout ce temps…passé…Il est temps à présent…que ma patience soit récompensée…Mes frères ! Notre dernier sacrifice, il a été amené ici ! Finissons-en, que Scharmorscha se régale de l’âme du Roy Méphisto…car il est…piégé ! »

A ces mots, la porte par laquelle le Roy venait d’entrer se ferma par un jeu de mécanismes.

C’était l’effarement total en entendant ce retournement de situation. Des chauves sortirent de partout ou presque, en armes, drogués à leur produits étranges, prêts à se battre pour justifier toute cette attente.
Le Noir Balthazar lança son poignard vers le Roy.

Il déversa ensuite un produit étrange su le bout de sa chaîne et la passa dans le feu. Celle-ci s’enflamma, devenant plus mortelle encore. Il sortit une petite bouteille du repli de sa robe et l’envoya vers des miliciens. Au contact du sol, elle explosa, déchirant deux hommes d’armes.

Balthazar le Noir, Balthazar le Pyromancien les avait tous piégés et il se dressait, en Messie pour ses frères, en ennemi mortel et implacable pour les envoyés de la Cité.


//Rappel de la règle : Baltha' est comme un pj, on ne peut pas le faire agir^^//
C'est bien sûr officiel, c'est pas moi qui me tape mon p'tit délire

Folrong etait choque. Balthazar, un de ses compagnons les plus fideles, serait un de ces monstres, et tout serait donc un piege servant a attirer le Roy dans ce temple obscur?!! Il visa avec son arbalette qu'il tenait dans ses mains tremblantes et tua un des bandits. Il prit ensuite son epee et se lanca vers le seigneur de la ville:
-Protegons le Roy!!

Meneldir traversa la pièce pour se placer près du Roi après les dires de Balthazar.
Il avait jetait son poignard dans le dos d'un ennemi et ramassait sa lourde hache.
Ils se retrouvaient piégés et dèjà on entendait des bruits de pas venant de la porte oppossé.
Meneldir s'écria d'une forte voix de se rassembler.
Il était lui même choqué de l'action de Balthazar.
Lui qui l'avait suivi dans des combats acharnnés et maintenant...

Les ennemis s;'approchaient. Forlong se rappela du combat de l'autre jour, la teleportation et les eclairs. Un seul homme etait assez puissant pour affronter Balthazar le Noir, Mithrandir, le fils de Hobasian.

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Hobasian prit ses couteaux et les lança sur Balthazar, cependant il ne pouvait voir s'il avait été touché.

"Balthazar, un ennemi ! Impossible ! Mithrandir, ça tourne au vinaigre espérons que tu viendras par l biais d'un de tes projections astrale".

Hobasian dégéna son épée et se placa aussi devant le Roy Méphisto ...

***

Mithrandir ayant entendu l'appel d'Hobasian et sa detresse par la pensé se matérialisa devant le Roy.

"Mithrandir, pour vous servir ..."

Il prépara une boule de feu sur le bout de son bâton et dégaina son épée de son autre main.

"Majesté, permettez que je vous protège d'un champ magique."

Une fois cela dit, Mithrandir s'éxécuta. Bien que la Magie de Balthazar était surement forte, elle ne le serai surement pas assez pour percer celle-ci.

"Majesté, je ne suis pas physiquement présent, cependant je vous protégerez de mon mieux."

La plupart des soldats s'étaient rassemblés en petits groupes.
Meneldir s'étaient déjà jetés dans la bataille quand Mithrandir arriva.
Meneldir était dans un état de courroux fatal.Tous s'écroulaient autour de lui.
Meneldir incitait ses alliés au courage et se jeta sur ses ennemis.L'ennemi était innombrable.
Meneldir s'était à présent retrouvé face à son vieil ennemi Balthazar qui s'égossillai de la voix la plus rauque qu'il avait jamais entendue.
Balthazar se jeta sur celui-ci en criant :
A nous deux mon veil ami.
Meneldir encaissa le choc mais il redoutait les attaques magiques de son ennemi alors qu'il fit tournoyer sa hache dans les airs pour écraser un ennemi qui arrivait sur lui.

HRP: Holà Mithrandir, tout doux, ici on respecte la magie de Tolkien, la matérialisation, c'est un peu n'importe quoi.

Le Roy évita de justesse le poignard lancé par Balthazar. Ils se regardèrent un moment, le regard haineux, comme pour se juger avant le combat. Alors, Méphisto dégaina sa lame qui brillait de milles éclats, faisait ressortir la rage intérieure de son propriétaire.

Les combats se stoppèrent lorsque le Roy prit la parole, d'une voix claire et juste, sans trembler ni même montrer le moindre signe de faiblesse.

"Mes amis, notre fin n'est pas encore arrivée et tant que nous serons encore debouts, nous pourrons faire regretter à ces rats ce qu'ils viennent d'oser faire..."

Puis se tournant vers l'autre:

"Quant à toi, Balthazar le Noir ou quelque soit ton foutu nom, tu vas regretter d'être venu au monde, mais surtout d'avoir voulu nous piéger. Mon courroux peut être terrible, et nous allons voir lequel de nous deux finira en fin de compte...piégé !"

Et il s'élança la foi au coeur, suivi par les autres car son discours les avait remotivés.

ému du discours faite par le roy du Gondor et le voyant ce lancé dans la fouler tuant et massacrant tout ennemies s'opposant à lui Eronn fit de même suivit de la vingtaine de soldat Gondorien.Le combat était sanglant et les membres volait en éclat dans un dernier espoir de combat toute la force du roy du Gondor était à sont maximum.Tout le monde ce battait avec tant de hargne que la soixantaine de brigand présent était descendu à la trentaine,l'épée étincelant de bronze que portait Eronn n'était pas aussi resplendissante que celle du roy qui représentait la puissance du Gondor mais était toutefois une lueur d'espoir parmi tant d'autre.Nous étions enfin arrivez au centre de la chambre avec comme puissant allié le professeur Meneldir.Le fer se croise de tout les sens Eronn gardant en tête les paroles de sont oncle...attaquez ! paré ! et contre attaque ! Voila les trois mots essentiel que sont ancêtre lui fessait apprendre par tout les moyen,le sang coulait à flot.

Balthazar n'était plus lui même et les cris de ses compagnons ne changeraient rien à sa motivation.
Pas plus que le professeur, premier homme qu'il avait rencontré dans la Cité, qui se jettait sur lui.

Il fit un pas sur le côté et envoya valser sa chaîne enflammée vers Meneldir. Celle-ci ne lui effleura que l'épaule mais son habit prit feu. Il le laissa donc pour reporter son attention sur le reste de la bataille.

Il considéra Mithrandir avec un regard haineux. La mort du Roy n'était pas pour tout de suite.

Il sourit en voyant les dégats causés par son explosion, et du coup, sortit une deuxième fiole du repli de son manteau. Il la lança mais rata un peu son coup cette fois.

Il lança deux coups de chaîne qui fouettèrent plusieurs soldats, puis il se laissa dépasser par ses compagnons, pour pouvoir examiner le déoulement du combat sans être en danger, même si les blessures ne l'effrayaient pas.

Il était donc hors de portée.
Les autres affluaient pour entourer les miliciens, heureusement, ils étaient plus aptes à prier qu'à se battre.

Mais la présence de Balthazar le Noir pouvait tout changer...

//Attention, Baltha' n'utilise pas de magie, mais plus des sortes de "cocktails molotovs"//

Meneldir perçu la charge du Roy et son courroux n'en fut que plus renforcé.Déjà une quinzaine d'ennemis avait déjà subi le tranchant de sa hache sans que Meneldir n'ut de blessures profondes mis à part la brulure subi par Balthazar le Noir.
Celui-ci se tenait haut dessus le massacre mais à présent Meneldir ne pût que se battre avec les ennemis qui arrivaient toujours à flot.
Il avait déjà bloqué un passage avec sa cape en feu sur l'une des drapperies ornant le mur de la pièce.
Le combat menait obligatoirement l'affrontement entre Balthazar le noir et le professeur.

Outré... J'étais outré... Un de nos compagnons se dévoilait comme un traitre, et nous devions maintenant subir une attaque en masse. Je me tenais au centre de la ronde des miliciens qui se battaient avec rage. Je cherchais un angle de tir quand j'aperçus le prêtre dqui priait au début. Un tir bien ajusté, et la pointe de ma flèche prit la place de son oeil. Ordonant aux archers qui nous accompagnaient de se disposé en cercle, je leur conseilla aussi de viser les tunnel d'où arrivait de plus en plus de guerrier.

"Pour le Roy!"

Ilùvatar... Vient nous en aide!

"Au nom de Valàr!"

Malheuresement, l'arc était de très mauvaise qualité, et il n'était pas aisé de tirer convenablement... Surtout qu'au bout de ma cinquième flèche, la corde se coupa. Je me retrouvais avec un bout de bois et quatre flèches complétement naze. Puis un trait mortel me frola pour atteindre le milicien dans mon dos. Avec un long râle, il expira, me laissant son arc et son carquois rempli de flèches. Je me remis à tirer dans tous les sens, afin de protéger le Roy...

Meneldir se précipitta vers la table avec toutes les drogues et chercha un produit spécial.Il le prit en le jeta vers toute l'entrée puis prenant une torche sur le mur il enflamma ce produit qui transforma l'arrivée des ennemis en brasier.Puis il passa e l'autre coté et fit de même.Maintenant il n'avait plus qu'une chose à faire : Détruire Balthazar.
Il se jetta vers celui ci qui envoya une fiole vers lui.
Meneldir y avait déjà gouté et d'un coup adroit il brisa le flacon sur sa hache qui prit immédiatement feu.Le grand combat allait s'engager.

Le flux d'arrivents finit par se calmer.
Cette fois, plus de surprises, tous les combattants étaient dans la pièce. Mais la secte demeurait en surnombre.

Balthazar regarda son bras. Il remarqua alors qu'un poignard d'Hobasian y était planté. Il le retira sans esquisser une grimace. Mais sa fureur grandit, et sa chaîne meutrière défonça le crâne du soldat le plus proche. Un cultiste eu aussi le bras arraché mais continua à se battre. Balthazar se fichait des dommages collatéraux.

Meneldir fonça sur lui avec une hache de feu. Balthazar, dans sa fumée ne put l'éviter. la lame lui entama le côté.
Mais contretoute attente, il resta stoïque et empoigna le professeur. Il porta a face devant le visage du prof. Celui-ci put voir ses yeux exorbités et sentir l'odeur rance des substances. Il le rejetta violemment.

En suite, il frappa de sa chaîne en direction d'Eronn et lança un lacon vers les archers et Turgon.

Sans regarder s'il avait fait mouche, il se reporta à l'arrière. Balthazar évitera les combats et inteviendra surtout vers la fin.

Les cultistes étaient féroces mais peu habiles, prompts au suicide. Ils Fonçaient avec rage vers le Roy.

Toujours en combat nous arrivâmes moi et mes allié à éliminez toute présence hostile du côté droit de la pièce,maintenant,tous était regroupez au centre dont le roy parmi eux tuant les derniers survivant.Mais je fus pochetez
vers l'un des quatre piliers à cause de la chaine meurtrière qu'avait lancé Balthazar vers ma direction.Le choque était rude et mon armure avait subit nombre de degats,elle allait se brisé d'un instant à l'autre si sa continuait comme sa laissant mon corps vulnérable au attaque.Malheureusement,ma lame de bronze fût brisé en trois incapable de résisté au choque du pilier.L'un des cultes s'approcha vers moi,je ne possédait aucun moyen pour me défendre appart un bouclier de Gondor lui aussi prête à se brisé.Sous un derniers effort je pris mon couteau à pain que j'avais gardez dans l'une de mes poches et me battit avec.Je réussi à le poignardez au niveau des poumons et réussi à prendre une épée en fer qui gisait par terre pour lui envoyez le coup de grace.