Bataille sous l'Arbre Blanc

Harald ne comprenait pas la situation. Mais il se battait tous de même pour ce peuple allié à son seigneur.

Il frappa de son bouclier, frappé de ses armoiries de Sénéchal du Prince Berund.

La garde de l’ambassadeur, composé de quinze valeureux chevaliers, se tenait à ses cotés…

Il y avait Aldan, Hadrien, Trajanes, Gadès, Atinous, Elfen, Partonne, Galdorion, Bennene, Faldin, Lignières, Savinien, Loutis, Polertâmes, Junatus… L’ambassadeur se nommait Heldon.


La cour de la fontaine était, malgré le combat qui s’y déroulait, toujours aussi noble et belle. L’arbre se tenais en son centre. Posait là, il y a des décennies par Aragorn, il fleurissait encore et encore chaque printemps…


Harald frappa. De taille, d’estoc, la parade des chevaliers, et un coup de bouclier dans la tête… S’ensuivi une botte connu seulement de sa famille, puis il para un coup avec son bouclier et soudain un autre chevaliers abattu son adversaire. C’était Elfen.


« Chevaliers, en cercle, cria Harald. »

Ils obéirent immédiatement, créant une formation ou l’on ne pouvait être attaqué par derrière.

Une compagnie de garde de la citadelle arriva par les mêmes marches qu’avait prient la troupe du Sénéchal.

Ils se rangèrent sous la bannière du sénéchal…

Une compagnie d’à peu près trente cinq hommes, sous le commandement d’un chef militaire expérimenté, l’ennemi n’appréciera pas cela…

Ils tiendraient les marches. Ils empêcheraient ainsi les renforts de rejoindre la cour…

Les soldats et les chevaliers se déployèrent vite :

Sur les marches les plus haute, les archets de la citadelle, avec Elfen et Loutis. Se tiendrait aussi Partonne, portant la bannière du Sénéchal. Sur les marches inférieur, les soldats et chevaliers prêt a combattre au corps à corps…

Celui-ci arriva très vite… L’ennemi ne put percer le mur bouclier, stratégie ancestrale du Gondor que les chevaliers avaient porté à son apogée…

Harald se tenait au devant de ses troupes, se battant comme un lion. Il tuait ses ennemis sans retenir son bras, sans craindre les coups adverses… Son bouclier le protégeait, son épée rallongeait son bras, son esprit ne comprenait toujours pas qui été ces hommes qu’il abattait. Mais il s’en prenait au plus grand symbole du Gondor et de la chute du Seigneur Ténébreux. Il ne les laisserai pas gagner ce combat, même s’il devait y laissait la vie…

Aucun ne lui tenais tête. Celui-ci était égorgé, celui-là était piétiné, ce-dernier n’avait aucune chance…

Soudain, il sentit ce que la froideur d’une épée voulait dire. Il sentit dans son bras une blessure. Autant dire que le porteur de la hache responsable de ce coup perdit la tête de manière très très rapide…

Les guerriers tenaient bon à ses cotés…


Et soudain l’ennemi recula.

« Enfin, monseigneur, vous avez réussi. »

Le garde parlait trop vite. Au lion, une autre compagnie ennemi s’avançait. Ceux qu’elle trouvait en train de fuir étaient exécutés…

Il ne faisait aucun doute qu’elle serait décimé, comme la première, mais il faudrait encore combattre, et il y aurait des risque…

L’assaut se brisa sur les marches comme les vaques se brise sur les récifs…

Harald était emporté dans sa rage guerrière. Le nombre d’ennemi tué augmenté de plus en plus… Il s’avançait au milieu des rang ennemi dans le but de frapper au cœur ceux qui maîtriser cette cohue…

Soudain son épée ne trouva plus de cible… Personne… Où étaient-ils donc tous passés ?

Devant lui. Juste devant lui. Deux arbalète pointé droit vers son abdomen.

Il avait une armure, il ne craignait rien.

Il s’élança. Son fer frappa la tête du premier tireur, mais il eut, dans la même seconde, le sentiment d’exploser…

Son armure était percé…





Les chevaliers essayer tant bien que mal de suivre le Sénéchal. Il allait trop vite au milieu des rangs adverses…

Soudain, il tomba. Les hommes de Dol Amroth n’en crurent pas leur yeux… Ils s’élancèrent, les uns a la suite des autres. La formation se brisa et passa du statue de défensive à celui de offensive…

Les troupes ennemis fuyait.





Il y avait Aldan, Hadrien, Trajanes, Gadès, Atinous, Elfen, Partonne, Galdorion, Bennene, Faldin, Lignières, Savinien, Loutis, Polertâmes, Junatus… L’ambassadeur se nommait Heldon.

Ils étaient tous autour du Sénéchal. Les gardes de la citadelle formait un mur autour.

Heldon voulu enlever le carreau d’arbalète du corps de son ami…

« Laissez ambassadeur. Je vous remercie de ce que vous avez fait, mais je ne peut être sauvé. Le monde est ainsi fait : nous mourrons tous un jour. Si ce n’est pas aujourd’hui ce sera demain. Non, n’ayez pas de larmes. Vous représentez le Prince. Tout comme moi. Je me dois d’être fort devant la mort, et vous devant la mienne, et la votre si elle doit venir aujourd’hui.

Le monde change. Nous sommes de l’ancienne génération. Les chevaliers du Prince Berund seront les parangon de notre peuple. Nous n’avons été la que pour leur ouvrir la voie…

Chevaliers, montrez moi une fois encore le cygne pour lequel nous nous battons…

N’oubliez pas nos vers sacrés…

Animula vagula blandula
Hospes comesque corporis
Quae nunc abibis in loca
Pallidula rigida nudula
Nec ut soles, dabis iocos.

Petit âme, âme tendre et flottante,
Compagne de mon corps qui fut ton hôte,
Tu va partir vers ses lieux pales, dures et nues
Ou tu devras renoncer au jeux d’autrefois.

Un instant encore, regardons ensemble les rives familières,
Les objets que sans doutes nous ne reverrons plus…

Tâchons d’entrer dans la mort les yeux ouvert…

Il ne put continuer…L’ambassadeur termina donc le poème…


« Aurë, entuluyva,
Ce qui veut dire : le jour reviendra…»


Et sur ces mots partit Harald, Sénéchal de Dol Amroth, fidèle du Prince de la cité du Cygne…





Mais de ces mots, seul les gardes de la Citadelle les rapportèrent…


Il y avait Aldan, Hadrien, Trajanes, Gadès, Atinous, Elfen, Partonne, Galdorion, Bennene, Faldin, Lignières, Savinien, Loutis, Polertâmes, Junatus… L’ambassadeur se nommait Heldon. Le Sénéchal Harald…

Ils tombèrent tous pour l’arbre blanc, alors qu’ils rêvaient de mourir pour le Cygne…

// Effectivement Nidnama, je préfererais que l'état de mon PNJ soit plus grave. Mais c'est pas la peine de modifier ton post. //

Toujours le noir .A nouveau soulevé. Une respiration rapide, un pas de course. On le dépose par terre. A côté, une autre respiration difficile. Un autre blessé sûrement.
Le sang coule toujours. Mais au lieu d'imbiber les habits, il tâche quelque chose d'autre, un tissu. Les plaies son pansées. La douleur pourtant persiste. Un breuvage coule dans la gorge. Appaisement. La douleur diminue. Puis un rai de lumière. Vite à nouveau le noir. C'est plus réconfortant. Mais la luimère revient et cette fois dure et grandit. Un balnc laiteux, des nuages. Des gouttes tombent, une sur son front. La vie. La vie revient, petit à petit. Mais avec la douleur. Eleriol a mal. Il fait mine de se lever mais y renonce. Non pas qu'il ne peut pas se lever, mais ce combat n'était plus le sien. Il prend son épée restée jusqu'alors dans son foureau et la jette de toutes ses forces. Elle retombe deux mètres plus loin. Une déchirure au niveau de la plaie. Le sang coule de plus belle. Les ennemis ne sont plus qu'une poignée, son aide n'est plus nécessaire. Il retombe dans le sommeil. Ou bien autre chose? Les yeux sont clos, la respiration presque inexistante.

Ok,il a plus besoin de moi...

Il lui tendit la gourde.

-Tiens,l'elfe,garde moi la vodka jusqu'a la fin du combat.T'en auras besoin.Et tu m'en laisse!

Sur ce,le pillard repartit combattre.Il fonca en boitant vers le reste des combattants(pas grand chose,il restait tout au plus une vigtaine de soldats noirs et d'elfes).Il sauta dans le dos d'un,lui perca un poumon en abattant sa dague vers sa poitrine,prit une deuxieme dague en meme temp et sauta du corp vers un autre guerrier auquel il creva les deux yeux.Il se baissa,entailla par hasard la cuisse d'un gondoréens,pui sata sur un elfe.Il roulèrent dans la poussiere et le sang,puis il cloua sa dague au sol en la faisant passer par la gorge de l'elfe.Il se releva avec hate,puis lanca une dague vers un autre elfe.Celui,qui tournait le dos,s'immobilisa,puis tomba.Darkblade récupéra son arme sur le corp encore tiede,puis il décapita unguerrier noir.

Ca devrait aller vite maintenant...

Hasharin avait vu tombé l'intendant puis se relevé, il avait vu Morgoth faire un acte surnaturel,Un elfe allié blessé, Il vit le pillard s'engouffrer au milieu des combat et le suivit, Il acheva un noiraud, IL lança un poignard, qui vint de loger entre l'omoplate et la colonne vertébrale d'un elfe qui s'écroula directement, l'assassin fit une roulade et vint récupérer sa dague sur le corps encore chaud de son enemie.Les Gondoriens voyant que leur enemie etait en sous nombre il reprirent du poil de la bete et chargerent de plus belle, quelque elf tombèrent et un gondorien aussi.
Umbre (mon faucon) tournait au dessus des combats, pique sur un archer qui visait son maître, avant que l'archer s'en apercoive,le rapace avait scindé d'un coup de bec la corde de la arc et se jeta directement sur le visage.

Hasharin combattait toujours, les deniers adversaires fuyaient et étaient abattu par des flèches ou se faisaient tué par des lames expertes...

Un cri retentit. La Flamme de l'Ouest avait à nouveau emporter une triste âme par la main du Roy.

"Pour Gondor et les peuples libres !"

Ces mots sonnaient bizarrement dans la bouche de l'Intendant. Plus personne n'avait ressenti le besoin de les prononcer depuis de longues années, depuis le règne d'Estel Elessar, Aragorn II. Ce temps sombres étaient-ils revenus ?
Mais ces paroles motivaient les soldats plus que tout. Méphisto était paru et sa stature impressionnait tous, et dans ses yeux on reconnaissait la descendance de Numenor.

Radamanthe sourit un instant. Le destin des ennemis était scellé. Son attention fut frappée par cette délégation aux couleurs du signe. Ceux-la rappelèrent à ceux qui l'avait oublié que Dol Amroth ne faiblissait pas, et jamais ils ne trahiraient Gondor.

Mais il ne restait plus dans leurs ennemis que de véritables titans, capable de broyer un os d'un coup de poing. Mais le nombre les feraient souffrir. Oh oui, ils allaient payer, pensait adamanthe. On attaque pas la Cité Blanche impunément.

Une vague de flèches vint le tirer de ses pensées.

"Les elfes ! Il faut les éliminer aussi !"

En effet, il en restait encore un petit nombre. A vrai dire, peut-être ceux-là étaient-ils plus dangereux que les noirauds au sol. Une rangée d'une petite quinzaine de renégats s'apprêtaient à tirer une autre volée.
Au sol, les derniers hommes en noir tombaient sous le poids du nombre, non sans que leurs épées emportent un fameux nombre de gondoriens avant.

Plus loin, il en était un qui était encore en triste posture. C'était le mage Mithrandir.
L'homme dont il venait de parer la lame refit un effet, frappant par un petit a-coup, pour déstabiliser le mage.
Puis, tenant à tester son aversaire avant de se lancer tête baisée contre lui, il fit deux pas enarrière pour se mettre à distance d'une riposte.
Dans lemouvement, sa cape noire s'entrouvrit. En dessous, on pouvait voir des motifs rougeoyants qu'il n'y vait sur aucune autre protection. Nul doute que celui-là était important.

Puis il repassa immédiatement à l'attaque, saisissant à deux mains son épée tâchée de sang.


Plus loin, Radamanthe resta un instant immobile. Le soleil luisait sur les pavés blancs de la Cour, et même les traces rouges de sang n'entâchaient pas son reflet.

Darkblade regarda en hauteur.Il y vit le reste des elfes qui tirait sur les survivants gondoréens.Il vit aussi le mage en train de se battre avec un des derniers guerriers noirs.Il choisit de se debarasser des elfes.Il entra dans une maison.Elle était deserte.il grimpa les etages,npuis arriva au dernier.Iouvrit une fenetre qui donnait sur les ruelles et en srtit.Il faillit chuter en trébuchant sur une pierre,mais il parvint a se retenir a un rebord de la fenetreIl se relva,se mit debout sur le rebord et parvint a se hisser sur le toit..Les elfes était sur l'autre versant,et ne l'avaient pas vus.Il prit ses deux dagues et avanca doucement,sans faire de bruits...

Il en apercu 5 sur ce toit la,puis d'autres sur les toit voisins.

Ah,merde.

Il retourna dans la maison.Il y trouva de beaucoup de tonneau d'alcool a bruler ainsi qu'une une torche.Il souleva les tonneau et les mits entre les poutres et le toits.Une fois qu'ils furent bien calés,il prit de la corde,la rattacha au tonneau,puis l'alluma.Il sauta par la fenetre et atterit d'une roulade.Il se trouvait sur la place de l'arbre blanc.

D'un coup,le toit de l maison explosa,faisant voltiger les elfes qui se trouvaient sur le toit ainsi que sur les toits adjacent.Il en restait,bien sur,mais plus de ce coté la.

Voila une bonne chose de faite...Ils ont interet a me récompenser pour "initiative génialissime"...

Tournoyant parmi les derniers hommes en noirs, ses dagues volaient, passant d'une gorge à une autre. Se baissant, sautant...sa dance macabre continuait toujours. Mithrandir était hors d'attente, il allait devoir se débrouiller seul. Tuant un autre elfe, elle rejoignit Ala.

"Il n'en reste plus beaucoup, il nous suffit de tenir encore un peu et on devrait s'en sortir..."

Alira para un coup et envoya son pied dans la figure d'un homme qui recula et n'eut pas le temps de parer la lame de l'elfe noire qui s'enfonça dans sa nuque.

Elle apperçut un étrange haradrim qui semblait se battre du côté de la cité...Ces hommes l'étoneraient toujours.

Allez,encore ce petit groupe et il n'y a plus d'hommes en noirs...

Il s'approcha du groupe de guerriers.Ils se battaient avec deux combattant,qui commencé a etre debordé.
Il donna un grand coup de pied dans le bas du dos d'un des guerriers.Celui ci fut déséquilibré et tomba.Le pillard le cloua au sol.Puis il fit un mouvement circulaire du bras vers la droite.Sa dague se planta profondément dans le ventre d'un des homme.IL tira d'un coup sec.Les boyaux d l'autre tombérent au sol en un flot putride et nauséabond.Puis il se relva,para un coup qui l'aurait décapité,puis donna un coup de genou a l'entrejambe du guerrier,qui tomba a genoux.Il lui planta la dague dans la nuque.
Les deux combattant avaient presque finis de tuer les hommes corrompus.Le pillard acheva le dernier.

-A vos service,mess...Il fit une ironique révérence.Mesdemoiselles,excusez moi...

Belgarath regardait la fin de la bataille. Il y a encore une heure a peine, le combat semblait impossible a gagner, mais l'arrivee du Roi et de quelques valereux guerriers, rendit courage aux defenseurs. Les corps couvraient la cour de la Cite, le feu cause par les projectiles magiques et les fleches enflammees disparaissait lentement. Un groupe d'ennemis, ayant l'air d'etre sous l'effet d'une drogue, combattait toujours et semblait ne pas remarquer la defaite de leurs compagnons. Belgarath s'approcha par arriere d'un homme qui blessa un soldat du Gondor, et le frappa sur la nuque avec le manche de son epee. Puis il aida les soldats a achever les derniers ennemis.
Il nettoya son epee sur la tunique d'un ennemi mort, et s'approcha du petit groupe, compose entre autres de Darkblade et deux elfes noires. Il dit:
-Bonjour demoiselles. Il me semble que nous nous connaissons pas encore. Je suis Belgarath, mage guerrier.

Je regarde le paysage défiler sous ses yeux, loin en-dessous de lui. Arbres, plaines, fleuves, ruisseaux… Tout est vraiment beau. Je veux que ce spectacle continue éternellement, je suis si bien. Je souris. Je suis heureux. Une joie sans nom me possède. Depuis combien de temps n’avais-je pas été comme cela ? Comment avis-je pu vivre si longtemps sans l’être ? Mais cela n’a plus d’importance. C’est du passé. Je ne m’en occupe plus. Au loin, une forêt immense se dessine. Je la reconnais : c’est Elle, c’est ma forêt. Je la survole, puis descend lentement vers elle. Je me pose avec délicatesse sur la cime d’un grand chêne. Je contemple quelque temps l’immensité du paysage, puis commence à descendre. Je veux toucher ce sol de feuilles mortes, ce sol mou, ce sol unique. Puis, tout à coup, le vent forcit. Il me soulève. Je tente de m’accrocher, mais en vain. Ma forêt s’éloigne, ma gaieté s’éloigne, la beauté s’éloigne, la Vie s’éloigne… Puis un visage se dessine, se précise. Je le reconnais, c’est moi. Une épée surgit, fend l’air et…

Eleriol se réveilla en sueur. Il voulut se redresser mais une vive douleur l’en empêcha. Il passa doucement la main sur son visage. Que lui était-il arrivé ? Puis il se souvint : le combat, une lame glaciale qui pénètre dans la chair, une qui tête tombe, la douleur, la semi-conscience, les soins, et puis le rêve. L’elfe regarda autour de lui. Les derniers ennemis se battaient avec ardeur et –Eleriol dut le reconnaître- avec courage contre les Gondoréens. Le blessé se leva en titubant. Il voulait être là pour combattre ces hommes en noir. Sa place était là-bas. Il fit mine de tirer son arme mais se rendit compte qu’elle était sur le sol. Ah oui, il l’avait jeté. Pourquoi ? Il ne se souvenait pas. L’elfe tenta de se baisser pour ramasser son arme, mais la souffrance l’en empêcha à nouveau. Tant pis, les autres devraient se débrouiller seuls. Cette simple pensée affligea Eleriol. Il n’aurait jamais imaginer la penser. Il se rassit avec difficulté, une grimace de douleur figée sur le visage. Il avait tellement mal…

L’élite attaquait avec rage, nul doute que le combat serait difficile. J’avais à faire à un combattant hors pair qui n’était que peu blessé contrairement à moi. Mon nez était toujours aussi enflé, mon torse saignait toujours, de même que mon bras.
Il m’attaque de façon frontale, son épée dans ses deux mains, il ne servait à rien de parer une attaque aussi lourde, je ne pus que l’esquiver et tenter de lui assener un coup d’estoc avec mon épée sur son casque. Mon coup ne marcha pas, le casque ne tomba pas. Il attaqua de plus belle, mais cette fois ci pas avec autant de violence, ses attaques furent rapides et furtives. Mon bâton para la première dans un mouvement latéral du bras, et puis mon épée prit le relais, parant la deuxième attaque rapide. Je n’eus pas le temps de parer la troisième qui m’entailla la jambe. Je fléchis quelque peu et mon ennemi en profita pour me donner un coup de son poing recouvert de fer. Son coup de point me fit saigner la lèvre et me fit valser quelques mètres plus loin. L’homme ne s’intéressait plus qu’à moi, il avait oublié Milindë qui gisait au sol inconsciente. Je me relevais péniblement mais il m’assena un coup de pied dans la face profitant de son avantage, il avait décidé de me faire souffrir. Alors que j’essayais pour la deuxième fois de me relever, il tenta de m’assener encore un coup de pied mais je lui envoyais d’un geste de mon bâton un impact magique dans l’armure qui le fit reculer de quelques pas, me permettant de me relever pleinement. Je me mis alors a renverser la situation l’attaquant tantôt de façon forte, tantôt de façon rapide, tantôt avec mon bâton, tantôt avec mon épée. Je voulais l’épuiser.

Hobasian plus loin bataillais avec un noiraud, il para a plusieurs reprise avant d’attaquer et de jeter à bas son ennemis. D’autres le chargèrent mais il régla leur compte. Il me vit me battre mais ne put venir m’aider…

//Pas le temps de développer plus je dois partir.//

Radamanthe eut un regard noirddu premier côté. D'abord il y en avait un qui faisait exploser des maisons pour tuer cinq elfes...Enfin, tant que cela ne touchait pas de civils...
Ailleurs, il y en avait d'autre qui faisaient connaissance.
L'Intendant eut un rictus mauvais. Comme ci c'était l'endroit...

Mais lui-même ne faisait guère bien son boulot, et il le remarqua brusquement quand il évita de peu un oup de hache. Cela ne valait guère mieux de rester immobile à contempler les autres, on faisait une trop belel cible.

Immédiatement, il souleva sa hache pourentamer le combat.


Bien plus loin, le mage se battait vaillament. Mais sa technique ne marchait qu'à moitié.
'autre venait de remonter la cité, alors, ce n'était pas ses assauts seuls quiallaient le fatiguer définitivement.
Brusquement, il revint à la charge, après avoir fait semblant de faiblir.
D'uncoup violent, il fit valser le baton au loin et brandit son épée pour continuer le combat à sa manière à lui.

Alira tourna son regard de nuit vers l'inconnu qui se présentait à elles.

"Je doute que ce soit le moment de faire conaissance, finissons en avec ces hommes, nous discutterons après.

Elle tua un elfe qui essayait de fuir, portant son regard vers Mithrandir, elle le vit en très mauvaise posture, mais elle ne pouvait toujours pas intervenir. Milindë semblait inconsciente à terre, de là où elle était, l'elfe noire pouvait la voir respirer, c'était déjà ça de rassurant.

Essuyant ses lames sur le corps d'un ennemi, elle retrouva un de ses poignards, l'essuyant à son tour elle entreprit rapidement de rechercher les autres.

HRP// Pour Nidnama je n'ai pas reprit connaissance, comment peut tu savoir que mon personnage est vraiment vivant... Je n'aime pas du tout que l'on contrôle mon perso....merci, donc tu enleve tout se qui a rapport avec mon personnage dans tes Rp x( //HRP

Morgoth était toujours au sol, au beau milieu des combats qui s'ammenuisaient au fur et à mesure, personne n'arrivaient à aller jusqu'à lui. Il se reveilla, sa vu tremblait, se machoire et ses côtes lui était encore douloureuse, le sang avait secher et ne coulait plus.
Sa vu se rétabli. Un elfe tenta de la frapper Morgoth roula sur le coté puis se releva, et la... il sentit sa jambe se dérobée sous son poids. Sa blessure à la jambe le gènait à présent. Il continua à genoux un premier temps puis s'aida de son épée comme soutient pour marcher debout, il se rendit rapidement jusqu'à l'éscalier du palais, où il s'affaissa.
Il avait mal, mais le pire était sa douleur mental, si il n'avait pas réussi à se reprendre, il serai surement redevenu une créature comme aux Champs du Pelennor quelques mois plus tôt.
Par contre ses yeux saignaient.
Morgoth était noir de son propre sang.
Un noireau allait pour le tuer, et l'elfe noir ne pouvait que peut se défendre.
Il para un premier coup, roula sur le côté pour eviter un autres, puis en repara un... Mais il n'avait pas le temps de frappé...

Une lame sifla dans l'air, un corps se figea et s'affaiça, un poignard planté dans la nuque. Alira se tenait debout derrière, la main encore levée, le regard posé sur l'elfe noir devant elle.

En cherchant ses poignards elle avait aperçu l'inconnu qui l'avait tout à l'heure aidé se faire attaquer alors qu'il était au sol. Elle avait lancé le poignard qu'elle venait de récupérer du corps d'un elfe dans la direction de sa nuque. Tué juste à temps.

"Attaquer un homme à terre...il faut vraiment être lâche."

Elle n'attendait pas de réponse mais décidé de rester près de lui au cas où.

Morgoth regarda l'elfe noire avec les yeux grand ouverts, le sang coulait a flot, mais Morgoth ne semblait pas s'en soucier. Elle venait de lui rendre son du.
Le Moriquendi se mis debout sans l'épée et boita vers elle, il lui mis une main sur l'épaule et dit clairement:

-Merci, Morgomiel!!!!

L'elfe lui passa le main sur la joue, puis reprit son épée et le remit dans son fourreau non sans mal.
Morgoth essaya d'avancé vers la maison des guerisons que l'on voyaient d'ici!!!

HRP// toutes mes excuses Morgoth…//HRP
Le guérisseur ne pouvait plus rien pour les deux hommes au sol aussi décida-t-il de porter secours aux survivants dans la batailles finissantes.
Nidnama constata avec horreur qu’il ne pourrais bientôt plus opérer faute de simples.
Au bruit d’une explosion, il se retourna : l’une des battisses portant 5 archers venait de tomber en poussière. Nidnama vit une flèche fondre lentement vers son ventre puis s’enfoncer au niveau du sternum dans un bruit de sussions puis le temps reprit son cours dans une explosion de douleur. Alors qu’il tombait a genou, il tenta d’effectuer sur son propre corps les gestes salvateurs… Sans succès. Inconsciemment, il murmura son diagnostique :
- La flèche n’a atteint aucun organe vital. Elle n’était pas empoisonnée mais l’hémorragie pourra venir a bout de mes forces… Foutus traîtres !
Les derniers traîtres tombaient, la victoire était a présent acquise, si l’ennemi ne disposait pas de troupe hors de son champs visuel… Le guérisseur parvint tout juste a s’effleurer le bras d’une des dagues enduites de somnifère avant de s’évanouir. Il sombra donc dans un sommeil sans rêve, réparateur qui était sa meilleur chance de survie si les mages ne pouvaient intervenir dans les plus brefs délais.

Eleriol regarda le combat qui se déroulait sous ses yeux. Il vit l'elfe noir tituber vers la maison de guérison, puis le guérisseur tomber, une flèche venant de l'atteindre. Malgré la situation, Eleriol ne put s'empêcher de remarquer l'ironie de cette situation. Il avança en chancelant vers le guérisseur et tomba à genou devant lui. Il prit la flèche dans sa main droite et l'extraya du coprs inerte du guérisseur. Puis l'elfe chercha sur lecoprs du blessé et y trouva un bande de tissu. Il en fit un pansement qui, bien que précaire, ralentissait l'émoragie. L'elfe ne pouvait rien faire d'autre, mais ne laisserait pas celui qui lui avait sauvé la vie seul face à son destin. Eleriol trouva d'autres fioles sur le corps de Nidnama, mais ne sachant quelle était leur utilisation n'y toucha pas. L'elfe restait à genoux, immobile. Heureusement, personne ne semblait s'interresser à lui... jusqu'à maintenant. Mais ce qui devait arriver arriva. Un des derniers hommes noirs s'approcha, savourant à l'avance le plaisir qu'il aurait à tuer des deux êtres sans défenses. Il avançait à pas sûrs. Sa garde était mauvaise, mais qu'avait-il à craindre? Même s'il avait reconnu celui qui avait tué un de leurs meilleurs soldats, il n'avait pas peur. L'elfe utilisa une méthode qu'il avait exercée et améliorée :

Ainsi vous allez nous tuer, cet homme sans défense et moi? Cet acte est d'une lâcheté sans égale acr nous sommes sans défenses. Et pourtant, vous allez nous attaquer.

Sa vois n'était qu'un murmure, mais cela suffit à destabiliser son adversaire qui ne s'attendait pas le moins du monde à une telle réaction. Eleriol profita de cette hésiation pour se laisser tomber au pied du soldat. Celui-ci reprit son assurance. Cet elfe à présent le suppliait. Quel bonheur était-ce là! Il leva son épée, me ne l'abaissa pas. Eleriol avait pris un couteau par terre en faisant mine de supplier son agresseur et l'avait enfoncer dans le talon de celui-ci. L'homme cria et l'elfe continua son attaque en lancant la lame vers le visage du noireau. Le lancé n'était pas très puissant mais fit tout de même une profonde entaille dans son cou. Puisant dans ses dernières forces qui le quittaient, le soldat noir voulut achever cet elfe exaspérant mais n'y parvint pas. Une lame venait de le traverser de part en part. Il tomba.
Eleriol revint auprès du gérisseur étendu sur le sol de pierre blanche. Le mage se battait plus loin contre un soldat redoutable. S'il ne sortait pas rapidement vainqueur de son combat, la seule aide sur laquelle pourrait compter Nidnama était la sienne.

Meneldir semblait désespéré devant toute cette haine.
L'arc, entre ses mains, vibrait en dépit du fait que ses bras étaient tailladés de toute part et qu'une fléche l'avait traversé de toute part.

Le professeur ne voyait plus que des formes flous mais cela n'empechait pas le tireur de tuer les elfes et les hommes en noir.

Son carquois s'épuisait peu à peu au loin un ennemi se rapprocha d'une forme sur le sol.Les yeux du sage s'équarquillèrent et il reconnut Milinde inerte sur le sol.L'arc se banda lentement au point de l'arc craqua et que des fibres se brisèrent.

La parole lui était impossible car seul un cri térifiant aurait sorti de sa bouche avec toute sa douleur.

Le coup partit, virant entre les ennemis avant de siffler à l'oreille de son ennemi qui releva son indigne face vers le trait qui parvint à une vitesse incroyable vers lui.Pour une fois, Meneldir suivit avec une concentration exceptionnelle son tir qui transperça de part en part le crane du noireaud.//S'il s'agit de l'homme que j'affornte, c'est non, c'est un duel...//
l'arc de Meneldir s'était brisé en son centre.La corde ne ressemblait plus qu'à un simple fil de soie grossièrement tissé.

Meneldir regarda le combat partout, les derniers soldats combattait, le combat tirait à sa fin.Les derniers soldats du Gondor combattaient couragesement.

Meneldir s'effondra sur le sol dans cette dernière vision de gloire et d'honneur.La fléche s'enfonça encore plus.
Des ombres envahirent l'esprit de Meneldir.
Tout devait avoir une fin.Mais où était cette fin.

//Bon je repost ça ici, vu qu'il n'y a pas eu de suite dans le sujet devant le palais. J'aimerais bien qu'un admin fasse la suite ... Enfin, ce que l'homme masqué fait*. Merci ! //


Le hobbit se fit attaquer en traitre par un homme qui portait un masque blanc. Il eu a peine le temps de se retourner que l'homme était sur lui tandis que le porteur du paquet s'enfuyait. En quelques secondes, ce dernier réussit à s'enfuir et à être hors d'atteinte du hobbit.

Celui-ci revint donc à son problème actuel: L'homme qui s'était jeté sur lui avec un long poignard essayait apparement de le tuer ... Il frappa le hobbit du bout de sa lame, mais l'armure du cuir prit la majorité des dégats.
Etelion frappa dans la lame avec son pied et se remit debout d'un bond. Il défia alors l'homme masqué de son poignard de mithril.

- Ahahah. Que comptes-tu faire, petit écervelé ? Tu m'arrives à peine à l'épaule, lança l'homme.
- Ne te fies surtout pas à ma taille ...

L'homme rigola de plus belle puis se jeta sur le petit homme. Celui-ci fit un simple pas de côté qui laissa apparement perplexe l'homme masqué ...

* Qu'est-ce que se cache derrière ce masque ? *

Le hobbit laissa ses pensées de côté et laissa l'homme réattaquer. Il savait bien que ce n'était pas par la force qu'il gagnerait ce combat. Il feinterait donc jusqu'à ce que son ennemi se fatigue, et il essaierait surtout de frapper au bon moment.

L'homme baissa sa garde lors d'une attaque qui se dirigeait vers le cou d'Etelion, qui fit une roulade de côté et sauta sur le dos de l'homme. Il le frappa de toute ses forces dans son armure dorsale. Un filet de sang éclaboussa le sol.

La personne masqué se défit bien vite du hobbit sur son dos en l'envoyant valser dans des tonneaux prés de là. L'homme avait mal, et ça se voyait, mais Etelion savait bien que ce n'était pas ça qui allait le dissuader de le tuer ...

L'homme au masque blanc se redressa tant bien que mal. Jamais il ne pourrait tenir droit comme avant. Son masque avait quelque peu glissé de son visage, mais de toute façon, cela importait peu.
Et il tenait toujours son poignard.

Le hobbit était étendu dans les tonneaux. Une cible parfaite. Il se jeta vers lui, brandissant son arme, sans se soucier de tenir un quelconque garde. Il estimait ne pas en avoir besoin. se trompait-il ?


Mais plus haut, c'était une bataille plus rude qui était menée.
De nombreux soldats et mêmes des personnalités étaient au sol, en mauvais état. Heureusement, les derniers noirauds tombaient un par un, ils pouvaient se faire soigner sans trop d'encombres, seuls les archers menaçaient.

Plus loin, des regards étaient attirés par le duel entre Mithrandir et un furieux adversaire.
Radamanthe y jeta un coup d'oeil. Le vent se levait. Il écarta une mèche devant ses yeux, puis essuya trois gouttes de sang qui le gênaient
Il reporta alors son attention sur son adversaire qui s'était écarté un instant.

Une des dernières tâches à faire était de s'occuper de ces dix archers toujours menaçants.