Bataille sous l'Arbre Blanc

Bon,trés bien...

Ilse relva,puis lanca uen de ses dagues vers le front d'un de ses ennemis.Il la récupéra puis nse jeta au sol poue équiver une fleche.Il attrapa un homme qui lui tournait le dos a la cheville,tira et le guerrier se retroyuva au sol a plat ventre.Le pillard monta sur son dos,attrapa sa tete a deux mains et lui tordit le couyp comme a un vulgaire poulet.
Il le pluma(au sens figuré)une fois cela accompli.Il trouva une petite bourse de cuir qu'il rangea dans sa poche.Il vit plus loin un gamin qui se battait avec un homme au masque blanc.

Des marmots maintenants...

Il se releva,egorgea un homme au passage,para et esquiva quelque coups,les rendis mortellement,puis sauta sur un balon peu élevé,sauta par dessus un noireaud en lui lanca une dague dans le dos une fois dépassé,et se retrouva malecontrueusement au milieu d'un groupe de soldats noirs.

Oh,merde,je pourrais jamais tous les dépouiller,mes poches sont trops petites...

La tactique de mon ennemi me surpris et eut pour effet de me déstabiliser, il m’avait fait perdre mon bâton, qu’importe. Il pensait que sans celui-ci je serai incapable de faire de la Magie, mais il se trompait. Pendant qu’il m’assenait des coups d’épées dignes d’un bœuf, je prononçais quelques mots en Elfique de façon inaudible. Le bâton décolla du sol vers ma main levée. Mon ennemi le remarqua mais pensant que le chemin de mon bâton s’arrêterait dans ma main, il continua a attaqué. Cependant il s’était trompé, le bâton passa au dessus de ma main et une attaque magique résonne en même temps que le bâton sur son casque. Cette attaque l’étourdit et j’en profitais pour lui ôter son casque noir d’un coup d’épée. Le casque en tombant révéla son visage, un visage barré d’un sourire narquois, il se sentait encore supérieur. D’un coup d’œil avant d’attaquer je vérifiais si Milindë respirait… C’était le cas, et une plaie lui entaillait le haut du crane, de cette plaie, un peu de sang coulait.
Le combat repris avec autant de hargne qu’avant. Cette fois-ci j’utilisais toute mes compétences en magie contre mon adversaire. Le duel était son domaine, la Magie le mien, il était logique que chacun utilise celui où il excelle. Mes attaques magiques avaient le don de le repousser et de me permettre de riposter plus souvent, voire même d’attaquer. Il m’assena un coup de hache que je parais de mon épée avant de lui expédier mon bâton dans les dents. Il reculait, et cette fois-ci ce n’étais pas une tactique, il commençait à éprouver quelques difficultés à garder le dessus. Voyant ma blessure au torse, il m’y assena un coup de poing ce qui me fit reculer de quelques mètres et me plia en deux. Il approcha lentement un sourire de satisfaction sur le visage. Il continuais à approcher mais ce fut un peu trop, je me redressais d’un vif mouvement et lui assenais un coup de bâton dans le ventre. Mon bâton au contact de son armure émis une flamme pour ramollir celle-ci, en vain. Mon attaque avait eut pour effet de le faire tomber non loin de la fontaine. J’allais pour l’achever quand il tendit ses pieds sous mon ventre et m’expédia la tête la première dans la fontaine. J’en ressortis trempé des pieds à la tête. Cette humidité me gênait dans mes mouvements, aussi commença-t-il à reprendre le dessus. Je me positionnais donc un l’écart d’un bond en arrière et d’un geste de mon bâton fit sécher mes vêtements. Le duel allait pouvoir reprendre. Il avait voulue m’entourer d’eau, il était temps de l’entourer de flammes. Je fis apparaître une boule de feu dans ma main et la lui lançais. Il l’évita en un saut, mais elle lui toucha la jambe, le brulant malgré son armure. Il boitait à présent et aurait quelques difficultés à reprendre le dessus pensais-je. Je me trompais, il revint à la charge, mais sa blessure ne l’empêcha pas d’attaquer violemment. J’évitais son attaque en me baissant, et ripostais en lui assenant un coup du plat de la lame dans le nez. Ce coup d’épée fut suivit ‘un coup de pied dans le même nez qui se mis à saigner abondement. L’homme me regarda un regard de folie dans les yeux, il semblait goguenard. Le sang coulant sur son visage l’indifférait, il me voulait sur le haut de sa cheminé comme un morbide trophée de sa victoire dans la cité. Et quelle victoire ! Son armée était réduite à néant, et il ne semblait pas en être conscient. Il chargea de plus belle, je l’évitais encore et passais derrière lui, il se retourna et me fonça dessus, je me mis sur le côté avant de tendre mon pied par terre, l’homme trébucha bêtement et s’étala de tous son long. Tout élite qu’il était, le sang sur son visage et la fatigue qui commençait à se manifester lui avait occulté la présence d’esprit de sauter par-dessus mon pied. Il était par terre, j’attendais qu’il se relève avant d’attaquer de plus belle, cette fois-ci mon attaque échoua, il para et m’assena un coup d’épée sur le bras. Il avait repris l’avantage. Il fonça sur moi tel un fou et la les flammes l’entourèrent. Elles étaient l’effet de mon sort d’embrasement. Il tituba, les flammes l’asphyxiaient constituant une meurtrière prison. Puis je els fis disparaître, profitant de l’effet de surprise, je lui assenais un coup de bâton sur le crâne, posais ensuite celui-ci sur l’armure encore chaude afin d’accentuer son ramollissement, pris appuis sur le rebord de la fontaine, repoussais mon adversaire, sautais du bord de la fontaine et lui enfonçais étant encore en l’air mon épée dans le coup, il s’effondra pendant que j’atterrissais au sol. Milindë s’était réveillée durant cette attaque. Elle se redressa lentement se demandant où elle pouvait être. Elle cligna des yeux et vit les cadavres autour d’elle et Mithrandir plus loin devant le cadavre de l’élite. Tout lui revint en tête, l’attaque de la cité, le Troll, la barricade humaine, son combat contre l’élite. Elle se rappela de tous. Il semblait que les Gondoriens avaient gagnés, il restait encore quelques combats non résolue mais la Cité avait tenue. Elle avait résistée à la marée humaine des envahisseurs, c’était la fin.

Hobasian se battait avec fougue contre le peu d’ennemi restant, il trancha la tête du dernier noiraud à ses côtés et se tourna vers un Elfe qui subit le même sort que le précédent ennemi que le père de Mithrandir avait affronté. Il jeta un regard vers l’endroit du duel entre son fils et l’élite et constata la victoire de son fils. Puis il remarque Milindë, elle s’était redressée et semblait hagard, son fils ne l’avait pas vu. Il se dirigea lentement vers lui.

"Et bien, nous sortons victorieux de cette bataille, la Cité à subie des pertes, mais l’essentiel a été préservé. Tu as bien defendu ta femme, mais tu sembles avoir oublié celle-ci."

Fit-il dans un sourire provoquant mon retournement vers ma future épouse. Quel ne fut pas mon étonnement quand je la vis, assise par terre avec un filet de sang s’écoulant de sa tête. Je l’aidais à se relever.

"Heureux que tu ailles bien."
"Moi aussi."

Ils s’embrassèrent sous le regard joyeux d’Hobasian. Puis, lorsqu’ils eurent fini, ils contemplèrent les dégâts. Comme l’avait dit Hobasian l’essentiel été préservé, mais les dégâts matériels étaient très grand. Puis je m’enquis.

"Où peut-bien être Elessarion, je ne l’ai pas vu."

Les deux autres ne savaient pas plus que moi à ce sujet. Nous nous apprêtâmes à partir lorsque nous entendîmes le sifflement d’une flèche. Elle se ficha dans l’abdomen d’Hobasian. La pointe de la flèche ressortais devant, la flèche avait été tirée de derrière. Milindë foudroya d’un geste l’Elfe à l’origine de l’attaque tandis que je me précipité pour rattraper Hobasian qui vacillait. Il agonisait dans mes bras, soudain très faible après la vaillance des combats. Il essaya d’articuler quelque chose mais ce fut inaudible. Milindë avait les larmes aux yeux. Hobasian sombra dans l’inconscience et là, je me mis à pleurer le croyant mort, car comme l’avait dit quelqu’un bien avant moi toutes les larmes ne sont pas un mal. Milindë eut la présence d’esprit de me faire le lâcher et le conduit aux Maisons de Guérison aidée par des Gondoriens, elle me dit.

"Va, un conseil de guerre aura surement lieu, je le sauverais n’ai aucune crainte, ton devoir t’appel et tu ne peux le renier, même dans de si graves circonstances."

Je me dirigeais alors vers les blessé, pensant à Hobasian s’il mourrait cela ne sera la faute d’aucun d’eux, ce sera le dessein des Valars. Je vis Nidnama au sol, il avait fini par être blessé à son tour comme je lui avais dit. Pensant aux dernières paroles que m’avaient adressées Milindë je me rendis aux côtés du guérisseur. Celui-ci avait une flèche plantée dans le sternum. Je décidais donc de la casser et de l’enlever bien que cela le fairait surement saigné abondamment, mais je n’étais pas guérisseur. Je cassais donc la flèche provoquant un flot de sang et commençais à réciter quelques mots en Elfique. Si Milindë avait tenue à envoyer Hobasian aux Maisons de Guérison c’est qu’elle avait dut se rendre compte que la flèche était empoisonnée et que quelques mots en Elfique ne suffirait pas. Le sang s’arrêta de couler et la blessure commençait à se refermer. J’aurais besoin de l’aide du Guérisseur pour soigner les autres blessés, cependant il dormait profondément. Je sondais alors son esprit, cherchant à le réveiller et en l’appelant.

Enfin ! C'était enfin terminé. Les derniers noirauds étaient morts, ainsi que les elfes et elle avait ramassé tous ses poignards. Alira regarda Morgoth s'éloigné en boitant vers les Maisons de Guérisons, il ne craignait plus rien à présent, elle se détourna pour poser son regard sur le lieu des combats. Des morts et des blessés un peu partout, les dales blanches de la coure avaient pris une teinte écarlate par endroit, le soleil qui venait tout doucement de se lever laissait aller ses rayons rouges sur la cité. Apercevant Mithrandir plus loin elle le rejoignit rapidement.

"Enfin finis. Mais cette bataille n'était qu'une diversion, Mithrandir, des hommes sont venue chercher quelque chose dans le palais. J'ai tué leur chef mais je n'ai pas put empêcher le voleur de s'enfuir. Je suis désolée.

L'elfe noire soupira.

_Comment va Milindë ? Je l'ai vue en mauvaise posture tout à l'heure."

"Une diversion dites-vous, une diversion...En tout cas c'était rondement bien menée, tous les monde s'est concentré sur leur attaque. Ne vous excusez pas, vous ne pouvez pas réussir partout. Le fait que vous aiyez tué leur chef est déjà une bonne chose."

Je reportais alors on attention sur le guérisseur, il me fallait le soigner, le soigner pour oublier Hobasian mourant. Le soleil commençait son assenssion, bientôt chacun pourrait contempler l'horreur des combats dans le lumineux soleil levant. Le soleil était rouge, rouge sang.

"Milindë va bien, bien mieux."

Je me tus alors, soudain pensif avant de continuer.

"Ce qui m'inquiète le plus, c'est mon père, il s'est fait blessé par une fleche empoisonnée, Milindë la conduit aux Maisons de Guérison, mais je craint pour sa vie... Il est venue combattre pour la Cité ploutôt que de rester à la Tour, il n'est plus tout jeune, il n'aurait pas du..."

Je me remis à la tâche tentant de reveiller Nidnama qui restait endormi. La Magie devrait venir à bout du somnifère.

Eleriol était resté jusqu'à la fin du combat auprès de Nidnama. Il regarda sans un mot le mage soigner le guérisseur. // Je t'en veux pas si tu m'as oublié // A présent il était entre de bonnes mains. L'elfe n'était plus d'aucune utilité ici. Il se leva en chancelant, la main sur sa blessure sanguinolante. Il ramassa en grimaçant son épée et se dirigea à pas hésitants vers la Maison de Guérison. Personne ne le regardait. Eleriol n'y faisait pas attention. Quoi de plus normal que de pleurer les anciens amis et de soigner les blessés? Un elfe toujours vivant pouvait bien se débrouiller tout seul. // Ce n'est pas ironique, que ça soit clair// Le sang coulait. Une trainée rouge parmi tant d'autres se créait là où passait l'elfe. Il regarda tous ces cadavres, tous ces morts, tous ces blessés, tous ces hommes tristes. Il repensa à ce qui lui était venu à l'esprit juste avant la fin du duel : il ne savait rien de l'homme qui l'avait combattu, ne savait même pas la raison réelle de ce pourquoi il se battait. Peut-être était-ce mieux ainsi...

//Désolé, j'avais zapé que tu étais là
Mith'//
Encore une trentaine de mètres et il serait arrivé au bout de ses peines.

Radamanthe dû faire deux pas sur le côté pour éviter son adversaire qui chargeait. Savait-il ? Avait-il remarqué qu'il était le dernier debout parmis les siens ?
Mais en tout cas, il se battait comme un forcené. La fin ne lui faisait pas peur.
Après, l'Intendant connaissais ce sentiment. Sans cette détermination, il aurait périt de la main de Florandor II, sultan de Harad.

Il dû lever précipitament sa hache pour parer un violent coup de masse. Cette dernière rebondit contre la lame savament forgée de Radamanthe, mais était encore entière et l'autre ne tarda pas à reprendre ses esprits.
Il répliqua par un coup vers le bas, de sorte qu'il soit difficle à parer avec une arme d'hast. Il dut faire un bond sur le côté.

Il se redressa et recula de deux pas pour mieux pouvoir prendre élan.
Mais quelque chose dur était dans son dos.
il risqua un coup d'oeil en arrière.
L'Arbre Blanc ! Il était devant l'Arbre de Numenor.
Alors rien ne pouvait lui arriver. D'un coup, il fendit la main de l'autre, qui lâcha son arme, ainsi il ne pourrait abîmer l'Arbre. Immédiatement après, il l'acheva.

Ainsi périt le dernier de ses envahisseurs, sous l'Arbre d'Isildur.
Radamanthe jeta un regard circulaire autour de lui. C'était la catastophe. Mais la Cité perdurerait.
La Mage s'en était tiré, il le vit d'n coup d'oeil.

Pourtant, il restait encore un coup dur à essuyer.

Morgoth revint plus tard, il chercha l'elfe noire qui l'avait sauver, et que lui même avait sauver...
Il ne connaissait même pas son nom mais pour lui se serait "Morgomiel", Etoile sombre.
Il ressentait un étrange sentiment non ressentit auparavent, il ressemblait à la haine, mais une chose était différente et lui disait que ce n'était pas cela... Pour la premiere fois Morgoth se souciait d'autre chose que de lui même ou de sa famille...

Alira regarda Mithrandir et l'homme qu'il essayait de soigner et reprit la parole.

"Je n'ai pas tout dis, leur chef, ou en tout cas celui qui les menait, était celui qui m'avait engagé pour le vol du parchemin."

Un frisson parcouru son échine et elle se retourna. Elle apperçut l'elfe noir de tout à l'heure qui semblait chercher quelque chose...ou quelqu'un. Peut-être elle même, de toute façon elle savait qu'à un moment ou un autre ils devraient parler. Mais là, vue l'était de sa machoire elle doutait que ce soit maintenant. Elle resta au côté de Mithrandir attendant sa réaction à son propos, songeant à le questionner plus tard sur l'elfe noir.

Une large galerie s'ouvrait dans l'esprit de Meneldir.Des alcoves de chaque coté délimitait le chemin.

Meneldir se sentait faible, mais il résistait.Il devait survivre, il le sentait en lui.

La douleur le tirailla et Meneldir se releva en un sursaut.La fléche s'était brisé sous son poids et Meneldir se leva en s'appuyant avec son bras gauche le seul peu bléssé.

Quel massacre!

Bientôt, Meneldir entreprit de retirer la deuxième partie de la fléche encore en son sein.
Un bout de tunique pour bandages.Un morceau d'armes d'hast pour l'aider à marcher.

Même bléssé, Meneldir aida un soldat qui avait perdu l'usage d'une de ses jambes.

Pauvre soldat! pensa t il au fond de lui.

La douleur le tirailait dans son dos là où un elfe avait taillader les cotes de Meneldir.
Les effets de la potion de Ellessarion avait disparu.

S'appuyant sur le manche et portant son ami, il parvint chancelant devant les maisons de guérison.

Meneldir déposa le soldat et s'en retourna vers le palais après q'un guérisseur eut appliqué plusieurs bandages sur les plaies les plus sérieuses.

Meneldir avait même prit des herbes pour calmer la douleur.

Aidant selon ses faibles posibilités, le professeur pansa et maintint en vie plusieurs mourrants.

La bataille avait été terrible.En ramenant un soldat, Meneldir fut aggripé par le pied.Un main sanglante s'était refermait sur la jambe de Meneldir.

Un poignard jaillit de la sous tunique pour arriver dans la gorge de l'inconscient.

Des hommes avaient le devoir d'achever les ennemis dont certains étaient encore combattifs.
Le sage aperçut Mithrandir au loin aidant lui aussi des hommes.

On lui avait apprit que son père avait été gravement bléssé par une flèche.
Il ne fallait pas qu'il meurrent pas si près du mariage de son fils.

Murdock était essouflé et fourbu d'avoir livrer une telle bataille. Lui qui venait à peine d'entrer dans la garde de la citadelle, il avait été servi. Il regarda autour de lui et constata avec peine que les pertes étaient terribles parmi les défenseurs de Minas Tirith.

Dès vingt archers qu'il avait dirigé depuis l'auberge, deux seulement avaient survécu à la bataille et l'un d'entre eux ne passera probablement pas la nuit.

Malgré ces blessures multiples, Murdock se devait d'aller au devant de l'intendant et de lui faire son rapport sur ces valeureux archers ainsi que sur ce qu'il avait pu récupérer sur le corps d'un des combattants. Il s'approche alors en titubant de l'intendant.

"Murdock, garde de la citadelle au rapport, intendant. Des vingt archers sous mes ordres, deux ont survécu et l'un d'entre eux ne passera probablement pas la nuit d'après les guérisseurs. Pour leur bravoure et leur courage tout au long de cette journée, je vous demanderais, intendant, que l'archer survivant soit nommé au poste de caporal des archers."

L'intendant allait lui répondre mais il se souvenait alors de la première raison de sa venue devant l'intendant.

"Je souhaiterais également ajouter que j'ai combattu un homme portant un masque blanc sur son visage. L'homme est mort de mon épée, la tête tranchée, mais je voudrais vous remettre ceci intendant."

Il sort alors de son fourreau, une épée finement ouvragée.

"Je ne sais quand l'enquête commencera, intendant, mais j'imagine que cette épée magnifique sera une indice des plus importants."

Darkblade était couvert de sang.Autant du sien que de celui de ses ennemis maintenant passé a trépas.

Ils avaient pas ne thune ces co****!Je suis venus pour rien!

Il se débarrassa d'une pichenette d'un doit qui trainait sur son épaule.Il se dirigea vers la maison de guérison.Les blessure qu'il avait subis n'était pas bien grave,mais assez douloureuse dans l'ensemble.Il s'élanca en boitant et se vautre la tete la premiere sur un cadavre.

Oh,merde,il pue ce mort!

Nidnama ouvrit les yeux a l’appel psychique de Mithrandir. Nidnama, l’esprit encor brumeux a cause du somnifère qu’il s’était appliqué réalisa avec peine que l’effet de celui-ci n’avait été que de courte durée…
Il faut que je m’en souvienne : ce produit est volatile et il perd vite de son efficacité a l’air libre. Normalement, je n’aurais pas dut me réveiller avant demain… Même avec une aussi faible dose : il est rentré directement dans le sang. Songea le guérisseur.
Il reprit un peut de contenance. Et s’excusa auprès du mage :
- Je m’était plongé dans se sommeil au cas ou vous ne pourriez venir a mon aide. Mais je voit que ma crainte était injustifiée. Merci pour tout. La bataille est finie ? Il faut s’occuper des blessés.Nidnama se releva avec difficulté puis se murmura a lui même :
- Pas le temps pour la faiblesse…
Il sortit une fiole de son manteau et en but avec détermination une gorgée en faisant la grimace. Immédiatement, il sentit une force incroyable l’envahir. Il prit mentalement note : je ne doit pas trop me fatiguer ou j’en mourrais.
Nidnama repartit avec énergie pour soigner des hommes. A présent, il n’avait plus besoin de soins expéditifs souvent insuffisant : les blessés pourraient facilement se reposer.
Cependant, ses réserves d’herbes seraient bientôt épuisées et il n’avait pas le temps d’aller chercher sa charrette. Aussi, demanda-t-il a un soldat Gondorien d’aller la chercher pour lui.
- Elle se trouve sur la place du Marché. Vous ne pourrez pas la rater : je demanderais a Maegthir, mon faucon, de vous guider. Ramenez là aussi prés que possible. Il s’y trouve des mélanges précieux et je ne peut en emprunter a la maison des guérisons : ils en auront eux même besoin. Je vous fait confiance mais soyez assuré que votre intégrité n’aimerais pas me trahire… Ajouta le guérisseur dans un brusque changement d’attitude.
- N’ayez rien a craindre déglutit le soldat sous un regard qui semblait le percer aussi sûrement qu’un fer de lance.
- Sachez que vous avez toute ma confiance. Le visage du guérisseur était a nouveau doux a tel point que le soldat ne se demanda pas s’il avait rêver. Une chose était sure : il lui rapporterais cette charrette dans les plus brefs délais.
Nidnama souffla dans un sifflet a son coup puis repris ses soins. Bras, jambes brisées, coupés, tout devrais être soigné.
Quelques minutes plus tard, il vit avec plaisir Maegthir fondre sur lui. Il lui fit rapidement comprendre sa mission puis se concentra a nouveau sur les blessés.

Radamanthe resta un instant immobile, essuyant la lame de sa hache sur une cape noire. Il lui faudrait quand même la nettoyer avec plus d'efficacité, mais cela suffirait pour le moment.
Jetant un coup d'oeil sur le côté, il avait aperçu le mage en discussion avec cette voleuse elfe, Alira...Il avait le pressentiment qu'ils devraient à nouveau se revoir pour débattre de ces graves faits.

D'ailleurs, même dans le regard du roy, au loin, il pouvait lire une interrogation, et elle était autre que le motif de cette bataille...

Puis vint le trouver le garde de la citadelle qu'il avait déjà remarqué par deux fois, apprenant enfin son nom...

"Oui, bien sûr...De nombreux postes devront être distribués, car trop se retrouvent vacants après ces événements...Tant de meneurs tombés pour la Cité...
Heureusement qu'on peut dénicher des personnages à la geste courageuse...Sauf si c'est votre désir, vous ne resterez pas garde de la citadelle toute votre vie, Murdock, sûrement pas..."

Il prit alors délicatement la lame ouvragée des mains de son interlocuteur et la porta devant ses yeux pour l'examiner. Sinistrement, des marques de sang témoignaient qu'elle avait servis. Mais il n'avait croisé le fer avec aucun ennemi en possession d'une arme semblable, moins encore d'un masque blanc...

"Je ne vois pas ce que cela signifie...Mais en effet c'est étrange...Je me demande..."

Mais ces mots, il ne les finit pas. Un domestique sortit à l'instant en trombe du palais. Il ne semblait pas blessé, cela ne devait pas être un ennemi resté caché qui le faisait trembler.
Il s'arrêta devant Méphisto, et, haletant, ne pouvant dire un mot, il désigna de son doigt le fond du couloir principal...

Morgoth vit Alira, il vint vers le groupe de personne avec elle...
Il salua en se penchant vers l'avant, Il avait accroché son heaume brisé en deux sur son coté, et son armure dans son dos.
Il était habillé de ses couverts elfique, noir et argenté, avec le signe de la maison d'un elfe des temps ancien que beaucoup ont oublier...
Son manteau noir était laisser rabattu en arrière.
Laissant son visage marqué ressortir à la lumiere, le soleil laisser apparaitre d'autant plus sa paleur de glace!
Il regarda tout le monde. ne pouvant rien dire...
Morgoth avait l'air du spectre d'un ancien haut seigneur elfe. l'épée de Mithril au côter renforcer l'effet!

Orzer se précipita dans l'escalier. Il avait entendu et fut la fumé qui s'elevait dans le ciel. Tira son épée, peut être le roi était-il en danger ?
Il arriva en haut. Des corps partouts ! Il vit Alira, Radamanth, enfait beaucoup de gens était la des soldats.
Il était arriver trop tard pour participer a la bataile, mais les gens alors peut-être n'était-il pas venu pour rien ?
Il interpella un soldat aux nombreuses blessures:
-Que c'est-il passer, pourquoi tous ces cadavre ? Dit Orzer.
L'homme le dévisagea... mais il répondit:
-Ba ya eu une... rrrr j'ai mal... je dois aler a l'infermerie...ha oui je peux je dois d'abord vous répondre...rrrrr... ya eu une bataille...
l'homme partit en courant vers l'infermerie, certe en courant mais trés lentement.
Orzer chercha le roi du regard... il le trouva.
Il se dirigea vers lui.
-Ô mon roi que c'est-il passer exactement ici ?
Il attendit la réponce.

"L’homme qui vous a engagé pour le vole du parchemin est aussi l’instigateur de ces événements… C’est intéressant."

Et je replongeais dans mes pensées. Puis le Guérisseur se réveilla et me remercia, je lui répondis que c’était tout naturel. J’allais pour m’occuper des autres blessés quand je vis le domestique parler au Roy, présageant l’importance de ses paroles je me dirigeais vers eux. Je n’entendis pas ce que le domestique dit.

"Méphisto, mon ami, heureux de voir que vous vous portez bien…"

Fis-je en posant amicalement ma main sur son épaule.

"Il semblerait que quelqu’un est commis un vole. Une personne a d’ailleurs tenté de me voler un précieux parchemin et il s’avère que cette personne est également l’instigatrice de cette bataille et du vol d’un morceau de tissus dont j’ignore la valeur dans le Palais. Les pertes dont grandes et de nombreux hommes de valeurs sont morts sur ces champs de bataille pour défendre l’honneur de la Cité Blanche et d’autres suivront."

Mon visage se rembrunit alors pensant à Hobasian agonisant. Puis je repris.

"J’ignore qu’elle est la raison de cette attaque, mais il est clair qu’elle remet en cause notre défense et nos capacité de lutte. Comment ces hommes et ces Elfes ont-ils pu entrer dans la Cité et monté si haut dans celle-ci, arrivant aux Portes même du Palais Blanc ? Je ne sais si cette manœuvre avait pour but de nous déstabilisé, mais elle a ébranlée la Cité toute entière, les dégâts matériels sont nombreux. Nous devons nous réunir au Palais pour en tirer des leçons, trouver les coupables et les punir. Ces actes sont intolérables !"

Puis je vis un homme se diriger vers le Roy et lui adresser la parole sans le moindre signe de profond respect et sans plus de manière. Je répondis à la place du Roy.

"Ce qui s’est passé… Des ennemis sont entrés par on ne sait où dans la cité et on opéré une remontée vers le Haut de la Cité, voila tous ce que vous avez besoin de savoir, le reste, ce sont des affaires entre le Roy et les membres de son gouvernement. Vous semblez fort, allez donc aider les blessés à se rendre chez les guérisseurs, certains en ont bien besoin."

Je vis Radamanthe un peu plus loin discutant avec l’homme qui avait mené les archers. Il avait réussi à survivre et c’était une bonne chose, la Cité ne pouvait se passer d’un bon Intendant, ni d’un bon Roy… L’essentiel avait perduré…

Morgoth avait suivit toutes les paroles dites.
Il s'approcha de Mithrandir, le regarda dans les yeux leva sa main, et lui posa sur le côté du visage, et mis l'autre main de l'autre côter.
Mithrandir avait déjà vecu cela, Elwë lui avait fait la même chose.
Mithrandir recu des images chaotiques, désordonnées, Morgoth était le Chaos en personne mémorialement, il ne savait utiliser correctement les pouvoirs de son frêre, mais Mithrandir était assez puissant pour les comprendres.

"Mithrandir, pardon pour se que j'ai fait tout à l'heure, mais je crois que tout cela est liée, ce qu'il reste en moi du mal dont vous m'avez délivré, est lié a tout cela...les sectes Melkorites, sont plus nombreuse aujourd'hui qu'avant la bataille de Dur'Zork, pourtant nous avions convaincu beaucoup de personnes...Je............"

Une autre voix parla, une voix rauque, grave, démoniaque :
"Je suis toujours lààààà!!!!....Beaucoup de chose vont changer...ton ami m'a donner une chance de revenir...Même les valar ne pourront l'empécher... mais ils ne le verront même pas!!!!!!!!!!.............."

La voix s'évanouie dans un echo... sombre, pincant le coeur du mage de haine et de Terreur face a cette voix terrible!!!


Les personnes présentes, virent Morgoth trembler de tout son corps, ses veines apparaitre sous sa peau, et Morogth lacha Mithrandir et s'écroula a genoux, son poul se voyait battre sous la surface de sa peau d'albatre, il fermait les yeux, et se mettait les mains devant comme pour empécher quelque chose de sortir...

Morgoth fut pris de spasmes, et de convulsion pendant quelques secondes, puis ouvrit les yeux, mais quels yeux, ses orbites étaient vides, mais vraiment faite de vide... comme pendant la bataille.
Puis ce vide fut aspiré vers l'arriere Morgoth ferma les yeux puis se redressa, et les réouvrits. Cette fois, l'on pouvait voir les globes occulaire noir, rempli de se vide, qui tentait a chaque seconde de sortir.
Il ne pu rien dire, il prit la main de l'elfe, et lui redonna ses plante, la regardant avec un air désoler pour lui même, comme si rien été a faire pour lui.
Il pris la main de l'elfe noire pour la relevé, la regarda avec le meme regard que pour l'autre, puis détacha un petit morceau de tissu noir avec des tengwar gravé en argent de sa veste elfique, il était ecrit,
"Silindë Celebrindal, de la maison de Finwë le premier."

Morgoth regarda les autres les larmes aux bord des yeux, en reculant au fur et a mesure. L'on pouvait dire de lui que c'était la tristesse incarnée!!
Plus il s'éloigné plus il parraissait déséspéré!!!
Un seul savait, le mage, mais seul lui savait que Morogth lui avait parler, allez il le dire??.............
Morgoth partit vers la cité...vaqué...

Eleriol souhaitait n'être plus qu'une personne parmis d'autre, ne pas se faire remarquer. Mais cependant il ne put ne pas entendre les paroles des différents intervenants. Chaque question posée restait sans réponse, mais une retint particulièrement l'attention de l'elfe. Comment était rentrés les elfes et les hommes en livrée noir sans se faire repérer. Plusieurs réponses trottaient dans sa tête, mais une seule semblait plausible : les passages secrets. On aurait bien peu imaginer des entrées clandestines mais pour ne pas attirer l'attention il aurait fallu que les groupes soient dispersés, et vu le nombre d'ennemis, cela aurait pris plusieurs mois. Et puis ce troll... Impossible de cacher ce monstre dans une charette.
Les passages secrets... Peut-être par les Montagnes Blanches. Mais dans tous les cas ces passages devaient être sous-terrains.
Une histoire revint à l'esprit d'Eleriol. Une histoire racontée par un des anciens prisonniers. Une histoire de secte vouant un culte à la mort. Le combat final se serait déroulé près l'auberge. Et juste avant son départ, il avait entendu une explosion dont l'origine était restée inconnue.Et si tout était lié. Donnant une dernière gorgée d'eau à un blessé, l'elfe se leva et se dirigea vers le petit groupe qui s'était formée. profitant d'un silence, il prit la parole :

Je me nomme Eleriol. Je suis un elfe ayant une histoire... longue. J'ai combattu à vos côtés, vous n'avez rien à craindre. J'ai une réponse à vous proposer pour la question de l'entrée de tous ces hommes dans la Cité. La possibilté la plus probable semble être le passage secret. Celle de l'entrée clandestine est peu probable à cause de la présence du troll. J'ai ouï dire qu'une secte vouant un culte à la mort avait été écrasée dans une cave, près de l'auberge. Leur chef auriat disparu dans une crevasse obstruée par la suite par ses propres artifices. J'ai également entendu parler d'une explosion qui avait eu lieu dans ces environs. Le rapprochement n'avait pas été fait par celui qui m'a donné ces renseignements et je l'ai fait moi-même. Peut-être y a-t-il un rapport...

Puis se tournant vers celui qui n'avait prononcé que quelques mots depuis le début:

Il me semble que vous êtes architecte. Peut-être pourriez-vous nous renseigner...

Radamanthe salua Murdock d'un signe de la tête, pour se diriger vers le Roy et le Mage.
Il remarqua un homme s'étant adressé directement au souverain, mais ayant été écarté en ces moments. Il y a d'autres personnes qu'un Roy pour narrer les derniers événements. Pourtant, la supposition dont l'elfe lui avait parlée risquait elle d'avoir son importance.
Surtout avec cette étrange arrivée du domestique affolé.

Pourtant, elle perdit un peu de son tragique de par la crise de Morgoth.

*Ainsi, ces choses ne sont pas finies pour lui...*, pensa l'Intendant.
Il l'avait déjà vu dans un sinistre état, divaguant, alors qu'il était en campagne au Harad.
On aurait pu penser que vu son retour en Gondor, il eut été sauvé...

Mais l'attention se repporta alors vers l'intérieur du palais, encore davantage après que Mithrandir eut parlé de vol.
Car dans la salle ancienne du trône, aux figures des rois anciens sculptées, manquait un détail.
La bannière ancienne, à l'Arbre et aux sept étoiles, restaurée par Arwen Undomiel, celle-là avait disparu.
Et c'était un symbole d'espoir et de la grandeur du Roy qui avait disparu, et on ne savait ce qu'il en était advenu.

"Non..."

Les ennuis, eux, se précisaient vraiment.