3 résultats trouvés pour Cassandre

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Sujet: Dernier espoir
Gallen Mortensen

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Rechercher dans: Aldburg   Tag cassandre sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: Dernier espoir    Tag cassandre sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyJeu 15 Mar 2012 - 21:33
Du haut des remparts d'Aldburg, Eogam toisait le groupe qui demandait asile. Le colosse était silencieux. Ses yeux bleus tentaient de percer le rideau de neige.L'officier sentait le poids des regards de ses hommes.

car en contrebas, des légendes du Rohan demandaient son aide. Eogam ne comprenait plus rien,la maison du Roi était de retour après tant d'années d'absence.Pourquoi?

Toujours silencieux, Eogam remarqua Eoseld, son mentor, il admirait cet homme. Mais le géant remarqua comme u affaissement au niveau des épaules du légendaire guerrier; mais que se passait il doc sur les terres venteuses du Riddermark?

Il sentit u coup de coude d'un de ses lieutenants qui poursuivit d'un signe de tête: un jeune enfant.

Ainsi la rumeur disait vrai, Eoseld chevauchait avec un enfant. mais qui pouvait il bie être. Une poignée de survivants de la bataille perdue du gouffre arriva à son tour, ue vingtaine de cavaliers du Rohan, exsangues.

Eogam souffla , que faire??

Lorsque Martelong s'effondra. Cela était trop pour le compagnon du maréchal. Il devait aider des hommes d'honneur.

Ses ordres claquèrent. Eoseld et sa suite serait cantonnés dans l'aile est de la forteresse das les anciens appartements d'Eomer lui même. Eogam prit sur lui. Il en informerait personnellement Dame Farma.

Il s’apprêtait à quitter les remparts lorsqu'il vit surgir son écuyer Cassandre et Harding le rugueux guerrier. Il fut surpris.

Mais avat qu'ils aient pu dire u mot, il leurs ordonna

"Harding , Cassandre, je vous confie une nouvelle mission. Léaramn et Kurmo sont assez grands pour trouver ue simple espionne.Vous allez surveiller et interroger le seigneur Eoseld. Il est dans l'aile est. Il doit y rester"

Le to était clair et tranchant, mais il pointait ue note interrogative . Que faisaient donc ces deux rohirrims loin de le couche de Farma?

Lui révéleront ils le retour du maréchal ??

#Eoseld #Harding #Cassandre #Gallen
Sujet: Les réfugiés
Môrhïn

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Rechercher dans: Aldburg   Tag cassandre sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: Les réfugiés    Tag cassandre sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyMer 16 Nov 2011 - 16:04
Cassandre avait passé une détestable première partie de nuit. Outre la kyrielle d’ampoules constellant ses mains abimées par la remise en état de l’armure, les innombrables courbatures ankylosant des muscles dont elle n’avait jusque là aucunement conscience de leur présence dans ses membres, la fatigue de jouer un rôle et la dureté de ce lit pour son corps endolori, elle avait le douteux privilège d’assister à un concerto de ronflements issus de la chambrée adjacente. Il lui semblait tout bonnement inhumain d’être capable d’émettre un tel vacarme rien qu’en dormant. Le projectile d’un trébuchet aurait pu percuter les murs de la caserne qu’il n’en aurait pas couvert l’infernal boucan.

C’est l’oreiller en guise de bonnet de nuit, les yeux rougis par le manque de sommeil, la mine grise et une grimace au coin des lèvres, qu’Eogam aurait découvert son écuyer s’il s’était donné la peine d’entrer. Dans sa grande délicatesse, il se contenta de tambouriner violement la porte, si bien qu’elle tremblait sur ses gonds.


« Allez ! Debout Fainéant, équipes toi ! »

Cassandre sauta hors de son lit. En quelques secondes, elle avait enfilé sa tunique, son pourpoint réglementaire de cuir, son pantalon de toile. Elle ajusta le fourreau de son épée, glissa carquois, flèches et arc sur son épaule et sortit de la chambre en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Il était temps … Eogam déjà bardé de son armure rutilante – un astiquage en règle qui avait demandé à Cassandre pas loin de deux heures – ne l’attendit pas davantage.

#Cassandre

D’un pas précipité, ils arrivèrent  sur les fortifications, devant l’officier en charge, au beau milieu d’un capharnaüm. La voix du Capitaine surmontait avec peine le bordel ambiant, mais rapidement les choses rentrèrent dans un ordre relatif. De ce qui suivit, Cassandre n’en fut que l’insipide spectatrice jusqu’à ce qu’elle reçut l’ordre d’aller chercher la Dame des lieux.

Hop… demi-tour et au pas de course, elle s’engouffra dans les couloirs, dévalant les escaliers comme si un nazgul la pourchassait. Les appartements seigneuriaux apparurent rapidement devant son nez. Elle frappa à la porte une première fois, sachant par avance que les domestiques s’étant retirés pour le nuit, Dame Farma ne se réveillerait probablement pas à quelques coups discrets contre la porte de son boudoir. Elle frappa une seconde fois, plus énergiquement. Rien. Elle entreprit alors d’entrer dans l’antichambre de la Dame malgré l’interdiction de cette pièce, sans une invitation de la châtelaine. C’était après tout un cas de force majeure, doublé d’un ordre du Capitaine Eogam. Tout y était sombre et silencieux. Dans la pénombre légèrement éclairée par les lampes du couloir.


- Dame Farma … Dame Farma… réveillez vous ! C’est urgent ! – criait elle tout en frappant la porte de la chambre
Sujet: Aldburg se dévoile de plus en plus
Môrhïn

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Rechercher dans: Aldburg   Tag cassandre sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: Aldburg se dévoile de plus en plus    Tag cassandre sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyVen 9 Sep 2011 - 10:07


Cassandre soupira brièvement. La jeune femme croulait sous le poids conjugué du cuir rehaussé de métal de son armure, de la fatigue de cette première journée bien remplie, du stress occasionné par sa duperie et de son incapacité flagrante à tenir correctement cette maudite épée de bois. Ses épaules s’affaissaient à mesure que les remarques du maître d’escrime fusaient.

«  T’es la pour apprendre à te battre ou pour faire la cuisine ? Tu tiens cette arme comme un boucher son hachoir »
« Plus droit ! Les jambes plus souples ! On dirait un piquet ! »
« Pitoyable ! T’as autant d’force qu’une femmelette ! »
« Bon sang, où c’est qu’ils m’ont dégotté une lavette pareille ! »


Malgré ses déconvenues, ou peut être à cause d’elle, pour se prouver qu’elle en était capable, elle ne renonçait pas et restait positive tout en s’appliquant aux conseils du duelliste. Il la voulait plus souple ? Plus souple elle serait. Serrant durement son pommeau, elle releva son épée de bois et se plaça en garde relevée comme il le lui avait enseigné un peu plus tôt. Elle manquait certes de l’endurance nécessaire aux maniements des armes de contact, néanmoins elle faisait preuve d’un certain courage. Après tout les coups reçus et les hématomes qui ne manqueraient d’apparaitre dès le lendemain sur sa peau, elle continuait la leçon sans se plaindre. Sollicités à répétition, ses muscles bandés dans cette position peu confortable, la tiraillaient douloureusement. Elle hocha la tête, signe qu’elle se sentait prête à subir un nouvel assaut.

Avec une rapidité calculée, le maitre d’arme élança sa lame vers son épaule. Premier coup paré. Le choc retentit agréablement aux oreilles de Cassandre, qui pour la première fois de la journée, réussissait enfin l’exercice. D’un second geste fluide, dans la continuité de l’autre, il visa ses jambes.
Vllllaaaaaaan ! Elle la réceptionna de plein fouet sur sa cuisse.
Ses dents gravèrent une marque dans le galbe de sa lèvre pour retenir un petit cri de douleur.

« Mieux. Ce sera tout pour ce soir ! » conclut son mentor visiblement plus préoccupé par le remue-ménage à l’autre bout de la cour que de son élève du jour.

« Je me demande ce qu’est ce foutoir ! » ajouta-t-il comme pour lui alors que son regard pénétrant détaillait la scène.

A son tour Cassandre, fourbue et épuisée, leva ses yeux sur le curieux spectacle. Une rumeur commençait à enfler, et des bribes de voix leurs parvenaient pêle-mêle.

«  Aldenburg …. Fermer ses portes …..Doublement des rondes…. »

«  Je vais voir. Ramasse donc tout ça ! »


Le maitre d’armes lui tendit son épée de bois, et la laissa sur place tandis qu’il allait aux nouvelles. Un petit attroupement se formait à présent. La jeune fille se détourna et commença à rassembler les affaires. La rondache, et les fausses épées retrouvèrent leurs emplacements sur le présentoir d’entrainement.  Puis, elle désangla méticuleusement son plastron et l’ôta avec un indicible soulagement. Sa tunique à la livrée des écuyers était trempée de sueur. Elle sentait un savant mélange de foin, de cheval et de transpiration. Son petit nez se fronça. Un bain. Elle rêvait d’un bain chaud, aux fleurs de lavande, comme ceux qu’elle prenait auparavant dans la maison de son père. Pour enlever toute sa crasse, il lui faudrait aussi du savon... et beaucoup !

Elle n’eut guère davantage le temps d’approfondir ses désirs de bain ou de savon, que le maitre d’armes revenait. Il marmonnait entre ses dents d’un air tracassé.

« Elle a fait boucler la cité ! Bon sang ! Et les effectifs de garde. C’est mauvais, mauvais, mauvais tout ça ! » Ronchonnait-il dans sa barbe, puis avisant de la présence de Cassandre. « T’es encore là toi ? Parait que Capitaine Eogam vient de revenir. T’es son nouvel écuyer, non? Alors tu ferais bien d’aller le rejoindre »

La toilette attendrait, ses envies de coquetterie passaient après son devoir … et son devoir lui sommait de monter immédiatement se présenter à son supérieur. Cassandre avait entendu beaucoup de choses sur le cavalier, en bien parfois en mal, mais unanimement on reconnaissait sa valeur et son courage. La jeune femme espérait seulement être à la hauteur d’un homme aussi aguerri, aussi… impressionnant.
Timidement, elle frappa à la porte puis entra sans attendre de réponse, ce qui marqua une première erreur de savoir vivre. Visiblement le capitaine n’était pas seul.
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