Devant le Mal en personne.....pourtant un ami à sauver...

Sur le trône était assis l'Ombre du plus grand être du Mal ayant jamais foulé les terres d'Arda.

Autours de lui six Créatures Horriblement répugnantes, mais terriblement armé jusqu'a la pointe des pattes!
Des.....araignorques si on pouvait les nommé comme cela!

De deux flancs arrivait des gens Libre, d'un côté le groupe de Radamanthe, de l'autre celui de Alira!!!

L'Ombre entourait le Trône, si bien que l'on ne pouvait discerner quoi que se soit dessus...

HRP// Vous avez les Araignorque d'abord....et vous attendrez ma réponse pour Melkor!!!//HRp

Là, Eaque s'arrêta...

"C'est une plaisanterie, frère???

-Je ne crois pas..."

Le scribe connaissait les histoires des anciens temps. Nombre contes des ages passés, et jamais au grand jamais il n'avait entendu parlé d'araigné-orque...

Il était désarmé... Seulement la dague en mirthril offerte par son père... Et le bâton...

Ca pourra toujours servir...

Il se mit derrière la femme du magicien, pour la protéger, et surtout, se protéger...

Alors le groupe tout entier alla de l'avant, chargeant avec une rage qui tenait autant du véritable courage que d'un automatisme couard.

Radamanthe serrait sa solide hache et il avait l'impression que sa cotte de mithril sous sa tunique était plus froide que jamais sur sa peau. Il sentait la sueur sur son visage humide, crainte, épreuves... Il sentit son coeur battre à tout rompre dans sa poitrine. Ce n'était pas si mal. Au moins ainsi il était sûr que son coeur battait encore. Pour combien de temps ?
Amouth se retourna vers eux. Il n'était pas surpris que le fameux groupe d'attaquants puisse passer ses quelques serviteurs, mais il se serait attendu à autre chose qu'à de simples soldats gondoriens accompagnés de mercenaires et de civils. Alors ils pensaient que cela sera suffisait.

Il émit un sifflement de rage et un voile d'ombre se reforma autour de lui, sans toutefois cacher totalement a silhouette et son sinistre visage.

Attaquez !

C'était autant une provocation envers les gondoriens qu'un ordre pour les araignées qui se dressèrent d'un bon, fortes de leur nouvelle ascendance.

Meneldir avait senti son courage faiblir devant ces êtres qui ressemblaient tant au traitre qu'il avait autrefois combattu.

Qu'il avait autrefois connu comme un ami.

Mais aujourd'hui tout était différent, les apparences étaient souvent trompeuses mais il avait comprit à avoir foi en certaines personne.

Une foi qui sauve, la foi en la vérité.

Meneldir suivit en silence le groupe la hache sorti.Il se devait de combattre car il était venu pour ça.


Soudain, le mage parla et son cœur s'enflamma d'une haine envers le mal et toutes craintes furent dissipés.


Un mouvement général, un mouvement vers la liberté.


Le vieil homme se précipita la hache et avant et vint la planter sur une sorte de patte d'une créature inconnu mais il fut repoussé par celle ci et le mit à terre.

Vétéran des batailles, il se releva avec une vitesse eu ordinaire pour un homme de sa sorte.

Le professeur tomba. Il se releva...

Non mais... Il allait pas rester toute la bataille comme cela, a regarder... N'avait il pas servit dans la flotte???

Il analysa la situation... Une créature bizarre, qui a des pattes...

"On a qu'à les lui casser..."

Il s'avança... Un peu trop au goût de son frère qui le retint par l'épaule...

"Aucun soucis...."

Le mercenaire le lâcha.

Eaque s'avança avec son bâton... Comme les jeux quand on étaient gosse... Il fallait toucher le seaux d'eau qui chauffait dans la cuisine avec un bout de bois, pour gener la cuisinière...

Il devait la, tenter de toucher la tête pour étourdir l'araignée... Ou l'orque, il ne savait...

Le javelot partit, et toucha sa cible en plein but...

Sauf que ce n'était pas la bonne...

Le coup avait touché celle de derrière... L'araignée se tourna vers lui, et s'avança... Eaque ne savait que faire... Il était au moins un mettre en avant des autres gondorien...

Quand l'idée lui vient.

Il s'avança vers la chose, et, au dernier moment, lança son poignard dans les yeux de la créature. Il toucha la joue

Puis, faisant un pas de coté, et attrapant son bâton gisant au sol, il frappa de toutes ses forces sur la sorte de nuque de la bestiole, la tuant sur le coup...

Le scribe avait tué la première créature...

Enfin... Etait elle morte, ou seulement assommé; il n'eut pas le temps de le dire, une main le tirant en arrière...


"Arrête de faire le gamin, un de ces jours, tu vas y rester...."

Eaque fut surpris de voir la créature se relever....avec difficulté, mais se relever tout de même.
Une fois debout la chose se fit craquer la nuque, se retourna vers le scribe et ouvrit une gueule remplis de crocs acérés et de deux mendibules noires, gluantes, tranchante et surement empoisonnées!!!!!

La créature rammassa sa hache, plus grande qu'un enfant et plus large qu'un nain...Des morceaux d'armure étaient partit à cause du coup et de la chute...des points faibles!!!!!

Non loin, le magicien se retrouva en face d'une autre de ces choses, mais celle ci était bien plus massive que ces congénères!
Des Cestus et des lames de bras lui servait d'armement, et un Tengwar brillait d'une lueur violette sur le plastron de son armure complete.
(Les cestus sont des poignets avec un lame au bout, et les lame de bras sont des tranchants de forme circulaire attacher aux avant bras par des lanières.)
La créature montra ses crocs de la même facon que l'autre...mais de manière beaucoup plus éxagéré que l'autre, l'on avait l'impression que les dents sortaient de la gueule...ce n'était d'ailleur peu être pas qu'une impression!

La bestiole chargea le mage, les yeux dans les yeux, et ce dernier puvait ressentir qu'une chose n'allait pas....le Tengwar n'était pas là pour faire beau...Il sentait bien que sa magie ne lui serait d'aucun secours, et qu'en face c'était un combattant hors-pair qui lui foncait dessus!!!

Des araignées géantes ou pas était tout autours et attaquaient les soldats...

Erco allait engagé le combat avec l'araignorque quand plusieurs araignés géante l'assairent. Erco frappa tout en évitant un dard mortel.

-Maudit soit ses araignés. cria Erco.

Il en tua une d'un coup rapide, et se débarassa de deux autres assez rapidement avec l'aide d'Alka qui repartit après avoir aidé som maître. Erco s'approchait de la créature, d'un pas lent, tout son esprit était consentré sur son adversaire, Erco vit tout de suite que s'était un adversaire puissant, et qu'il ne pourrait pas jouer au plus fort avec. Erco chercha le point faible de son armure, mais il n'en vit aucune.

"il faudra donc que je crée moi-même la faille." pensa Erco

Erco engagea la combat, et tenda une attaque d'estoc, elle fut paré. L'araignorque contre-attaqua, Erco failli y laisser la peau, après plusieurs échange diverse, Erco parvint à blessé son adversaire au bras droite. Il enchaina plusieurs bottes qu'il avait apprit qui jeta son adversair à terre.
Erco sourit et baissa légèrement la garde, étant sur qu'il l'avait terrassé, mais l'araignorque d'un mouvement de jambe se propulsa dans les aire. Erco le vit lui arrivé dessus, d'un mouvement déséspérer, Erco décrivit avec sa lame un arc de cerle au-dessus de sa tête. la lame coupa net la tête et les deux mains de l'araignorque.
Erco fut aspérgé de sang noir. Puis il sentit un choc et fut jeté à terre sous le poid de l'araignorque.

Erco se dégagea tant bien que mal, une fois dégagé, Erco s'éloigna du lieu d'affrontement espérant un peu de calme...

Il fit tourner son baton dans sa main...

Il ne devrait pas rater son coup cette fois ci.

Il regarda son frère :

« On y va à deux ?

-J’allais te le proposer… »

L’un alla vers la droite, l’autre vers la gauche. Eaque roula sur lui même, et se stabilisa avec sa main blessée. Une grimace passa sur son visage.

Il ramassa son poignard de sa main bandé, et de la main valide tint le monstre à distance. Son frère s’était glissé par derrière, en tuant au passage deux grosse araignées.

Le mercenaire planta sa dague dans le dos du monstre, et Eaque en profita.

Il mit sa dague dans la gueule de son ennemi,, se recula et poussa ceele ci de toutes ses forces a l’aide de son bâton…

Le monstre s’écroula…

Mais se releva, hurlant à la mort, gigotant et se débattant à la manière des araignées bléssé, il fonca sur Eaque le plaquant contre un mur l'assomant du même coup quelques secondes, Eaque lui vit son frêre en péril et décapita la créature.
Le corps continuait de bouger au sol...puis se calma...n'ayant que quelques spasmes de temps à autre...

Un souffle parcouru les caves, un souffle à geler le sang, et raidir l'échine, une voix....presque une voix....non pas presque, c'était une voix!!!!!

-Tuez les!!!!!

Une voix indescriptiblement mauvaise, sortit du néant même, Au fur et à mesure que les araignées mourraient et que déjà deux araignorques étaient morts, on pouvait voir des brumes noirs en sortir et filées vers le trône d'ombre...

Mithrandir lui était toujours face à la créature!!! (Voir mon post prescedent)

Eaquem se releva. Le choc de la créature l’avait projeté à terre.
Mais ils l’avaient tué.
Le sang noir de la bête coagulait déjà sur ses vêtements, dégageant une odeur nauséabonde.
Il restait encore plusieurs araignorques, et le combat fesait rage…

C’est alors que la voix se fit entendre…
Non, il ne se laisserait pas tuer .
Il se rapprocha de son frère, qui combattait déjà contre un autre monstre.
Sa fougue égalait son imprudence, car il faillit maintes fois mourir sous les yeux d’Eaquem.
Leur but était de pouvoir se glisser derrière la créature, et d’attaquer un point faible apparent.
C’était des lanières de cuir, grossières, qui servaient à retenir l’armure.
Eaquem l’avait remarqué lorsqu’il avait poignardé l’autre araignorque dans le dos.

Il fit signe à son frère, et Eaque comprit.
Il fit diversion en fauchant les pattes du guerrier….
Sans que cela est d’effet ! Le monstre était toujours campé de plus belle sur ses pattes.
Mais il se mit à s’interesser plus à Eaque, ce dont Eaquem profita.

Il prit son élan, retint son souffle, et bondit sur l’araignorque, s’appuyant sur l’épaule de celle-ci afin de passer dans son dos.
Mais elle réagit…

Les trois chevaliers se précipitèrent en avant épées tirées.

Les lames tapèrent rapidement dans la chair de certains car ce n'étaient pas de simples soldats mais des vétérans des batailles.

Gebir planta sa lance en un coup en pleine tête d'une créature étrange mais il fut tout de suite attaqué par des araignées d'une taille plus grande que celles qu'il avait rencontré dans le tunnel.

Quand on l'avait formé avec les autres guerriers, on lui avaient appris à combattre des orcs, des hommes, des trolls.

Il était terrifié mais il devait survivre pour se venger.

La vengeance n'était pas justice mais il présenterait quand même le traitre devant le roi.



Chargez, la pitié est un mot que je ne connais plus aujourd'hui.

Gebir fonça vers un tunnel et commença à contenir peu à peu les araignées quand il fut rejoins par Ajax.

Enfin, les autres allaient pouvoir s'occuper de Morghot

A mesure que la troupe s'était enfoncé au coeur des ténèbres, la marque sur la joue du mercenaire n'avait cessée de s'agrandir, et elle couvrait alors presque toute sa joue. Balak n'en avait aucunement conscience, mais au contraire, il se sentait étrangement plus serein qu'à l'ordinaire. Devant les araignorques, il n'eut même pas à se concentrer pour saisir l'Instant, l'état de grâce s'étant imposé à son corps avant même que l'esprit ne le lui dicte. Il saississait chaque chose aussi bien, si ce n'est mieux qu'à l'ordianire, et ressentait comme une chaleur bienfaisante l'inondant de l'interieur.

Lorsqu'une des aberrations se préicipita sur lui, Balak ne broncha pas. Lorsque l'une des pattes fendit l'air à la vitesse d'un javelot, il n'y eut toujours aucun mouvement. Si cet être était doué de conscience, sans doute serait-il déçu par un si piètre adversaire. Puis, à l'instant fatidique où l'arme biologique du monstre devait percuter le plexus de l'humain, l'entité maléfique ne put interompre la course de son attaque, car elle n'avait rencontré aucun obstacle. Pas de corps meurtri, pas de chair mise à vif. L'animal, où quelques que puisse être son qualificatif, était rapide, aussi eut-il le temps de tourner son ignoble tête pour apercevoir un éclat d'un blanc immaculé s'approcher à grande vitesse. Telle fut la dernière vision de l'abomination, avant que la double-lame ne sectionne son crâne en deux.
Le mercenaire l'avait trouvé, ce moment précis, cette fraction de seconde où l'adversaire est en position de faiblesse, et où il peux frapper sans crainte ni contrainte. Presque sans s'en rendre compte, Balak avait saisi l'Instant à la perfection, comme lors de la dernière bataille face aux suderons, peut-être même mieux. Mais lors de ce dernier affrontement, le Mal n'était pas si proche...

L'araignorque commença à se lever, se tenant juste sur les pattes arrières...

Eaquem était déstabilisé.

Une araignée se jeta sur Eaque, qui dut arrêter d'essayer d'aider son frère. Il lui donna un gros coup de baton dans le dos, et celle-ci se recula.

Le scribe se retourna. Son frère était comme à cheval, mais le cheval s'emballait. Eaque ramassa une épée. Il regarda la garde. Une lame venant d'un marin: Un navire était représenté sur le pommeau.

"Eaquem!, cria-t-il, retourne la."

Le mercenaire planta sa dague dans le coté droit du cou de la bête. Celle-ci fit face à Eaque. Le deuxième coup de dague du mercenaire fit se lever les pattes de l'araignorque.

Eaque en profita pour envoyer son bâton dans l'abdomen. Puis le scribe envoya son épée dans le coup de la créature...

Le cri strident s'arrêta dans la gorge du monstre...

Eaquem put descendre tranquillement...

Je vis l'affeuse créture s'elancer vers moi, une grand force de volonté s'opposait à toute forme de magie de ma part, je n'était aps assez puissant et quelques petites flammes n'auraient pas fait grand mal à cette hideuse chose qui chargeait. J'étais immobiles et la regardait, elle se teniat devant moi et j'étais étrangement immobile, puis alors qu'elle abattait ses nombreuses pattes sur moi, je roulais sur le côté et ma Lame étincella...

"Meurt ! Pour Le Gondor, Pour les Peuples Libres et pour les Valars !"

Je chargeais alors, le feu dans le regard, la magie était inutile en ce moment, je parait les coups du monstre et ripostait avec rapidité et agilité... Peut-être Balak comprendrait-il alors ce que pourrais être son don s'il était travaillé... Je ne faisait qu'un avec ma lame, et ensemble nous bougions nous frayant un chemin entre les nombreuses pattes ennemies, frappant, tailladant.
Mais elle ne flanchait pas...
Alors je sortis de ma poche la Pierre qui envoya son éclat froid et blanc dans les yeux du monstre... Je me demandais encore ce qu'était cette nouvelle engence...
Elle recula face à tant de lumière et j'enfonçais alors avec dextérité ma lame dans le "torse" de l'orque qui composait la créature, puis je lui tranchait la tête répandant une longue trainée noirâtre de sang sur la paroi de l'antre...

Le combat reprit avec d'autres et Milindë me rejoint, dos à dos nous entamions une macabre danse, tailladant, tranchant et répandant du sang noir autour de nous.

//Désolé, j'avais oublié de mettre surveiller le sujet...//

Plus qu'une....une araignorque!!! De l'autre côter tous purent voir Mélanie Garsfeld, Alira et Hasharin...
Le trône d'ombre commancé à perdre cette aura d'ombre, qui ce répandait à la place au sol, comme un miasme...délétère au possible!!!
Se miasme semblait vouloir attrapé tout ceux qu'il touchait...

Les araignées arrètèrent d'attaquer et l'araignorque en fit de même, tous ils reculèrent et laissèrent le trône libre aux intrus, ce trône, placer au milieu de la salle, colonne d'ombre parmis les ténèbres!!
La voix reprit au fur et à mesure que l'ombre desendait au sol, mais la voix était celle de Morgoth :

- Vous...savez, je suis ici pour nuir à tous ceux qui voudrait s'interposer à moi...vous êtes, Apparement, de ceux là! Je vais donc malheureusement devoir vous...

La voix changea alors du tout au tout, ce fut la derniere fois que certains soldats l'entendaient, car certain furent pris de crise cardiaques ou d'attaques cérébral à ce moment :

- ...ANNIHILEEEEEEEEER!!!!!!!!!!!!!!!

L'ombre s'était alors aller au sol, sur un mètre de haut les soldats des gens libres était embourbé dans cette ombre sans pourtant qu'elle ne gène les mouvements.
Mithrandir essaya de chasser cette ombre avec la pierre, mais en vain.

- Hahahahaha, pauvre petit mage...je te plaint d'être revenu comme cela à la vie!!!

Le mage sentait bien que ses connaissances affluaient vers Melkor...il lisait dans les pensés, dans l'ésprit...Omniscient, Omnipotent!!!

Alors il se leva du trône, noir était son armure, noir était ses yeux, d'albâtre sa peau, rouge son épée appuiée contre le trône, et sombre son rire dément!!!

Il disparus, puis réaparu derrier le mage, qui pu sentir une langue d'ombre lui sussurer à l'oreille des doux mots et des images de mort et de déséspoir!
Mais un autre apparus derriere chacun des gens libres dans la salle, et montra des choses de même genre :
Alira ne trouverai jamais le bonheur temps révé et attendu, Radamanthe ne reverrai jamais sa soeur dont il vit la mort par des créature de Melkor, Eaque et son frêre ne se reverraient plus jamais...

Le mal se répandait partout dans les coeurs et les âmes...
Mithrandir voulu résister, mais se sentit bruler spirituellement, toute lumière n'était plus, et l'éspoir n'éxistait plus...Une chose pire que la mot attendait les Gens Libres, mais... tout le monde purent voir une jeune femme elfe, habiller de vert foncé et de noir, courir vers Melkor et s'interposer face à lui au centre de la salle et hurler:

- Silindë!!!!! Revient....je sais que tu est là, quelque part....

Melkor la regarda et approcha son visage d'elle, il devait faire au moins une tête de plus qu'elle, ses yeux noirs....si proche...des siens, mais une voix s'interposa, celle de Silindë :

- Mèèèère....je vous en supplie!!!! Aideeeeez mooooiiiiiii!!!!!

Elle s'effondra en larme face à lui, mais Melkor ria, sadiquement il avait pris la voix du fils de.....
Alira venait de remarquer quelque chose dans son chagrin immense des images qui venait d'être balancer dans sa tête...Mélanie n'était plus là!!!!
A la place son manteau et ses armes...puis elle fit la référence entre le jeune elfe et Mélanie, d'ailleur tout le monde n'avait pas fait attention, mais avait recconu Mélanie...
Oui le Fils de Mélanie...mais il dit avec sa vrai voix aprés le rire dune démence incommensurable :

- Ma petite Géliwean!! Ton fils n'est plus!!!!

Mais Elle se releva un rictus de haine sur le visage, les poings crisper de colère elle dit :

- Mon fils est toujours là, Bauglir!!!!!! Dans une pierre...

Elle lui cracha au visage. Le visage de Melkor n'était plus joyeusement sadique du tout, cette fois ci il devint haineux, plus que jamais.
Il la pris par le cou sans la toucher, seulement avec des liguaments d'ombre, tous virent les pied de l'elfe se soulever du sol battant les airs, les mains crispées sur des ombres accrochées à son cou, de gémissement étouffées voulant sortirent de sa bouche grande ouverte...
Quand le Maître relacha l'emprise...elle tomba au sol, inerte, froides, dans les ténèbres, personne n'entendit de bruit de chute, peut être étouffé par l'ombre oppréssante et opaque.
Mais un être de lumière apparut face à Melkor et dit d'une voix mystique :

-...Toi...tu va payer de ton âme de déchu!!! D'avoir tué ma mère...pris l'âme de mon frêre...tu ne mérite même plus d'être nommé, Melkor, je te maudit pour la troisième fois dans ta vie, aprés les deux malédiction engencé par CuruFinwë dit Faënor ou Feanoro, Tu ne sera même plus appeler Morgoth!!! Plus aucun mots ne te désignera!!!! Le nom de Morgoth ne sera q'une façon de représenté une chose sans nom!!!!.....
**Alira prend l'épée et sauve ton amour...............**

Chrystamas rougoieyait sur le rebord du trône...n'attandant qu'une chose...

HRP// Personne ne répond sauf Alira!!!!!!!!!!//HRP

Alira resta figée, perdue. La terreur, le désespoir et la confusion se mélaient en elle. Comment ? Pourquoi ? Qui ? Elle ne se rendait même plus compte où elle était ; des gens qui l'entouraient, s'il y en avait déjà. Ses souvenirs refluant en elle comme un torrent noir et inévitable...
La mort de ses parents, la solitude, la peur, la rencontre avec Milindë et les autres, Silindë et la nouvelle de leur mort ; les images s'enchainaient dans son esprit à une vitesse fulgurante suivient des émotions qu'elle avait ressenti à ces instants.

Tout cela ne dura qu'un instant, pourtant cet instant lui avait semblé une éternité, malgrès qu'elle restait terriblement confuse...

**Alira prend l'épée et sauve ton amour...............**

Amour...de quoi parlait-il ? Silindë ? Non c'était impossible... Et qui était cet homme qui parlait ? Et cette femme ? Mélanie ? Mais pourtant elle était juste à côté d'elle il y a un instant...
Son regard se posa sur l'épée, posée sur le trône, elle rougeoyait derrière Morgoth. L'elfe noire ne sembla même pas se rendre compte de ce qu'elle faisait, comme emportée par une force qu'elle ne contrôlait pas, elle passa à une vitesse qui lui semblait incroyablement lent alors qu'en réalité ses gestes furent vif. Chrystamas dans sa main elle la leva pour l'abaisser brusquement, la lame s'enfonçant dans le corps de l'ancien Valar... Ce dernier la regardait stupéfait et... paniqué.

-Mais... qu'as-tu fais ???!!!

//On m'a donné des ordres donc seul Mith ou Morgoth peuvent répondre, désolé pour les autres//

L'ombre s'était étendu, et peu à peu le courage et l'absence de crainte disparurent. La lumière fut obstruée et masquée par l'ombre noire du desespoir... Il avait raison je n'étais qu'un petit Mage et je le savais, cependant jamais je n'avais ressenti telle faiblesse. Aucune chaleur ne se dégageait de moi, aucun reconfort en sentant mes pouvoirs prêt à me protéger, nous étions fichus, la seule consolation, c'était que cette histoire serait digne d'être chantée... Mais alors que tout semblait perdu et que le doute s'installait en chacun une blanche forme avait couru vers Morgoth qui habitait le corps de Silindë. Sa lumière éblouissait d'autant plus que les ombres régnaient. Cette lumière avait l'effet d'une douche froide et je ressenti à nouveau en moi un semblant d'espoir, un espoir intuitif. Mais nous étions loin d'avoir gagné, nous étions en situaton critique...
Les membres de l'autre groupe étaient là aussi, mais je n'en avait pas conscience. Milindë et moi nous tenions la main devant la scène, implorant les Valars de nous aider... Puis une autre forme blanche se matérialisa... Cela devait être la forme la plus pur de Silindë. Il dit alors des mots qui resonnèrent à mes oreilles à Alira et celle-ci sembla s'élancer, comme si elle volait, gracieuse malgré la situation desespérée...Et elle frappa.

L'air bourdonna et moi et ma femme nous figeâmes, comme dans l'attente eternel d'un moment rêvé. Le temps semblait avoir suspendu son court.

//Morgoth va poster le final//

C'était une impression incroyable, incomparable. Il devait être fou, à coup sûr, totalement inconscient. Pourquoi était-il venu ? Pauvre idiot qu'il était, il ne savait pas à quoi il s'exposait. Comment résister au plus terrible Ennemi jamais vu sur ce monde ?
C'était impossible, ces terres ne valaient pas la peine de mourrir ainsi, il n'y avait qu'une chose à faire, fuir, et il avait avancé, vers cette souffrance qui ne pouvait être combattue, qui semblait éternelle. Pauvre fou...

Mais non. L'attention du Seigneur des Ténèbres s'était détournée vers quelque chose de plus impressionnant, de plus incompréhensible.

Et cette chose ne les concernait pas, car ils ne pourraient avoir quelqu'influence.
Mais ils avaient d'autres préocupations. L'autre ombre avait disparu mais des serviteurs chauves étaient venu, et les péripéties de Melkor semblaient avoir décuplé leur rage. Et tous les alliés du Bien fragilisés psychologiquement, et certains se faisaient brutaliser sans même qu'ils en soient consicent.
C'était maintenant leur bataille.

[Afin de ne pas réserver le post à seulement quelques gens.]

Gebir rugit devant les choses qui se passait devant ses yeux et qui le rendait ébahi.

Il ne comprenait pas ce qu'il se passait.

Il vit la femme présente à la réunion passer avec une célérité inégalable et tué l'homme en armure noire.

Un flot d'hommes chauves arriva par le tunnel que gardaient les trois chevaliers de Berund.


Le guerrier battit en retraite en évitant les coups de deux hommes car il en feinta un et déchira d'un coup d'épée le bras de l'autre.

L'estropié ne sentit même pas la douleur et inscrivit un profonde coupure sur la joue gauche de Gebir.
Ni une ni deux, il trancha la tête de son adversaire et se précipita vers son second qui avait choisi une autre cible plus facile.

Il sortit un poignard de l'une de ses bottes cavalières et transperça d'un lancer la nuque de celui ci.


Il retira son étendart et monta sur un amas de corps pour tapper du plus fort que sa lance pouvait lui permettre.


Vous ne survivrez pas.

Erco sentait le fatique monté en lui, il ne devait pas abandonner maintenant se serait trop bête. Maintenant Erco pensait qu'a survir, donc tuer, ses coup était rapide mais pas précie, mais il s'enfichait. Il frappait au hasard coupant un peu n'importe quoi. Il entendait des cris d'agonies, d'horreurs, de douleurs, certaines même imploraient un salut mais il ne l'auront jamais car les créatures qu'ils combattent ne connaisse pas la pitié mais seulement le mal. Erco sentit une brulure, puis une senssation de froid. Une lame!!!

Erco frappa du coté de la ouleur puis entendu
un cris étouffé par le vacarme du combat.

Erco sentit un choc contre son torse, il bascula et vit une forme flou au-dessus de lui et il entendit

-Tu vas mourir.

Erco sentait que sa volonté de vivre l'abandonnait, il se revit enfant, dans la plaine du Rohan, chevauchant son cheval, les cheveux volant au vent. Il se revit tirant pour la première fois à l'arc.

La créature se préparait à tué Erco quand...

Il se souvint des dernières paroles de son père: N'abandonne jamais
Erco rouvrit les yeux et vit une chose qui déscendait vers lui. D'un élan désespéré, il plia frappa de tout ses forces son adversaire, qui partit en arrière sous le coup de l'attaque. Erco pensa: qui vivra verra et je veux voir la fin de cet enfer, même si dans son esprit c'était bien clair qu'il ne survivrait pas.

Rassemblant ses dernière et unique force restant, il se releva et chargea l'ennemis le plus proche. maintenant il ne combattait plus pour vivre mais pour tuer.

Un homme blessé, fatigué est plus dangereux qu'un homme en parfait santé et en plein forme, car il n'a plus rien n'a perdre.

/ HRP: T'as raison Erko... Vive les blessés, ils sont encore plus fort que les indemnes...//HRP


Eaque courut vers le tunnel... On devait aider ces chevaliers de Dor-Lomin.

"Eaquem, par ici..."

Le mercenaire fit un signe de tête comme quoi il acquiesçait.

Le scribe le remercia d'un autre signe de tête.

Le premier chauve qu'Eaque vit de près tenta de lui enfoncer une lame dans l'épaule. L'homme de Radamante se décalaàa droite, espérant qu'Eaquem le couvrait...

Eaquem avait répondu au signale de son frère jumeau.
Il se précipitait vers l’entrée vers le tunnel, à quelques mètres à peine derrière Eaque. Le sol était imbibé du sang des morts, et mainte fois il failli glisser.
Les hurlements du combat qui avait lieu dans le sombre tunnel lui avait donné une poussée d’adrénaline, améliorant sa rapidité et sa perspective du combat.

L’air était lourd de poussière et de l’odeur de sueur.
Malgré la nuit fraîche, on suffoquait.
Le mercenaire vit l’adversaire de son frère tenté de porter un coup….
Esquivé.

Instinctivement, Eaquem sortit un couteau de lancé, qu’il avait gardé contre sa poitrine.
L’entraînement allait servir.
Le couteau fendit l’air dans un bruit strident, et vint transpercer la hanche de l’homme chauve, qui s’affala contre la paroi du tunnel, ne ressentant pas la douleur, mais gêné par la blessure pour combattre.

Eaquem arriva aux côtés de son frère.

Le scribe vit le mercenaire à sa droite.

"Merci, ange gardien..."

Eaquem sorti un dague et arracha la jugulaire de son ennemi en planta sa dague dans son cou.

Le chauve tomba, se noyant et suffoquant dans son sang...

Un des chauves tua un soldat du gondor, et en précipita un autre dans un couloir perpendiculaire au tunnel.

Eaque et Eaquem se précipitèrent sur lui, et ce dernier s'enfui...

Les deux frère comprirent quand ils virent, au bout de 10 mètres, le chemin se séparer en deux...

"Prend à droite Eaquem..."

//Hrp Eaque mon nom est Erco de plus un homme qui sait qu'il va mourir n'a rien un perdre tandit qu'un homme qui sait qu'il va survir à tout à perdre, c'était sa ce que je voulait dire //Hrp

Erco se sentait sa mort arrivé mais il refusait de s'y laissé entrainné, il tenait à sa vie aussi mauvaise soit-elle. Il frappa un ennemis qui s'éffondra sous le coup. Erco replongea dans ses pensés. Et revoiait tout les bon moment qu'il a vécu.

Il para un coup contre attaqua, son coup fut arrété net par une lame. Erco tenta un coup d'estoc, puis il enchaina avec une attaque circulaire, ses deux attaques furent parées avec assez de aisance. Trop au goût d'Erco. Il dut se reprendre à plusieurs fois pour parvenir à tuer son adversaire. Il avait un goût de sang dans la bouche. Erco se retira légérement du combat pour reprendre son souffle un un peu de force. Dos contre une parois de la grotte, il observa le combat mais très vite un ennemsi vint lui tenir compagnie...