Quand l'acier mord nos chairs

Notre armée s'est arrêtée, juste devant celle ennemie. Il est midi, et le soleil est au rendez-vous, le ciel est bleu et les oiseaux survolent les champs du Pelennor, conscients que le sang y coulera. Ces charognards n'en demandant pas tant et nous guettent avec des yeux avides.
Sur la plaine, un silence de mort. Personne n'ose parler, ni même murmurer quelque chose pour lui même, on se contente d'observer les autres, d'essayer de chercher une marque de réconfort. Nul doute que la bataille durera plusieurs jours et plusieurs nuits. Les mauvais hommes, quant à eux, nous fixent avec leurs yeux noirs charbon, comme des chats prêts à nous lacérer avec leurs griffes acérées. Un grand basané, du premier rang, nous nargue en souriant, et en nous dévoilant une langue d'un rouge sang.
Toujours aucun bruit. Une aura de panique passe dans les rangs de notre armée et certaines soldats frissonent. Une légère brise se lève, et quelques épées sont sorties de leur fourreau. Elles luisent sous le soleil et scintillent gaiement.

"Que Manwë nous garde" pensé-je pour moi-même.

La brise ambiante mordait les chairs nues de l'ecuyer , il revetait bien sur une armure en fer intégrale , mais il n'avait pas les moyens de ce payer des gants.
Il était en deuxième ligne , juste dériere le cortege royale.
Eosfel murmura quelques mots au chef du régiment de lanciers , et l'ecuyer s'élança en avant vers le cortège du Roy.

La tension était presque palpable , chacun ce tester , pret a en découdre.
L'homme remarqua une silouhette familière qui tenait une grande bannière brodé d'un arbre blanc.
Avec quelques foulée , il arriva a côté du porteur et lui susura quelques mots a l'oreille.

_Que votre coeur soit grand et pur , vous qui portez l'espoir des hommes dans vos mains.

Puis , continuant sa ronde , il arriva a côté de Radamanthe , avec un sourrire narquois il observa le grand bourreau.

_Je vous avez dit qu'on ce reverrait...

D’un calme déconcertant les mercenaires n’attiraient pas grande attention, quatre parmi des milliers d’hommes. Eux même semblaient totalement différents de leurs congénères, totalement absents de la bataille. Seule leur présence dans les rangs de l’infanterie rappelait qu’ils n’étaient pas de simples spectateurs…
Pendant la marche, les trois officiers des griffes d’Ammoth s'étaient échangés leurs directives par un langage de signe leur étant propre, au grand dam d’Yrian, nouveau depuis peu dans la ligue qui n’avait pas encore été briefé quand aux secrets de cette manière de communication.

Plusieurs rangs barraient leur vision du front, mais nul n’avait hésité à s’arrêter quand ceux d’en face l’avaient fait. Sentier, de sa grande taille observa la disposition de leur armée et celle de l’ennemi. Les yeux froncés, il sembla juger en même temps la valeur du déploiement de chacun par son regard de faucon. Une fois son étude terminée, il se tourna vers ses camarades et continua de parler par signes. Puis, le géant se tourna vers Yrian, l’invitant à les suivre d’un signe de la main clairement reconnaissable.

Le groupe se faufila entre les rangs, manœuvrant en arc de cercle jusqu’à arriver au flanc de l’armée. Entre temps, Sentier s’arrêtait pour réactualiser ses informations sur le déploiement. Bien qu’aucune parole n’ait été énoncée, Yrian semblait reconnaître là une attitude de prédateur de la part de ses camarades… La silhouette basse, les jambes légèrement fléchis, les quatre mercenaires rappelaient les félins se servant du couvert des hautes herbes pour se rapprocher de leur proie, à cela près que la flore ici fut les rangs compactes de guerriers du Gondor. Après avoir traversé l’intégralité de l’armée, les mercenaires furent confrontés à une large zone de terrain libre sur lequel les armées allaient devoir se servir pour déborder les flancs adverses. Les mercenaires tournèrent leur dos aux ennemis et longèrent la colonne face au regard interloqués des soldats qu’ils croisèrent. Finalement, Silence ordonna une halte et le groupe se retourna à nouveau vers le front, désormais si loin qu’il était difficile d’identifier un de leur ennemis en détails. Cette distance parut satisfaire à Silence. Puis d’un signe de la main, lui et ses camarades adoptèrent une position allongé au sol et bien qu’Yrian n’eut pas compris le geste, il ordonna par reflexe la même position. Les mercenaires rampèrent dans la poussière pendant un certain temps avec une habilitée peu commune qui força l’admiration, par plusieurs reprises les officiers durent s’arrêter pour laisser le temps à Yrian de les rattrapés. A force de persévérance, le groupe de mercenaires finit par trouver du couvert dans une petite zone boisé. Là ils se relevèrent et Sentier se remit à observer les alentours. Douleur et Silence dégainèrent leurs armes respectives.

- Nous sommes assez éloignés, peu être même trop, la plaine porte bien son nom… Il y a peu de couverts. Il y a un courant d’eau un peu plus bas qui va en direction de l’armée adverse, à mon avis une partie de leurs troupes doivent baignés dedans… A moins qu’ils s’en soient servis comme ralentisseur naturelle afin de couvrir leurs fortifications. Cette partie du terrain semble la plus abordable car il y a de nombreux rochés tout le long… Il y a peu d’élévations si ce n’est les collines mais elles seront rapidement envahies par les tireurs adverses, un gène de plus… Ca promet du défi…

Après le rapport de Sentier, Silence sortit plusieurs foulards et en offrit un à chacun. Puis il donna l’ordre à chacun de jeter leur habits au sol et de le piétiner afin qu’il prenne la couleur de la poussière. Chacun peaufina son apparat à sa manière, cachant au maximum ses attributs sous leurs habits qu’ils remirent sur leurs épaules une fois le camouflage effectif.

- Hâtons nous, nous avons déjà perdu trop de temps en déplacement avec le nouveau… Il faudra rattraper le temps perdu à la course. Mouvements croisses, pointe des pieds, armes au clair. On y va.

Sans attendre plus longtemps, Silence s’élança, rapidement suivit par Sentier et Douleur. Le ruisseau n’était pas loin, ils n’avaient qu’à espérer que leur attitude et camouflage ne les trahissent pas car les flancs avaient souvent leurs failles mais aussi leurs guetteurs…

Yrian avançait avec le groupe, il faisait de son mieux pour imiter les trois autres mercenaires plus expérimentés que lui. Courant vers les rochers légèrement en retrait du groupe, il paraissait aux yeux des autres comme peu apte à la guerre et sûrement inexpérimenté mais il n’en était rien, à l’instant il étudiait le terrain évaluant les couverts et il se félicitait d’avoir choisi les griffes d’Ammoth.

Arriver à un rocher le groupe se stoppa, Yrian arriva à leurs côtés et attendait les directives.

Un rictus apparut sur le visage de Radamanthe.

-N'oubliez qu'il aurait été aussi bien possible que je m'arrange pour qu'on ne te revoie plus ,écuyer Eosfel.
Nous devrons nous revoir après la bataille...enfin...peut-être que ce ne sera pas possible...

Radamanthe eut un petit rire sinistre.

Il faisait passer nonchalement sa hache d'un main à l'autre.

Dans son métier , il fallait savoir maîtriser ses nerfs. Il s'efforçait alors de garder son calme ,attendant que les choses sérieuses commencent.

Vérifiant encore les positions... le général, en passant près du Roi, lui dit :

Il ne reste plus qu'à attendre, si c'est nous qui attaquons, la défaite serait inévitable... cependant je n'ai pas notre emplacement dans les Champs... nous sommes trop à découvert...

Après avori fait un signe de la tête au Roi, le général continua à vérifier la ligne de soldats...

Tel des débris tirés par le courant, le groupe de mercenaires adaptèrent leur rythme de marche aux objets flottants à la surface de l’eau, réduisant considérablement leur présence. Silence et Sentier étaient d’un coter du ruisseau tandis qu’Yrian était avec Douleur. Progressant à pas de loups, s’arrêtant de manière irrégulière pour se coller aux rochers et se fondre parmi eux en cas d’observation. La ligne ennemie commençait à se redessiner devant eux et la tension monta d’un cran à chacun de leurs pas.

Des bruits suspects alertèrent soudainement le groupe qui fit une halte immédiate, Douleur étant la première à réagir, fléchissant les jambes et collant son ventre au sol, adoptant une posture similaire à la forme d’une pierre.
Des bribes de conversation provenant d’un peu plus bas permit d’identifier la présence de la première ligne de vigiles et bien heureusement, dut au ton naturelle adopté, confirmant leur efficace approche jusqu’ici.
Les mercenaires se concrétèrent, malgré la distance, usant de leur langage de signes. Après un court instant de ‘débat’, Douleur fit signe à Yrian de se rapprocher, juste assez pour qu’il puisse l’entendre sans que cela ne les mettes en péril.

- Il y a deux hommes devant. Ils vont s’en charger. Toi et moi on les couvre et on garde l’œil ouvert. On range nos armes pour l’instant. Si tu as des armes de jets, sert toi en si le besoin ce fait ressentir… Reste surtout vigilant, au moindre bruit suspect donne moi une petite tape sur l’épaule ou gesticule ton poing fermé en signe de ‘Z’.

Pendant qu’elle s’efforçait d’expliquer les directives à voix basse, Sentier et Silence s’étaient rapprochés de leurs cibles. C’était deux mauvais hommes qui, visiblement décontractés, parlant sans gène à voix haute d’un sujet inconnu dut à leur langue étrangère. Ils étaient armés de lances et tournaient le dos au ruisseau, observant le champ de bataille à venir, pointant par moment les régiments de nains en gloussant.
Mais leurs rires furent rapidement échangés contre des gémissements.
Sentier venait de donner un coup de coude dans les reins de sa proie qui se contracta immédiatement sous la douleur, ce mouvement bien que naturelle facilita la prise qui suivit : le géant agrippa la lance don le soldat ne lâcha pourtant pas prise et tira en sa direction, croissant donc l’arme sur le buste de la victime tandis qu’il s’écroulait en arrière malgré lui. Une fois renversé, Sentier posa un genou sur la gorge de sa victime tandis qu’il contrôlait la lance d’une main, son poing allant s’impacter au nez du soldat qui se brisa sous le coup, l’os s’enfonçant dans le cerveau, perçant celui-ci et mettant ainsi fait à sa vie.
Silence quand à lui adopta une autre technique, beaucoup plus simple mais tout aussi expéditive : usant de son expertise au meurtre à la corde, il passa la corde sous les aisselles de sa victime avant de l’envoyé à l’arrière de sa tête d’un habile mouvement du poignet. Puis, effectuant un pas chassé en arrière il tira simultanément sur sa corde d’une main tandis qu’il poussait le soldat de l’autre main placée dans le dos. La corde fut donc stresser sous les aisselles, forçant la tête à se pencher vers le bas… Ce ne fut pas long avant que la nuque se brisa d’un bruit de branche sec que l’on écrase.
Ce bruit fut le seul effectué durant l’attaque éclair mais ce fut déjà celui de trop…
Plus loin, à une dizaine de pas, un autre soldat émergea de derrière un rocher, rajustant à la hâte son pantalon. Le malheureux n’eut pas le temps de comprendre ce qui venait d’arriver à ses compagnons qu’il fut à son tour envoyé chez les morts, un aiguillon de lancé implanter dans son front. Yrian qui entendit le projectile siffler à coter de son oreille devina instinctivement qui fut l’exécuteur de cette action…

Sans perdre le moindre temps, Sentier et Silence se débarrassèrent des corps après avoir emprunter leur habillement. Les deux mercenaires recopièrent avec une facilitée déconcertante l’attitude des soldats pourtant morts, seul la discussion réellement parler avec l’accent qui allait avec manquait à compléter la scène…

Douleur et Yrian quand à eux avaient traversé le ruisseau pour que la mercenaire puisse récupérer son arme. Elle chuchota ensuite à l’intention du nouveau :

- Prend les habits de celui là, tu lui ressembles d’avantage que moi, je continuerai à vous couvrir. N’agit pas à moins que cela soit nécessaire, laisse les deux autres te guidés. N’oublie pas : je nous protège. Si tu agis tel un inconscient, je mettrai instantanément fin à tes jours, pour le bien de nos vies à nous… Habile toi vite et incarne ton nouveau ‘rôle’ !

La vraie bataille n’avait pas encore commencé… Mais pour les mercenaires, ils étaient à chaque moment plus proche de faire éclater la confrontation de leur coter. C’est pour cela qu’ils patientèrent en simulant leurs rôles respectifs. Personne n’était au courant de leur initiative, le Roy pouvait ordonner de les faires exécutés en les confondant avec l’ennemi… Mais à cet instant, ils étaient bien plus proches des lignes adverses que celles de leurs alliés… Quelle drôle de situation avant même que la vraie mêlée s’engage…




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EDIT : Resumer version qualitée rudimentaire voir bas de classe de jeu de role pour Horgeon à la demande de celui-ci...
Ce qui donne :
" Les mercenaires continuèrent leur contournement, suivant le ruisseau tout en se dissimulant derrière ses nombreux rochers jusqu'à atteindre quelques guetteurs. Sentier et Silence les mirent hors d'état de nuire puis échangèrent leurs habits avec ceux de leurs victimes, patientant ainsi avant le début de la bataille "

Notice : Ok Horgeon, juste pour publiquement te dire que si je devais resumer ma participation à une description aussi pauvre de trois lignes, je crois que je le vivrai mal. Pour moi le roleplay se doit d'etre riche, donc explicite et par sa version écrite cela doit "malheureusement" passé parfois par des "bloc" de texte, pour peu que l'on désire être explicites. Sache aussi qu'étant donner qu'Yrian à décider de m'accompagner, je me dois d'autant plus d'être clair et énnonçé le maximum de fluff sans pour autant être désagréable... Et franchement, c'est pas long. Si tu cottoyais les forums de jdr littéraire don les participants ne sont plus des amateurs, tu comprenderais.
Donc, si d'autres ce sentent l'âme de geindre à propos de mes "long messages" je les invites à ne pas les lires, tout simplement... Je n'ai d'ailleurs aucune raison de changer ma manière de faire qui plait à certains. C'est ma première et j'espère dernière explication. Merci et désolé Hog'
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Horgeon regarardait l'armée du Rhûn. Ils avaient des lances bien éguiser. Ils étaient sur d'eux... Peut-être trop même... Horgeon chuchota à l'oreille d'un garde de khazad.

-Vous ferez attention à leurs lances en chargeant... Elle trop pointu à mon goût... passe le mot...
-Hé il ne se sont jamais frotté à des nabots de 4''4'!
Cette phrase fit sourrire Horgeon. Quoique n'importequoi parraissant drôle pouvait le faire rire en se momment... Il se retourna et s'écria:
-Ceux qui ont des arbalètes, sortez et chargez les... dès qu'ils foncent nous serrons près à nous défendre. La première ligne gardez vos armes et boucliers! Vous déffendrez les archers la cinquième ligne, la dixième et ainsi de suite faites de même!

Il continua à faire sa tournée. Saluant ses compagnons qui étaient dans le même régiment que lui... Lorsequ'il eu finit il retourna avec ses hommes sur la ligne de front... Il avait dejà hâte que cela la tension était à couper au couteau...¸

Hrp: c'est des harradrims, des orcs ou des hommes de rhûn? ou les trois? :hrp

Nabz voyait l'armée qui se tenait en face de lui. Il avait l'impression d'être seul. Or, ce n'était pas le cas. L'armée composée de nains, de rohirrims, et de gondoriens était la, ses rangs parfaitement ordonnés, ses soldats excellement entrainé. Ceux d'en face devaient aussi être de protigieux combattants: leurs armes étincelaient, ainsi que leurs armures. Ils étaient prêts à se battre. Aucune des deux armées ne bougeait, l'une attendant que l'autre face le premier pas.

Nabz se tenait debout, au coté d'autres rangers, qui étaient disciplinés. Il regardait à sa droite quand il tomba sur les armes d'un ranger qui étaient spéciales ...

- D'où viennent ces armes ? Demanda t-il. Ton arc à une forme étranger, et ton épée est extremement large pour une épée, même pour une épée à deux mains.
- Ce sont des armes que je me suis fait fabriquer par un forgeron. C'est moi qui est donné leurs proportions et leurs formes.
- Et quel intérêt cela apporte-t-il ?
- Mon arc est plus puissant qu'un arc normal, et mon épée fait plus de dégats; bien qu'elle soit beaucoup plus lourde et dure à manier qu'une épée normale.
- Hmmm ...

Nabz n'était pas convaincu, mais il se dit qu'il verrait ce que ces armes vallent en combat.

Quelques personnes tremblaient la, d'autres parlaient ici... Tous avaient une vision différente de la bataille qui allait se dérouler. Ceux qui tremblaient voyaient leur mort, ce qui discutaient voyaient la victoire...
Quant à Nabz, il se concentrait maintenant pleinement sur les adversaires. De la où il était, il ne voyait pas trés bien. Ils paraissaient être de la même taille qu'un homme, mais avec des armes différentes. Etaient-ce simplement des occidentaux ? Ou alors une armée mercenaire ? Voire même des orcs ? Cette idée le répugnait. Il avait déja tué tellement d'orcs que la vue des leurs lui paraissait floue ...

Berund avait terminer de placer les navire de la flotte pour que le fleuve soit protéger et qu'aucun renfort ne puissent arriver par le fleuve... Si tout se passait bien, la flotte pouvait même espérer couper l'armée ennemis en deux si elle se replié vers le fleuve....

Ayant pris soin que tout se déroule bien, Berund pris son cheval et rejoignis l'armée... Il voulait accompagner le Roy aux combats, ce qui arrivé rarement...

Face a l'armée, il salua quelque connaissances et se rangea dans les rangs avec quelques soldats qui l'avait accompagné... Trawn, le renard blanc sautait a coté du cheval de son maître...

Berund s'avança vers les officiers de l'armée. Saluant le Roy il lui parlât en ces thermes...

"Votre Altesse, n'ayant reçu aucun ordres précis, je me met a votre disposition. J'ai placé tout les navires en état d'alerte, mais si vous désiré que je retourne sur les navire pour prendre l'ennemis a revers, je le ferai avec joie, sinon offrait moi la possibilité de combattre a vos coté..."

L'ennemi s'était mit en marche en silence, sans même prévenir, signe qu'ils étaient plutôt bien organisés et qu'il serait difficile de les déloger. Un ménestrel chantait des paroles de guerre anciennes et qu'on ne comprenait pas. D'abord seules et espacées, les hommes de l'Est la reprennaient en choeur, visiblement ravis de pouvoir se battre.
Je n'avais pas scillé. J'eus juste le temps de dire au Géréral de se préparer avant que l'armée adverse s'élança sur nous, les lances en avant et l'épée levée en signe de défi. Les premiers rangs frissonèrent.
Nous n'allions pas les laisser nous rentrer dedans. Tirant les rènes de mon cheval blanc, je me retournai vers mes hommes, le visage crispé mais confiant.

"En avant ! Pour le Gondor et les Peuples Libres !"

Enfin, la vague ennemie commençait à déferler...
Nos lignes se mirent en mouvement suite aux injonctions du Roi...
Le choc promettait d'être rude...

J'éperronnais Solohan tout en dégainant Alcarinquë, ma lame elfique...
Un frisson parcourut mon échine...

En avant ! Pour l'Arbre Blanc, pour le Gondor, pour le Roi !

Dorin était pret il attendait l'ordre d'Horgeon soudain celui-ci cria:

Garde de khazad en tirez!!
Puis après quelques instant il continua
[size18]En avant![/size]

Des centaines de carreaux partaient tandis que l'armée naine avançaient. La discipline de fer qui regnait dans les bataillons nains et leur arbalètes leurs permettaient de faire des maneuvres aussi compliquées. Les nains visait les 6° et 7° rangs de l'armée ennemie pour la divisée et avoir une tache moins ardue. Alors que l'armée de rhun était à quelque metres Horgeon cria:

Rangez les arbalètes.

D'un même mouvement tout les arbalétrier rangèrent leurs armes au profit de haches de poings. De son côté Dorin prit sa hache de khazad-dum. Horgeon ajouta:

Chargez!


HRP: j'ai l'autorisation de lancer l'assaut nain /HRP

L'Assaut... Enfin.

La première vague était lançée , le choc immense , les armes contre les armes , les corps contre les corps , c'était vraiment spectaculaire.
Le bruit aussi , des coup , des cris , des sanglots...
_POUR EORLINGAS ! POUR LA MONTAGNE BLANCHE ! POUR LE ROY ! Hurla l'ecuyer du roi quand il s'élança , sa lame en avant.

Sa première victime , un homme d'une trentaine d'année , une peinture de guerre zebrait sa figure hirsute , et son visage ce figea quand la lame d'Eosfel lui transpera sa poitrine a découvert.
Le sang giclait sur l'ecuyer , un sang chaud , l'adrénaline montait comme une flamme dans le corps de l'homme.
Une flamme délicieuse... Eosfel la laissa le devorer.
Il s'adonnait pleinement a son art le plus secret , l'art de la mort.
Tranchant , coupant , sa deuxième victime arriva trés vite , malgrés l'interdiction du Général , l'ecuyer ne parviens pas a ne pas donner d'ordres aux hommes qui l'entourer.

_Sur le flanc EST ! Tenez vos positions ! Hurlait-il aux courageaux gondoriens qui ce faisais déchiqueter a la pelle.

Eosfel esquiva deux coups d'estoc d'un habile breteur , l'enemis retourna sa lame et parvins a lui donner un coup du plat , ce qui assoma l'ecuyer royale.
Aussitôt , deux lanciers gondoriens prennait la place du héros alors qu'il tombait dans les pommes.

_Ecuyer Eosfel ! Ecuyer Eosfel ! Cria un soldat a l'armure a terre.
_J...e ... Tout va ... bien , gardez...vos position...s ! Répliqua l'ecuyer en ce remettant debous avec l'aide de deux hommes.

De son casque coulait un mince filet de sang poisseux.

_Je vais avoir...une cicatrice ! Vous allez payer pour ça !

Hrp : Nabz ta recu mes sms ? / Hrp

Nabz était en train e combattre quand il entendit une voix.

- EN POSITION ! 1 ER REGIMENT D'INFANTERIE, ALLEZ DEVANT ! LE SECOND ET LE 3EME SUIVRA, LES AUTRES, METTEZ VOUS EN TORTUE !

Nabz qui ne comprenait pas grand chose vut la discipline de l'infanterie gondorienne. Les soldats se mirent en place tout de suite aprés l'appel, malgré leurs amis qui mourraient en baignant dans leur sang. Ils se devaient d'obéir à la personne qui leur est supérieure dans l'armée.
Les soldats ont alors faits la position dite "tortue". Il mettait leurs boucliers pour se couvrir des fleches, et mettait leurs lances par les petites fentes prévues pour. Les ennemis avaient beau être d'excellents guerriers, leurs techniques de combat n'étaient pas impressionante, mais leur puissance compenssait.
Nabz partit alors au coté d'un archer en difficulté. Ce dernier était en train de se battre contre quatres hommes de l'est. Il allait crouler sous le nombre, mais il se défendait assez bien. Nabz prit un des quatres hommes par surprise et lui asséna un coup fatal dans la nuque. Il se retournèrent vers le ranger et essayèrent de le tuer, quant au troisieme homme, il combattait l'archer.
Le premier essaya de mettre un coup d'estoc dans le cou de Nabz, celui-ci parra l'attaque et contra avec un coup en travers, qui frolla l'homme qui était en face de lui, puis il lui trancha le bras. L'homme, à cause de la douleur, perdit tous ses moyens. Nabz l'acheva. C'est alors que le second tenta de prendre Nabz par surprise. Cela aurait marché si une fleche ne s'était pas planté dans son crane. Son corps tomba au sol a coté du cadavre inerte de son camarade.
Nabz vit que l'archer venait de finir son duel: il s'était fait couper une main, puis la tête. Le ranger bondit alors vers l'homme qui l'avait tué, avec toute sa rage qui ressortait. Il créa sur son passage une tempete de coups. Le soldat de l'est tomba à genoux. Il acceptait sa défaite. Nabz fit alors ce que tout homme aurait fait. La tête se sépara du corps de l'homme à genoux.

Hrp: Je vais l'avoir, ma promotion de grade ? :P /hrp