Quand l'acier mord nos chairs

HRP//Voici une petite carte pour mieux cerner le déroulement des combats.

Ma carte est oubliée ,celle-ci est l'oeuvre de Silence , merci à lui.





PS: Quelqu'un peut confirmer que ça marche bien? Mon PC a des problémes pour afficher certaines images donc je ne peut pas m'en assurer moi-même

Ad-Kar se mela à la bataille et tenta de rejoindre le roi en se battant avec son bouclier mais, malheureusement, il n'avait pas eu le temps de terminer sa formation. Il reçu un violent coup sur la tête qui le fit perdre connaissance pendant quelques instants. Croyant qu'il était mort, l'orc fit l'erreur de se retourner et tomba raide mort, une flèche plantée dans la nuque.

-Mon seigneur! Vite! Nous de suivre le plan de Roi Sorcier! Nous devons faire une trouée dans le flanc gauche!

Mais le roi ne l'entendit pas. Alors Ad-Kar se précipita dans la bataille.

Huragorn avait finalement repoussé le groupe d'infiltrateur grace au vaillants soldats de Minas Thirit. Maintenant, il fallait rejoindre le reste du groupe, car une autre attaque comme celle ci ne se ferait plus, pensait le nain. Il courut, a la vitesse d'un nain, cherchant un groupe d'attaquant. Il tomba sur un groupe de cavalier.
"Eh! Z'allez au front? Alors emmené moi avec vous!"
Un cavalier le prit derrière lui, et le groupe partit. Il y avait environ vingt cavalier, tous de la citée blanche. La bataille avait commencée a partir vers le fleuve, le nain en deduisi que la bataille allait être gagné. Les cavalier passèrent près des troupes d'infanterie, deposèrent le nain et repartirent prendre a revers les ennemis. Hura' courut a toutes jambe vers la batailles. Il arrivait dans la mélé, et vit un gondoriens a genou. Un Khand lui tenait la tête, et leva son épée pour lui tranché la gorge. Mais le nain réagi. Une hachette se planta dans son crane, traversant la chevelure grasse et épaisse. Il s'ecroula a terre, sauvant le garde de la citée blanche. Le nain recupera sa hache de lancé et prit ses arme. Il fonça dans la mélé, coupant les jambes des hommes sans que ceux ci ne puissent comprendre. Il envoya un ennemi au sol et lui coupa la tête, mais soudain, un genou lui arriva dans la tampe. Il tomba au sol, assomé, et sentit un poids sur son dos. Un rohirrim lui était tombé dessus, mort. Le nain était evanoui, mais il entendait tout de même le bruit des combats, et il esperait que personne ne lui plante une lame dans le dos, sans qu'il puisse se defendre.


HRP:Qui c'est qui me sort de la?

Après avoir entendu les directives de Sentier, Yrian obéit car qui voudrait désobéir à un géant armé de son glaive ? Il partit donc à la recherche d’un cheval.
Grimpant sur une rocher de grosse taille, il observa les cavaliers il ne lui fallait quatre chevaux et les cavaliers restaient groupé, il lui fallait trouvé une solution. Prenant un caillou de la taille de son point, Yrian le lança à quelque mètre sur sa droite. Un groupe de cinq cavaliers partirent voir le bruit, parfait se dit le mercenaire.
Encochant sa première flèche, il visualisa ses ennemis et lança le premier trait de mort qui faucha un homme du harad qui tomba de son cheval sous la force du projectile. Les autres essayaient de trouver le tireur embusqué, le mercenaire devait bouger ce qu’il fit.
Après une rapide évaluation de la scène, une conclusion simple lui vint à son esprit il fallait les tuer et rapidement. Tirant ses 6 flèches rapidement, il se bassa et lança un regard latéral sur la scène, ils étaient morts mais deux chevaux étaient morts.

Conduisant les trois chevaux restant vers le lieu où se trouvait Sentier et Silence il leur dit :

Douleur on la laisse ici ?Si oui partons rapidement

Mennetor était devenu le héro de son régiment qui devait actuellement être composé d’une trentaine d’homme, qui avait donc perdu environ soixante-dix hommes. Le régiment avait laissé passer les autres soldats pour se retrouver au troisième rang avec des soldats qui n’avaient pas encore combattu et qui avaient hâte d’y aller comme ils disaient. Pour les « vétérans » ces jeunes soldats piaffaient pour rien, la guerre était quelque chose de moche … très moche ! Mais elle était nécessaire pour survivre dans ce monde barbare. Maintenant chaque soldat des lanceurs de drapeau avait sauvé la peau de chacun de ses confrères ce qui les liaient par l’amitié.

Mennetor conta les soldats blessés. Il en dénombra environ 9 avec des blessures lourdes, pour le reste ce n’étaient que des blessures légères.

– vous deux vous allez accompagnez les neuf blessés, et vous y resterez pour me rendre un compte rendu de ceux qui mourront et les blessures des autres, cela évitera de surcharger les prêtres et les guérisseurs … Et puis vous vous reposerons !

Les dix-neuf autres soldats revinrent avec Mennetor en jouant des coudes pour revenir sur le front, peut être sauveront-ils des jeunes soldats. Leur apparence de vétéran et leurs nombreux bleus et blessures leur permit de passer sans encombre.

De nouveau en quête de bannière Mennetor dit à Marto de regarder lui qui était le plus grand du régiment. Il en repéra une : sur un char, ce devait être quelqu’un important pour avoir une bannière dans son char.
Ils commencèrent à se diriger en fendant les lignes ennemies pour accéder à leur but, capturer les bannières et les renverser. Ils comptaient trois à leur actif, fidèle à leur nouvel coutume il avaient découper la moitié de chacun de tissus et l’avait donner à celui qui l’avait fait tomber, Mennetor, Alur, Marto avaient chacun une moitié de drapeau sur leur dos.

Le Roy était toujours sur son cheval blanc, il donnait une terrible impression de puissance et paraissait même infatigable, l'épée en main. Ses hommes clamaient haut et fort un hymne pour le Gondor, dans le but probable de se motiver. Mais le combat était difficile, et les mauvais hommes organisés et ils se battaient inexorablement.

D'un revers d'épée, j'envoyai un ennemi à terre. Je n'eus même pas le temps de voir s'il était mort car il fut piétiné par l'avancée de ses compères. Nous commencions à avoir besoin de renforts ici, nos rangs se resseraient et beaucoup d'entre nous tombaient. Je m'arrêtai un instant pour évaluer notre situation. Les ennemis nous pressaient et ne tarderaient pas à nous encercler si nous ne les poussions pas vers le fleuve...J'attrapai à la hâte mon cor de chasse et soufflai dedans afin de montrer clairement ma présence et inciter mes troupes à appuyer le front. Des bras supplémentaires n'étaient pas de refus.

Morgoth vit Huragorn coincé, il courut vers lui evitant quelques coups et ripostant a ceux ci en tuant en general l'adversaire.
Morgoth le regarda un instant degagea le cadavre du rohirrim sans peine et dit :
-Tout va bien maitre nain??
Morgoth ayant revelé son apparence faisait peur a beaucoup de personne le nain se mefierait il de lui???
Pas le temps car la bataille continuait...

Etant retourné vers la suite royale, le général passa à coté du Roi en disant :

Rester ici ne mènera à rien de bon... et les seul renfort présent ne sont pas dans la possibilité de nous aider, c'est la flotte, alros je ne vois maintenant qu'essayer de nous déplacer lentement vers l'Est afin d'être couvert par la marine, à moins que vous n'attendiez des visiteurs imprévus...

Attendant la réponse le Roi sorcier rentra sa lame, et sortit sa masse afin d'avoir plus d'efficacité, mais il devais plus s'éloigner de ses allier à présent...

Le Roy toisa son général.

"J'ai du mal à vous suivre, Général. Pourquoi se diriger vers l'Est alors que le gros de l'armée est devant nous, et que si nous arrivons à les repousser vers le fleuve, nous aurions un très net avantage...Mieux vaut ne pas prendre de risque, nous sommes sur un champs de bataille, pas à un concours de tir à l'arc !"

A peine retourner, Yrian remarqua Sentier et Silence qui se rapprochaient de sa position discrètement, le dos courbés et le pas rapide. Après avoir informé ses supérieurs, Yrian sentit le poids pesant d’un regard empli de reproche de la part de Silence qui était visiblement peu satisfait de son fait d’arme. Sentier cependant semblait beaucoup plus préoccupé par la disparition de Douleur :

- Chiabrena ! On peu pourra pas l’attendre ici, faut qu’on bouge immédiatement avant que les officiers rancuniers du coin ne nous cherchent des noises pour avoir empreinté leurs jouets… Sans parler de l’état dans lequel on leur rend ! Mais Douleur, bon sang, que fait-elle ? Elle devrait être arrivée depuis un moment… J’espère qu’ils n’ont pas consolidés leur flanc, sinon on est mal barrés pour repartir !

- Sur uniquement deux bestiaux… Souligna Silence, imperturbable mais à la remarque venimeuse.

- … Ouais… Je vais rester en arrière un moment, j’attendrai un peu au cas où elle serait en chemin, pas qu’on la rate de si peu...

- Et tu ferras comment pour sortir de là après, soliveau ? C’est hors de question, c’est moi qui resterais ici.

- Mais… ! Tenta de répliquer le grand blond.

- C’est un ordre ! De toute façon tu sais que tu ne vaux rien en discrétion quand t’as l’esprit ailleurs… File…

Silence sembla marquer un point car le géant se tut. Il ne fit cependant aucun geste pour partir, serrant obstinément ses poings, contenant son agitation interne jusqu'à que ses phalanges en deviennent blanches…

Soudain, un groupe de Suderons apparurent derrière eux, ayant traversé le camp dévaster des machines de sièges. Le spectacle ne leur avait visiblement pas plu et leur capitaine pointa d’un doigt accusateur les mercenaires. Les soldats dégainèrent d’un même mouvement leurs cimeterres rappelait l’étincellement des étoiles. Poussant un cri de guerre, ils chargèrent les trois misérables mercenaires perdus là loin de leurs alliés…

Mais le capitaine fut soudainement faucher en plein mouvement, d’une flèche l'ayant transperçé en pleine gorge. La vue de cette perte brisa le momentum des Suderons pendant un bref instant…

- Par ici, j’ai une monture pour chacun de vous ! Quesque vous ferriez sans moi… T-t-t-t-t....

Les mercenaires se retournèrent pour découvrir Douleur monté sur un destrier du Harad. Sentier, visiblement ravi, quitta son état de marbre et s’élança à sa rencontre, rapidement suivit par ses compagnons qui ne tenaient pas à devoir affrontés une dizaine de soldats de front. Leurs assaillants ne perdirent pas un instant de plus et poursuivirent les saboteurs, enragés par leur présence et leur tactiques déshonorantes, dans le but de pouvoir faire payé le prix de leur méfaits par la lame vengeresse de leur cimeterre.

Confrontés à un concours d’endurance, les mercenaires s’élancèrent sur les montures avec le minimum de précaution, plus pressé de finir hors de porté des lames Haradrim que de satisfaire l’égo d’un animal. Douleur quand à elle continua de faire pleuvoir ses flèches en plein mouvement, autant à l’aise au tir monté qu'à pied, elle était capable de pivoter sur sa selle pour tirer derrière elle et en plus de cela, réussir à toucher d’une précision presque chirurgicales.
Les mercenaires peinèrent à contrôlés leurs montures mais réussirent à s’échapper des fantassins. Le brouhaha générer par cette rencontre alerta cependant d’autres troupes à proximité. Plusieurs pillards quittèrent alors les rangs de leur régiment, s’élançant à leur poursuite, près à faire payer le prix de la justice de leur propres flèches.

Un échange de projectiles eut lieu et les pillards haradrims ne durent leur survie qu’à leur excellente habilité à manier leurs montures, évitant ainsi les traits de Douleur. Leur constante manœuvre ne leur permit cependant pas de manier efficacement leurs propres arcs… Mais Douleur allait bientôt manquer de munitions…

Heureusement pour eux, les mercenaires avaient quitté la proximité de l’armée ennemi, chevauchant les champs de Pelennor ainsi isolés de leurs alliés et poursuivit par une dizaine de pillards avides de vengeance.

- Je vais bientôt manquer de flèches et je ne suis pas de taille à rivaliser avec leur maitrise équestre… Nous sommes fichus, leurs flèches sont surement empoisonnées… Il nous faudrait un miracle pour nous en sortir d’ici… Si l’on croisse des alliés, avec vos apparats ils auront tôt fait de nous descendes et ses manants rebrousseront chemin, bien content du sort que nous aura réservé le destin !

Mon adversaire sentit ma lame lui ouvrir le ventre. Il me regarda, hagard, avant qu'un autre moulinet ne lui coupe la tête. Son corps chuta lourdement sur le sol humide et trempé. La soirée allait être arrosée. Mais la fatigue se faisait de plus en plus présente, jusqu'à ce que je batte en retraite, j'étais au front depuis le début des hostilités et ma fraicheur en avait prit un sacré coup.
Les rangs frais prirent le relais, et ma compagnie pivota vers l'autre flanc. La lune avait fait son apparition, d'abord timide, elle se montrait désormais ronde et nous incitait à nous battre. Au loin, quelques taches sombres se détachaient de l'obscurité...Je les scrutai un instant, perdu dans mes pensées. "Mais ...ne serait-ce point le mercenaire Silence et ses compères ?!"

Nabz, après avoir combattu aux cotés du porteur de la bannière, partit du champ de bataille. Un homme lui avait sauté dessus et lui avait entaillé une bonne partie du bras gauche, par chance ... Il ne se battait plus avec la force qu'il avait au début du combat. Ses membres le faisaient souffrir de plus en plus. Il avait mal à la tête. Il avait une envie de vomir permanente. Il tomba sur les genoux et s'effondra de nouveau. Il ne pouvait plus bouger, à peine ouvrir les yeux.

Il se reveilla quelques instants plus tard. Il était toujours dans la boue, allongé sur le dos, mais ailleurs. Là, l'odeur de sang était moindre, les cris ne s'entendaient presque plus. Quelqu'un avait dut l'éloigner de la bataille.

Quand il ouvrit les yeux, il put entendre un homme dire d'un voix grave:

- L'homme qui lui a fait cette entaille avait sans doute enduit sa lame d'un poison que je ne connais pas. Vous pouvez le considérer comme mort si personne ne sait comment contrer le poison.

Cet homme, qui devait être un médecin, ne s'adressait pas à Nabz, mais à une autre personne. Le ranger voyait flou. Son mal de tête empirait chaque seconde passée, mais son bras ne lui faisait plus trés mal. Le guérisseur avait dut mettre un onguent de soin sur sa blessure.

Nabz ne comprenait plus grand chose à la réalité, il perdait ses sens. Une seule sensation persistait: la souffrance.

Edit:
Hrp: Si quelqu'un trouve le contrepoison, je l'acceuille els bras grands ouverts ^^ /hrp

Morgoth apres avoir tué quelque soldats ennemis avait perdu son cheval a cause d'une fleche. Il rejoignit le roi et demanda se qui le preocupait.
Le roi pointa du doigts vers le groupes de mercenaires, mais derriere suivait les quelque pillards...

Les ayant vu il compta 8 pillard, dont un chef car il portait des habit plus décoré que les autres et porter une armure de maille legère dorée et rubis....

Morgoth meme sans son cheval etait rapide, il courrut a la rencontre des mercenaires...et des pillards car il depassa le groupe de Silence et abbatit son épée de coté de tel facon que le pillard se retrouva sectioné en deux grace a la vitesse et a la precision du coup, mais au meme moment morgoth avait attrapé le cheval qui avait commencé a paniqué, et lui dit quelque mot en "quenya" qui le rassurèrent et lui donnèrent un certain courage....celui de rattrapé les autres...

L'elfe derriere un des pillards, se faisait tiré des fleches, qu'il evita avec aisance car elle n'etaient pour lui pas assez rapide, le pillard commenca a devier et a partir vers les autres pillards, mais morgoth s'y attendait et donna un coup de taille a l'horizontal sur le coté et de cette facon trancha les renes du chaval advèrse, qui n'ayant plus de maniement partit au galop n'importe ou destabilisant par la meme occasion son cavalier qui chuta et resta accroché au cheval par les etriers en le trainant sur le sol.

Morgoth ne reussi pas a rattrapé le reste du groupe mais leur chef vint le defier, la lance de cavalerie passa proche de la tete de Morgoth, Morgoth ne s'y attendant pas ne riposta pas sur le moment, le chef revint aussi vite qu'il put mais cette fois ci la lance se planta dans l'omoplate gauche de Morgoth qui eu un sursaut de douleur et qui envoya un coup d'épée vers l'arrirere touche la tete du destrier adverse qui chuta vers l'avant propulsant son meneur sur le sol.

Le mercenaire s'arreta et descendit de son cheval, car trop de noblesse en lui pour combattre un ennemis au sol sur un cheval.
Morgoth faillit chuté car ne sachant qu peu monter a cheval, il se pris le pied dans l'etrier, mais s'en delivra.

Son ennemis avait sortit un genre de Cimeterre lourd appelé "falchion".
L'arme adeux main le mauvais homme fit partir un coup en arc de cercle incurvé de haut en bas en haut (en gros du haut vers le bas puis revers le haut mais dans la meme action), morgoth ne pris pas bien la feinte :
-Argh, une cicatrice de plus au visage, cette fois ci le coup l'avait assez toucher pour lui ouvrir au niveau de la pommette mais pas assez pour lui couper l'oeil trop enfoncé pour etre toucher par se frolement, mais l'arcade sourcillière elle aussi en avait pris un coup.

Morgoth le visage en sang, lanca une insulte en "quenya" et lanca son épée vers on adversaire qui tenta l'esquive...Trop lent le coup lui transperca le torse par le coté et il s'effondra sur le sol.
Morgoth rammassa sa cote de maille et son épée comme trophé, il les mis sur le nouveau cheval, remonta en selle et revint vers les alliers.
"Qu'etait il arrivé au pillards restant??se demanda t'il"
IL le saurait bien assez tot.

Mais en lui le mauvais presentiment restait present et lui sérré le coeur, comme un malheur prochain.....

Radamanthe jeta un oeil vers sa gauche .
Beaucoup de nains les rejoignaient .
Cela risquait peut-être d'affaiblir le front ,mais l'objectif de pousser les ennemis vers le fleuve pourrais changer la donne.
Ils allaient être utile pour cet effet.

Un Gondorien poussa un cri.
Un group de renfort fonçait droit sur eux .
C'était une fameuse troupe qui arrivait là. Cela prouvait que les ennemis avaient encore des ressources .

Une voix inconnue d'un gradé quelquonque ordonna de se tenir prêt pour l'arrivée d'ennemis frais.
Ceux-ci se mêlèrent à la portion d'armée qui nous faisait déjà face et gagnait les premières lignes ,tandis que les ennemis qui se trouvaient auparavant devant nous se retrouvaient quelques rangs plus loin ,pour leur permettre de regagner des forces.

Les troupes gondoriennes accueillirent les arrivants avec les lances ,mais bientôt le corps-à-corps commença.

Radamanthe combattait en deuxième ligne ,et il tua l'un ou l'autre ennemi qui réussissait à percer le premier rang. Ses combats étaient brefs ,car sa meilleur arme était la surprise , et il profitait de la distraction des ennemis
Il n'était pas assez expérimenté pour prendre vraiment des risques mais plus habitué à finir quelqu'un d'immobile d'un coup de hache.
Pas des plus honorable mais efficace.

Maitenant il allait falloir s'occuper de ces renforts.

HRP//Petite remarque . Il est plus agréable de laisser ses messages ouverts ,et pas de commencer une situation et la conclure dans le mêm message.
Le RP en équipe c'est mieux ,non?

Les nains continuaient la charge sur les orientaux affaiblis. Les dégat pour eux était beaucoup plus voyante que les notres. Bien qu'encouragé par les cris de ses hommes, Horgeon avait de la difficulté à ce battre. Les charges interminable l'avait épuiser, en plus avec la charge superieur à ce qu'il avait d'habitude le rouillait. Il s'écarta du combat... Pas très loin, assez près pour encourager les GdKs. Mais il devait se reposé. Malheureusement un Homme de Rhûn bien placer put voir Horgeon éssoufler et chargea dessus. Un garde manipulant un arbalète pu voir l'homme et le tira à plusieurs reprises, mais il ne pu l'arrêter. L'homme frappa Horgeon d'un puissant coup de masse derrière la tête... L'Oriental se fit descendre peu de temp après. Laissant le chef des GdKs incontient à son destin.

hrp: Ha vous de déssider ce qui va m'arriver. si demain midi (ce qui est le soir pour vous personne n'as répondu à mon poste je vais cotinuer sans) Je t'ai écouté Rad, je veux voir ce que tout vous allez sortir! Je veux pas mourrir!!!!hrp

Berund avait reçu un ordre du Roy lui même... Juste après la première charge:

« Prenez l'ennemi a révère et empêcher lui de se replier vers le fleuve... Les divisions du port sont sous vos ordre... Nous devons les prendre entre le marteau et l'enclume... »

Berund accepta; mais pesta dans son fort intérieure... On donne les ordre au généraux avant la bataille...

Le capitaine de a flotte du Gondor se désengagea vite. Partant vers le port avec les quelques cavaliers de la flotte, comptait intérieurement les divisions qui lui seraient disponible...

Les troupes du Simol, les soldats de l'Aratorne.. Et merde... L'amiral est partit il a 10 jours avec une bonne partit des troupes... D'après les nouvelles, son second aurait prit le commandement, suite à sa mort dans un abordage.... De toutes façons, Berund ne l'avait jamais aimé...

Donc peu de soldats, mais beaucoup de navires...

Arrivez au port, il donna les ordres. Ses comptes étaient fini: deux division (soldats de la flottes) , soit deux navires armées jusqu'aux dents ; plus les équipage (servant des machines de siège et marins) de plus de 10 navires...

La stratégie serait simple: canarder l'ennemi et éviter de lui montrer qu'il y a si peu de guerriers... Cela serait pas du luxe...



Les navires avançaient sur le fleuve... Les bruit des combats s'entendait même des navier. La bataille ne se précisez pas... Qui donc gagnais?

Les navires passèrent la blanche cité d'Osigiliate et se placèrent sur l'arrière droit de l’armée ennemis...

**********

"Que les compagnie un et deux mettent pied a terre. Que tous les servants rejoignent leur poste…Archets prêt à tirer…"

Les ordres données, les troupes se lancèrent dans une danse organisé. Les balistes déjà armées durant le trajet pointait l’ennemis, les trébuchés se préparé à faire feu, les archets se plaçaient sur la rive, avec comme rempart les soldats léger de la flotte… Ca allait pas être du gâteau…

**********

« Trébuchets, feu sur les position ennemis… »

L’ordre se retransmit et les tirs fusèrent sur les troupes adverses…

« Archets, balistes… Feu »

Le ciel s’assombris un peu plus… Les 200 archets de la flottes tiraient à volonté… De nombreux soldats passaient derrière les tireurs pour recharger les carquois…

« Arrêtez les tirs…

-Stop

-Projectiles incendiaires sur les ligne ennemis, prêt du front…

-Mon capitaine, nous risquons de toucher nos hommes ? De toucher le Roy ?

-C’est un risque à courir. La bataille ne se décide pas… Si nos adversaire doivent subir le déluge des flamme, nos troupes auront le temps de se reformé avant de ré-attaquer. De plus l’ennemi sera déstabilisé et le vent, soufflent vers l’ennemis leur enverra les fumées dans les yeux, protégeant nos troupes… Ouvrez le feu »

Les tirs incendiaires partirent vers le front. Ces tirs normalement destinée au navires ennemi allait enflammer les quelque arbres des champs du Pélénores, allait brûler les cadavres, et encore mieux, brûler l’herbes…

Le tir du Simol partit vers le centre du front. Sous lui furent écrasé une dizaine de soldats, pas tous ennemis. Un eu la vie sauve grâce à un de ses camarde l’ayant pousser a temps. Il se releva, attaqua l’ennemis mais fut tuer d’une flèche adverse.

L’adversaire qu’il allait attaquer se prit, lui un boulet de trébuchés. A sa gauche, une flèche gongorienne tua un guerriers de sa patrie… Les tirs ne faisait la différence entre ami et ennemis…

**********

Et soudain tous s’embrasa.

**********

Le feu se répandis, séparant les combattants…séparant les amis, séparant les frères d’armes. Tous furent étonné de ce feu tombé du ciel. Les deux armée paniquèrent, les capitaine rappelèrent les troupes. Du coté gondorien, les compagnie se reformèrent sans trop de soucis… Mais de l’autre, les boulets continuait de tombé, les flèches de pleuvoir…


Tous vas pour le mieux on dirai… De loin, les compagnie du gondor reformer leur bloc, de l’autre, les tirs empêcher tous organisation… Soudain, un cris, deux et un trou noir.

L’eau réveilla le capitaine… Son armure l’entraîné vers le fond. Il allait mourir…

D’un coups de dagues, il défit les lacets de la cuirasse et ressorti : Les batterie ennemis avait ouvert le feu sur les navires. La moitiés étaient au fond de l’eau, l’autre essayer d’ouvrirent le feu sur l’ennemis, non localisé.


Le temps que Berund rejoigne la rive, la flotte sombrait dans les eaux du fleuve…

Après les mots de Douleur, Yrian lui donna une dizaine de ses flèches … Tout ce qui lui restait …

Ils continuèrent ainsi sur les chevaux volés mais les orientaux les rattrapaient quand soudain un boulet enflammé lancé par un navire gondorien faucha presque tous les cavaliers orientaux.
Le regard de Douleur croisa celui de Yrian, la lueur dans ses yeux était clair, un des grand plaisir de l’archer émérite était de faucher les ennemis par dizaine … Yrian acquisa et se retourna bientôt suivi de Douleur ils libérèrent toutes leurs flèches et tuèrent les derniers cavaliers orientaux.