Ombre dans les appartements

Deux coups frappés à la porte d'Eosfel.
La réponse de l'achimiste, peut-être. Non, c'est un homme encapuchonné qui entre. Si il ne cachait pas sa tête, on remarquerait son crâne rasé. Une étrange amulette pends sous son coup.

-Tu souhaite retrouvé le naturel de ton visage l'ami ? Oublie ton alchimiste. Suis moi, et tu verras ce que je peux faire.

L'homme bossu quitte la pièce et s'en va d'un pas furtif.

*Il serait parfait, pense t-il*

A. Eosfel le suit et arrive dans un petite masure quasi abandonnée.

ou

B.Eosfel le suit pas. Point.

Ils entrèrent dans la masure. Tout était sombre, mais on pouvait distinguer nombre de fioles remplies de liquides étranges sur des étagères.

L'homme installa Eosfel sur une table, après l'avoir débarassé de ses armes et de ses équipements métalliques

Celui-ci devait sans doute se demander quoi. Mais l'homme lui passa un étrange baume sous le nez, ce qui le mis immédaitement dans les vappes.

"Histoire de sécurité, entendit-il murmurer"

D'abord, fait étrange, il attacha ses poignets par une sangle.
L'homme partit chercher diverses pommades et fioles.

*Tout cela est-il bien nécessaire, ce demandait-il. Oui, un chevalier est une recrue de choix. Et on accepterait jamais une tête amochée.*

Ce travail fut méticuleux. Il fut finalement satisfait du résultat. Evidemment, il y avait encore des traces, mais cela était inévitable. Eosfel semblait beaucoup mieux ainsi.

"Le moment le plus important, maintenant, dit-il pour lui même."

Il alla chercher un poignard, et s'approcha doucement.

Eosfel, qui sentait des picotements étranges sur son visage, mais dont le physique s'était nettement amélioré, bien qu'il ne le sache pas, commençait à émerger.

*Noir , souffrance , soulagement*

Les sentiments ce mélangaient dans la tête du chevalier.
Une sensation bizzare , comme si un masque était appliqué sur son visage.
Une nouvelle peau.

Soudain , l'homme ouvrit ses yeux et cria , un cria de terreur mélée de douleur.
Un poignard alla ce planter sur lui , il essaya de ce débattre mais des liens retenait sa fureur.

Impuissant , des larmes commencèrent a couler sur ses joues tuméfiées , puis il reperdit conaissance.

L'homme qui s'approchait sursauta. Il avait repris connaissance !

Un peu après, il poussa un soupir de soulagement. Il était à nouveau assomé.

Mais alors qu'il s'approchait, il remarqua les larmes sur les joues du chevalier. Un cri de rage lui échappa.

-Raaah ! Si ce crétin pleure, il va détruire tout mon travail pour le faire à nouveau ressembler à quelque chose !

Il posa le poignard sur le bord de la table, et essuya les larmes avec un chiffon.