La rosé du matin avait mouillée l’herbe…
Le vent du nord faisait frapper les volet de la demeure, comme tous les matins… Mais bientôt le soleil percerait les nuages et il verrait devant lui, chevalier du Prince de Dol Amroth, la Vielle Foret dans la lueur de l’aube…
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Les chevaux galopaient dans le prés non loin de la maison… Ils habitaient ici, avec les seigneurs de la foret depuis un bon mois… Il se souvenait de beaucoup de chose depuis cette bataille sur la plage du Nord…
Ils avait chevauchaient durant deux bonnes journées… Ils s’étaient peu arrêter. Puis, a l’aube du troisième jour ils était arrivaient…
Il se souviendrait toujours de ce jour, qui commença sous la pluie…
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Ils étaient trempés. Leur chevaux fourbus. Même Trawn, le renard blanc avait du mal à marcher…
Le sentier réduisait. Un seul cheval pouvait y passer…
Berund lui avait demander de s’engager sur cette voie… Il était donc passé en premier, prêt à descendre de son cheval si son maître venait a chuter dans ce terrain boueux… Une rivière coulait à leur droite…
Puis, d’un coup, ils arrivèrent à une prairie…
Le Prince lui donna le nom de cette endroit : « La clairière du feu de joie ».
Ils continuèrent, après un arrêt pour le repas et un somme…
Son cheval s’écroula… Celui du Prince se coucha et refusa de se relever…
Trawn n’en pouvait plus… Il était geler du museau a la queue. Le Prince lui même refusa de se relever… Il n’avait plus qu’a attendre… Il s’était casser la jambe dans sa chute…
Il releva alors son Prince, lui chevalier de Brethil, il se devait de l’aider.
Il le porta sur une butte, étendit sa cape dans les arbres pour lui faire un abris. Il fit un feu, donna deux pommes à son maître, les dernières provision qu’ils avaient, et l’en joignit de se coucher et de se reposer… Il allait monter la garde…
Ils avaient beaucoup voyagé…
Il commençait à être fatiguer…
Il tomba soudainement dans les bras de Morphée…
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Il fut réveillé par le Prince…
Il leva la tête, et ne retrouva pas le chemin… La rivière était la, mais les arbres avaient bougé… Le Prince ne fut pas étonner, et enjoignit son chevalier de descendre le long de la rivière…
Les grand arbres noirs étaient situé sur les cotés du cour d’eau. Ils étaient menaçant, et un sentiment de malaise régner autour d’eux…
Des branches obstruaient le passage.
Le Prince avançait avec difficulté, aidé par son ami, car sa cécité lui empêcher de voir autour de lui…
Soudain Le chevalier tomba. Le Prince voulut le relever, mais il ne senti le contact de l’armure de son ai que quelque secondes, car une main le tira en arrière…
Il était assit dans l’eau et chercher a se relever. Il entendait à deux mètre de lui son ami se débattre, comme si une main tentait de le noyer…
Il pleura en lui même, désirant une mort rapide… Que lui était il passé par la tete. Pourquoi avait il crus Maeglin. Celui-ci avait a tous les coup tuer ses amis et retourné la Vielle foret contre ses gardiens…
Un chant lui revint en mémoire…
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Il lui avait dit :
"Si un jour tu reviens dans la foret, moi le maître, je te demande de chanter c’est paroles, et je saurait que tu sera dans ces terres… Ecoutes et souviens toi…
Hé ding ! Digue dong ! Sonne un ding dong ding dillon !
Sonne un dong ! Saute donc ! Fal lal le saule lon !
Ding Tom Bom, dong joli Tom, Tom Bombadilon !
N’oublie pas..."
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Et il chanta d’une voix haute et claire...
"Hé ding ! Digue dong ! Sonne un ding dong ding dillon !
Sonne un dong ! Saute donc ! Fal lal le saule lon !
Ding Tom Bom, dong joli Tom, Tom Bombadilon !"
L’espoir était revenu en lui... Il chanta fort pour qu’il l’entende et vienne les aider…
Mais a la fin de la chanson, qu’il avait repris une deuxième fois, l’espoir le quitta… Son ami ne se débattait plus, et lui, il tomba dans le chagrins…
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Soudain une voix…
Une voix sortit de l’ombre et des ténèbres…
Une voix sortie du fond de son cœur…
« Hého ! Viens, digue ding ! Digue dong ! Ma chérie !
Léger va le vent du temps, l’étourneau joli.
Brillante au crépuscule, attendant au perron
La lueur des étoiles au fond du vallon,
Voilà ma belle dame, fille de la Rivière,
Souple comme le saule, et que l’eau bien plus claire.
Le vieux Tom Bombadil, des lis d’eau par brassées,
Rentre à grands bonds au logis. L’entends-tu chanter ?
Hé ! Viens, digue ding ! Digue dong ! Et joyeux ho !
Baie d’Or, Baie d’Or, ma joyeuse baie jaune oh !
Pauvre Vieil Homme Saule, tes racines, enfouie-les !
Le soir suivra le jour. Tom doit se dépêcher !
Il retourne au logis des lis d’eau par brassées.
Hého ! Viens, digue dong ! M’entendez-vous chanter ? »
Il entendit les bottes entrer dans l’eau…
Puis il sombra dans l’inconscience…
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Le Prince se réveilla dans la chambre ou, ce dernier moi il dormait… Il entendit dehors son ami… Son ami qui avait réchappé a la noyade, sauvé par Tom Bombadil, qui les avaient amené alors chez lui, ou Baie d’or avait veiller sur eux…
Il se leva, et se souvint de ce jour ou pour la première fois il s’était relevé…
Il était sortit, et avait couru dans le bas du jardin… Il avait sauté la grille… Son chevalier avais voulu le suivre, mais Tom l’avais retenu…
Il était allé devant la tombe de celle qui aurait du être couronné Princesse de Dol Amroth… Et la, devant la tombe de sa belle, il pleura durant de nombreuses heures jusqu'à ce que la nuit tombe… Alors Tom le porta jusque dans sa chambre ou il dormi…
Et les jour furent identique durant un mois… Berund se levait, allait sur la tombe, puis revenait se coucher… Baie d’or lui amené un repas dans sa chambre qu’il touchait à peine…
Aujourd’hui, cela allait changer… La destiné de nombreuses chose allait changer…
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En effet, La veille, le Tom était entré dans la chambre de Berund. Il s’était assi, et avait parlé des saisons qui était passé sur la foret… Il avait parlé de ses amis les betes et les arbres, il avait parlé de nombreuses choses, mais a aucun moment des hommes…
Quand il se leva pour partir, Berund lui posa la question :
« Pourquoi m’avoir compter tout cela sans parler des hommes?
-Car ils sont leur propre maîtres…
-Mais vous ne vous nomme t -on pas le maître ?
-Ce titre est celui du savoir des choses simple de la vie, car je suis le maître de ma destiné. Nul n’a jamais attrapé le vieux Tom, tandis que vous, les hommes, vous êtes maître de nombreuses choses, mais pas de vous même…"
Sur ces mot il sortit…
Et Berund compris.
Les humains étaient prisonniers de leur sentiment. Haine, Amour, Orgueil, Préjugé, Jalousie, Avarice… Et Regret…
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Il ne serait plus pris pas le regret….
Un soleil nouveau se levait.
Un nouveau Prince aussi...