Je suis Dùnhere, un homme du peuple d'Eorl. Je suis né durant les froideurs de l'hiver dans une petite chaumière de l'Estfold il y a de cela 24 ans. Mon père n'est qu'un simple paysan du village et ma mère l'aide lorsqu'elle le peut.
En rohirric, Dùnhere signifie "le guerrier de la colline". Ne me demandez pas pourquoi mes parent me donnèrent ce nom car je n'en ai aucune idée, mais le hasard fait bien les choses puisque dès mon plus jeune âge, je découvrit que j'avais un dont pour l'effort physique et le combat. Voyant cela mon père qui est très patriote, (comme tout rohirrim) m'entraîna à la guerre avec de simples épées de bois au début. Puis vint le temps des vrais armes et de l'apprentissage de la monte à cheval. Mon père se refusa toujours à me laisser partir avec d’autres jeunes de mon âge, chaque jour alors que les autres garçons allaient jouer entre eux, j'étais forcé à m'entraîner l'épée à la main, sur mon cheval ou à travailler dans les champs.
Petit à petit, je développai des qualités dans l'art de la guerre. Pour ces raisons, je partit vers l'âge de 17 ans faire mon apprentissage de cavalier dans l'armée, depuis ce jour, je suis cavalier du Rohan.
Durant ces longues années, je réalisa de longues distances à cheval parcourant nombres de lieux en terre du milieu; et de toutes les aventures que je connut, celle qui restera dans ma mémoire un long moment fut cette rencontre avec un rôdeur nommé Jolane qui mourut dans mes bras il y a quelques semaines.
Alors que je patrouillait avec une dizaine de mes compagnons dans les vastes plaines du Rohan, nous aperçûmes une horde d'environ cinquante orcs pourchassant un homme seul; le fuyard décochait des flèches sur ses assaillants et en faisant tomber un certain nombre mais c'en était finit de lui si nous n'intervenions pas. Mon capitaine ordonna d'attaquer.
C'est ce que nous fîmes, nous chargeâmes les orcs de toute la force dont nous disposions. Le sort joua en notre défaveur très vite car après notre charge dévastatrice, nos ennemis prirent le dessus. Tous mes compagnons d'armes tombèrent et c'en fut presque fait de moi si le rôdeur ne m'avait pas sauvé. En effet, nos cavaliers avaient tués une quarantaine de bêtes répugnantes avant de mourir, mais d'un peu moins de dix orcs était en vie et avaient soif de sang et de vengeance. Ils s'acharnèrent sur moi ; je sentais mon heure venir, c'est à ce moment que le rôdeur revint. Son action fut vive et efficace. Il tira ses dernières flèches et dégaina son épée, j’en fis de même.
A tout les deux, nous parvînmes a mettre a bas nos ennemis, mais il fut mortellement blessé.
Je tentai de le sauver mais il mourut dans mes bras quelques heurs plus tard.
Dans un dernier souffle il me légua son épée qui d’après lui s’appelait « gleal » et il me demanda également de brûler son corps et de disperser ces cendres dans un puissant vent du printemps. Enfin il me fit faire le serment de défendre les peuples libres jusqu’ mon dernier souffle comme il l’avait fait et comme l’avait fait son propre père adoptif.
Nom: Dùnhere signifie « le guerrier de la colline »
Critères Physiques : 76kg, 1.83m fort, pas très beau, brun et les yeux gris
Habitation : J’habite une toute petite maison typique du Rohan, avec un toit de chaume, des murs de pierre, une charpente et un sol en bois.