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 Selon la bête, la clochette

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Aranuir Dunadan
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Selon la bête, la clochette - Page 3 EmptyDim 15 Mai 2011 - 23:10
Hendumaïca sentit la douleur s'emparer de sa jambe tout comme son sang s'emparait des tissus qui l'entouraient. Voyant ses amis se faire attaquer par une énorme bête sans pouvoir faire quelque chose pour les aider l'enrageait. Il ne put s'empêcher de décocher une de ses flèches elfiques dans la chair de la nuque de son gargantuesque adversaire qui lui ne put s'empêcher de pousser un hurlement aussi rauque qu'horrible en se retournant vers l'Elfe visiblement seul et désarmé. Hendumaïca n'avait qu'une chose à faire: se défendre coûte que coûte en infligeant le plus de dommage possible à son adversaire. En effet, le sens de l'honneur de l'être de la forêt équivalait au moins celui de Garban, sans que sa soif de gloire ne lui arrive à la cheville. Il encocha une de ses flèches , puis banda son arc, il visa l’œil droit de la créature avec toute la précision dont la race elfique, additionnée à la parfaite vision de ses yeux.

-Meurs, créature de Morgoth, et que les souhaits du capitaine Garban que tu retournes dans les tréfonds des Enfers soient exaucés.

La flèche vola dans la direction de l'oeil de la créature dans un puissant sifflement qui se répercuta sur les parois de la salle souterraine, attirant l'attention de ses camarades. Le projectile atteignit exactement sa cible, contrairement au premier que l'Elfe décocha sur la bête. Celle-ci se retourna en tous sens, prise d'une folie meurtrière soudaine. Un léger sourire apparut sur les lèvres d'Hendumaïca, il avait visiblement atteint son système nerveux. Mais le danger n'en était pas moins écarté, la créature le chargea au sommet de sa démence. L'Elfe dût fuir, ignorant momentanément le mal profond de sa jambe sous l'effet de l'adrénaline et aggravant ses blessures du même coup. La répugnante créature s'effondra, à quelques mètres de son ennemi, faisant craquer le roc. La salle allait s'effondrer!
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Selon la bête, la clochette - Page 3 Hendum10
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Nathanael
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Selon la bête, la clochette - Page 3 EmptyJeu 30 Juin 2011 - 8:34
Selon la bête, la clochette - Page 3 Garbanav


Les velléités de ses compagnons se muaient en un courage et une force qu’il n’espérait plus. Le nain devait fulminer intérieurement de ne point être celui qui avait achevé la Bête. La flèche transperça profondément l’œil de la créature et atteignit les profondeurs de son crâne. Le cri du démon de Morgoth couvrit à peine le hurlement de victoire poussé par le capitaine arnorien. Un cri de soulagement aussi, chargé tout autant d’exorciser sa peur que d’exciter la petite troupe qui l’accompagnait. Il restait un animal à mettre hors d’état de nuire, tapis dans l’ombre de la nuit. La mort de la première Bête chassa un moment les craintes dans les esprits. Garban, tout en sachant que la bataille n’était pas terminée, se voyait déjà rentrer triomphant au village. Le tintement de la récompense envisagée sonnait comme un murmure plein de promesses à toutes les oreilles dans ce couloir souterrain.

L’écho d’un cri terrible fit trembler la chair des hommes les mieux bâtis. Ce n’était point la Bête qui hurlait ainsi, mais un humain. Une plainte lancinante déchira l’air lourd qui pesait sur les combattants.

- A l’aide. Pitié à l’aide. A l’aiiiidee…

Le faible murmure qu’ils avaient tous perçu d’abord se teintait d’une angoisse sans commune mesure. Les mots étaient répétés rapidement, et de plus en plus fort puis se turent tout à coup. Garban tressaillit. Il eut une sueur froide. Il fut plus secoué que les autres sans doute car il savait de qui il s’agissait. Il méprisait les jeunes recrues, les malmenait et les entraînait au combat dans l’espoir d’en voir surgir des guerriers. Mais il les connaissait toutes. Tous ces jeunes gens qui venaient offrir leur naïveté pour la gloire de leur royaume. Il s’agissait du garçon qui avait disparu la veille au soir. Le compagnon du jeune homme qui avait été retrouvé défiguré dans la taverne. Le sang de Garban ne fit qu’un tour. Il se rua en avant dans le noir et la peur pour tirer des griffes du monstre un de ses soldats. Il ne s’enquit pas même de savoir si le corps qu’il avaient vu précédemment était vivant ou mort, homme ou femme. Il sauta par-dessus Sirka en vociférant.

- Su à l’ennemi. A la mort pour l’Arnor !

Les murs tremblaient de l’écho de son cri. Le tunnel n’était pas près de s’effondrer. Une pierre tomba néanmoins sur les pas de Garban. Ceux qui étaient en arrière pouvaient sentir l’odeur de la poussière leur monter aux narines. Les vestiges de ces anciens souterrains branlaient mais tenaient encore bon, pour peu de temps. Tous tâtonnèrent derrière le capitaine pour se rapprocher du ton suppliant de la voix qui s’était tue.

Puis ils entendirent un grognement. Ce n’était point celui de la bête, c’était Garban. Il suait eau et sang pour défendre le corps du jeune soldat contre les crocs de la seconde créature. Ses coups d’estocs était repoussé par les grandes pates pleines de griffes du monstre mais il avait déjà réussi à le blesser à la tête.

- Allez mes gaillards. Qu’on en finisse avec cette ombre ! Renvoyons à la mort le messager qu’elle nous a envoyé.

Phrase ponctuée par une nouvelle parade qui frôla de peu l’épaule de la Bête. Il fallait faire vite. La salle qu’ils avaient quitté précédemment tressaillait, prête à fondre sur eux avec ses pierres taillées. L’arceau d’une porte soutenait encore le plafond dans l’obscurité mais le bois ne tiendrait pas indéfiniment.

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Dwilidan
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Selon la bête, la clochette - Page 3 EmptyMer 3 Aoû 2011 - 18:29
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La bête était à terre mais elle n'était pas encore morte, en témoigne ses grognements et gestes qui frôlaient parfois les compagnons de Turlan. Ce dernier s'évertuait à éviter les pattes destructrices du monstre pour récupérer sa précieuse hache. Mais cette dernière semblait avoir trouvé son bonheur plantée dans la patte de la bête, au grand désespoir de Pied-de-Fer qui tentait de s'en rapprocher le plus possible.

Des plaintes sourdes s'élevèrent alors dans le corridor, un jeune homme se tenait couché, blessé voire même mourant. Turlan détourna la tête dans sa direction, il était sûrement trop tard pour lui et le nain ne se sentait pas d'aller risquer sa vie pour aller sauver celle d'un jeune inconscient, de plus il n'avait toujours pas récupéré sa hache ! Or un nain sans sa hache c'est comme un nain sans sa bière du matin, c'est contre nature.

Un dernier saut déporta Turlan sur le côté, à une trentaine de centimètres seulement de sa hache. Sa main se posa sur le manche et un grognement satisfait échappa au naugrim, un coup sec dégagea l'acier de la chair et un hurlement du monstre transperça la salle souterraine, un coup de poignard à travers l'obscurité précaire de la nuit.
Les mains assurées sur leur prise et la hache levée, Turlan attendait une ouverture.

Il allait frapper quand une pierre de la taille de son poing tomba à quelques centimètres seulement, lui faisant faire un écart salvateur, tant pour lui que pour la bête qui agonisait presque à présent. Un rugissement sonore sorti de la gorge du nain, l'ancien mineur qu'il était se réveillant soudainement :

"Éboulement ! Sortez tous ! La galerie tiendra plus longtemps et la Bête ne peut plus bouger, la terre et la pierre auront raison d'elle ! Par Aulë, il nous faut sortir d'ici au plus vite !"

Se dirigeant prestement vers la sortie, Turlan embrasa la galerie de son regard acier une dernière fois. Les autres semblaient l'avoir entendu mais leur courage aveugle ou leur honneur démesuré devaient probablement les clouer sur place cat ils ne bougeaient pas d'un pouce, comme si le monstre qu'il avaient mis à terre n'étaient pas déjà assez amoché et ne voyait pas sa fin arriver.
Grommelant dans sa barbe, Pied-de-Fer allongea la foulée de ses petites jambes tandis que la poussière flottait tout autour de lui et que les rochers tombaient sur son chemin en morceaux de plus en plus grands. La sortie n'était plus très loin, il le savait, il le sentait.
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Nathanael
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Selon la bête, la clochette - Page 3 EmptyVen 26 Aoû 2011 - 9:04
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Il suait sang et eau pour protéger la jeune recrue qui se trouvait à ses pieds. Il entendit Turlan fuir le combat sur ses lourdes jambes. « Maudits nains dont la taille n’a d’égale que le courage… ». La colère s’empara une dernière fois de son bras et dans un geste désespéré il se jeta en avant pour embrocher la Bête d’un cruel coup d’estoc. La lame mordit profondément la chair dans il ne savait quelle partie du corps de la Créature. Un sursaut de douleur anima le monstre et Garban ne put éviter le coup de griffe du moribond. Une profonde blessure naquit sur son épaule droite. La douleur et la situation pressante ne l’invitèrent pas à récupérer son arme. Il abandonna l’épée dans le corps de la Bête et se précipita vers le jeune garçon toujours couché au sol pour le forcer à se relever. Il hurla et vociféra tant bien que mal quelques imprécations contre les fuyards sur le départ.

- Qu’on m’aide ou maudit soit celui sur qui je pourrais mettre le grappin sur le dos. J’étranglerai le premier venu à pleines mains. Qu’on m’aide à sortir ce gosse de ce trou à rats, mollusque à pattes !

Tandis qu’il brandissait ces mots comme une arme devant lui il tirait désespérément sur les épaules du jeune soldat pour qu’il se relève. Mais tous deux étaient extrêmement faibles et la douleur lancinante que Garban ressentait dans l’épaule l’empêchait d’user pleinement de ses capacités. Une roche aussi imposante que le crâne d’un troll frôla la tempe du capitaine Arnorien et lui retomba sur le pied. Les os résistèrent mais cette nouvelle douleur acheva le courage et le dévouement du guerrier. La jeune recrue s’était évanouie et les murs ployaient sous la charge de pierres et de gravats qui menaçaient de s’effondrer à tout moment. Garban quitta les lieux sur les talons de ses maudits compagnons d’infortune en se promettant de se venger du premier olibrius qu’il arriverait à rattraper.

Leur course folle fut difficile et tortueuse pour regagner la sortie. Les yeux porcins du nain furent néanmoins leurs alliés jusqu’à ce qu’ils atteignent la surface du monde. Dans l’obscurité chargée de poussière ils respirèrent mal et tous toussèrent ou crachèrent en retrouvant la lumière. Garban saignait abondamment à l’épaule droite mais il reprit ses esprits plus rapidement que les autres et il se jeta sur Turlan pour lui assener un violent coup de poing. Le nain était en l’instant plus vigoureux que le capitaine blessé et épuisé par le combat et Garban se retrouva rapidement en situation de désavantage. La rancune naine l’aurait sans doute mis hors d’état de nuire si les autres n’étaient pas intervenus. Non pas qu’ils aient eu pitié de l’Anorien mais parce que Garban représentait la garantie d’une récompense. L’elfe aida le capitaine à se relever et, avec un pan de chemise, il lui mit le bras en écharpe pour éviter que les mouvements n’accélèrent les flux de sang. Sirka fut désignée pendant ce temps pour rattraper les chevaux qui broutaient ici et là après leur départ précipité au petit matin. Le soleil embrassait à présent l’horizon et une lumière orangée animait les nuages de reflets ocre et roux. La nuit les envelopperait bientôt.

Ils prirent la même route que pour venir. Ils cheminèrent en silence dans une atmosphère morose. Le nain était tenu à distance du capitaine à la gauche de la femme et du rôdeur. L’elfe allait en avant pour ouvrir la marche. Garban gardait les yeux rivés sur l’encolure de sa monture et ne relevait la tête que pour chasser un insecte nocturne.

Ils regagnèrent le village en début de nuit. Un vent froid soufflait sur la campagne et les fenêtres demeurèrent closes alors que les gardes les laissaient entrer. Ils avaient reconnu leur capitaine et le plus jeune d’entre eux courus au devant du petit groupe pour prévenir la communauté de leur retour. Le silence s’accrocha à eux encore un moment puis un groupe d’hommes et de femmes sortit de la taverne. Adhoc menait ces badauds dans la ruelle.

- Où est la Bête ?
- Qu’en est-il du monstre ? L’avez-vous tué ?
- Où sont les corps ?
- Pouvons-nous sortir ?
- … Où est mon fils ?


Une multitude de voix embruma l’esprit des aventuriers et une petite foule s’amassa rapidement à leurs côtés pour obtenir des informations. Le gros tavernier grogna à deux hommes d’aider le capitaine à descendre de sa selle et de le porter dans la taverne. Adhoc invita ensuite le reste de la troupe à gagner l’intérieur du bâtiment. Il chassa par moult engueulades les curieux et les importuns. Garban trouva la force pour geindre.

- Une bière Adhoc, et bouge la graisse qui te pend encore au ventre ou j’en fais du lard…
- Le capitaine a sensiblement repris du poil de la bête à ce que je vois…


Au vu des récents évènements les bouches ne surent s’il fallait demeurer serrées ou s’ouvrir grandement pour rire à pleine gorge. Les quelques sourires qui s’étirèrent sur les lèvres furent jaunes.

Quelques minutes s’étirèrent ainsi entre une distribution de bière et les premiers soins apportés aux blessés. L’elfe eut une attèle serrée autour de la jambe, le nain n’avait de blessure grave que la gorge asséchée par la soif et Sirka fut délaissée un moment dans un coin jusqu’à ce qu’elle manifeste le fait qu’elle avait elle aussi participée au combat. Argonui s’en était mieux tiré que les autres. Il était temps de récompenser les braves

- … et les moins braves…

Garban jeta un regard noir au nain perché plus haut sur un banc que sur ses propres jambes. Il demeurait le responsable militaire du village et il lui revenait à présent de remettre à chacun un du. Il fit mander deux soldats qui revinrent avec une petite bourse tintant du son de pierres précieuses. Une demi-pierre fut attribuée à chacun d’entre eux. D’or, il n’y en avait pas, pas plus que de bijoux ou de pièces bien rondes. Les hommes et les femmes vivaient ici avec leur dignité comme couverture et l’espoir comme seule nourriture. Le regard des combattants se fit méfiant et l’œil de Sirka brillait de colère autant que celui du nain. Garban fit un faible geste de la main au tavernier et aux deux soldats mandés. Tous trois partirent dans une direction différente et revinrent quelques temps après, le temps qu’un repas gras et chaud soit servi.

Adhoc revint avec un fût de chêne duquel s’émanait une douce odeur de bière. Il perça le fut et remplit deux tonneaux plus petits qu’il donna au nain. Il s’agissait de sa meilleure bière et de ses meilleurs tonneaux. Ils gardaient toujours frais le liquide qu’ils contenaient, quel qu’il fût. A l’elfe il fut tendu un nouveau carquois et une dizaine de flèches dont les pointes étaient taillées dans de l’os. Elles ne semblaient pas solides, mais un soldat expliqua que les pointes étaient conçues pour se briser et demeurer profondément dans les blessures. Sirka fut récompensée d’une toute autre manière. Garban avait ordonné qu’on lui porte une dague forgée par son ancien maître d’arme. Le vieillard devait maintenant sucer les pissenlits par la racine mais il n’avait plus d’égal en ces terres pour fabriquer de telles armes. La garde était garnie d’un petit diamant rouge sur lequel avait été gravée la gueule d’un loup qui hurle. La lame était suffisamment acérée pour trancher une gorge d’un geste de poignet et sa légèreté était incomparable. Aoreth reçut quant à lui un petit sac d’où émanait une odeur âcre. Quelques feuilles sèches et craquelées repliées sur elles-mêmes s’y trouvaient.

- Ca coupe la faim et ça vous ravigote un homme en moins de deux. Ca courre pas les rues. J’saurais pas vous dire le nom mais on n’en trouve plus guère par ici et moins encore ailleurs. Une feuille dans une gourde d’eau et vous pouvez courir toute la journée derrière les gueuzes sans vous crever hein !

Et Adhoc partit d’un rire gras et tonitruant. Garban remercia avec aigreur chacun des survivants qui avaient participé au combat. Adhoc leur tint des discours de remerciements plus longs et plus joyeux.

- Votre aide nous a été d’un précieux secours. Cette Bête ou ces Bêtes, mais peu importe à présent, puisqu’elles sont toutes crevées hein ! Ces Bêtes semaient le trouble depuis trop longtemps. Charognes ! Mais elles viendront plus nous bouffer maintenant, qu’elles restent où elles sont, dans leur trou à rat hein !

Il continua longuement à les charger de compliments ponctués de « hein ! » pendant une partie de la nuit. Ceux qui avaient voulu se reposer purent le faire dans une annexe de la taverne qui avait été dégagée dans ce but. Garban rejoignit son fort et sa catin sans mots dire.

Le petit jour se leva avec paresse sur le monde froid de l’Arnor. Les hurlements des monstres ne mordaient plus l’air du matin et le soleil se leva sur la plaine, libérée de la chape de terreur qui pesait sur elle.
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