Quand l'acier mord nos chairs

Ca allait castagner...

Berund attaqua. Son adversaire para aisément... La lame noire de Berthil était la meilleur armes qui devait existé sur cette terre. Et elle trahis son porteur, le menant a la mort...

L'épée glissa des mains du capitane adverse, et Berund en profita..

Le cadavre abreuva la terre en sang... Et l'épée revient a son propriétaire...

Berund sauta sur un cheval avant que ses ennemis ci ne puissent réagir et s'enfuit. mais un tir adverse le toucha a l'épaule... Son épée glissa et se planta en terre.

Le cheval, effrayé par ses flamme galopa vers les lignes gondoriènne...

Berund la voyait... Son visage remplissait ses pensé.

Il entendis seulement des brides de phrases tel que

"qui est-ce..."
Que "c'est -il passé?
Ou son les autres...

ET Berund, a la voix du Bourreau de Minas Tirith répondis...

Prisonnier... Récupéré mon épée...

**********

La Compagnie du Roy s'était faite discrete cette nuit, mais elle ne s'était pas reposée pour autant. Elle avait avancé implacablement, en refoulant ses ennemis vers le sinistre fleuve. Il fallait désormais l'appuis des autres régiments, et l'armée de Gondor s'assurerait un très net avantage. La puissante force armée continuerait son avancée, bénéficiant de l'appui des nains et des troupes rohirrims.

Horgeon arriva au champ de bataille comme neuf. Il s'enfonça dans la bataille sur son chenain qu'il perdit aussitôt. *bon je suis condamné à marché!* Après une marche pénible à éviter les orientaux. Il arriva près du gros de l'ar.ée nain qui était beaucoup moins nombreuse. Horgeon interpela un archer.

-Qu'est-il arrivé? nous avons perdu tant d'homme que ça?
-Non un cor à sonner et plusieurs centaines de nains sont parti. Puisque nous avons l'avantage sur ce front, ils sont partis!
-Bon me voilà rassuré...
L'arché nain se prit une flèche dans le cou qui le tua sur le champ. Horgeon prit sa hache de jet et la lança au loins dans l'armée oriental.
*en espérant qu'elle tue quelqu'un!*

Horgeon continua sa marche vers le front avec une petite troupe de soldats nains qu'il avait séléctionner. Ils aidait les gens à ce défendre contre les lance des orientaux. Ils aimaient voir la tête du monde quand ils voyaient que les personne qui les aidaient étaient des nains...

Il put enfin voir les gdks se battre courageusement en cercle, les arbalètiers au centre. Ils coururent aider les nains qui dans le fond, n'en avaient pas besoin. Un crac sonnore se fit entendre. Des personnes criaient. ''Le flanc des nains s'est fait défoncé!'', Horgeon sprinta jusqu'à l'armée. Il vit Dorin qui se battait.
-DORIN! AIDE MOI À REGROUPPER LES SOLDATS ET LES GDKS! LES SOLDATS NAINS SONT DANS LE BESOIN. Lachons l'État major! aidons les nains!!!

Dorin, Horgeon et beaucoup d'autres nains partirent pour aider leur confrères.

L'armée adverse reculait finallement, sous le poids de l'armée de Gondor, le Roy lui-même à sa tête. Ses courageux soldats avançaient inexorablement, l'épée de la main droite, le bouclier dans la gauche, aucun ennemi ne leur résistait.
Le fleuve était là, sombre et glacial en cette heure encore matinale. Un homme, prit de panique, se jeta dans l'eau et fut emporté par les courants de l'Anduin. D'autres l'imitèrent, un frisson parcourut l'armée de Rhûn.

Je jetai mon adversaire au sol. Une légère entaille sur la joue, je l'achevai d'un coup plongeant vers le sol. Sa tête percuta le sol trempé et un filet de sang dégoulinait de ses lèvres. "Pour le Gondor !"

- Tien donc… Cette armée vaudrait elle quelque chose après tout ?

Douleur observa étrangement Silence. Ce n’était pas dans ses habitudes de donner son avis, hormis de toute critique…

- Déjà en déroute, malgré leur nombre. Je pensais avoir à faire à de plus braves guerriers que cela… Ils seraient donc tombés encore plus bas que les hommes du Gondor.

… Ou presque.

Sentier sortit de son état, inconscient qu’il venait de passer dix minutes dans un état critique. Il s’étonna même quand on lui raconta avec quelle facilitée il avait sombré suite à l’infection du poison. Après avoir remercié son sauveur, il se remit en hâte sur ses pieds, mais par son manque de précaution fit quelques faux pas et manqua de peu de s’étaler à nouveau. Cette ridicule prestation fit sourire Douleur, visiblement ravi de le revoir en état. Le petit groupe de mercenaires s’aligna et observa la situation, l’ennemi reculant, sur le point d’être dérouté.

- Ca f’sait bien longtemps qu’on avait plus vu de vrais fuites. Ca m’rappel d’bon souvenirs tout ça, hein Silence ? Regarde l’autre gaillard elfique l’abas, on ne va pas le laisser faire tout le boulot quand même ?

- On fait comme d’habitude alors, Sentier. Fit Silence, sans intonation dans sa voix calme mais autoritaire.

Les mercenaires s’échangèrent un regard et semblèrent d’accord sur l’initiative. Une fois de plus Yrian était exclus de cette compréhension initiale sur les tactiques de ses compagnons. Il ne put que suivre ses camarades alors qu’ils s’élançaient vers l’ennemi, leurs armes au clair.
En pleine charge, Douleur lui résuma rapidement leur stratégie entre deux expirations.

- On rejoint les fuyards par le flanc… On supprime ceux qui auraient pu nous voir arrivés puis on se mêle au groupe… On perce assez loin pour ne pas être confondu par les alliés… Les ennemis font rarement la différence en pleine fuite, on reste fondu dans la masse puis on essaye de remonter le plus loin devant… On attend le signal puis on se retourne contre eux… Soit on arrive au bout des troupes et on les fauches en plein mouvement… Ou l’on arrive à intercepté l’état major et on s’engage contre eux uniquement… Rien ne t’empêche de donner quelques coups à l’entourage en pleine insertion, ca passera inaperçu tant que l’on ne te remarque pas et que cela semble maladroit… Relève bien ton foulard, on ne veut pas être reconnu… Ton apparat de sentinelle te servira…

Sa description finit juste assez tôt avant que Silence et Sentier n’impacte la ligne d’ennemis, glaives et poignard taillant la première ligne d’adversaires d’une union parfaite, optimisant un maximum leur vitesse d’attaque afin de profiter un maximum de leur effet de charge. Un clignement de sourcil plus tard, les voici qui continuaient leur course parmi les fuyards, surpris par la perte de certains de leurs compagnons mais insouciant de l’insertion des nouveaux venu, habillés de manière similaire.
En effet, par moment Yrian pu remarquer quelques moulinets effectués par ses camarades, mais seulement parc qu’il était conscient de cette technique. Les mauvais hommes n’eurent aucune réaction et quand bien même certains se doutaient d’une étrangeté, leur hâte était telle qu’ils traversaient les rangs si rapidement qu’une réaction était quasiment impossible…

(ouarf!! que de lecture!! et que de baston )

La conscience de son inconscience lui revint à l'esprit. Une voix lui demandait d'ouvrir les yeux. Mais quelle voix?? il ne l'a connaissait pas. L'idée de la reconnaitre lui vint meme pas. Puis une sensation de douleur, puis une deuxieme, puis d'autres sur tous le corps le fit revenir à la lumiere, qui l'éblouit un peu, mais c'était très peu en rapport avec ses blessures. Krohr le nain regarda en l'air. Il vit beaucoup de poussiere entre ses yeux et le ciel. il en était rempli. Couché sur le dos, il leva la tete dans d'affreuses douleurs pour vois son corps rougeoyant de sang. Il vit alors d'autre corps autour de lui..Des cadavres plutot ça et là, du sang des armes. Des armes?? Il chercha du regard se hache. Il l'a trouva rapidement sur sa droite, mais aussi sur sa gauche. Elle gisait tout comme lui dans la douleur, seulement en deux morceaux. Le nain vérifia tout de suite l'hypothese qui se fonda dans son esprit. Il sonda ses bras et ses jambes et fut heureux de les sentir, meme dans la douleur.

Que lui était il arrivé?? Il se souvenait d'une bataille en Rohan, au gouffre de helm, puis de l'arrivé sur les champs de Pelennor, puis d'une charge magistrale...Puis le noir total. La bataille devait etre monumentale, et lui était à terre. Il avait survécu, mais à quoi?? Comment s'était il trouvé là?? Il avait du mal a respirer. Un souvenir lui revint. Une cavalerie de rhun l'avais sauvagement pietiné. Il avait eu beaucoup de chance, pensa-t-il, comme souvent il en avait eu.

Ses oreilles se mirent à siffler et il put alors entendre. C'est vrai, reconnu-t-il il n'avait encore rien entendu. Il fut soulagé du fonctionnement de son ouie, mais il fronça les sourcils lorsqu'il entenduit des bruit de combats, cliquetis darmes et armures, ainsi que des cris de guerre. Il repéra ces sons derriere lui. Il roula alors sur le ventre et poussa sur ses bras pour se reveler. Il découvrit alors un poignard planté sur son épaule gauche. Il toussa et cracha ses poumons, ainsi que pas mal de sang. Ne trouvant la force de se relever, il se mit a genoux. il souleva son bras et serra son poing contre l'arme, et l'a retira d'un coup.

Un hurlement grave se fit entendre...Le nain retomba a terre dans un "blaf" grondant...

Yrian suivit les autres mercenaires en toute hâte était donné qu’ils n’avaient pas fini de lui expliquer le plan qu’ils étaient déjà partit. Courant dans au beau milieu des troupes ennemis ils accélérèrent la cadence et après un bon temps passé à galoper au milieu des troupes, ils se regardèrent un instant et dans un clin d’œil perfide ils se retournèrent.

Douleur et Yrian prirent immédiatement place à l’arrière bandant leurs arcs nouvellement armés par des flèches de l’ennemi volées récemment. Les trois premières flèches d’Yrian fauchèrent les rangs ennemis tuant trois soldats qui s’effondrèrent au sol entraînant dans leur chute deux camarades qui tombèrent à leur tour. Dans leur empressement ils n’avaient pas eux le temps de se repositionner, mais maintenant ils le firent Douleur prit la position de gauche et Yrian celle de Droite, les autres sortirent les lames et fauchèrent les rangs ennemis.

Le dernière recrue visa le second rang ennemi affinât de limiter le nombre de soldat au contact et une fois ses flèches épuisés il dégaina sa lame qui, au soleil brilla de mille éclats éblouissant les ennemis.

Les soldats ne pouvaient freiner leur allure car si ils le faisaient ils seraient piétiner par les rangs situés derrière eux. Le groupe de mercenaire s’écarta légèrement de façon à laisser passer un soldat entre chacun, ils tuèrent ainsi nombre d’harradrim.

Le régiment du drapeau comptaient actuellement une vingtaine de soldats, ils étaient épuisés mais continuaient le combat, pour l’arbre blanc !

Mennetor, n’était pas bon soldat mais un chef charismatique qui savait enflammer le cœur de ses troupes pour les mener à la victoire, épaulé de Alur et Marco il réorganisait le régiment.

– pour l’arbre blanc, en avant !

Et sous le soleil le régiment du drapeau courut épuisant leur dernière réserve d’énergie et fauchant les harradrims en nombre.

La bataille touchait à sa fin ! du moins pour son régiment

Morgoth avait continué de combattre avec ardeur, mais tout a une fin et la fatigue commencait a venir.
Il rengea la falchion qui commencé à peser et pris son épée a deux main pour utilisé moins d'energie...
Depuis combien de temps n'avait il pas mangé?? Il ne le savait meme plus, a son avis plus de 4 jours et son estomac commencé a lui lacérer le ventre. Mais sa vie comptait plus que sa faim.
Morgoth se rendit compte que les ennemis fuyaient vers l'Anduin, et aussi qu'il faisait nuit, mais cela ne le gené que peu.
Puis il se retourna pour rejoindre vers les autres mercenaires qu'il avait repéré, quand il sentit une douleur dans le dos.
Subitement il lanca un coup d'estoc vers l'arriere, et se retourna pour decapité son adversaire dont la tete partit sans aucun effort.
Un Guerrier de Rhun lui avait donné un coup de masse. Une masse gondorienne en plus, surement recupéré par terre.
Mais le coup lui avait surement brisé l'omoplate et pour cela Morgoth revint vers l'arriere pour allé retrouvé le groupe de silence...
Quand il arriva il leur fit sans ton precis :
-Aucun probleme de votre coté??

Huragorn vit enfin le roi nain. Il était en difficulté, a terre, et quelque nain le regardait sans grand espoir. Huragorn trancha un ennemi en deux, et couru auprès de Krohr. Quand il arriva, le nain commençait a se relever.
"Mon roi tout va bien?"
Hura' s'inquietait pour lui, car le courage des nains pourrait tomber si le roi mourrait. Ou peu être qu'il redonnerait encore plus de argne au guerrier. Mais Huragorn ne preferait pas savoir. Il compris que le roi était encore desorienté, et il prefera retourné au combat. Une mélée tenait lieu a quelque bond, et Hura' fut bientot dessus. Le maitre hacheur sauta dans le tas en ecrasant la tête de deux ennemi d'un coup de haches. Le combat faisait rage et le nain redonna l'avantage a son groupe. Il trancha la carotide d'un guerrier sauvage, coupa les tendons du genou d'un autre. Bientot, cinq nains, et une dizaine de cadavre, se trouvait a leur pied.
"OUAI! EN AVANT!!!"

Posant un genou à terre, Silence passa son bras sous celui de son adversaire et, agrippant son avant bras, appliqua une torsion dans le sens inverse de l’articulation du poignet pour le faire basculer, dirigeant son mouvement de telle manière à ce qu’il passe par-dessus son épaule, s’effondrant lourdement derrière lui, là où Yrian ou Douleur pourrait facilement l’achever.
Sa posture le permis par la suite de lacérer les tendons ou déséquipé les ennemis de leurs jambières, incapacitant l’usage de leurs jambes ou rendant celles-ci vulnérables pour ses alliés en soutien derrière lui.
Le mercenaire s’étonna un instant de voir apparaître Morgoth. Les rangs ennemis les avaient déjà entièrement dépassés ? Si tel était le cas, ils devaient se hâter de reproduire la manœuvre. Après tout, le temps fuse si rapidement quand l’on est tellement concentrer dans l’art que l’on chérie le plus… Profitant d'un creux dans le combat, Silence répondit à Morgoth, sans pour autant quitter ses ennemis démoralisés d'un regard prédateur.

- A merveille. C’est la fin pour eux de ce coté là. Le reste de l’armée s’occupera du reste… Rejoint nous, allons épauler le reste de l’armée sur l’autre flanc… J’aimerai tout particulièrement croiser les capitaines durant notre percée…

- Toi et ta manie à collectionner les trophées… Commenta Sentier, décapitant un fuyard qui vint lui-même rencontrer son glaive, alors qu’il n’avait fait qu’étendre son bras sur son chemin.

Ce flanc semblait sécurisé, les mercenaires n’avaient cependant aucune idée du déroulement de la bataille du coter des nains, ni même du centre. Le desespoir parmi leurs ennemis était de plus en plus palpable. La déroute était proche à en croire la facilité avec laquelle ils pouvaient désormais taillés leur chemin parmi leurs rangs pourtant si compactes...

Ayant du s'éloigner de ses alliés à cause du risque que son jeu de masse pouvait représenter pour ses alliés, le général s'arrêta pendant quelques seconde, protégé par quelques soldats alliés... il regardait le ciel, un légère pluie commença à s'abattre sur les champs...
A ce moment là, un soldat ennemi en profita et en se fofillant dans la garde qu'effectuaient les alliés et frappa de toutes ses forces, vers la tête du général. Ce coup de taille s'arrêta sec surr le casque du général qui volla tout de même vers l'arrière. En un regarde sans vie vers le responsable, le général l'attrapa par le coup, il dit alors :

Tu va regrêter amplement ce que tu as fait misérable

Un coup plus fort suffit alors à le faire évanouir, le général le lacha, l'ennemi tomba au sol boueux et ordonna à un soldat de l'enmener vers l'arrière et d'en prendre soin...

Il se retourna et alla récupérer son casque...

Les gdks en pointe de l'assaut nain vers le flant nord-est avançait inexorablement...
Dorin aperçu le roi nain et pria aule pour qu'il s'en sorte. Les hommes de l'est continuaient de fuirent mais la cavalerie lourde ennemi s'élança. Ils chargèrent les nains en repoussants leur allié et allant même jusqu'à les écraser pour les tuer. Les nains se prirent l'assaut de plein fouet et tout le flant est jusqu'au gardes fut détruit ou mis en déroute. Alors les nains commencèrent à résister. Un cavalier chargea Dorin. En un instan il analysa le carapaçon de la bête et en déduit que seul son ventre pouvait être ateint. Alors que le cavalier arrivait sur Dorin celui-ci s'élança sur le côté, pris appui sur son pied droit, il sauta sous le ventre de l'animal et lui donna un coup dedans. Continuant son élan il évita le corps de labête se releva et acheva le cavalier à terre. Dorin rangea sa hache, pris son arbalète et commença à tirer des carreaux dans les cavalier ou dans leur monture. Presque tout ses tirs faisaient mouche ou allaient tuer d'autres cavalier. Lorsqu'il eu utilisé ses 30 carreaux il se cacha derrière un corps de cheval et rechargea. Alors qu'il allait se relever un cheval lui sauta par dessus, rapidement, Dorin envoya un carreaux dans le ventre de l'animal.

[HRP] la bête noire des nains nous attaque, la cavalerie (lourde en plus)! [/HRP]

Morgoth afficha un sourire mauvais a la proposition de silence.
"Ho mais avec plaisir repondit il, cela vous dit de compté le nombre de capitaine tué, bien sur on ramasse un trophé a chaque fois. Deja un pour moi, dit il en montrant la falchion et la cote de maille mise par dessus la sienne vu la largeur de l'oriental qui la portait et la legereté de l'armure d'apparat. Maintenant au combat!!"
Il appuya le mot combat car quelque dernier homme eurent la folie de les attaquer, Morgoth donna un coup au niveau du crane de l'un des Variags qui fut lobotomisé (lol), et un deuxieme qui loupa de peu l'homme qui en profita pour envoyé un autre coup qui cette fois ci toucha l'omoplate brisé de morgoth. Heureusement que les cottes de mailles etaient la, mais la douleur n'en fut pas amoindris, Morgoth poussa un hurlement de douleur et de surprise, car il arrivait a reduire la douleur en utilisant peu son bras gauche, mais la l'épée toucha net et morgoth trancha litteralement en deux son adversaire.
-Gnnn... il n'aurait pas du...
Morgoth se calma mais avait toujours mal, cela se voyait car il serrait les dent a chaque mouvement.

Mode PNJ :ON
Veliaf Urtz devait se tirer les cheveux.
Seul le front tenait...et encore...

Il décida de lancer ses dernières forces dans la bataille.Il lui restait un mince espoir de déstabiliser les gondoriens...si le Roy venait à tomber.

Anisi les ceinquantes cavaliers se dirigèrent vers le front.
A la vue de l'étendard royal de Khand, les hommes furent revigorés quelques peu.
Mais, sous la pression de l'armée gondorienne, pas pour longtemps.

Mode PNJ: OFF

Radamanthe remarqua l'arrivée du capitaine de la flotte,blessé.
Ansis il avait su en réchapper. Son oeuvre avait utile, bien que douloureuse pour nous mêmes.

Quelques soldats s'occupèrent de lui.
On pouvait maintenant soigner les blessés sur place, car les Khands ne faisaient que perdre du terrain.
Ils ne fuyaient pas encore, mais on les repoussait de plus en plus.

Un homme de Khand qui croyait encore à la victoire s'intéressa au Bourreau.
Il lui entailla le bras, et pendant que Radamanthe lui rendait la pareillede sa hache, un soldat gondorien lui enfonça sa lame dans la gorge.

Le Bourreau continua de suivre le mouvement, après s'être noué un bandage au bras.

La bataile continuait mais jamais on avait été aussi proche de la victoire.


HRP:
Actualisation de la carte.Merci Silence!

NB: Il se peut que les nains doivent être un peu plus à l'ouest.

Un son de cor se fit entendre...Un soldat humain se tourna vers son compagnons:
-Ce n'est pas un cor d'orque...
En effet ce n'était pas un cor d'orque...Comment ce banal soldat avait il put le remarquer?Etait ce un musicologue refoulé?Non c'est juste que les cor orques sonnait très différement des cors elfes...
Derrière les lignes ennemies une masse blanche et lumineuse avancait entourée d'un nuage de poussière.Des cavaliers en masse mais aussi des fantassins et des archers.Ils avaient quitté la forêt noire et s'était haté trois jours durant pour rallier la blanche citadelle.A leur tête Ecthelion et Rustor,les seigneurs des elfes, plus lumineux,fiers et hautains que jamais...La bataille n'était pas finie...
[si un mj pouvait nous dire comment réagissent les orques ca serait bien..]

Ce ne sont pas des orcs !
Hmm,attendez peut-être encore un peu avant d'arriver,les Orientaux sontencore apable de tenir quelques temps
Rad'