Quand l'acier mord nos chairs

Berund avait vu l'armée attaqué... Il était rester avec les quelques marins en retrait pour se porter la ou l'on aurait besoin de son aide... Voyant un point faible dans le dispositif ennemi, il chargeas avec ses compagnons...

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Le prince de Berthil frappait de taille et d'estoc. La lame noir de Turin Turambar prenait vie sur vie avec joie...

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Berund était maintenant au coté de son Roy... Il se battait comme un fou au coté du desendant d'Aragorn, au coté d'un de ses parents... De nombreux officier etait la... Des rangers, des cavaliers... Tous voulaient se faire remarquer par le Roy...L'honneur de la flotte etait donc en jeu, et Berund le defendrait vaillament

La charge de la part des deux armées avait crée un terrbile choque et de lourdes pertes des cotés, malgré ceci le capitiane remarque que les hommes du gondor se battaient avec fierté et rage, ils tenaient correctement leurs positions contrairment aux ennemies eparpillés sur le champ de bataille, la stratégie mis en place était terriblement efficace, sur ce point nous étions superieur, mais ils possedaient un plus grands nombre d'homme ainsi qu'une haine inébranlable. Mais il fallait à tout pris resister pour tous, hommes, femmes, enfants qu'ils soient elfes, hommes ou nains.


Alors que Khazad revassait un homme d'une carrure spectaculaire parmis les hommes de l'est s'etait rapproché du capitaine tete en l'air qui se fit suprendre et encaissa un coup d'une violance inouit...

- Hum cela m'apprendra à revassait pendant une bataille quel crétin j'aurais pu me faire tuer...[i] dit il a voix basse

- Toi la ! L'homme des cavernes, tu n'aurais pas du me louper le premier coup !!! TU VA PERDRE LA VIE !

Puis sur ces paroles remplient de rage le capitaine sem it à fixer le grand barbue qui lui avait assenait un coup, il se mit en position, un duel allait commencer...

Le descendant de la baronnie des montagnes blanche ce batait vaillament.
Dans un élan , il frapper et trancher des ennemis bien supérieur en nombres , quand soudain il entendit une voix étrangère.
Eosfel savait parfaitement maitriser plusieurs langues , le simarin , le haradrim et la langue de Khand.

_REPLIEZ VOUS , REPLIEZ VOUS ! Crier un général a ses troupes eparpillés sur le champ de bataille.

Aprés avoir achever un enemis , l'ecuyer remarqua que la ligne de khand reculez , soutenue par des salve d'archer enemis.

_Tenez vos positions. Conseilla l'ecuyer aux quelques hommes encore vivant a côté de lui.

En effet , derière les fantassins de khand , des centaines de formes imposante était rassembler.

_Qu...oi ?! Cria abasourdi l'ecuyer en tentant un regard vers le combat qui ce faisait rage , l'état major gondorien sembla ne pas avoir remarquer. que des centaines de chars , tirer par d'énorme chevaux de guerre était pret a charger.

_Goutez a notre supériorité , minables. Dit un homme , dans la foule enemie.

Yrian partit un peu en avant avec son accoutrement d’homme du harad, il put voir des machines de guerre sur le côté passant par la rive il alla repartit pour prévenir le groupe de mercenaire, se baissant pour ne pas être remarqué il arriva enfin vers ses supérieurs.

Des catapultes traversent la rive elle sont tracté par des chameaux et il n’y a que peu de garde et les servants des machines j’en ai compté trois environ, puis je suis partit : ils sont anxieux.
Qu’est-ce que l’on fait ? On va tuer les servants ?

Yrian attendit les directives de ses supérieurs.

Nabz combattait de toutes ses forces mais les ennemis continuaient d'arriver. Ils leurs étaient supérieurs en nombre. Ils devaient être trois à quatres fois plus que les défenseurs de la cité blanche.
Le ranger fendait les cranes et tranchait les têtes, jusqu'à ce qu'il n'y est plus personne à quelques mêtres à la ronde. Il vit un cavalier en difficulté qui éssayait de combattre une marée d'hommes de l'est. C'était penne perdu. Le cheval du cavalier s'affala au sol. Le cavalier prit son bouclier et son épée et se protégea du mieux qu'il put. Nabz partit au galop vers lui avec son cheval. Il demanda de l'aide à quelques soldats qui le suivirent. Il s'élança alors vers ceux qui encerclait le cavalier. Dans leurs rangs, il découpa le plus qu'il put, et entendait que les soldats qui le suivaient faisait de même. Le combat faisait rage. Nabz frappait avec toute la puissance qui était dans son corps. Son épée lui paraissait de plus en plus lourde. Un homme de Khand le surprit et l'attaqua. Nabz n'eu pas le temps de parrer mais son armure encaissa le choc. Celle-ci étaient fendue dans le dos, à la poitrine et sur une épaule. Le ranger se prenait des chocs d'une puissance étonnante, voire stupéfiante. Il tomba à terre. Il n'avait plus d'énergie. Mais avant de fermer les yeux, il put voir que le chevalier qui était au début encerclé se battait avec honneur. C'est la que Nabz ferma les yeux. La petite flamme de lavie s'éteignait peu à peu, jusqu'à ne plus exister...





La flamme se ralluma à nouveau en lui. D'une taille minimale, certes, mais elle était la. Il eu assez d'énergie pour ouvrir les yeux et il découvra alors qu'une personne était en train de le soigner, un peu en arrière de la bataille. Les soldats qui accompagnaient le ranger avant son évanouissement se tenait à ses cotés.

- Que ... que c'est-il passé ? murmura le ranger.
- Vous êtes tombé aprés vous être fait roué par de coups. Ils étaient une dizaine sur vous lorsque vous êtes tombé. Nous ne nous en étions pas rendu compte, jusqu'à ce que le chevalier nous l'ai signalé.

Nabz ferma les yeux et les rouvra immédiatement.

- Où est mon armure ?
- Nous vous l'avons enlevé. Elle est trés abimée...

Nabz se remit sur pied avec beaucoup de mal. Il mit son armure qui avait été déchirée par les sabres. Il se prépara de nouveau, mais cette fois-ci, il avait un affreux mal de tête et il avait une entaille dans l'épaule gauche. Le guérisseur qui était en train de soigner cette blessure lui dit:

- Vous pouvez repartir.

Nabz le remercia et repartit sur son cheval vers le coeur de la bataille. Il lui avait trouvé un nom...

Morgoth cette fois ci etait sans son manteau, car il voulait effrayer les adversaire qu'il aurai a combattre. Son habit faisait un contraste d'ombre autours de lui.........
Il sortit son épée.....les combats deja commencé, morgoth n'avait pas encore touché d'ennemi....
Puis Il chargea, il allait vite meme pour un elfe, son épée etincellait au soleil....puis il l'abbatit sur un ennemis qui n'eu rien le temps de faire.
Puis sur Un deuxieme, et ainsi de suite...puis il rencontra un autres plus resistant cette foix si.
L'homme faisait au moins deux metre, un carrure forte, et une hache a deux main monstrueuse......
Morgoth la frappa, mais l'homme esquiva le coup trop lent de Morgoth qui avait sous estimé son ennemi.
L'homme riposta a une vitesse grandiose pour une hache si lourde, morgoth parra le coup avec force, son épée fit une marque sur la hache de l'homme, qui retenta de donner un coup que morgoth parra de grande justesse se qui fit que le plat de la hache lui donna un coup au ventre.
L'elfe se plia en deux laissant croire a son adversaire qu'il souffrait horriblement, l'autre souleva sa hache avec un sourire et de la fiereté car tuer un elfe n'est pas donné a tout le monde, mais Morgoth s'y attendait et quand la hache fut assez haute au dessus de l'homme, morgoth pris son épée et trancha les jambe de celui ci qui poussa un cri de douleur, pui il lui planta la tete pour l'achevé...
Morgoth se senti comme plus fort quand il vit tout se sang, il regarda autours de lui, es adversaires jesité a l'attaqué, mais nombreux ils pouvait peu etre le battre, Ils le chargerent.
Morgoth en abbatit trois, mais d'autres venait...un soldat du gondor l'aida, mais les ennemi nombreux le tuèrent et blessèrent Morgoth a la jambe et entre l'épaule et le torse a gauche, morgoth en decima quelque autres.
Son habit se dechiré sous les coups de ses adversaires qui eux aussi tombé quelque fois sous ses coups, et cela lassa aparaitre une longue cotte de maille noir, mais elle ne le protegea que peu.......
Il ne tiendrait pas longtemps et il cria en langue commune :
-AIDER MOI!!!!!!Je ne tiendrait pas!!!!!!!!

Le coup fut si violent que l'apprentit chevalier cru que sa tête allait exploser.
Il serra les dent bien fort jusqu'à ce mordre la lèvre a sang , et encaissa le coup.
Un soldat de Khand lui avait assener un coup des deux mains sur la tête.
Avec facilité , l'ecuyer le coupa a hauteur des côtes , ses flanc étaient à découvert.

_Par tous les dieux , ils veulent ma mort ou quoi ? Demanda l'ecuyer a un gondorien en retirant sa lame d'un cadavre.
_Je le croit bien messire. Répliqua le gondorien avec un sourrire.
_Comment tu t'apelles soldat ? Dit l'ecuyer en esquivant un coup et en répliquant d'un moulinet ravageur.
_Esmerol , fils de Tatedrel , gardien de la citadelle.

Aprés , la mélée fut si confuse que les amis ce perdèrent de vue.
La seule chose qu'aperçu l'ecuyer entre deux victime , c'était le corps sans vie d'Esmerol , fils de Tatedrel dans la boue du carnage de la guerre.
Eosfel promis de le venger , et de venger toutes les morts des soldats gondoriens.

Huragorn se tenait toujours près des trebuchets, mais pour l'instant, aucune machine de guerre ennemi n'était passé a porté. Mais soudain, un grapin passa par dessus les crenaux, et arracha la tête d'un defenseur de la citée blanche. Huragorn se leva, et alla voir. Il fit un bond en arrière. Une trentaine d'ennemi, bien armé, avait passé les defenses pour venir s'attaquer au machine de guerre. Le nain réagi immediatement.
"A l'aide! les defenses sont percées!! Amené des hommes ici!"
Un cor sonna non loin, et les homme prirent leur armes, alors que certains arrivaient. Huragorn se plaça a porté du grappin. Le premier hommes arriva, une flèche lui transperça le cou. Mais deux autre grappin arrvièrent, et les homme commencèrent deferlé. Le plus proche couru sur le nain, mais une hache de lancer se planta en plein dans son crane. Il s'ecroula, laissant aparaitre plus de guerrier encore. Ceux ci étaient mieux entrainer, et tuaient a tour de bras les pauvre gardes de Minas Thirit. Hura' lança une autre haches, qui se planta dans les côte d'un autre assaillant, et pris ses arme de corps a corps. Il fonça dans les rang adverse. Il esquiva un coup, coupa le genou a un sauvage, para une lame, esquiva de peu une flèche. Le combat était sanglant, et les ennemi étaient peu differenciable des amis. Soudain, un bruit sourd retentit. Un morcerau du trebuchet venait de ceder, et il s'ecrasa devant le nain. Plusieurs hommes passèrent dessous, avec un bruit peu apetissant. Le nain profita et sauta sur la planche pour etre plus elevé que ses adversaire. Mais en fait, il faisait la même taille qu'eux maintenant. Il en prfita pour couper une tête, et sauté par dessus les coups maladroit de certains.

Morgoth etait au bord du relachement, quand il vit quelque soldats gondorien en train de combattre et un ecuyer valeureux (Eosfel).
A se moment Morgoth tenta d'avoir l'attention de celui ci car il combattait vraiment bien, morgoth lui cria :
-AIDE MOI ECUYER DU GONDOR AIDE MOI!!!!!
Les ennemis autours de lui peinaient a le toucher, mais chaque blessure en plus epuiser morgoth, "les guerrier de Khand sont vraiment de bon guerrier pensa t'il, mais je suis meilleur"...
Il fit des moulinet avec son épées, qui abbatirent 3 d'entre eux, mais une masse vit s'abbatre dans son dos, qui fit chuté Morgoth....
"Il faut qu'il vienne vite pensa t-il en se relevant avec faiblesse et en mettant un coup d'épée au massier qui venait de le frappé"
Des larmes commencèrent a couler le long de ses joues, "la mort pensa t'il, la mort m'appelle, mais je ne veut point rejoindre les valar maintenant.......qu'il m'aide je vous en prie"
Morgoth continua de combattre en attendant une reaction du jeune ecuyer ou de quelqu'un d'autre ou alors la mort.....

Le mercenaire crut mourir. Il n'en fut pas ainsi. Le cheval blanc du Roy percuta sauvagement le tombeur de Morgoth, son cavalier lui décapitant promptement la suite par après. Les chevaliers du Roy suivaient, amoindirs certes, mais toujours fiers et élégants, la lune scintillant sur leurs armures blanches.

"Il faudrait les pousser vers le fleuve. Berund Fils de Berunda, le Capitaine de la Flotte, les y attends et sa garnison est fraiche. Ils seront de cette façon pris entre le marteau et l'enclume !

Il tendit la main à Morgoth et le releva. "Il est encore trop tôt pour mourir tu ne trouves pas ?"
Il pensa ensuite au mercenaire Silence. Depuis le début des hostilités, il ne n'avait plus vu, lui et sa bande. Pourtant, leur aide était très précieuse au yeux du Roy.

Du bruit et encore du bruit , pourtant parmi les cris de guerre , les sanglots et les appels à l'aide , j'entendis clairement la voix de mon Roi qui s'adressait à ses soldats , les vaillant défenseur de Minas Tirith :

"Il faudrait les pousser vers le fleuve. Berund Fils de Berunda, le Capitaine de la Flotte, les y attends et sa garnison est fraiche. Ils seront de cette façon pris entre le marteau et l'enclume !"

J'allai essayé d'accomplir l'ordre de mon Roi et seigneur et tenant fermement la bannière je répétais l'ordre aux autres soldats aux alentours .

Le sens de la bataille allait changer , nous allions enfin peut-être gagné un avantage décisif depuis le début de la bataille ...

Nabz voyait la bannière que portait 1412. Il comprit tout de suite ce qu'il éssayait de faire: repousser les hommes de l'est vers le fleuve, pour que l'armée marine les attaquent et les prennent à revers. Nabz remonta sur son cheval d'un bond et s'élança vers le porteur de la bannière. Il trancha quelques personnes et coupa quelques têtes, jusqu'à ce qu'il soit arrivé plus trés loin de 1412. Il avait du mal à se battre, porter la bannière, et en même temps mener les hommes de l'est vers le fleuve.

Nabz alla l'aider. Il vit alors trois mages qui éssayaient tant bien que mal d'arriver aussi porter main forte à 1412. Le ranger décida d'aller les aider.

Une fois arrivé à coté d'eux, il demanda:

- Lightelf, tu as besoin d'aide ?

Le chaos générer par l’impact des deux armées dévia pour un court instant l’attention de tous. Certains n’osèrent pas observer cet instant initiale mais pourtant critique du combat. D’autres, tel que les griffes d’Ammoth l’ignoraient totalement, l’esprit marchant déjà le sentier d'un plan d’action prédifini à l'avance.
Yrian avait visiblement suivit les directives et perçu le mouvement des machines de guerre à courte portée. De terribles engins de destruction désignés à éparpiller les régiments en réduisant leurs rangs donc leur renfort pour quelques précieux instant... Donc de parfaites cibles pour une bande de mercenaire qui cherchait avant tout à faire valoir leur rôle sur le déroulement de la bataille bien avant la bravoure au combat…
D’un même élan, les trois mercenaires déguisés s’élancèrent vers les machines de guerre, sans pour autant être directement tourné vers elles, mais donnant plutôt l’impression d’un repli. Derrière eux, Douleur se faufilait entre les différents couverts à sa disposition, échangeant un coin d’ombre pour un autre, son arc désormais armé et prêt à l’utilisation. Yrian remarqua d’ailleurs qu’elle était armée de munitions spéciales, des espèces de bouteilles pleines de liquides remplaçant le fer de ses flèches. Il n’eut pas à attendre longtemps pour comprendre leur utilisation.

Déviant soudainement de leur trajectoire, les trois mercenaires déguisés se ruèrent sur les servants des machines de guerres, simultanément supporter par les tirs multiples de Douleur qui chargeait son arc de deux carreaux à chaque tentative. Les projectiles criblèrent les machines de guerres, déversant leur contenu sur le bois sec qui s’empressa de l’absorber.
Après avoir fauché la première ligne de servants totalement démunis qui découvraient la supercherie malgré eux, Silence et Sentier profitèrent de l’instant, où les soldats à proximité se dispatchaient pour venir à leur rencontre, pour sortir des briquets et les jetés en directions des machines…

Une spectaculaire implosion eut lieu quand le liquide incendiaire entra en contact avec la flammèche des briquets, illuminant le champ de bataille pour un court instant.
Les ennemis furent partagés entre la surprise et l’inquiétude, incertain quand à la nature de cette explosion. Pour les plus proches spectateurs, cette prouesse les effraya et peu réalisèrent que cela venait des mercenaires.
Dans le chaos générer la dispersion des débris, Silence et Sentier se jetèrent sur Yrian pour le coucher à terre, celui-ci n’ayant pas initialement compris les ambitions de ses camarades. Les servants et la plupart des gardes à proximité furent tués soit par les jets de liquides ou les débris, les rares survivants finissant soit sourds, aveugles ou pris par de terribles spasmes cardiaques.

Bien qu’ayant générer l’attention d’une grande part de l’armée adverse, les trois mercenaires s’en tirèrent à nouveau miraculeusement grâce au soin qu’ils avaient apportés à leur déguisements. Se redressant parmi les survivants, certains soldats ennemis s’élancèrent même à leur rencontre pour les aidés.
Feignant d’atroces douleurs, les trois mercenaires furent conduits pendant plusieurs dizaines de minutes vers le campement. Cependant, leur projet ne prenait pas en compte une infiltration sur le long terme où bien sur ils auraient pu avoir un impacte tactique indéniable en étant si proche des ressources et de l’état-major adverse. Cependant, les officiers mercenaires n’avaient pas voté pour cette prise d’opportunité, visant d’avantage un impacte stratégique indéniable mais courte en application, afin de pouvoir tenir le reste du combat en situation de siège plutôt quand infiltration, situation qui nécessitait beaucoup plus de planification et de moyens, chose qui manquait avec l’avancé spectaculaire des forces ennemis sur le territoire du Gondor.
Les ‘rescapés’ dépassèrent les premiers régiments d’infanterie qui se bousculaient pour reprendre le poste de leurs congénères mort sur le front. Ils étaient si nombreux et leur disposition si bien réfléchie… Les mercenaires remarquèrent alors une nouvelle colonne de machines de sièges, cette fois placés en retrait et en plein chargement. Il n’y avait qu’une dizaine de gardes derrière une palissade de bois qui faisait office de fortification. Encore une cible vulnérable et utile à l’armée adverse…
Arrivés à proximité, Silence et Sentier retournèrent leur veste et s’en prirent à leur ‘sauveurs’. L’élément de surprise leur permis à nouveau de venir rapidement à bout de leurs adversaires par l’enchainement de quelques techniques de corps à corps visant d’avantage à rapidement incapacité plutôt que directement tué, par soin pour les précieuses secondes grignotés pour rejoindre les machines de guerre. Silence dégaina son poignard et s’élança en premier sur la palissade, l’escaladant habilement avant d’accueillir ses défenseurs de quelques coups de pieds en gage de diversion. Il fut rapidement suivit par Sentier, beaucoup plus lourd mais étonnamment aussi habile que son confrère, engageant les défenseurs sur un autre point de la palissade, visiblement confiant en la capacité qu’avait son camarade à s’en sortir tout seul, il faucha de son coter les gardes relaxés par la confiance de leur abris, nourrissant de leur sang les glaives assoiffés de carnage du mercenaire à l’allure tout aussi peu accueillante. Yrian fut laissé sans directives, dans l’attente de lui d’une initiative digne d’une Griffe d’Ammoth. Douleur quand à elle n’avait pu suivre ses camarades de la même manière, mais nul doute qu’elle trouverait un moyen de profiter de la confusion pour s’infiltrer à son tour, à moins que l’on attende d’elle autre chose…

Yrian dut réfléchir rapidement, aidé douleur ou aller aidé les autres. Après une rapide réflexion il se pensa à l’orgueil de Douleur et estima préférable d’aller rejoindre les deux hommes.
Voyant un rocher pouvant être atteint facilement et suffisamment haut pour lui offrir une bonne vue, le mercenaire partit vers celui-ci en bandant son arc tout en courant, geste qu’il exécuta par simple reflex. Confiant en ses camarades Yrian ne les aida pas préférant voir d’où viendrait les renforts, il distingua l’endroit rapidement, situé près d’une petite colline, endroit assez plat qu’il pourrait facilement défendre si Douleur daignait réapparaître.

Voleur dans l’âme Yrian avait voler quelque fameuse flèche avec leur flacon et une pour enflammer le tout. Les troupes ennemies ne tardèrent pas à rappliquer par le fameux endroit, le mercenaire tira les flèches avec les flacons puis il enflamma le tout.

Le passage bloqué pour un moment il sauta du rocher et se dirigea en courant vers les machines de guerre, ne s’arrêtant que pour escalader la palissade. A l’intérieur Silence et Sentier avait fait le ménage et une idée vint à l’esprit du nouvellement recruté.

eh les gars si l’on retournait une de ces machines et que l’on tirerait sur l’ennemi cela attirerait ce dernier et nous pourrions facilement défendre le passage avec Douleur en tirant à l’arc .

Yrian attendit la réponse de ses supérieurs.

Au beau milieu du combat se trouvait Mennetor, il combattit un homme de bel taille ce dernier lui donna un coup en estoc évité de justesse mais l’écuyer répliqua avec un coup descendant qui trancha l’homme. Le demi soldat n’était pas habitué au combat mais la légèreté de son épée lui permit de continuer à se battre. Regardant autour de lui il aperçu Alur qui combattait un mauvais homme aidé par Marto. D’un pas rapide et prudent il se dirigea vers les deux soldats qui combattaient comme des diables.
Les haradiens arrivaient toujours en nombre et le régiment commençait à faiblir. Leur chef incompétent était mort et il fallait reprendre les rênes du régiment, car les soldats reculaient légèrement mais reculaient tous de même.

Décidé Mennetor avança dans les lignes du harad accompagné de Marto, de Alur et de quelque soldats vaillants. Ils s’arrêtèrent de façon à être vu et se positionnèrent en fer de le lance se protégeant ainsi mutuellement. Arrivé devant un chef ennemi accompagné de son porte étendard. Mennetor et ses suivants n’étaient pas des héros ils tuèrent le chef à 5 contre un, et ce dernier tua un des leurs avant de mourir. L’écuyer se saisit de l’étendard ennemi de la même façon que l’on prend un javelot et le lança dans les rangs du peuple du harad. Le moral du régiment revint à son maximal et les troupes avancèrent à leur tour. Le régiment anonyme prit son nom : les lanceurs de drapeau.

Morgoth contrairement a son habitude remercia le roi, car il venait de lui sauvé la vie, Morgoth trouva un cheval seul, il le prit, et en allant vers le roi des cris soudain percèrent le brouhaha des combats......
"DES CHARS, ILS ONT DES CHARS........ET DES DEMI-TROLL!!!!!!!"
Morgoth tourna sa vu vers l'Ennemi, et vu une ligne entiere de chars conduit par de grand chevaux 'attelage, et a coté courant pratiquement aussi vite des demi-troll par groupe de 10 au moins........
Morgoth dit au roi :
-Mon seigneur, je les connais , se sont de terrible armes de guerre......

- Pas l’temps. Répliqua Sentier qui achevait sa dernière victime, tirant son glaive hors de la poitrine du soldat, aider par son pied. Il s’offrit même le luxe de lui piquer sa bourse.

Silence quand à lui s’attaquait déjà aux engins en eux-mêmes, visant les mécanismes principaux. Il s’exclama à haute voix pour Yrian, peu être dans un généreux élan de sa part d’informer le nouveau trop peu accoutumé à leurs tactiques.

- On détruit ou endommage le maximum de matériel avant qu’ils ne comprennent ce qu’il leur arrive. Si on a le temps on conserve les machines les plus utiles pour nous, sachant que pour cela ils doivent être facile d’utilisation mais aussi à désarmer. On veut offrir le moins d’attirail possibleà l’adversaire pour l’inévitable siège à venir.

Pendant ce temps là, Sentier semblait fouiner parmi les munitions en quête de quelque chose de spécifique. Il se releva, l’air ravi avant de se retourna pour prévenir ses camarades.

- On est tombé sur l’gros lot. Y a des boulets incendiaires par ici !

L’enthousiasme de l’homme de Rhûn fut rapidement passé à Silence. Visiblement ses gars là aimaient joués avec le feu, à proprement parler.

- D’accord, t’as gagné l’nouveau. On va s’en servir de leurs jouets.
Puis, se tournant vers Sentier. Aide moi à charger cela là-dessus, j’espère que tu te souviens encore comment cela marche…

- Bien sur ! J’aime les gros jouets !

Le géant ramassa un immense boulet qui faisait la taille d’un nain adulte bien portant et le chargea dans le panier d’un immense mangonneau tandis que Silence s’occupait à disloquer les autres engins du périmètre. Douleur n’avait toujours pas fait signe de vie et le chaos et remue ménage générer par leur intervention ne facilitait pas son repérage… Bien que cela laiderait grandement son infiltration pour peu qu’elle eut l'intiative de rejoindre ses camarades...

Un peu plus bas, une épaisse fumée noir se dégageait du fruit de leur précédente attaque, chose qui n’aidait pas à rassurer les ennemis quand à la sécurité de leur flanc…

Radamanthe était resté en retrait jusqu'à présent.
Les premières charges ne sont pas faites pour un piéton armé d'une hache.

Les premiers ennemis étaient finalement arrivés jusqu'à lui.
Ses habits sombres n'atirraient pas vraiment l'intention sur lui ,aussi en profitait-il pour asséner quelques coups de haches à des adversaires ne se doutant de rien.

Mais bientôt un grand homme le désigna d'un geste rageur.

C'en était fini de profiter de la mélée.
Il allait falloir se battre ,de front.
L'homme c'était rapproché , et d'autres ennemis avaient pris le bourreau comme cible ,mais le chaos aidant encore d'autres soldats s'étaient interposés.

L'homme de l'est leva son épée et frappa.
Radamanthe s'écarta ,pas assez car le coup lui frôla le bras droit.
La déchirure dans le tissu laissa apparaitre un éclat scintillant.
Le coup n'était pas assez fort pour percer la cotte de mithril.

C'est le genre d'événement qui peut causer un sursaut de surprise .
L'instant de déconcentration , celui de trop .Pour l'oriental , il était trop tard pour regretter...

Radamanthe remarqua que la résistence gondorienne était dirigée dans une dirction précise...

*Excellent ,ça se présente bien. Essayer de se rapprocher du front maintenant .*

Il remarqua la bannière de 1412 .
Exactement le genre de repère qu'il espérait trouver .

Avec quelaues soldats ,il se dirigea dans cette direction ,esquivant le plus possible les combats ,distribuant quelaues sournois quand il en avait l'occasion.

Il eut bien vite rejoint le groupe qui menait l'opération sur le flanc .
La visibilité de la bannière encourageaient les soldats à suivre , la coordination était très bonne.

La résistance ennemie était acharnée , et Radamanthe eut tôt fait de recevoir un coup d'épée dans l'épaule gauche . Sa cotte empêcha la lame de lui entamer la chaire mais la violence du coup le fit grimacer de douleur .
L'auteur de cet acte pesta sur lui même d'avoir manqué la tête .

Moi je ne manquerai pas la tienne ! ,souffla le bourreau entre ses dents serrées.
Il fit balancer sa hache d'une seule main ,son épaule gauche trop douloureuse.
Lorsque l'homme tomba au sol ,Radamanthe s'immobilisait un petit temps pour se masser l'épaule . La blassure n'avait rien de grave.

Tant mieux , car la bataille continuait.

HRP//doucement avec les trolls hein? les chars c'est plus plausible