Quand l'acier mord nos chairs

Horgeon et ses garde de khazad faisait beaucoup de morts, bien qu'ils perdaient beaucoup de soldats, certain était blessé: flèche dans le bras, coup d'épée dans l'épaule... Horgeon et quelques soldats s'occupait de les protèger... S'attaquer à des blèssés, quelle honte! Mais dans cette guerre sanglante tout était permis... Horgeon en profitait pour frapper dans des entres jambes, riant en regardant les ennemis grimacer de douleure... personne ne pouvait atteindre cette partit à un nain... On sait la protèger! Horgeon retourna avec ses hommes qu'il avait fait regroupé, non sans problème... Il s'était fait frappé le bras droit avec une mace. L'homme qui l'avait frappé ne durat pas longtemp car Dorin lui enfonça sa hache profondément dans le crane... Les gardes de khazad maintenant éloigner du reste de l'armée naine décida d'aller porter main forte au rohirims, avec qui ils s'étaient battus il y a peu... Les nains arrivèrent devant de grandes machines roulantes sur les quelles il frappait... Ça devait bien servir à quelque chose qu'ils se disait. Ils se battaient avec courrage, in pourrait presque dire avec joie. Ils avaient attendu cette battaille toute leur vie. Horgeon les dirigeait dans les lignes ennemies suivit de Dorin qui frappait tout ce qui s'approchait trop près du chef. Ils se retrouvèrent sur une butte où l'on pouvait voir le combat et contempler la grandeur de l'évenement. Plusieurs GdKs sortirent leurs arbalètes et tirèrent à volonté.

-Non continuer à vous battrent au raprocher! vous faites plus de dégats de cette manière. Maintenant! Chargeons!!!.

Les nains décendirent la butte à toutes vitesse, percant les lignes ennemies. Lorsequ'ils arrêtèrent, ils se rendirent compte un peu trop tard qu'ils étaient entourés par les ennemis... Horgeon sortit un cor du Gondor, son petit souvenir de la chasse au loup qu'il avait fait avec le roi du gondor. Il souffla dedans. Les soldats du arrivèrent quelques temps plus tard, surpris de voir que les personnes dans le besoin soit des nains. Cependant ils continurent à les aidés à se sortir du pétrint. Retournant dans la battaille.

hrp: merde déjà 4 page? elle vat être long cette guerre!

-Oh non! se dit un paysan tout en haut de la cité. Ça regarde mal! Vite je dois aller chercher plus de renforts!
Et il parti à cheval vers la grande cité de Fondcombe...

Holà ! Je ne pense pas que Fondcombe soit assez près pour pouvoir nous aider .
Et Mennetor à raison
Radamanthe

[HRP] Tu a lu les règles ?Non je en crois pas et tu le sors d'où ton cheval tu ne l'a pas dés le début il fut l'acheter...

Le courage redoublé le régiment de Mennetor avait prit son action pour exemple et faisait tomber les drapeaux ennemis les uns après les autres.

L’écuyer devenu héro de cinquante soldats menait le régiment sur le champ de bataille. Ils se positionnaient en forme de triangle* et perçaient les lignes ennemies. Ils arrivèrent devant un régiment ennemi de belle taille contenant un drapeau en son sein. Grâce à leur position ils purent percer le régiment et arriver en son milieu pour dénicher le drapeau.

Mennetor se battit vaillamment contre le chef du régiment qui lui asséna un coup en estoc puis un coup ascendant les deux parés de justesse. Se saisissant d’un sabre d’homme du Harad il déferla une tempête de coup sur le chef maléfique le tuant rapidement.
Mennetor se tourna alors vers le porte étendard, il coupa la main de celui-ci pris l’étendard, arrachant un bout de son tissu et l’envoya dans les rangs ennemis, ce qui tua un mauvais homme.

Achevant un blessé de Khand , l'ecuyer du roy remarqua la grande bannière en mouvement.
Il adressa quelques recomandations aux soldat dispersés a côté de lui , dont la vue des chars de mort leur glaçé le sang.

Il ce frayait un chemin a coup d'épée rageur , et parvins enfin a ce trouver au côté de 1412.
L'ecuyer déclara aux porteur de la grande bannière , magiciens , et au ranger avec le grand bourreau qu'il connaissait bien.

_Je suis Eosfel , Ecuyer du Roy , ou est le roi en ce moment ? Je doit lui preter main forte.


[Edit] Ce sont pas des haradrims qui attaquent menethor (sinon Hark aurait pris part au combat :p ) , mais des hommes de l'Est. Des orientaux et des hommes de Khand. [/Hrp]

Nabz répondit au jeune écuyer:

- Le roi se bat un peu plus loin. Tu le trouveras surement grâce à sa garde rapprochée.

Le ranger tourna les talons et repartit au combat. Il voyait que 1412 s'affolait mais il ne saviat pas pourquoi. Il tua l'homme qui était en face de lui et il comprit alors d'ou venait la terreur de ses compagnons: des chars leur fonçaient droit dessus.
Nabz mit son épée dans sa ceinture et il prit son arc. Il lui restait que quelques flèches. Il les tira dans les jambes des chevaux qui tiraient les chars.

- Faites de même ! cria t'il aux gondoriens qui étaient autour de lui. Vous, les magiciens, il faut que les chevaux ne puissent plus galoper. Viser leur sabots et leurs muscles.

Il ne restait qu'une seule flèche au ranger. Il décida de la garder. Il mit son arc dans son dos, reprit son épée, et s'élança vers les chars immobilisés.

Une fois là, il acheva les conducteurs des chars qui ne pouvaient plus avancer. Un autre char passa prés de lui. Il sauta dessus et s'accrocha à un homme qui était dedans. Il monta dans le char, tua les deux hommes: celui qui conduisait, et un archer qui avait un grand stock de flèches. Nabz s'empara des rênes. Il ne savait pas comment ça se maniait mais il essaya de faire demi-tour.

Il réussit. Il s'arréta et fit monter un soldat gondorien rapidement dans le char.

- Essayez de conduire ça, lui dit-il en lui mettant les rênes des chevaux dans les mains.

Le soldat obéï et fit repartir les chevaux au galop. Nabz prit alors son arc et il se servit des flèches qui étaient dans un carquois de Khand. Il devait y en avoir une centaine.

Le ranger prit alors les fleches et essaya de viser les chevaux, ou les conducteurs, des chars ennemis. Il tira une trentaine de flèche quand le dernier char s'arrêta. Les soldats gondoriens vinrent alors achever les survivants. Il descendit du char, détacha les chevaux, et démonta les roues du char pour que plus personne ne puisse s'en servir. Il était heureux d'avoir réussi à faire cela...

Finalement les chars avaient fait beaucoup plus de mal que les quelques demis-trolls rassemblés d'on ne sait où par l'ennemi.

Radamanthe avait vu plusieurs chars le frôler ,avant que leurs conducteurs ne succombent d'une flèche ou l'autre.
Il n'avait pas vraiment pu faire quoi que se soit contre eux ,si ce asséner quelques coups de haches dans les roues des chars les plus lents.
Heureusement ,Nabz et les archers qui l'avaient ecouté avaient fait un beau travail.

Mais déjà surgissait un régiment diforme d'orientaux.
Ils n'étaient pas des mieux armés , et étaient là sans doute pour achver le travail des chars.
De sombres brutes achevant les blessés.
Seulement ,ils ne devaient pas s'attendre à ce que les chars aient été si peu efficaces .
Ils chargèrent .

Il fallait les éliminer rapidemment pour qu'il ne gênent pas la progression de notre Etat Major ,qui poussait encore vaillament les ennemis toujours un peu plus vers l'arrière.

Radamanthe distribua quelques coups qui percèrent quelques armures trop faibles.

S'en était déjà presque finit de ce régiment là.

_Il faut proteger le Roy ! Hurla l'ecuyer en ce dirigeant vers le grand cheval blanc de roi du gondor.

Soudain , ses pieds ne touchèrent plus terre , il ce sentit léger , leger comme une plume.

L'Ecuyer ce fit projeter dans les airs a quelques mètres de la . Un grand char l'heurta en s'écrasant sur les rang des gondoriens.
L'illustre homme des montagnes blanches s'écrasa dans la boue abreuvé de sang.

_Excus..ez moi mon Roy...j'ai faillit... Dit-il en perdant connaissance.

Autour de lui le combat faisait encore rage , des soldats mourraient ou vivaient sans ce rendre compte que l'ecuyer royale était tombé.

Je me trouvai en centre du champ de bataille, entouré de ma garde personnelle. Nous nous battions avec ardeur, mais notre situation était périlleuse, car nous ne tarderions pas à être encerclés et mis à terre. J'entendis un cri strident, à quelques dizaines de mètre, gisait le corps inerte de mon ecuyer.

"Eosfel ...non !"

Je me frayai un passage vers le jeune homme à coup d'épée et de jambes.

HRP : Soyez réalistes mais surtout ne soyez pas égoiste. Un combat est avant tout une aventure rôle play d'équipe, songez aux autres et ne détruisez pas tous les chars à vous tout seul, logique oblige.

Un magnifique éclat illumina le champ de bataille. C’était le premier projectile incendiaire utilisé par l’ennemi… Mais malheureusement pour ses derniers, celui-ci percuta leurs propres troupes, en plein milieu du gros de l’infanterie qui engageait le centre de la mêlée. L’explosion forma un imposant cratère d’une dizaine de mètres, dut à la puissance du mécanisme qui l’avait projeté, un cercueil pour ceux s’y trouvant précédemment. Cette même zone resta enflammer et nul n’osa s’y aventurer, créant un point mort pour les renforts à cet endroit. Ceci, en plus du chaos générer par l’explosion, l’épouvantable mort de ceux qui n’avaient pas succombé face à l’impact mais aux jets des débris enflammés, ainsi que la conscience que leurs propres armes étaient retournés contre eux contrebalança de façon critique la résolution des combats en la faveur des forces du Bien. Cela ne prit d’ailleurs pas beaucoup de temps avant que le front de Gondoriens n’arrive au lieu du désastre. Ce n’était qu’un coup de force éphémère, grappillant quelques précieux mètres en poursuite avant que l’ennemi se reforme et s’enlisent à nouveau dans la mêlée. Néanmoins, pour l’état-major adverse, perdre l’utilité de leurs machines de sièges aussi tôt dans la bataille et pire, en payer le prix contre leur propres troupes était loin d’être à leur avantage pour leurs prochains jours de confrontation à venir…

Loin de la mêlée, derrière les lignes ennemies, Sentier braillait des cris de réjouissance tandis qu’il contemplait le fruit de son entreprise. Le bougre avait calculé plutôt juste et cela tirait presque du miracle qu’il eut remanié le mangonneau pour le redirigé vers les rangs ennemis en si peu de temps.
Même Silence se trahit d’un maigre sourire, éprouvant un semblant d’émotion pour le retournement de situation. Bien que pour lui, c’était d’avantage la satisfaction d’avoir réussi leur mission avec brio et l’éventuelle prime qui irait avec s’ils arrivaient encore à s’en sortir vivant après cela.
Car il faut avouer, cette fois-ci s’en était raté de rester inconnus plus longtemps, tout ca pour leur vilain caprice à toujours vouloir paraître spectaculaires… Fichus mercenaires, l’argent était autant une bénédiction qu’une malédiction… Ils allaient avoir du mal à s’échapper d’ici maintenant.

- L’nouveau, regarde voir si il y a des montures à proximité, il doit forcément y avoir un moyen de locomotion, tout cet attirail à bien dût être amené jusqu’ici… Beugla Sentier, don l’attention était rapidement revenu à la réalité.

Firion se battait avec une rage redoublé depuis sa blessure. Il tua un ennemi quand il vit qu'il n'était pas loin du roi Méphisto. Il s'approcha alors et vit un homme au sol. Il entendit les paroles du roi.

"Seigneur Méphisto, je suis blessé et je dois me faire soigné alors je pourrais emmené votre écuyer par la même occasion."

Firion trancha la gorge d'un homme qui fonçait sur lui et se retourna vers le roi.

L'Ecuyer ce reveilla d'un coup brutal , la deflagration du premier projectile de feu l'avais tirer de sa torpeur.

_Non mon Roy ! Je veut encore me batt...re , j'ai mon honneur ... a gagner... Dit-il en crachant un filet de sang.

L'homme retira son casque de fer , une grande estafillade zebrait son crane brun , du sang perlait a sa surface , une méchante blessure a son flanc le faisait aussi grimaçer.
Il lança un juron et essaya de ce mettre debout. Ses jambes tremblèrent , et l'ecuyer tomba sous le poid de son armure.

_S'il vous plait...aidez moi a en...lever ma foutu...armure. Implora t-il.
Mon unique foi protège mon coeur...et c'est la meilleur des protection Sire.

Je me retournai. Le Seigneur des Rohirrims se trouvait à mes côtés, légèrement blessé. Je me penchai vers mon ecuyer, il était malheureusement dans un piteux état, pensé-je. Je songeai un instant à la décision à prendre, puis je déclarai à Firion :

"Emmenez les aux Maisons de Guérison, il sera aussi utile là bas qu'ici ! Dites aux Guérisseurs de faire leur possible, le petit s'est bien batu, je l'ai vu de mes propres yeux !"

Un homme me bouscula et tenta de me trancher le cou. J'eus à peine le temps de parrer qu'il rattaqua de plus belle. Mes hommes étaient nettement moins nombreux ...nous allions essayer d'en rallier le plus possible.

Phydias arriva le plus vite possible au côté de son roi, fier de servir l'ordre de Minas-Tirith mais aussi très nerveux voyant tous les blessés s'en aller à la maison de guérrison.

- Je suis désolé d'avoir resté à l'arrière, mais mes muscles refusait de bouger... Dit-il en voyant arriver un ennemi devant lui. Phydias eut le réflexe de sortir sa dague et de lui couper la gorge.

Morgoth rejoignit la grande banniere, et demanda si quelqu'un savait soigné les blessures legères.....
Il combattit quelque orientaux sans trop de difficulté grace aux nombreux heros autours de lui.
En lui meme, il avait un mauvais presentiment, comme si quelque chose de plus terrible que n'importe quoi en se moment aller venir ou se passer...........


HRP//Pour info, les regiments de khand ont pas mal de demi-troll dans le livre donc je me suit servit de sa, sinon je trouve que les chars ont ete trop facilement detruit mais bon pas grave ont va bien trouver d'autre chose pour le siege //HRP

Radamanthe regarda Eosfel partir vers la Cité.

Qu'il tâche de ne pas mourir ,pensa t-il ,je dois avoir un entretien avec lui bientôt.

Et il se reconcentra aussitôt pour éviter de finir dans le même état que l'écuyer.
Les soldats avaient été encouragés par la destruction des chars ,aussi se battaient-ils férocement.
Radamanthe se joignit à eux ,et l'effet de masse aidant ,de nombreux orientaux périrent.

Mais l'étrange pressentiment de Morgoth n'était pas faux...

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Mode PNJ Ennemi : ON

Veliaf Urtz n'était pas satisfait du déroulement de la bataille .
C'était le flanc est qui semblait opposer le plus de résistance .
Ceux-ci continuaient leur progression ,même si Veliaf ne comprennait pas la raison.

Mais il fallait réagir .
Trois nouveaux régiments furent envoyés dans cette direction ,avec une nouvelle volée de chars ,qui attaqueraient cette fois après les fantassins.

Il envoya également des cavaliers en renfort au front.

Peut-être allait-il devoir intervenir personellement dans la bataille finalement .

Mode PNJ Ennemi . OFF

Hrp: Tous les chars ne sont pas détruits mais j'en ai détruit un dizaine avec l'aide de soldats et d'archers gondoriens. /hrp

[hrp] bon je vais essayer à ratrapper le temps perdu du week end ^^ [/hrp]

Le général se battait, mais il semblait plus réfléchir à quelque chose.
D'un coup, il fit rassembler sa compagnie, il leur dit alors :

Deux d'entre vous viennent avec moi, le autres essayent de se fraiyer un chemin jusq'au Roi et dîtes lui qu'il faut organiser une percée sur le flan gauche, c'est là que semble réunit leur Etat major. Le reste viennent avec moi commencer la percée.
Dépéchez vous !

Se retournant le général prit alors un coup de masse sur le casque qui le fit tomber par terre, un de ses compagnons tua le responsable et l'aida à se relever.
MAlgré une douleur il partit quand même chercher quelques soldat afin de l'aider à faire cette percée.