Quand l'acier mord nos chairs

HRP//Y'a pas d'orques//Hrp

Morgoth se retourna au son d'un cor qu'il connaissait bien, le cor des gens de meme race que lui, ceux qui l'avait toujours rejeté....les elfes, Noldors et Teleris.
Morgoth lanca un regard reprobateur vers la petite armée elfe qui venait.
Mais il se dit que cela valait mieux, car si l'ennemis avait des renforts il se pourrait que le bien perde cette bataille.
Mais le sombre presentiment restait en lui.....
Morgoth lanca quand meme une insulte en elfique envers la gent elfe.
mais continua a combattre, mais cette fois en essayant d'ignoré la douleur et de paretre hautain, noble et fier, meme avec les yeux noir.
Du sang noir coulait sur ses habit et armures, le sien, car la blessure au dos etait d'une certaine gravité, surement une blessure ouverte....

Mode Admin : Je crois qu'il est temps maintenant, de penser tout doux doucement à un dénouement ...parce que là ça devient sérieusement long. En manque de temps, je posterai en rôle play plus tard. Bonne soirée.

L’armée elfique chargeant l’arrière des forces ennemies ne manquerait pas d'assurer la victoire au Gondor qui semblait de plus en plus évidente à ce stade là de la bataille. Les cors et chants de guerres accablèrent encore d’avantage les mauvais hommes… Réssonnant le glas d’une défaite beaucoup trop évidente. Le malaise s’instaura dans leurs gestes déjà las de fatigue, facilitant la mêlée pour les vétérans et ceux encore d'applomb dans le camp Gondorien

- Ca devient trop facile ! Tu risques d’être déçu de la valeur de tes trophés Silence… Fit Sentier, le sourire aux lèvres, ravi de pouvoir en placer une.

Bien sur, même si cela risquait d’être vrai, Silence ne se plaindrait jamais ou du moins ne dévoilerait jamais le moindre signe de déception concernant un de ses jugements. Seule leur impacte sur le déroulement de la bataille importait, maintenant qu'elle était cassiment jouée, ce n'était que grapiller le maximum de gloire possible en s'occupant personnellement des seigneurs de guerre.

A ce stade là de la bataille, le groupe de mercenaires ignora tout simplement les ennemis à proximité, courant vers l’état major visible par son appart et ses porteurs de bannières.
Leur intérêt évidement mis en avant par leur impertinente charge attira l’attention des Capitaines qui relayèrent leurs derniers ordres à leurs subordonnés avant de se confrontés à l’inévitable confrontation avec les chiens de guerres...


HRP// Réactusalisation de la bataille, dut aux changements majeurs (arrivée des elfes, désir de finir la bataille le plus tôt possible etc) //HRP

hrp: les nains sont retourné avec le gros de l'armée naine lorsqu'ils se sont fait attaqués pas la cavalerie.

Horgeon se battait autour du roi avec tout les autres nains. Si le roi avait à tomber durant la bataille, ses hommes perdraient tout espoir. Formant une barricade de bouclier. Des carreaux nains virevoltaient dans la direction des cavaliers. Horgeon avait envoyé deux Gardes de khazad spécialisés dans la médecine (bon ce sont quand même principalement des combattants mais bof, ils font leur possible^^) s'occuper du roi. Il ne fallait pas que le roi quitte le champ de bataille pour l'humeur de l'armée. Soudain, des flèches vinrent se mêler aux carreaux derrière les ennemis. Des elfes! Tout les peuples bon de la terre du milieu s'étaient réunis. Les blondinets faisait assez de pertes du coté ennemis pour que les nains charge. Il n'en attendirent pas une seconde de plus. D'effroyable cris de guerre jaillir. La collision fut brutale pour les cavaliers. Les chevaux s'emballèrent, faisant tomber leurs cavaliers immédiatement achevés au sol par les nains. Ce scénario se reproduit souvent à la grande joie des nabots. Les cavaliers rendus fou entre ces deux peuples tentèrent de se sauver. Arrêter par les flèches et vouges elfiques. Ils étaient face à une mort certaine.

Les batailles sur le champ du Pelenor ont toute été rude longue et sanglante et la guerre qui se passait était la première pour Amanhil au champ du Pelenor.


Le combat était assez équilibré un grand nombre d'ennemis contre un plus petit nombre de combattants pour la cité blanche mais qui pour la plupart sont meilleur au combat.


Avant que la charge elfe fonce sur les orientaux je tirai quelque flèche (avec ma nouvelle corde), mais rendu à quelque mètre de l'armé ennemi, je le rengaina et tira mon épée et tua quelques orientaux qui étaient bien meilleur au combat que les orcs. Les nains pas très loin quand eu se battait comme de vrais enragé mais eu faiblissais a cause de la durée du combat.

Quand a moi, je me battais comme un vrais défoncé tout comme les nains.
Le renforcement était arrivé ce qui donnait du courage aux troupes, le champ de combat était non seulement plus spacieux mais aussi il y avait beaucoup plus de vie mais aussi beaucoup de personne morte bravement au combat qui quand a eu reposait dans le repos éternel. (Pour ça, je sais que je dis n'importe quoi).
Je tua un orientaux et prix son poignars et le rangea dans ma ceinture.
"Il vas m'être utile si je perd mon épé..." Ai-je dit pour moi même.

HRP: désolé de dire ça mais je n'ai rien compris à ton message amanhil /HRP

Dorin fut heureux de voir des elfes. Cette vielle race jouait donc encore un rôle... Les chevaux des ennemis, prient entre deux feux s'agitaient et faisaient tomber leur maîtres. Certains parvinrent à maitriser leur chevaux mais s'enfuirent vers l'état major ennemi. Les nains essayèrent de les suivrent mais, le roi nain et le chef des gardes de khazad ordonnèrent à leurs troupes d'attaquer la partie ouest de l'armée adverse. Dorin chargea donc les mauvais hommes en compagnie de son roi et de son chef, ils hachaient, écrasaient, broyaient, l'ivresse du combat les emplissant à nouveau. Un énorme oriental armée de deux grosses épée le chargea. Il évita un premier coup mais dut parer d'un coup de hache le deuxième. Alors que la première épée allait s'abattre sur lui il se baissa et assena un coup de hache dans les jambes de son adversaire. Celui-ci tomba et Dorin l'acheva en lui coupant la tête. Rapidement Dorin se releva et chargea d'autres hommes.

[quel idiot ce soldat...y a même pas d'orque...pour cause que ce n'est pas un cor d'orque...Y a de ces bêta..]

La charge elfique était terrible.Grande était leur colère et la mort allait venir...Rustor chargeait en tête.
-Gelmir!!
Enfin les elfes montraient leur vrai valeure,le role qu'ils avaient à jouer.
Arrivé au contact avec le dos de la cavalerie ennemie le maitre d'arme fit effectuer une manoeuvre d'envellopement de l'ennemi.Les phallanges elfique enfoncait grace au mouvement aller retour de leur sarisse les lignes orientales.

Le silence.Une infinité de silence.Un elfe seul regarde à ses pieds le corps de son cheval.A ses cotés des cadavres d'elfes...Des orientaux se rassemblent étonnés par le manque de réaction visible de l'elfe...
Ils ont dépassés les bornes...Tous...

-Il est venu le temps de la colère!!!De la haine!!De la peur!!!De la mort!!!Courage... la mort fait moins mal qu'on le croit!!Plutôt la mort que la souillure!!!

Rustor était...faché.Sa colère était à la foi effrayante et d'une rare beauté...Son envellope de sagesse faisait place à une énergie de colère nouvelle..Le vase débordait...
Sortant ses épée il dégaina en un coup tournant ses deux épées...Cinq orienteaux perdirent la tête...Rustor était un des, voir le meilleur combattant en activité...Il enchaina des bottes complexe et tracant un sillo de sang se raprocha des lignes allié...Les orienteaux fuyait sa colère et hommes et elfes regagnait courage..Tel une étoile dans la nuit,Rustor avancait inébranlablement,lumineux vers le destin de la terre du milieu...Vers la liberté...

[HRP/Aux Nains=>Khror est (si vous avez pas compris)assez gravement blessé et il n'est pas vraiment en état de donner des ordres.dumoins,c'est ce que j'ai ccru comprendre^^]

Après avoir laissé le Roi aux deux guérisseurs,Derïn décida d'allé jeter un coup d'oeil(de marteau^^) à l'état major ennemi.

*La charge puissante et rapide des Elfes a fait beaucoup de dégâts et baissé le moral des troupes adverses.Mais si nous arrivons à atteindre l'état major,cela les déstabilisera encore plus.*

Derïn se faufila alors dans les lignes des Hommes de Rhûn en se faisant tout petit -si c'était encore possible!- et en évitant quelques de ses ennemis désorganisés.
Arrivant enfin près de l'état major,Derïn vit les grandes bannières de l'ennemi en train e flotter.Les capitaines adverses était vraiment bien équipés.Ils resplendissaient dans leurs armures et disposaient d'un arsenal impressionnant.
Le Nain engagea alors le combat avec ce qui semblait être un lieutenant ou même un colonel.Le combat s'annonçait serré!

Morgoth tua plusieur autres hommes, puis arriva a l'etat major, les autres y etait deja.
Morgoth allait chargé un porte banniere, quand il vit un homme, qui paraissait etre plus qu'un simple capitaine...
Sont regard croisa le sien, et a se moment la Morgoth eu un vif accés de rage, ses trait devinrent horrible, ceux d'une creature du grand ennemi des temps ancien Melkor le Morgoth(le vrai), ses yeux parurent s'embrasé de tenebres, ses levre se decharnèrent et laissèrent apparaitre des dents abominablement pointu sur un elfe, quelque elfe et hommes du bien assistèrent a cela, les hommes furent si effrayé qu'il eurent des spasmes de terreur et coururent vers l'arriere, les elfes, crurent voir un grand ennemi, trop puissant pour eux, et reculèrent de peur et de colère tout en se protegeant des autres ennemis...
Car Morgoth venait de reconnaitre un Des Numenoriens noir qu'il cherchait... Personne ne sait pourquoi autant de haine etait accordé a ces hommes de la par de l'elfe noir, mais se que l'on sait c'est que le numenorien, n'eu pas le tmeps de faire grand chose car tous ceux qui virent Morgoth a cette instant furent pris de terreur et l'homme fut completement dechiqueté par les coups de l'elfe, et personne n'eu osé intervenir pas meme ses propres allié, dont les protes-banniere lachèrent les etendards... et reculèrent sur les chiens de guerre...
(a vous silence et Yrian)

Je me débarrassai du capitaine ennemi qui m'avait barré la route en me défiant. Sa compagnie, devant l'échec de leur chef, jeta les armes et s'enfuit au loin. Beaucoup de régiment ennemis s'étaient détournés devant la défense acharché de l'armée de Gondor. L'après-midi tirait à sa fin, et la grosse partie de l'armée adverse avait été annéantie.

C'est alors qu'un grand homme noir sortit des rangs adverses. C'était Veliaf Hurtz, le Général ennemi. Son regard m'en dit beaucoup, à ses yeux, j'étais un homme mort. Avec un cri de rage, nous nous élancions l'un vers l'autre...

Morgoth ayant tué l'homme, tourna son regard vers le capitaine ennemis qui venait d'etre tué par le roi. Morgoth se demandait dans sa folie si d'autre numenoriens noir pur etait sur le champs de bataille.

HRP//Est-ce que le gros mechant en est un, mephisto?? Si oui mon perso s'en rend compte//HRp

Pur non. En partie,peut-être...qui sait d'où il vient .
Mais il vient d'engager le combat, alors ça n'a plus guère d'importance.
Rad'

HRP// Et bien dit donc, Morgoth… //HRP

S’écartant de leur soit disant "allié" aux spasmes incontrôlables, les Griffes d’Ammoth tentèrent de ce concentrer sur leur tâche, malgré la spectaculaire disposition de l’elf pour le morbide.
L’état-major s’ébranla à la vue de la scène, s’en était trop pour certains que de finir ainsi... D'abord leurs servants réduit en bouillie au front, eux qui se croyaient bien loin du combat derrière leur nombreux rangs et maintenant ça... Douce ironie, les voilà qui durent se résoudre à une fuite pour peu être espérer vivre a nouveau un jour prochain, formant leur terrible vengeance à nouveau…
Chose qui n’allait cependant pas leur être aisé avec les chiens de guerre désormais à leurs trousses.
Quelques chefs de guerre tenirent bon, prêt à mourir en combat, ayant déjà accepté cette voie en marchant sur les champs de Pelennor.

- Réjouissez, vous allez rejoindre vos ancêtres morts ici avant vous ! S’exclama Douleur alors qu’elle prit l’initiative de poursuivre les fuyards.

Sentier et Silence tentèrent de se focaliser sur les officiers prêt à en découvre don leurs armes polies étaient pour une fois sorties de leurs élégants fourreaux. Tout cet apparat signifiait il vraiment quelque chose ? Pour un mercenaire, c’était du butin mais aussi une prime pour celui qui dépossédait le propriétaire de sa tête.
Après un dernier clin d’œil complice, le duo s’élança vers une cible bien spécifique, chacun de son coter.

Silence s’attaqua à un officier armé d’une longue lance, dont les décorations étincelantes contrastaient avec le poignard de du mercenaire déjà rendu écarlate par le fluide vitale de ses précédentes victimes. Parant la frappe initiale de la lance avec le plat de son poignard, Silence garda le contact sans arrêter de charger, sans pour autant donner trop de force pour repousser l’arme mais juste assez pour glisser sur son long, dans l’espoir de rencontrer les mains qui manipulait cette arme de distance. Conscient de sa lenteur, l’officier abandonna son arme au profit de vivre quelques instants de plus avec ses précieux petits doigts pourtant gantés. C’était d’avantage une victoire psychologique, Silence gagnant la satisfaction de ne pas avoir à faire à l’arme la plus efficace contre ses techniques. S’éloignant d’un bond arrière, le Suderon dégaina deux sabres de son dos et se mit en posture de combat en un temps record. Il n’eut pas à attendre longtemps pour que son agresseur ne lui bondisse à nouveau dessus, sous un angle peu en faveur de l’usage de ses armes.
Tournoyant autour de sa cible tel un prédateur se jouant d’une proie impuissante, Silence s’amusa à évaluer les capacités de combat de l’oriental par quelques passes d’armes afin de comprendre ses lacunes et points faibles.
Quelques parades plus tard, Silence prit la place de sa victime d’un renversement effectué au corps à corps, déstabilisant celui-ci pour un instant… de trop. Alors qu’il croisa ses lames par reflexe dans sa chute, une effroyable douleur remonta le long du corps de seigneur de guerre, provenant de son pied don il ne sentit plus rien. Beuglant de douleur, l’oriental tenta de riposter mais n’eut aucun adversaire vers qui porter de coup. Il comprit trop tard car alors qu’il essayait de se retourner, une lame se faufila dans le creux de son armure, sous ses aisselles et remonta jusqu’à trancher les tendons de l’épaule. La douleur fut atroce mais il réussi tout de même à portée un coup derrière lui avec son bras valide. La lenteur du geste était cependant telle qu’un simple pas-chasser permis à Silence d’esquiver la coupe et qui prit un malin plaisir à effectué la même technique sur le second bras de l’oriental, l’incapacitant entièrement.
Sans perdre un instant de plus, tandis que sa victime tombait à ses pieds, Silence agrippa les cheveux de l’oriental, lui redressant la tête afin qu’il puisse le contempler une dernière fois avant qu’il ne lui enfonce le poignard dans l’arrière du crâne, déversant son contenu sur le cape aux insignes de la haute hiérarchie de Khand…

Silence se retourna pour observer un instant la résolution des autres combats, les insignes martiales de sa victime désormais ajoutés à celles déjà collectionnées sur le champ de bataille, accrochés à sa ceinture.
L’attention du mercenaire fut happé par le duel singulier du Roy avec un des seigneurs de guerre qui avaient choisi de tenir le terrain. Il décida de ne faire rien et se concentra sur les autres officiers en présence, mais ne lâcha pas le Roy du regard. Après tout, c’était lui son employeur, il n’allait pas le laisser se faire tuer. Mais par respect, il n’allait pas lui voler son adversaire tant qu'il saurait se débrouiller…

Hrp//

Nabz a écrit:

On aurait put les comparer aux nains.

à n'y pense pas Nabz vous autres petits humains ne nous arriverons jammais à la cheville! aussi petite soit-elle!
<----- //hrp

Horgeon avait lacher son bouclier pour plus de stabilité. Il préfairait empoigné son autre hache, il pouvait se le permettre à la fin de la guerre. Avec deux armes Horgeon n'était que plus redouttable. Tranchant de tout bors, tout cotés. Le nain était aussi térrible que l'elfe viré fou après la mort de sa monture. Seul différence, l'elfe se battait avec des technique redoutable. Le nain préferait utiliser sa force brute. Aucun nain n'osait se mettre dans son chemin. Il taillait en pièce tout ce qui était devant lui quitte à prendre des coups qu'il ne sentait pas pour l'instant. Le roi s'était fais blèsser. C'est impardonnable. Horgeon arriva près de l'elfe que je parlais, il le reconnu sur le coup.
Hey vous êtes pas le maitre de d'arme?
L'elfe l'ignora en continuant sa charge dévastatrice. Horgeon fit un petit geste d'épaule, ''too bad'' comme on dit dans un language incopréhensif.

Le chef des Gardes de khazad s'arrêta net. Un homme géant (pour horgeon) l'arrêta en riant, croyant que c'était qu'un débutant. Il frappa de sa longue épée sur le nain qui la dévia de sa hache droite puis il riposta de sa gauche. Le gaillard ne savant plus où se protéger devant cette rafalle de coup, tanta de fuire. Horgeon lui coupa le pied et il trébucha dans ses orteils. Il l'acheva par un coup de hache dans la machoire.

Tout d'un coup un force étrange arriva jusqu'au champ de battaille des nains et des elfes. Comme si une force ancienne e dangeureuse s'était réveillé. Un elfe reconnu cette sensation. Horgeon put l'entendre.
-C'est lui... Le noir. MORGOTH!!!...
Ce nom fit un froid sur le champ de guerre, le Noldor était éffrayé il tenta de vaincre cette peur qui le controlait. Horgeon lui fit signe de tête.
-Occupe toi en pas, avec le nombre que nous somme et avec un nazgul dans notre équipe...
-Quoi il y a un Nagûl sur le champ de bataille?
-Oui c'est le général de Minas tirith.
Sur ce l'elfe s'évanouit. Trop de stress sur un corp aussi fragile... Qu'importe la guerre continuait et Horgeon voulait continuer à en faire parti!

HRP: Trop nice ton message Morgoth!!! hooooo 222 messages!

Rustor avancait imperturbable.Il croisa un nain qui faisait pas mal de ravage...Il était temps..Le roi combattait contre un mystérieux inconnu,les nains impresionait par leur témérité et les hommes...enfin il était temps que les elfes ajoutent leur petit grain de sel...De l'autre coté de la bataille un homme que Rustor connaisait semblait être le chef de mercenaires...Silence...Il se dressa sur ses pieds, massacrant au passage deux orientaux qui l'approchait,Rustor cria vers lui:
-Sombre mercenaire...A trop combattre le dragon on devient dragon soi même...J'espère pour vous que jamais vous ne serez dragon sur mon chemin...
Rustor n'aimait pas les mercenaires et leurs airs hautain..Eux qui niait l'essence de la vie,eux qui niait ce qui faisait la différence entre un elfe,un nain voir un humain et un lézard...Ils ressentaient des émotions pas les lézard...Ils croyaient ces barbares que l'émotion était un signe de faiblesse.Et pourtant partout autour il n'y avait qu'éffusion d'émotions.Fixant les alentours Rustor cherchait une cible...Car ces minables orientaux ne faisaient que de le distraire....

[puis je vous aider my king? ou cet ennemi est une proie que vous voulez seul?]

Le massacre du numrorien noir fut pour Yrian un délice à regarder, inspirer par ce meurtre il décida de continuer à tuer.

Rejoignant Silence dans sa danse de mort il prit ses couteaux de lancé. Il était à la recherche d'un cible quand soudain un mauvais homme armée d'un marteau nain lui tomba dessus.
Yrian visa les jambes avec ses couteaux puis la main gauche de son ennemi, il était ainsi incapable de la frapper ni de fuir. Regardant un instant sa proie d'un oeil sadique il aracha l'épée du fourreau de sa victime et le décapita.

Un officier suderon qui essayait de fuir le remarqua et couru de plus belle, bandant son arc Yrian décocha deux flèches et l'homme tomba. Il lui fallait des trophées la tête de cette homme serait parfait. Dégainant son épée il partit prendre son dus, mais un capitaine haradrim, dans un élan héroïque, l'attaque frappant en estoc. Le coup toucha le mercenaire au bras lui arrachant un bout de peau. La riposte ne tarda à arriver sous la forme de sentier qui dans une charge envoya voler le soldat.

Lé Général était un sacré combattant. Sous le regard attentif de mes hommes, nous combattions déjà depuis quelques minutes. Les coups pleuvaient, certains touchaient l'armure de l'autre, ou mordait sa peau. Mon ennemi avait un léger avantage vu qu'il était frais et que j'avais combattu toute la journée à la tête de nos troupes.
Une fine pluie commença à tomber et mon adversaire sourit avant d'enchainer les moulinets de sa noire epée. Je parai difficilement un coup de haut en bas et répliquai d'un violent coup de coude. Je sentis son long nez craquer sous le choc, avant de me retrouver allongé sur le sol, un filet de sang coulant légérement du coin de mes lèvres.
Veliaf, se croyant en bonne situation, arracha une longe hallebarde des mains d'un cadavre situé un peu plus loin. Il me regarda de ses yeux noirs charbon et j'eu juste le temps de rouler sur le côté. Et c'est là que mon ennemi commit sa plus grave erreur. Suite à la force de son coup, l'arme de Veliaf resta plantée profondément dans le terre souillée et humide.
J'attrapai à la hâte mon épée étincelante, et d'un coup sur le côté, je lui tranchai promptement la jambe droite. Son cri résonna sur le champ de bataille, et ses troupes prirent peur. Tel un perdant, il baissa la tête, le regard perdu dans ses pensées. Son corps fut ensuite percé par la froideur de ma lame. La pluie continuait de plus belle, mais j'étais confiant. Sans son général, l'armée de Khand était finie...
"Par Tulkas, que nos bras soient forts et nos coeurs solides !"

Projetant une dague dans l’arrière de la nuque d’un musicien qui prenait la fuite, Silence entendit une voix l’apostrophant derrière lui.
Toisant le petit homme, le mercenaire voyagea son regard entre son interlocuteur et le Roy, toujours vigilant au déroulement de leur combat, visiblement prêt à intervenir.

- Le général ennemi hum ? Je n’ai pas reçu d’informations quand aux attributs physique du général adverse… La théorie est cependant probable, il semble de taille à endosser le rôle…Fit-il, tout en observant Veliaf Hurtz d’un air inquisiteur avant de continuer.
L’on me nomme Silence, chien de guerre au service du Gondor pour cette bataille.

Pendant un instant, Silence ce demanda si il n’attirait pas trop l’attention par ses dispositions pour leur meurtre. Cet art, cette passion était elle tant flagrante ? Les paroles de Rustor résonnaient encore dans sa tête. Quelle ironie.

Soudain, voici que le Roy reprit du poil de la bête et abattit son féroce adversaire. Une belle preuve de bravoure pour ses hommes. La victoire semblait indéniable.

Nabz était entre l'état major et les hommes de l'est qui avaient refermé le petit passage que les nains s'étaient formés. Ces derniers combattait avec d'autant plus de vigueur. Le nombre des hommes de l'est était considérablement réduit. Ils n'étaient plus qu'une poignée à defendre ce groupe d'officier. Ils ne pouvaient plus rien faire contre la fureur naine.

Nabz venait de faire craquer le cou d'un ennemi avec son pommeau quand il aperçu un officier se retirant lachement du combat, alors que les autres, officiers, simples soldats, ou cavaliers, continuaient à se battre avec force. Nabz s'élança à sa poursuite, mais le sur-gradé était à cheval, alors que Nabz était a pied (sa monture étant repartie sous son ordre ...).

Il courrait aussi vite qu'il put mais le cheval el distança bien vite, bien que nabz n'avait plus d'armure et que l'homme monté avec une lourde armure incrustée de pierres précieuses. Sur une dernière action d'espoir, Nabz lança son épée dans leur direction avec la force qui lui restait. Elle se planta par chance dans la cuisse du cheval. Celui-ci cabra, bien que l'épée était légèrement enfoncée. Son chevaucheur tomba à terre, l'épée tomba, et la bête s'enfuie. Le guerrier à terre se releva d'un bond, sa pense en avant.

Il était imposant (de largeur) et portait une multitude de bijoux.
Il avait une épée et savait apparement s'en servir. Le ranger se précipita sur la sienne alors que l'homme essaya de le décapiter, en vain:
Nabz venait se sauter à terre et avait récupéré son arme. Il se releva d'un bond et parra un autre coup. L'officier frappait fort et rapidement, mais il se battait mal malgré cela. Nabz arrivait à parrer presque toutes ses attaques. Celles qui passaient ne le blessait pas gravement: seulement quelques coupures.

Nabz mit alors un coup dans les jambes de l'attaquant. Ce-dernier ne put dévier l'épée et était mal protégé par son armure au niveau des jambes (elle était plus simple au bas pour pouvoir galoper plus facilement). Le coup lui creusa une sérieuse entaille, de la cuisse droite au talon. L'attaquant souffrait. Il devait bien se battre, jadis, mais n'était maintenant plus qu'un dechet médaillé. Il ne valait guerre plus qu'un mendiant dans une cité naine...

Nabz acheva le médaillé en question qui était tombé à cause de sa jambe qui ne pouvait plus le tenir.
il vit alors un médaillon qu'il portait autour du cou. Il était magnifique, fait d'or et de mythril, et avait une forme trés étrange. Nabz l'enleva du cadavre, et le mit dans sa poche, comme trophée de guerre.

Hrp: le médaillon à surement une valeur commerciale importante, d'accord, mais il ne sera jamais mis à vendre. Il est seulement la comme trophée de guerre. /hrp