A la recherche d'une énigme

Après une dixaine de minutes de course, Sombre-chêne arriva devant la lisière de la forêt. Il s'appuya contre un arbre pour reprendre son souffle. Mais c'était aussi pour lui l'occasion de retrouver la forêt qu'il avait quitté longtemps auparavant. Après quelques secondes de repos, le ranger reprit ses esprits et réfléchit à la situation. Comme avait dit Nabz, la nuit tombait et les soleil n'était plus qu'un demi-cercle flamboyant à l'horizon. N'importe quel voyageur avisé voulant traverser la forêt des elfes sylvestres aurait attendu le jour, bien que la lumière ne pointe que peu à travers la ramure des arbres. Ils auraient donc dreesé leur campement à l'orée des arbres.

A une bonne distance quand même, pensa le ranger sans pouvoir s'empêcher de laisser paraitre un petit sourire au coin de ses lèvres.

Cependant, si ces bandits étaient pressés par une peur ou par le temps et bien décidés, ils seraient entrés dans la forêt, ce qui rendrait les recherches difficiles. De plus, si ces assassins étaient des elfes, ils sauraient se camoufler dans les arbres. Heureusement ils ne pourraient en aucun cas surpasser le ranger, natif de ce lieu. Sauf s'ils connaissaient eux aussi cet forêt.

Sombre-chêne attendit de voir si Nabz le suivrait et si quelques nains avaient malgré tout tenu le rythme rapide du ranger.

Nabz était adossé contre un arbre sur la droite de l'elfe et fit un petit bruit pour se faire remarquer. Il était légèrement fatigué mais avait connu des courses bien plus longues et rapides. Quant aux nains, ils étaient en train d'arriver. Ils progressaient plus lentement dans la forêt noire du fait de leurs petites jambes et de la confiance restreinte qu'ils accordaient à ce lieu.

- Tu as trouvé quelque chose ? demanda l'humain à l'elfe.


Hrp: Désolé si c'est pas long mais j'ai pas torp le temps ce soir. Je continuerai quand je serai de retour dans la soirée où alors (et c'est plus probable) demain dans la journée. /hrp

Encore une fois, Sombre-chêne ne put réprimer un petit sourire. La peur des nains de sa forêt était comique à ses yeux. D'un autre côté, on ne leur avait pas donné l'occasion de penser du bien de cette forêt. Il dit à Thror:

Rassurez-vous, nous sommes bien au Nord de Dol Guldur. Je pense que la seule chose que vous puissiez craindre de cette forêt hormis ces pillards est votre propre peur. Je saurais vous guider. Mais d'abord assurons-nous que nos ennemis sont biens rentrés dans la forêt : il serait idiot de poursuivre un fantome pour être par la suite les proies. Faites donc qulques recherches!

Ce que fit Sombre-chêne. Il marchait à pas feutré sur l'herbe et regardait alentour à la recherche d'un indice révélateur. Il n'en trouva point. Aucune trace des bandits. Cet abscence de vie était mauvais signe. En effet, si les voleurs étaient restés à l'exterieur des bois, il eut été évident qu'il les draignaient. Mais comme ils semblaient être rentrés, les grands et sombres arbres ne devaient pas les affrayer. Il dit à Derïn et Nabz:

Nos adversaires semblent courageux. Il eut été préférable qu'ils restent à l'exterieur du bois, car les arbres leur offret à présent une protection. Peut-être savaient-ils que nous viendrions, et c'est pour cela qu'ils sont entrés pour profiter du couvert des arbres? En tout cas nous devons entrer. La nuit tombe, nous sommes fatigués et vous semblez avoir peur de la Forêt Noire. Mais si nous attendons demain, nous agirons peut-être comme l'ennemi le voulait. Donc en route!

Sombre-chêne revint vers le bois et emprunta une laie assez étroite. L'obscurité, déjà importante, se fit quasi-totale. Malgré l'opression du silence et de l'obscurité, l'elfe se sentait chez lui, à son aise.

// C'est Thrór,pas Khror^^//

-Maître Elfe,autre chose: les Nains n'ont jamais peur!!

Les Nains suivirent l'Elfe et l'humain,ils étaient en file indienne à cause du sentier qui était bien étroit.
On put entendre Derïn (placé juste derrière Nabz qui était lui même derrière Sombre-Chêne) dire:

-Est-ce que nous savons seulement où nous allons??

*Blanc*

Et est-ce que quelque chose ne vous a pas paru étrange avec ses traces près du lieu du massacre?
Elles étaient certes difficiles à déceler mais quand on les regarde de près on remarque qu'elles sont grossières,comme si...c'était des...Yrchs...Enfin des Orques qui avaient essayé de les camoufler...

Derïn fut surpris de s'entendre dire un mot en elfique,était-ce l'étrange atmosphère du lieu qui l'avait imprégnée ou bien le fait d'être en compagnie de cet Elfe??
S'interrogeant il espérait bien que quelqu'un réponde à sa question...

Quelques regards interrogatifs se levèrent sur le maître d'armes...Et la sourde rumeure d'un nouveau débat à travers leur barbe monta des nains. Certains approuvaient l'idée de Derïn, d'autres parlaient d'elfes...Des elfes ? Cela aurait été bien embêtant...Mais tout de même, les traces semblaient trop enfoncées dans le sol pour être le pas léger d'elfes...Si bien que c'est l'idée de départ qui prédomina. Après tout, dans les lettres venues d'Erebor, n'était-il pas écrit que les coupables avaient un fort accent de Rhûn...Pourquoi la situation aurait-elle changé ?

Mais en effet, les traces allaient vers la forêt. Se savaient-ils suivis ? Cela aurait été surprenant...Des marchands d'esclaves, on essaye de les éviter, souvent.
Se pouvait-il qu'il y ait un piège ? Peut-être...des pièges, un chasseur, d'humain ou autre en font tout le temps.
Là et plus loin encore, des arbustes étaient froissés, l'herbe aplatie.
Ils suivaient une piste. A quoi menait-elle ? Nul ne sait, mais ils auraient intérêt à rester groupés.

Ainsi les voleurs devaient être des hommes de Rhun. Cette idée avait quelques chose de rassurant, car celle que ce fussent des elfes était dérangeante. Mais ces humains avaient eu le courage de pénétrer dans la Forêt Noire. Ils devaient être bien forts pour cela, mais de toute façon ,ils n'avaient surement pas la capacité de camouflage des elfes. Mais Sombre-chêne ne s'en réjouit pas totalement. Les pièges, bien que décelables, étaient peut-être nombreux. Le plan, s'il existait, de ces pillards pouvait être machiavélique et bien dressé. C'était peut-être aussi une mise en scène ayant pour but de faire croire que les voleurs étaient des orques alors qu'il en était tout autrement. Le ranger secoua la tête. Il cherchait toujours plus compliqué que ce qui se présentait à lui. L'elfe tourna la tête : quleques soldats trainaient derrière. Trop dangereux. Il dit à Nabz:

Je pense que vous devriez aller derrière pour surveiller nos arrières. Vous êtes un rodeur comme moi et pourrez déceler des pièges qui ne se refermeraient qu'après notre passage.

Sombre-chêne reprit sa marche plus lentement. il aurait pu concentrer toute son attention sur un seul endroit à la fois, mais il perdait ainsi une vue d'ensemble plus efficace pour chercher le mal. Il s'apprêtai à faire un pas de plus lorsque le sol lui parut quelques peu mou sous ses pieds. Bien sûr, l'épais tapis de feuilles mortes rendaient le parterre assez meuble. Mais l'elfe sylvestre s'y était habitué et savait que, sous ses pieds, il y avait du vide. Il donna donc un grand coup de pied qui fit s'effondrer les feuilles qui servaient de camouflage à une grande fausse d'où pointaient plusieurs piques grossièrements taillés. Le piège avait été trouvé, mais il était bien caché. Comment seraient les autres?


//Tu as mal compris, S-C, tu asmal lu les premiers mess relatifs à ça. Ce ne sont pas des orcs, c'est dit clairement ! Ce sont des hommes de Rhûn. Il est impossible que vous les confondiez.//
C'est coorigé. C'est bon comme ça?

[Beaucoup plus tard]

-Rhaaa,on avance pas!!Et puis tous ces pièges à la noix!
C'est au moins le 20ème que tu désamorces!!
On aurait dut prendre un convoi de prisonniers gobelin, on les aurait mis devant et ils seraient tombés dans les pièges au fur et à mesure!!
Economie de temps,gain de vitesse et liquidation de crétins, le programme aurait été plus réjouissant!

Derïn et les autres Nains ne pouvaient plus contenir leur énervement; ça faisait maintenant quelques heures qu'ils allaient à un train d'escargot dans cette forêt!
Mais cet alors que...


//Go les admins!!^^//

//Suite du post que Derïn à posté au mauvais endroit//

Sombre-chêne répondit au Nain:

Cela aurait été certes plus rapide, mais peut-être pas efficace totalement. Ces Yrchs n'ont peut-être pas certaines caractérisitiques que nous possédons. Enfin bref, continuons.

La piste continuait toujours et les pillards ne semblaient pas daigner s'arrêter. Ils menaient même un train d'enfer! Alors que le ranger était toujours aux aguets et à l'attention d'autres pièges, des bruits de pas se firent entendre : un buisson s'écarta et l'elfe put voir tous les nains saisir leurs armes. Mais à la surprise de tous ce fut un elfe qui se présenta à eux. Sombre-chêne prit l'initiative et dit à l'inconnu:

Quel est ton nom et que fais-tu ici?

Le ranger avait peut-être été sec, mais il n'avait pas pris le temps d'examiner le nouvel arrivant qui semblait être du bon côté.

l'elfe qui venait d'arriver examina tous les membres présent, et souris a la vue de plusieurs nains, ayant leurs armes pointer vers lui, il avança de quelques pas et dit:

"excusez-moi pour cette frayeur, mais j'ai ete attirer par votre groupe, ça fait un court instant que je vous observe, vous me semblez bien courageux pour vous infiltrer dans cette forêt a une heure aussi tardive, courageux ou... inconcient, mais bon cesse de plaisanteries, qu'est-ce qui vous attire par ici?"

regardant les nains, tenant toujour leurs armes ver l'elfe dit:

"n'ayer crainte mes amis, je suis ici en ami, ou allier si vous le voulez"

"oui, veuillez m'excuser, je me presente, Hataldir"

il s'inclina et poursuivis:

"je suis un nouvel arrivant cher les elfes, et comme je vient d'arriver,je suis partis et j'ai emprunter un chemin, pour voir ou celui-ci conduisait, je marchait depuis un certain temps, ca chemin m'a amener dans les environs et comme je vous l'ai dit, je suis tomber sur votre groupe par hazard, je vous ai regarder, et me voila, et vous, qui êtes vous?"

Cette rencontre soudaine avait troublé les nains, déjà que la compagnie de la forêt ne les enchantaient pas mais en plus si des elfes surgissaient comme ça à l'improviste.
Et c'est ainsi qu'un des nains, qui n'aimait pas particulièrement les habitants des forêts, continua à marcher, pour s'éloigner de la discussion qui ne l'intéressait pas pour le moins du monde. C'est de cette façon qu'il tomba. Il tomba, poussant un grand cri, dans une fosse qui servait à capturer les passants. C'étaient un piège des esclavagistes et il n'était pas destiné à tuer. Les cris du nain furent onc entendus, bien qu'il ne puisse remonter.

Mais d'autres furent au courant d'une présence, ceux qui avaient posé ce piège. Et ils étaient de féroces hommes de Rhûn, au teint sombre et aux yeux noirs et mauvais, qui se battaient avec des cimeterres et des hallebardes.
Ce n'était absolument pas des orcs, ni des elfes.

On entendu des bruissements dans les fourrés, des cris sourds et étouffés.
Et soudain, une volée de flèches frappa le groupe des nains. Ils étaient pris en embuscade et devaient absolument s'organiser pour recevoir les assaillants.

- Je suis Nabz, ranger de Minas Tirith au service des nains de la Moria en ce moment. Nous sommes, comme je le disais, à la recherche de ...

Un cri se fit entendre et quelques minutes plus tard, d'autres cris se fit entendre mais cette fois, des cris d'hommes. Des hommes Rhûn, les plus féroces et barbares qui soient.

Nabz tira deux nains pas leurs bras et courra se réfugier derrière des arbres. Il avait eu de la chance que les tirs étaient en cloche et non pas en tir direct.

Il regarda autour de lui une fois la salve passée.

- Comment allez-vous ? Cria t-il à ses compagnons.

// Me revoilà!!//

Sombre-chêne dit immédiatement au nain:

Non! Ne partez surtout pas seuls hors du sentier, vous vous y perdriez. Je pense que Hataldir pourrait vous guider à travers les arbres, quant à moi, je pars avec Nabz pour stoper les tirs.

A ces paroles, des cris puissants se firent entendre et un vingtaine d'hommes de Rhun se précipitèrent vers le petit groupe. Le ranger dit aux nains:

Je vous les laisse! puis à Nabz, suivez-moi!

Sombre-chêne quitta le sentier et se dirigea vers l'origine des flèches tout en faisant attention à ne pas faire de bruit. Il repéra ainsi un groupe de cinq archers. Il dit au caporal ranger:

Restez-ici et lorsque vous verez un homme tomber, tirez!

L'elfe se fauffila entre les arbres à une allure assez rapide. Il était dans son élément. Lorsqu'il eut contourné les archers, il encocha un flèche, visa et tira. Un homme tomba et les autres se retournèrent à la recherche du tireur. Mais ils ne virent rien d'autre que les arbres. Sombre-chêne était cahé, prêt à tirer à nouveau. Il attendait juste Nabz.

Tandis que la dizaine d'archers de Rhûn tiraient et tiraient encore, décochant d'innombrables volées qui trouaient plus d'arbres que d'ennemis, des guerriers s'avançaient. Les archers n'étaient là que pour éliminer les combattants ou les affaiblir mais derrière eux, parurent les combattants, ceux qui cherchaient plus à prendre les gens vivants. Mais ils virent là qu'ils auraient du mal à faire cela et que leurs adversaires étaient tous des combattants.

Les archers continuèrent, et comme le stratagème de Sombre-Chêne et Nabz marchait, un nouveau groupe de cinq rangers s'avança, un peu plus au nord que les autres. Ceux-ci eurent une meilleure vue sur la bataille et un meilleur angle de tir.
Mais à ce moment, les combattants ennemis arrivèrent à hauteur des nains et ceux-ci purent voir leurs armures couleurs cuivre, leurs sabres courbés qui les attendaient.

Une voix s'éleva, dans un langage guttural et incompréhensible, mais qui, en Commun, se traduisait à peu près par ceci :

-Pas de quartier ! Pas de prisonniers ! Tuez les tous !

Alors ces orientaux, qui avaient entouré les nains, ressèrèrent leur cercle, abattirent leurs armes et un combat furieux commença.
Les nains étaient en fâcheuse position.

Sombre-chêne tira une flèche qui se ficha dans la poitrine d'un tireur. Il n'en resatait plus qu'un qui puisse être dangereux. Il l'était d'autant plus qu'il s'approchait de Nabz. Sombre-chêne sortit de sa cachette, rangea son arc et sortit ses deux dagues. Il s'approcha le plus discretement de l'archer blessé au bras par le caporal. Il hésita une fraction de secondes, ouis rabaissa son arme. Le blessé n'était plus dangereux, du moins pour l'instant. Le ranger reporta son attention sur l'autre ennemi. L'elfe s'approcha de lui et, ne pouvant se résoudre à l'abattre de dos, tenta de le faire tomber par une balayette. Il réussit à moitié et l'archer fut mis à genoux. Mais ce-dernier, d'un mouvement rapide, envoya valser au sol Sombre-chêne par un coup de poing puissant. Il se rapprocha de l'elfe, prêt à l'achever. Il avait cependant omis Nabz qui avait à présent le chant libre. Tournant la tête, l'elfe put voir les nains qui contraient tant bin que mal les assauts de hommes de Rhun appuyés pas leur archers. Mais tout de suite, le destin de Sombre-chêne était entre les mains de Nabz.

Quand Sombre-chêne fit tomber l'homme qui se tenait en fasse de Nabz et que ce même homme reprit le dessus sur l'elfe, il était dos au caporal ranger. Nabz posa ses affaires sous la cape elfique et ne prit que son épée.

Il sauta sur l'homme du Rhûn et lui asséna un violetn coup de pied dans la hanche puis l'attrapa par le cou jusqu'à ce qu'il lache son arme, ce qu'il fit. Dans une derniere lueur d'espoir, l'homme essaya de contrer l'attaque, mais Nabz était armé, lui pas. Nabz se vit contraint de tuer l'homme. Il lui enfonça son épée dans le coeur d'une seule main.

L'homme s'effondra.

- Il reste des archers ? demanda Nabz à sombre-chêne en le relevant.

Hataldir fut étonner par la vitesse du déroulement de la bataille, il approcha d'un des hommes de Rhûn mort, ramaça l'arc de celui-ci et commenca a tirer sur les hommes qui attaquaient les nains, il pris une flèche du quarquois de l'homme tomber et tira, la fleche alla se terminer dans le plis du genould d'un des hommes qui perdis l'équilibre, ce qui permis a un des nains de l'achever, il pris d'autres fleches et continua a tirer comme il le pouvait, car avec la bataille qui se deroulait, il ne voulait pas blesser un nain.

Merci de votre aide Nabz.

Somre-chêne regarda le combat qui se déroulait juste à côté d'eux. Hataldir semblait bien se débrouiller et son aide n'était pas du tout négligeable. Le ranger regarda au Nord et put voire à travers les feuilles, cinq autres archer tirantsur les nains. Apparament, leur position était meilleure que celle des autres, non seulement pour la visée mais aussi pour leur propre protection. En effet, ils étaient légèrement en surplomb et la tactique utilisée par Nabz et Sombre-chêne juste avant serait mois efficace. Par contre, ils étient juste à côté du sentier et aussi d'un piège qu'ils avaient eus eux-même le soin de préparer. L'elfe dit à Nabz:

Je vois effectivement d'autres archers qui ont juste à côté d'un piège préparé par leur propre soin. Nous pourrions essayer de faer n sorte qu'il s'y prennent, et je pense savoir comment faire. Faisons en sorte qu'ils traversent le sentier à l'endroit voulu. J'attirais leur attetion vers cet endroit, et lorsque le premier tombera, prenez-les de revers.

Sans attendre plus, le ranger partit face aux archers dans l'alignement du piège qu'il aviat désamorcé juste avant. Heureusement, il était encore intact. Lorsqu'il fut bien placé, il lança une pierre juste devant les tireurs. Mais l'effet voulu ne fu pas le même que ce qui se passa. Seulement un homme partit à la recherche de l'origine du proectile, mais tomba tout de même dan le trou. Il était bloqué et poussa un cri qui alerta ses acolytes qui tournèrent la tête.

Sombre-chêne vit les deux nains arriver sur les flanc des quatre archers restant. Por l'instant l'attention de ces derniers étiait concentrée sur le piège dans lequel était tombé leur compagnon et pestait contre lur propre bêtise. Thror et Derïn restaient donc inaperçu. Mais pour combien de temps encore? Même s'ils faisaient leur possible pour rester discret, ils semblaient décidé à attaquer les archers. Il falait eur offrir l'ocasion don ils avaient besoin. Malheureusement, le stratagème de la pierre ne marcherait pas deux fois. Il fallait quelque chose de plus "convaiquant". Le ranger ranger sortit donc de sa cache et partit du côté opposé du talus où étaient les deux frères.

Il est là! dit un archer.

Quatre flèchs volèrent en direction de l'elfe. Une eule fit parcourir un frisson dans l'échine de Sombre-chêne : elle avait efleuré la cuisse de ce dernier. Il se cacha à nouveau, puis s'écarta légèrement de l'endroit où il 'était arrêté pour tromper les homme de Rhun. Ceux-ci continuèrent à tirer, ne voulant pas quitter leur position. Mais les pojectiles ne tranchaien que du vide. Maintenant c'état aux nains de jouer