A la recherche d'une énigme

Eaoden refit un tour du campement, cherchant des Gondoriens. Il les réunnit encore un fois disant qu'il était l'heure de partir. Il ne recommença pas un discours pour les convaincre à prendre tel ou tel chemin. Il fit juste le tour du campement (encore une fois) et fit un signe d'adieu à Derïn, Nabz, Eleriol qu'il ne connaissait pas beaucoup, Oìn,...Quelques minutes plus tard ils étaient sur le chemin, pour faire avancer les choses. Presques tous les hommes les hommes les rejoignirent. Il n'en restait qu'un ou deux qui partaient pour le Rohan. ils marcherent, marcherent, ayant comme direction; la cité de Minas Tirith.

[Désolé pour la longueur, je dois laisser le PC a la petite famille . Vers 4 heure j'arrive à MT]]

Eleriol ne savait toujours que faire. Il attendait de savoir quelles seraient les décisions de Nabz et Derïn, puis aviserait. En attendant il partit vers une réserve d'arme encore intacte et s'y procuraune trentaine de flèches. Bien que non elfiques, elles conviendraient à l'elfe. Puis ce-dernier revint vers le groupe. Derïn semblait décidé à partir en Rohan, mais qu'en était-il du caporal? Eleriol put voir l'espion partir. Ils n'avaient échangé que peu de paroles depuis le début, et l'elfe ne put se résoudre à en rester là. Il ratrappa donc Eaoden et lui dit :

Ce fut un plaisir de combattre à vos côtés. Excusez mon mutisme et mon assosciabilité, mais je ne suis plus d'un tempérament enjoué depuis... certains évènements. J'espère cependant vous revoir un jour.

Puis il revint sur ses pas. Il ne restait que quelques hommes désomrmais libres et qui semblaient vouloir aller en Rohan. Mais ce n'était pas tellement de l'avis des autres nains...

Tous se séparaient à présent. l'heure du choix était venu. Rejoindre Minast-Tirith? Retrouver Sombre-chêne? Après un long instant de réflexion, il opta pour la première décision. Il désirait ne plus combattre pour quelques temps, et rien ne laissait prévoir qu'il aurait à se battre dans la Cité Blanche. En tout cas il le croyait. Il partit donc dans la diréction de l'esipon et marcha d'un pas rapide pour le rattraper. la tâche ne s'annonçait pas difficile : l'allure du groupe devait être ralentie par la fatigue des autres. Eleriol regarda une dernière fois le camp en ruine puis partit. la nature aurait vite fait de ragagner ses droits.