A la recherche d'une énigme

Eleriol devait donc retouver les nains, qui eux mêmes étaient partis chercher des renforts, et après, ils pourraient tenir conseil et décider de ce qu'il tenait de faire. En attendant, ils étaient assez tranquils, du fait que les rhûniens devaient passer leur temps à débattre à propos des elfes renégats qu'ils pensaient s'être mis sur le dos.
Mais pour le moment, tous étaient en train de voyager, à la recherche d'autres, aussi, il ne se passait rien de bien important.

Dès que tous se serraient retrouvés, ils devraient aviser, et là, peut-être allaient-ils enfin se débarasser des ses hommes qui les avaient tenus en échec.

[Hum, vu que Derin, seul nain actif est absent jusqu'à jeudi-vendredi, et moi de même, et que Sombre-Chêne est déjà engagé en Rohan, jepropose de mettre la quête en suspens. Après cela pourra recommencer...surtout que...Horg', t'es revenu ?]

//il y a toujours Eleriol et le nouveau mineur (bienvenue à toi). Enfin, c'est peut-être mieux...//



Eleriol arriva après une grosse demi-heure de marche au point où il avait laissé les nains, sur le sentier. Les cadavres étaient encore sur le sol, le sang désomrais sec sur l'herbe. Sans prêter attention à la forte odeur qu'ils dégageaient, l'elfe continua son chemin, pressant le pas. Qui sait si un esclavagiste n'allait pas réapparaitre? Mais après tout, Eleriol aurait pu faire en sorte d'engendrer encore plus de haine... Les homme de Rhun s'étaient enfermés dans un cercle vicieux et auraient du mal à en sortir désormais.

Trois heures passèrent durant lesquelles l'elfe put s'imprégner de tout son saoul de sa forêt qui lui avait tant manquait. Le laie se finit finalement laissant place à un sentier serpentant jusqu'aux montagnes. Une heure encore passa avant qu'Eleriol rejoigne le groupe de nains qui s'était arrêté. Ils se levèrent d'un bloc et assenèrent l'elfe de question. Eleriol les pria de se calmer d'un geste de la main et dit:

Je vais vous raconter ce sue j'ai fait pendant toutes ces heures.

//Je reposterai quand quelqu'un d'autre postera. Pour l'instant j'applique la méthode de Rad'//

Eleriol commença son récit:

Je fit croire aux hommes de Rhun que des elfes rénégats vous attendaient en embuscade. Je me faisait passer pour l'un d'eux. Ils me crurent et m'emmenèrent dans leur campement. Je put voir des dixaines de cages ou gisaient des esclaves. S'ensuivit un échange de parloe qui ammena une discorde entre eux et moi. Je fus condamné à mort mais je réussit à m'en sortir. Mon plan avait marché : les esclavagistes sont désormais montés contre les Parjures et se préoccuperont moins de vous, en tout cas pour un moment. Maintenant qu'aloons-nous faire?

//Voilà en ce qui me concerne Nabz. Pour ceux qui ont quitté la forêt, Derïn est parti chercher de l'aide en Erebor, Hataldir est parti rejoindre les elfes en Rohan et Sombre-chêne est parti lui-aussi là-bas lorsqu'Eleriol est arrivé. Maintenant tu sais à peu près tout, en tout cas le plus important.//

Hrp: Ok ok Merci Sombre-C. ! Mais maintenant moi je deviens quoi ? ^^ On va dire que j'attend les autres posts pour me remettre dedans ! /hrp

Eh bien, je te conseille de réagir aux propos de S-C et lorsque Derin (ou/et Horg) posteront, on relancera vraiment. Cela ne devrait tarder.
Rada'

//On va dire que Nabz était resté embusqué près de la forêt et quand voyant Eleriol il s'est joint à lui et ont rattrapés les Nains ensemble.Comme ça t'es pas isolés //

Les Nains regardèrent l'Elfe avec étonnement,il avait du sang-froid!
Mais ils devaient se hâter d'aller chercher des renforts pour peut-être tenter une ataque en force sur le camp des esclavagistes quand celui-ci serait vidé des combatants qui seraient partis combattre les renégats,de plus les renforts d'Erebor ne devraient plus tarder.
Quelques Nains harcelèrent l'Elfe de questions:

-Y avait-il des notres dans les cages??
-Pouvez-vous retrouver le camp?
-Sont-ils nombreux?

Mais tous se turent quand ils virent que le général allait prendre la parole...

//Vas-y Horg!//




Les troupes d'Erebor voyaient la forêt à l'horizon et commencèrent à infléchir leur route vers l'ouest afin de ne pas trop s'approcher des bois et d'éventuellement apercevoir les troupes de Moriá.



Thrór et Derïn progressaient lentement,le terrain était escarpé et de plus le camp était de l'autre côté de la montagne.Mais déjà ils avaient atteind le flanc ouest,ils n'avaient plus qu'à grimper...

//J'attend le dénouement du combat Eaoden vs Inconnu pour faire intervenir Derïn et Thrór.Si Rad' pouvait accélérer...//

Sur place, il ne restait que quelques nains à l'endroit où ils s'étaient regroupés, et où Eleriol leur racontait ce qu'il avait vu et entendu durant sa mission d'espionnage. Ils ne savaient pas qu'à cet instant, Derin et son frère avaient rejoint Erebor, de même qu'ils reviendraient accompagnés du troisième de la famille, ainsi que peut-être de l'espion. Bien sûr, ils auraient la bonne idée de prendre des troupes avec eux, car, cette fois-ci, il faudrait bien en finir avec ces racailles d'orientaux.

Plus à l'ouest, les troupes avaient croisé les patrouilles de la Moria, où on convoyait d'ailleurs une commande bien particulière. Mais, de manière plus importante, c'était la promesse d'une équipe de renforts qui les réjouirait, car il y aurait sans doute assez de nains pour vaincre ces ennemis dès que tous se rejoindraient.
Il ne restait qu'à attendre leur regroupement.

Eleriol fut quelque peu desoriente par toutes ces questions. il repondit cependant avec calme:

Effectivement il me semble avoir vu quelque nains dans les cages. Je pense que je serais capable de retrouver le camp de ces esclavagistes. Cependant pour leur nombre je n´avance rien. Peut-etre une cinquantaine, peut-etre plus. Qui sait si ils etaient tous la? Mais en tout cas, avant de nous lancer a la chasse de ces hommes de Rhun, nous devons attendre le denomme Derin qui semble etre parti. Ensuite nous elaborerons un plan.

Eleriol etait un peu septique. Ils ne savaient pqs grand chose des esclavagistes. Se deplacaient-ils souvent? Etait-ce le seul camp? Tout autant de questions sans reponses.

La petite armée d'Erebor était arrivée depuis environs 3 heures quand on aperçu au loin plusieurs silhouettes.Grâce à sa vue perçante Eleriol put voir trois Nains et un homme,il se doutait bien qu'il s'agissait là des maîtres d'armes dont ont lui avait parlé mais il ne connaissait pas l'homme.

En ce qui concerne l'armée d'Erebor,on pouvait remercier le conseiller qui s'était démené pour trouver des troupes fraîches dans les plus brefs délais,il avait même fait placé dans la compagnie une quinzaine de soldats d'élite entraînés par Derïn et ses frères,ceux-là seraient très durs à vaincre.Ils étaient en tout une petit centaine,le reste des Nains étaient des soldats vaillants et doués mais qui n'avaient plus vu de combats depuis longtemps.

Derïn arriva donc avec ses compagnons,après avoir rapidement présenté Eaoden à tout le monde il demanda:

-Un bref résumé de ce qui s'est passé en mon absence,normalement les renforts de Moria vont arriver d'un instant à l'autre...Quand ils seront là on pourra s'y mettre sérieusement mais d'abord les derniers évènements.

//Nabz,on peut dire que t'es là //

Hrp: Ok ! Encore désolé pour le retard que j'ai fait prendre au Rp et aux absences de posts :X /Hrp

En marchant, aux cotés de Derin, Nabz aperçut un régiment nain. D'aprés les explications de Derïn, c'était l'armée venant tout droit d'Erebor pour mettre fin aux agissements des esclavagistes et liberer les captifs.

Une fois arrivé devant l'armée, Derïn salua plusieurs connaissances alors que Nabz regardait les nains. Ils étaient vraiment curieux. Leur façon de s'exprimer, et de se battre, était bizarre. Le mot adéquat était surement "bourin",et ça plaisait au ranger.

Hrp: Désolé pour le Rp un peu pouri ^^' Je vois pas trop quoi mettre d'autre, et j'ia pas beaucoup de temps ... /Hrp

Eaoden arriva avec l'armée des nains et il put découvrir une autre armée, "la sienne". Il s'approcha d'un homme, apparemment au placé qui regardait les nains en les prenant pour des gobelins, vu comme il les regardaient. Il se présenta d'une voix modeste;

"-Bonjour! Je souhaiterais connaitre des hommes, car, ce n'est pas parce que je n'aime pas les nains, mais on est mieux entre nous, Hein!"Prononça-t-il avec un clin d'œil.
Il se surpris d'avoir dit "hein", sûrement un signe que l'entrainement d'Oìn avait fait son effet! Il continua;
"-Je me nomme Eaoden, Espion pour notre grande Cité. Pourrais-je avoir le grand honneur de connaitre votre royal nom?"
Il se tut, attendant la réponse. Mais il ne put retenir une question;

"-N'y a-t-il point d'elfe(s) ici?"

[Ca faisait longtemps que j’avais plus fait du dialogue...]

La réponse du Ranger le fit sourire. S’il n’avait pas été un homme, il lui aurait répondu méchamment... Il lui répondu donc calmement, sourire en coin;

"-Merci de votre réponse. Pour répondre à votre première question, je vais d'abord répondre à la première; Il y a quelques semaines, je débutait en Minas Tirith. Ma première mission me fut donné par Quelqu'un que je ne citerais pas le nom, sous sa demande. Nous partions donc vers le Harad pour un mission d'espionnage avec un peu d'assassinat. Nous revîmes de cette mission satisfaits, sauf moi. J'avais remarqué quelques faiblesses dans mes combats. Je parti donc vers le maître Derïn, qui, après mon entrainement, m'invita à ce combat. Et c'est pourquoi je suis içi!"

Il s'éloigna du Ranger après ce résumé et se dirigea vers un groupe récemment formé. Derïn y faisait partie; il lui demanda...

"-Que faisons nous maintenant? Avez-vous un plan? Une petite mission d'assassinat pour moi?"

Il se tut, attendant la réponse du nain...

[À toi Derïn! Pourquoi suis-je le seul à utiliser des couleurs :'( ]

Un nain sourit à la dernière réplique de l'espion, et sa barbe frémit de plaisir à l'idée de ce qu'il allait dire. Il se dirigea vers les deux chariots que le général insitait pour traîner avec lui depuis tout ce temps et il en dévoila la bâche.
Devant eux se dressait une balise capable de tirer de larges pieux de bois, à ses côtés une petite catapulte qui sèmerait une sacrée panique sur les simples tentes et petites cabanes de ces idiots de rhûniens.

_Un plan ? Ca ouais qu'on a le temps de faire un plan. J'vais te l'expliquer, not' plan, et il est simple. On vient, on les arrosent une fois, et p'is on fonce. Pas beau ça ? Bien sûr, si tu veux partir en avant...Mais moi j'l'aime bien, not' plan.

C'est à ce moment qu'un tintamarre se fit entendre vers l'ouest. On pu entendre le bruit des bottes de fer, lourdes et dures sur ce doux tapis de fougères. Des ombres désordonnées s'avançaient et tous crainrent au pire jusqu'à ce qu'ils distinguent...

Des nains venant de la Moria, qui étaient un bon nombre et, au passage, l'un d'eux portait une commande spéciale. Ils devaient maintenant être en nombre suffisant pour attaquer ces rascals, selon le plan très ingénieusement établi auparavant.

//Derïn pourrait MJter, je transmettrai qqes infos. Si il y a un prob' avec tout ça, Horg', on s'arrangera.//

//J'fais cours,chuis à la bourre
Et en plus ça rime! :P//

Derïn regarda quelques instants le Nain qui avait donné un plan:

*Il me plaît celui-là.Penser à l'augmenter et à lui faire partir c'te foutu n'accent.*

Après la joie de voir arriver les troupes de Moria,ce qui semblait être un capitaine sortit des rangs et appela:

-Je cherche l'homme Eaoden,j'ai un colis pour lui!

Eaoden s'avanca et le Nain lui tendit un paquet de taille assez conséquante:

-Faites en bon usage,et ne vous inquiétez pas pour la qualité,cet équipement tiendra des années!

Derïn s'adressa par après à tout le monde:

-J'aime ce plan!Nous aurons un bon soutien avec cette catapulte!!
Mais il ne faut pas foncer tête baissée...
Quelqu'un à des améliorations à proposer?

Eleriol était n´avait pas dit mot pour l´instant. Il finit par prendre la parole:

Si je puis proposer autre chose... Nous pourrions continuer dans ma lancée. Je m´explique : Ce camp n´est peut-etre pas le seul, et par conséquent nous pourrions faire croire que noous ommes des rénégats, ce qui emplifirait encore plus leur haine. Meme si nous prenons en comte quest le seul camp, cette méthode peut etre efficace, les Rhuniens penseraient etre attaqués pqr des elfes et non des nains et réagiraient par conséquent. S´ils se erendent compte au dernier momemnt de notre vrai nature, nous bénéficierons d´un état de surprise. Qu´en pensez-vous?

//Désolé c´est court mais j´ai pas le temps//

Le ranger sourit.

- Ca me convient parfaitement ! Quand est-ce que nous passerons à l'attaque ?

Un nain relativement petit s'avança, leva le point et cria:

-Nous allons faire regretter à ces Rhuniens d'avoir eu comme ennemis les nains !
- Ouai !

Des cris de nains se soulevèrent de tout le campement ... Ca ne passerait pas inaperçu, mais le plan était fait et tous étaient prets à se battre.

Les rescapés du combat précedent entraient à nouveau dans la foret, Eleriol en tete en guise de guide. Il retrouva une deuxième fois les repères qu´il avait remarqué et put ainsi retrouver le chemin. Ils ralentirent quelque peu lorsque les machines de sièges s´embourbèrent dans la boue, mais ce ne fut pas suffisant pour stopper le groupe d´où émanait à préset une ardeur impressionnante. Les nains surtout, qui voulaient vanger leurs frères.

Après une petite heure de marche, ils arrvèrent au camp. Celui-ci n´était pas tellement éloigné de la lisière, mais il avait fallu faire un détour important pour avoir un sentier praticable par les machines. Mais Eleriol ne doutait pas que Les Rhuniens, si le plan marchait, couperaient au plus court. Les machines se positionnèrent, les soldats se mirent en place, les rangers, dont faisait partie Eleriol, préparèrent les foyers. Le controle des feux allait etre ardu, il fallait ésperer que les esclavagistes réagiraient vite. Les branches furent placées le plus près posible du camp pour que les flammes se propagent moins rapidement. Tout était en place. Eleriol et les autres rangers n´attendaient plus que le signale pour allumer le feu. L´elfe laissait à Derin le soin de le donner...

Eaoden avait suivi les opérations d'un œil attentif. Quant les rangers partirent, l'Espion les suivit doucement. ils se séparèrent vite en se dispersant tout autour de Rhûniens. Eaoden ne suivit pas le groupe longtemps et s'arrêta plus ou moins au sud du campement. Il s'avança en rampant vers les hommes de Rhûn pour les espionner. Il repéra un arbre d'une grande hauteur et dont il pourrait grimper dessus facilement, ce qu'il fit. Il arriva environ à la cime de l'arbre, ou en tout cas à un endroit où les branches pourraient encore supporter son poids. Il se tourna vers le campement qui allait bientôt être vidé et vit les Rhûniens. Il resta là quelques instants puis vit à sa plus grande horreur deux hommes qui se dirigeait dans sa direction. Il descendit le plus vite qu'il put mais n'arriva pas à temps. Il lui restait quelques branches à parcourir mais les hommes étaient déjà là. Ils s'arrêtèrent pour parler. L'esprit d'Eaoden tournait vite et il eut une idée. Il sortit minutieusement son arc et, sans un bruit, encocha une flèche et en prépara une autre dans sa main. Les hommes continuèrent leur chemin mais l'espion ne leur donna pas le temps et décocha sa première flèche, un homme tomba. Une autre flèche arriva à temps avant que l'autre n’ait eu le temps de repérer l'archer. Eaoden sauta de l'arbre et pensa;

*Il faut que je cache les corps et que je prévienne Derïn en vitesse, ils vont se douter de leurs disparition!*

Il cacha donc les corps sous les feuilles et couru (silencieusement) vers les nains. Il rencontra les rangers qui préparaient les feux. Il leur adressa un bref salut et continua à courir. Il arriva finalement au pieds de Derïn et lui adressa la parole;

"-Il faut faire vite! J'ai été obligé de tuer deux Rhûniens qui rentraient trop loin dans la forêt. Il vont bientôt se rendre compte de leur disparition!"

Il attendit la réponse et repris sa respiration.

[J'avais envie de faire un dessin...



Si j'ai bien compris c'est comme ça que ça se présente?]

Derïn regarda sombrement l'espion:

-Aïe,il va donc falloir agir plus vite que prévu,j'espère qu'ils seront prêt là haut!!

Il réfléchissa quelques instants et dit:

-Mais tu as bien fait,il ne fallait pas qu'ils découvrent le stratagème!Tu as planqué les corps j'espère?
-Oui.
-Bien...

Derïn siffla assez fort mais avec un sonorité bien spéciale et tout le monde s'approcha:

-Bien,il va falloir agir vite!Les deux lascards qu'Eaoden a tué devaient être en patrouille,ça nous laisse une dizaine de minutes.
Mettez du bois sec ainsi que beaucoup de feillus,il faut que ça fasse une belle fumée sans trop de flammes afin que les Rhûniens paniquent et que l'artillerie puisse la voir et bombarde ces crétins!

Pas de questions?A vos postes!!Vous allumerez les feux lors du sifflement convenu.

Cinq minutes plus tard et alors plusieurs messagers avaient fait parvenir que tout le monde était à sa place,Derïn poussa trois sifflements successifs suraigus et on puit voir des lumières s'allumer à côté.Déjà une fumée noire se dégageait et allait devenir un énorme panache...

*Faut que sa marche!*

//J'crois bien que c'est ça Eaoden.Et si je me plante dans mon texte n'hésitez pas à me rattraper //

Dés que les rangers entendirent les trois sifflements, ils allumèrent les feux qui dégagèrent une épaisse fumée noire. Quelques minutes plus tard, on entendait hurler les rhuniens. Ils criaient des choses qui voulaient annoncer un feu, un danger, ou quelque chose du genre ...

Quelques rhuniens se dirigèrent vers les feux pour voir ce qu'il en était. Une fois devant les feux, ils écarquillèrent les yeux. Ca devait être bizarre de voir des murs de feu en face de vous. Ca n'empeche qu'ils s'enfuirent tous comme prévu vers le seul échapattoire possible. Le piège allait marcher.

Les rangers suivaient les rhuniens qui avançaient vers l'endroit où allait s'abattre les armes des machines de siège. Quant les rhuniens furent pour la plupart à l'emplacement prévu, Nabz prit une de ses fleches, l'alluma, et la tira en l'air. Elle vola quelques secondes et retomba dans la terre du campement.

Quelques minutes aprés, on put entendre les machines de sièges s'activer. Les hommes du Rhun n'avait aucune idée de ce qui se passait. Ils étaient comme pétrifiés. Les pierres volèrent et retombèrent sur une vingtaine d'entre eux. Il en restait approximativement quarante. Ceux ci coururrent pendant que les machines de sièges se faisaient recharger et ils échappèrent de peu à la mort.

De nouveau, Nabz alluma une de ses fleches, mais cette fois-ci accompagné des autres rangers. Ils tirèrent en même temps en l'air, et on entendit les cris des nains qui chargeaient.

- C'est la fin pour eux, dit le caporal ranger.
- En effet, répondit quelqu'un d'autre à sa gauche.