La Tour de Mithrandir [Visites et discussions]

"Mae govannen, mellon nin... En effet il y a bien longtemps pour moi que nios routes ne se sont pas croisées, mais cela peut ne paraître rien aux yeux d'un Elfe...Entrez donc, la nuit est froide"

Et j'ajoutais plus bas...

"Et les oreilles se terrer partout..."

Je m'éffaçais dans l'encadrement de la porte pour les laisser passer... La porte une fois fermée mon secrétaire me murmura quelques mots à l'oreille concernant Rustor... Puis il me raconta les derniers evenements en date...

"Deux personnes ont souhaité vous voir...Mauis tous deux sont finalement allée voir votre oncle... Et j'ai une autre nouvelle bien plus funeste... Méakil, Emir d'Harondor est mort..."
"Mort ! Que de singularités, quand, où comment ?"
"Cela je ne le sais point, mais une délégation est arrivée au palais..."
"Il faudra que j'en voie certains membres... Suivez moi Sombre-Chêne, nous allons discuter au calme... J'ai appris votre accession au titre d'Ambassadeur... Vous allez me raconter tout cela ... Et ensuite nous évoquerons mon invitation étrange à passer pour regler quelques affaires urgentes... Ensuite je me ferai une joie de discuter avec vous des evenements de par le monde."

Nous avançâmes alors et montèrent les escaliers...

//Suite dans la Salle secréte, je te laisse ouvrir le bal ^^//

//Suite de la salle secrète//

Bonsoir, que la nuit puisse vous être bénéfique.

Sombre-chêne grimpa deux par deux la quinzaine de marches de l'escalier désigné par Mithrandir et trouva sans peine la chambre dont il avait parlé. En effet, la tour avait beau être assez haute, chacun de ses étages était assez petit. Il pénétra dans la petite pièce qu'il reconnut pour y avoir dormi quelque mois plus tôt, et ferma le lourd battant de bois derrière lui. Seule la lumière de la lune passait au travers de la petite lucarne, ce qui ne permettait pas de voir en détail la chambre. Un lit et un récipient dans un coin.

Lelfe se dévêtit, libérant avec plaisir ses muscles du poids de l'armure et se lava à l'aveuglette. Une fois propre, il se glissa avec délice dans les draps et garda les yeux ouverts, fixés sur le plafond. En fait, il ressentait plus une fatigue psychologique que morale, ce qui ne l'empêcha pas de sombrer dans un état de semi-conscience assez rapidement.

Le lendemain serait éprouvant.

De mon côté je penetrais dans mon étage... Et en refermait la porte... Je me trouvais alros dans un long corridor bordé de portes... Tout au bout se trouvait une staute de gandalf et derrière se trouvait peint sur le mur, les symboles des portes de la Moria... je continuais à avancer et j'entrais sur l'une des nombreuses portes à droite...

Je me trouvais alors dans mon bureau... Un tas de dossiers et documents s'y trouvaient empilés.

"Le sommeil, c'est pas pour tout de suite..."

Je m'assis donc, saisis une pipe, l'allumait tirais quelques bouffées et commençais mon travail... Il y avait longtemps que je n'avais aps fumé de cette bonne vieillle herbe du quartier Sud... Je commençais donc ma paperasserie... Lisant et classant repondant à des lettres, délivrant des audiences etc...

Après plusieurs heures j'avais fini ma besogne j'éteignit donc la bougie qui m'éclairait et sortiti de la pièce... je me dirigeais alros vers la statue et au dernière moment je tournais sur la droite entrant dans ma chambre... là je passais l'ouverture du Balcon après en avoir ouvert la porte et scrutais le ciel et la Cité... Quelques minutes après, j'allais me laver puis je me glissais dans mon lit, l'épée au fourreau posée à côté, la dague à mon centuron qui n m'empecherait guère de dormir...

Trois coups secs, rapides et brefs...

Quand on ouvrit la porte, on vit dehors six hommes... Et quels hommes... Eaque, Prince de Brethil, Seigneur de Dor-Lomin, Haut Conseiller du Roy...

Et derrière lui cinq chevaliers de Brethil en armure tenant la bannière de la prince: Ajax a la main lourde et Nestor étaient les deux plus visible...


"Qui dois-je annoncer?

-Veuillez annoncer le Prince Eaque de Brethil, Seigneur de Dor-Lomin et Haut Conseiller du Roy..."

Le serviteur fut un peu étonner d'autant de titre... Ce qui amusa Eaque... A dire vrai, cette phrase, il aimait la dire...

Il passa le pas de la porte... La dernière fois, il était au service de l'intendant...

Maintenant, il ne venait que faire une visite de courtoisie au mage...

La porte s'ouvrit sur le visage étonné du secrétaire...

"Je vous ai déjà vu me semble-t-il...Entrez donc... Mithrandir est actuellement ailleurs, mais il rentrera assez vite je pense... Que puis-je faire pour vous ?"

Il l'invita a entrer et le fit assoir il s'absenta et revint avec un plateau sur lelquel on pouvait voir des verres une bouteille et de la nourriture...

"Quel est le but de votre visite ?"

Eaque accepta un petit four et un verre d'hydromel... Rien de plus désaltérant...

"Je suis ici en simple visite de courtoisie. Rien de bien méchant..."

et pour savoir ce que veux dire cette phrase: "Dominuas habet testamentum", se dit-il a lui même...

En effet Mithrandir avait murmuré cette phrase quand il l'avait vu pour la première fois...

"Mais j'ai tous mon temps, je l'attendrais..."

"Il ne devrait pas trop tardé, enfin s'il n'est pas retardé par une quelconque affaire urgente comme c'et de plus en plus le cas depuis son retour d'entre les morts..."

Il s'arreta, un long silence s'installa avant qu'il le brise de nouveau...

"Vous êtes donc le prince du Brethil en exil...c'est bien cela ? Et vous venez voire Mithrandir pour une affaire secrete... Si tel est le cas, vous pouvez m'en parler, je suis fidèle à Mithrandir et à force de travailler pour lui nous sommes devenus amis...Il faut dire que lorsqu'il s'absente pour des raisons importantes je reste souvent avec la paperasseire sur les bras... Bien que hier soir il se soit chargé de tout remettre en ordre, aussi je pense qu'il n'a que peu dormit... Il attend impatiemment le retour de sa femme, d'ailleurs je me demande ce qu'elle peut bien faire... Enfin nous nous eloignons du sujet, je suis somme toute trop bavard..."

"Et c'est un défaut pour un secrétaire. Vous devriez garder les affaires de votre maître secrète... Je le sais, je l'ai moi même était pour l'Intendant... Je suis désolé, mais ce que je tiens a lui dire, je ne le dirais qu'a lui. Peut etre jugera-t-il nécessaire de vous prévenir après..."


Un de ses chevaliers lui glissa un mot à l'oreille...

"Détendez vous, nous ne craignons rien ici... Et de toute façons vos lamse pourront me protéger de tous périls... Leur répondit il. Secrétaire, voulez vous bien me raconter cette histoire sur sa mort, je n'y connais pas grand chose a part de simple rumeurs...

"Cela peut-être un défaut mais aussi un atout car quand on a du bagout on écoute aussi avec attentio ce que l'on me dit... Quand aux affaires de Mithrandir je les revèle rarement..."

L'un de chevalier glissa un mot à l'oreille d'Eaque...

"Asseyez vous donc tous, et laissez donc vos armes, vous n'en aurez pas besoin et je doit dire que même s'il m'arrive d'aboyer je mord rarement... La mort de Mithrandir, je n'en sais pas grand chose, du moins un peu plus que la moyenne... Il était à fangorn pour tenter de reviller des Ents, les Huorns s'étant livrés à des actions de plus en plus violente... Une racine se dressa sur sa route, lui et son cheval tombèrent dans le précipice bordant le chemin... Il s'écrasèrent mutuellement... Durant le même temps une bataille avait lieu et le père de Mithrandir fut blessé... Milindë la femme du Mage le soigna mais il mourrut dans les maisons de guerison et elle se lassa et se laissa mourrir... Mithrandir m'a ensuite dit s'être trouvé à valinor avec sa femme et il lui fit demander de choisir sa voie, Elfe ou Homme... Il a dit qu'il choisirait de défendre la Terre du milieu et donc qu'il n'avait pas à choisir l'une des voies, mais je pense que cela risque de changer sous peu... Ensuite il revint de Valinor et traversa les Terres du Milieu récoltant rumeurs et informations..."

"Tous cela est très intéressant... Merci de votre hospitalité. en attendant votre maître, auriez vous deux ou trois parchemins sur Turin Turambar ou le peuple de Brethil... J'aimerai en savoir davantage sur mes ancêtres..."

Eaque regarda un peu dans le vide... Oui la magie était un chose bizarre... Au même moment, il se senti en train de toucher sa cicatrice... Il n'y avait pas pensé depuis cette triste embuscade...

Enfin tous cela était fini...

Bel et bien fini...

"Quelques ? Bien plus que cela, mais je pense que le but de votre visite est intimement lié au secret de In Neled Heren, si c'est le cas, vous êtes tombé sur la bonne personne et si vous n'en avez jamais entendu parler ce nom sortira de votre tête sitôt le seuil de la Tour franchi..."

Le secrétaire se leva...

"Nous disposons dans la tour d'un tas de parchemins et manuscrits, certains étant des copies des archives réalisée par moi-même... Nous avons donc assez d'acrit se rapportant à Turin Turambar pour vous raconter son histoire dans les grandes lignes et plus encore... Mais si vous êtes un descendant, mefiez vous de la malediction planant sur votre famille..."

Il se dirigea alors vers l'escaliers, ils gravirent de nombreux étages et arrivèrent dans l'imposante bibliothèque...

//Suite ici//

Il tenait dans sa main un morceau de papier, à moitié chifonné, machinalement.
L'Intendant remontait du bas de la Cité, où se faisaient snetir les premiers signes avant coureurs d'un affrontement immédiat. L'exode massif, qu'il fallait ontenir et organiser si on ne voulait pas qu'il dégénère.

Radamanthe s'était donné pour ordre de voir le Roy, mais ces nouvelles l'avaient troublé. Il était vrai qu'avec tous les problèmes à large échelle dont il avait été informé, il n'avait pu se préoccupper de cette terrible nouvelle de la mort du généra lelfe et de l'ambassadeur. La note de Mithrandir l'avait particulièrement intrigué.

Il frappa à la porte.

"Je suis l'Intendant Radamanthe, et j'ai à parler d'urgence au Magicien de la Cité..."

Le secrétaire redescendit l'escalier et ouvrit à Radamanthe...

"Bien le bonjour, décidemment vous êtes nombreux à vouloir le voir..."

Il ouvrit grand la porte et la referma après l'entrée de l'Intendant.

"Il ne devrais plus tardé, mais quelque chose me dit que la journée sera encore pleine de rebondissement... Nous avons déjà un hote, que je pense vous connaissez... Eaque...Enfin suivez moi allons attendre l'arrivée de Mithrandir dans la bibliothèque, peut-être pourrais-je vous éclairer..."

//c'est ici qu'on continue?//
Altaïr avait suivi le groupe sans broncher,il était resté calme et patient lors des menaces du mercenaire dénommé Balak.Il n'éytait pas aussi fougueux que son collègue et n'avait fait qu'écouter.
Lorsqu'il sut qu'on ne le payerait pas,il eut un accès de rage qu'il contint difficilement.Maintenant qu'ils étaient arrivés dans la tour du Mage,il commençait à se demander ce qu'il faisait ici.Etait-il là pour vendre une information gratuitement ou pas.
Il se tourna vers le Mage.

-Je ne vois pas pourquoi nous vous aiderions si nous n'avons pas de récompenses ou de compensations.Au lieu d'être là,nous pourrions être en train de gagner notre vie,de faire notre boulot.

L'assassin se tourna vers Vhenom et son Mentor,Hasharin pour avoir un soutien venant de leur part...

Je me tournais vers Altaïr

"Decidemment soit vous ne comprennez rien, osit vous n'écoutez pas... Vous êtes ici pour me dire tout ce que vous pourrez sur votre commanditaire et je ne vous paierai pas car je peux encore vous dénoncer à la milice, de plus j'aurai pu vous tuer tout à l'heure et j'ai préfé vous épargner, je ne suis aps cici pour marchandé, vous venez d'être mis au courant d'un grand secret et vous venez d'entrer dans l'un des bastions de notre organisme... De plus vous servez un memebre éminent de celui-ci, vous semblez ne pas mesurer l'honneur et la chance que vous avez...De plus je traite rarement avec les assassins et Hasharin est le seul avec qui j'ai jamais traité d'ailleurs...Et puis je vous ferrai remarquer que votre employeur risque de s'enerver en voyant que vous n'avez pas réussi à me tuer, aussi je pense que vous devriez vous estimez heureux d'être ici hors de son emprise..."

Cela me dépassais, il n'y avait plus ça, l'argent, se rendant-il compte de sa situation ? Se rendait-il compte qu'il était à present lui aussi le porteur d'un secret et que j'aurais pu le tuer plutôt que de lui reveler ?

Nous entrâmes alors et nous vîmes Radamanthe...

"Mon cher ami ! Je suis heureux de vous revoir... Il y a beaucoup de monde dans le coin semble-t-il, la journée va encore être chargée de discussion..."

L'Intendant esquissa un sourire en voyant le Mage qui rentrait enfin chez lui. Il trouvait lui-même toujours amusant de rentrer chez-soi.

"Bonsoir Mithrandir. En effet, je vois que vous receevez beaucoup de monde... Qui donc sont ces gens encapuchonnés ?"

Il fit une courte pause, avant de poursuivre vers un sujet bien plus important que l'identité des invités du Magicien.

"Les nouvelles sont graves. C'est la guerre partout. Arnor est attaqué, Osgiliath et Pelargir sont tombées. Le Gondor est à feu et à sang, Minas Tirith est la prochaine et je ne vois pas comment nous pourrions tenir. Et voilà qu'en plus les elfes sont privés de leurs meneurs... Mais d'après votre message, vous en savez quelque chose, si je ne me trompes ?"

"Ces gens encapuchonnés... et bien disons qu'il vaut mieux que vous passiez sur leur métiers sans vous arrêter... Ce sont des apprentis d'Hasharin..."

Puis Radamanthe parla de la situation du Gondor...

"Radamanthe, on ne peut rester ici terrer à attendre, il faut lever l'armée et les attaquer peu importe qui ils sont, le Gondor est fort et ils craignent sa puissance... De plus quand au meurtre de Rustor et Sombre-Chêne il n'a pas eu lieu... Je suis arrivé en trombe dans la cité et j'ai discuté avec Hasharin, nous avons convenu de capturer le commanditaire... Il a cooppéré, aussi il faudra le protéger... Il déclare avoir été accosté dans une auberge pas un dénommé Sarcha et sa description m'a évoqué quelqu'un dont nous discuterson en privé...Sombre-Chêne est vivant... Quand à Rustor je pense que le Roy pourra voux expliquer... revenons en au sujet principale... Si le Gondor brûle, il faut allumer l'espoir, les feux d'alarmes, il faut les allumer, des alliés devraient venir à l'aide... Le Gondor n'est pas seul...Ecoutez membres de la Guilde, appelez en à vos connaissances dans les autres contrées, la Terre du Milieu vit un soubressaut de son histoire, restez dans la Cité mais envoyez des messages à vos alliés et amis...Nous devons tenir... Radamanthe, je suis débordé surtout aujourd'hui, mais il nous faut discuter de plans de batailles... L'ennemi si c'est celui que je pense, qui est lié a ce phénomène connait très bien la Cité et ses alentours. Il sait comment entrer, et des espiosn nnemis vont et viennent librement dans la Cité... Nous devons veiller au grain, les membres de la Guilde devront avoir les yeux ouverts et faire attention à tout..."

Milindë entra dans la Tour et salua Radamanthe...

"J'ai averti Slindë de l'éminence d'un conseil... Serait-il déja entamé ?"
"Non, il ne s'agit que des affaires du Gondor pour l'instant... Le pélragir brûle, le Gondor brule... Il ne faut pas le laisser bruler, nous devons agir promptement et frapper au bon endroit, la mort de melkor n'a pas changé beaucoup, il y a toujours un fort esprit mélfique qui déplace ses pions..."

Je me tournais vers Altaïr et Vhenom...

"Comme vous voyez nous sommes dans la merde jusqu'au coup aussi je ne peut perdre de temps à négocier pour que vous m'aidiez à trouver celui qui veut me tuer car il fait parti de ce réseau infiltré dans la Cité... Tout est déjà en mouvement et les choses en mouvement sont diffciles a arrêter, nous voila lancé dans un mortel engrange, toute aide sera la bienvenue, toute traitrise signifiera la mort..."

Milindë me regarda étrangement, elle avait décelée quelque hose, la même chose que lorsqu'elle m'avait vu pour la première fois... Un côté elfique, mais cette fois-ci cette impression resta et ne se dissipa pas...

Un oiseau arriva à une fenêtre il tapa plusieurs fois sur le carreau, quelqu'un lui ouvrit la fenêtre , l'oiseau entra avec une lettre à la patte, il se posa prêt de Mithrandir. Sur la lettre il put lire:

Citation :

"Cher Cousin,
J'ai été incroyablement heureux et surpris d'avoir appris vos resurrection à toi et à te femme. Je ne suis pas revenu pour te voire mais je m'en excuse.
Mais ce n'est pas spécialement pour ça que je vous contacte.
Cela fait plusieurs semaines que je ne vous ai pas contacter (la guilde), et je m'en excuse. J'ai suivit Forlong jusqu'en Comté, mais les affaires de cette contrée ne m'intéressaient pas, j'ai donc continué mon voyage jusqu'en Arnor.
Et c'est là-bas que le roi Tar-Aldarion m'a proposé de devenir mage d'Arnor, ce que je suis maintenant, et mon nom à changé. Maintenant je me nomme Bargoduin mage d'Arnor, fils de Feagum.

Bargoduin votre cousin."

Mithrandir saisit la lettre et la lu d'une traite... Il s'excusa auprès de ses hotes, saisit un morceau de parchemin et se mit à écrire... Lorsqu'il eu finit il attacha la lettre à la patte de l'oiseau et celui-ci repartit...

J'attendais alors que quelqu'un prenne la parole...

Après quelque heures l'oiseau revint à la tour. Bargoduin était presque inhumain de le renvoyer faire encore se long voyage. Cette foie Mithrandir put lire:

Citation :

"Cher cousin,
Je donnerais de mes nouvelles, et celle de l'Arnor le plus souvent possible.
Pour mon père, je ne le respecte car il est mon père, mais c'est la seul chose qui nous li. Mais si je dit son nom lors de ma présentation n'est que pour dire que je ne suis pas un batard.
Le Gondor va mal? Dis un seul mot et je viendrais.

Bargoduin."

L'oiseau avait été plus rapide que je ne le croyais possible...
Je lu la lettre et renvoyait l'oiseau cette fois-ci sans répondre à la lettre... Tout avait été dit, si le besoin me pressait je n'aurais qu'a lui faire parvenir une autre lettre... Je lachais donc l'oiseau qui put partir se reposer dans la volière de la Tour ou alors pu repartir...

"Bien... Vhenom, votre idée est loin d'être mauvaise, mais elle est risquée... Nous ne pouvons aller reprendre Osgiliath sans compromettre la défense Sud de la Cité... Pélargir est tombé aussi... Mon idée est la suivante, les ennemis risquent de se diriger en droite ligne sur la cité en semant le trouble et la panique sur leur passage... L'armée devra avancer en défendant le front est et le front sud... et former ainsi une barrière sur les plans exposés qui risquent d'être attaqué... En effet on ne peut diviser l'armée en deux pour les attaquer dans différents endroits... Cela reviendrai à diviser nos forces... Mais on ne peut aps non plu attendre que les deuix armées ennemis ne se reconstituent en une seule..."

J'allais chercher une carte et l'étalait sur la table basse...

"Voyez, s'ils sont ici et que nous nous positionnons ici en défendant le sud et l'est, nous serons assez avancé pour beneficier de la force complète de notre armée et nous empecherons les armés ennemis de se reconstituer en une seule et unique armée. C'est peut-être risqué mais cela peut fonctionner, de toute façon on ne peut rester attendre l'arrivée de l'armée, inspirons leur la peur du Gondor... Que sonne les cors, que les cavaliers s'apprètent, ils formeront la première ligne, la ligne faucheuse..., suivrons les fantassins et parmis eux les archers qui se tiendront juste derrière les halebardiers... Nous pouvons vaincre l'ennemi si nous allons à ces devants... Il s'attends à mener un siège pas à être attaqué... aussi sa stratégie tombera alros à l'eau".

Hasharin s'ennuyait dans son magasin, alors il partit avec ses deux animeaux en direction de la Tour du Mage. Il arriva et entra sans frapper, encore une mauvaise habitude de Suderon. Beaucoup de monde se trouvait là.
- Que de rencontres aujourd'hui, Bon quel est le probleme? QUi devais-je encore devoir eliminer? J'ai entendu des reumeurs sur le marché quand je vous ai tué Sombre-Chene. COmme quoi les peuples libres étaient a nouveaux attaqués. ET je souahiterais apporté mon aide, en tant qu'assassin.
Hasharin avait debitéson discours comme cela, et connaissant les personnes il s'empressa de rajouter:
- En tant qu'assassin, et non de guerrier.

"Les nouvelles sont mauvaises en effet, le Pélargir et Osgiliath sont tombés, l'Arnor et attaqué et ce n'est certainement pas le dernier territoire dans ce cas... Mais nous ne pouvons nous battre contre des ennemis à l'intérieur de la Cité et à l'extérieur... Hasharin, toi et tes apprentis, j'amerais que vous surveilliez les faits et geste dans la Cité et que vous trouviez pù se cache chacun de nos ennemis... Ils sont nombreux dans la cité et certains bien cachés, qui plus est il ne se réunissent pas, et ne sont pas encore organisé... Nous devons frapper avant qu'il s'organise et ce de façon discrete... Je pense que vos talents peuvent être mis à contribution..."

Je m'assis alors et invitais ceux qui ne l'étaient pas encore à faire de même et à se servir avant que Vhenom n'est tout dévoré...

Radamanthe eut un petit rire nerveux. Evidemment, la situation n'avait rien d'amusant, à vrai dire elle était même désespérée. Car bien vite on pu voir sur le visage de l'Intendant que les choses le précocuapient beaucoup, et qu'elles étaient plus compliquées que cela...

"Oh, non, ce n'est pas une bonne idée, du tout. Mais c'est de ma faute, c'est moi qui vous ait induit en erreur en négligeant une information primordiale. Jamais depuis la guerre de l'Anneau une armée aussi grand n'a marché sur Minas Tirith. Cette armée a pris Dur'Zork et Arzawa en Harad, puis Pelargir et Osgiliath d'une seule traite. Ici, personne n'a jamais eu à affronter pareille force. Vous souvenez-vous es troupes stationnant dans Morgul, Mithrandir ? Entre le moment où nous sommes entrés et ressortis de Torch Ungol, elles avaient fortement diminué. Voilà où elles sont allée... La Mordor s'est vidé, Mithrandir, le Harad égalment, et vraissemblement Khand aussi..."

Son visage était prenant à voir. Il s'y mêlait une inquiétude terrible avec une rage causée par des évenements aussi désastreux. Depuis qu'il était rentré de Mordor, toutes les nouvelles avaient été mauvaises. Il s'était efforcé de garder son calme jusqu'à présent, mais tout semblait empirer à mesure que le temps avançait.

"Les armées de Gondor sont affaiblies de par les camapgnes en Harad et les batailles rangées précédentes. Voyez les troupes qui nous accompagnaient en Mordor. C'est presque tout ce qu'il nous reste. Alors nous avons des murs, et c'est tout. Nous n'avons d'autre choix que de rester cantonnés dans nos murs, nous ne résisterions pas à un affrontement à dix contre un. A moins que cette armée se disperse vers différents objectifs, nous n'avons chance à découvert !"

La peur du Gondor... C'était impossible. Gondor était à feu et à sang, un animal blessé qu'on doit achever. Au point où ils en étaient, Gondor n'avait aucun moyen de leur faire peur.