La Tour de Mithrandir [Visites et discussions]

Hasharin ecouta Mithrandir tout en s'asseyant sur le rebord de la cheminée, sa place habituel.... Il écouta attentivement et repondit à l'adresse de tout le monde:
- Bien, Vhenom et Altaîr vous devrez pas vous faire reperer, rien de mieux pour apprendre que la pratique, je veux que tout me soit rapporté et je rapporterai tout les faits et gestes à Mithrandir. Vous ne tuez personnes sans mon autorisaiton ou de celle de toutes autres personnes presentes dans cette pièces. Je ne me joindrais pas à la bataille si il y a, mais je vous aiderait a ma facon....

Hasharin prit Mithrandir ares et lui dit tout bas sans que perosnne ne puisse entendre:
- Mithrandir, si ces deux gars là nous aident, nous devrions les faires rentrer dans la Guilde sous mon et votre commandement comme cela. Et j'ai une idée pour trouver un réseau d'espions. Je vais payer quelques mendiants dans ses rues, et leurs assurer un peu d'argent, comme cela nous aurons des yeux et des oreilles partout. Et la guilde doit se reunir également... tres prochainement

"L'heure est donc si grave ? Bien, alors restons dans nos murs et laissons là venir... Cependant nous pouvons encore inspirer la peur..., il nous préparer le sol du Pelennor, des pièges nous pouvons en disposer avant qu'ils ne viennent... Quand à notre nombre, l'illusion et la ruse peut faire paraître Minas Tirith débordante d'homme, et cela l'ennemi l'ignore... Je ne perdrais pas espoir qu'il fasse nuit ou jour et si s'en est fini du Gondor cela ce fera dignement, l'espoir vient d'où on ne s'attend pas et nous avons des guerriers qui valent mains hommes... Non le Gondor n'est pas mort, ou alors il l'est pour ceux qui ont perdu la foie en l'espoir et en la valeur... Que les trébuchets s'activent et rendent le terrain difficilement pratiquable pour les engins de siège et ce afin de les maintenis à distance...et n'oubliez pas une chose mon cher, ils venerent la sombre magie de leur maîtres, mais celle qui s'y oppose il la craigne... Si toutes les personnes elfique que nous connaissons et qui sont dans la Cité peuvent se rassembler nous leur inspirerons une peur de laquelle il se rappeleront, je n'égale pas Olorin dans l'art de la fumée, mais la nuit tous les chats sont gris et dans le brouillard comment distinguer mensonge et tromperies de la réalité ? Si le plan que j'ai proposé précedemment est voué à l'echec il faut rendre la progression des engins de siège difficile voir impossible... Sans ces engins ils ne pouront pas grand chose si ce n'est envoyer des Mumak...Mais au moins leur force en sera diminuer, il faut donc que les trébuchets travaillent nuit et jour pour labourer le Pelennor et le rendre peu pratiquable... Dans le même temps il faut creuser des pièges assez proches des murs car le temps nous manque pour aller les construire loin... Préparez les armes, faites chauffer les forges et que les hommes se dressent..."

Milindë se leva...

"Le Gondor n'est pas mort tant que nous le deffendrons"

"Sur ce point là, nous sommes apparrement avantagés. Certains sont arrivés par bateaux, les autres se déplacent trop vite pour pouvoir transporter un lourd matériel de siège. Nous n'avons normalement moins à nous en faire de se côté là. Cela implique donc que si on plus nous rendons les terres impraticables, il ne resetra, comme point véritablement faible, que la Grande Porte. Car si elle se brise, vu leur nombre, ce sera fini de nous. Par contre, que la Porte tienne, et nous tiendrons nous aussi."

Il ponctua sa tirade de plusieurs gestes, qui semblaient évoquer un positionnement de troupe, une armée qui s'avance... Ici, nul besoin de carte pour dresser des plans de bataille. Leur stratégie serait claire comme de l'eau de roche.

"Il faudra donc empêcher toute approche de la porte, tandis que eux essaieront d'afaiblir notre garde. et nous disposerons pour cela des mêmes armes. Les flèches et le feu. Il est impératif que les archeries tourent à plein régime, sacrifions la qualité à la quantité s'il le faut, nous devrons être en mesure d'enchaîner volées sur volées. Il faudra ensuite des abris temporaires sur les remparts, et un approvisionnement d'eau pour empêcher les incendies. Enfin, pour les pièges, reprenons la méthode des griffes d'Ammoth. Le feu, partout, pour les encercler, les brûler vifs..."

Il était indéniable que l'espoir ne mourrait jamais tant que Gondor aurait un Roy. Ils pouvaient survivre, mais il faudrait batailler ferme. Sauf si le destin en décidait autrement.

Altaïr était resté dans l'ombre,sans broncher,comme à son habitude.Lorsqu'ils apprirent des nouvelles de la guerre,son attention fut attirée par la stratégie militaire.Il écouta le plan de son collègue.Ce plan était irréalisable et il le dit.

-C'est une bonne idée Vhenom,seulement,si on perd le controle du feu et qu'il se propage dans la cité,c'ets un peu stupide.Par contre,je propose de les contourner et d'attaquer de tous les côtés en même temps.
Ou alors, on peut faire ce que Vhenom a dit mais,juste faire une ligne de feu et balancer des boulde de paille qui s'enflammerons au contact du feu et de lesp illonner grâce aux armes de siège.
Qu'en pensez-vous?

Il retourna s'adosser contre le mur,réfléchissant à ses problèmes personnels.En cas de la perte de la cité,il pourrait toujours fuir et retourner à Osghiliath,à sa boutique.

Radamanthe jeta un regard à la fois noir et amusé à Altaïr, avant de lui répondre d'un ton railleur :

"Assassin, avant de nous montrer ô combien vous vous y connaissez en stratégie, il aurait fallu écouter ce que j'ai dit... Nous ne sommes pas en mesure de les contourner, ni même de les attaquer ! Peut-être êtes-vous capable de faire sortir un poignard de votre manche, mais je n'ai pas dix milles hommes cachés dans les replis de mon manteau. De plus, cette armée couvre les terres entre Osgiliath et Pelargir. Impossible de contourner une telle force."

Il se tourna alors vers Vhenom, et le ton se fit plus amical.

"Votre suggestion est plus réalisable. Nous serons par contre bein incapables de de créer des douves en si peu de temps. De plus, il faudra faire cela à la dernière minute, car j'ai des messagers qui vont et vient continuellement pour le moment, et il n'est pas exclu de recevoir des renforts d'autres garnisons."

Hasharin ecouta tout le monde a tour de role, aparement Mithrandir n'avait pas écouté ce qu'il avait dit a propos de la Guilde....
- Toutes ses idées et stratagemes mais aurons assez de bras pour les faire avant que les armées arrivent, ce qi prendra un jour deux tout au plus. Nous,enfin vous devrez faire vite.
Hasharin était revenu sur le bord de la cheminée. Il écoutait attentivement les propositions de ses freres d'armes... Il posa une main sur son loup...

Alira marchait à côté de Silindë vers la Tour, elle ne pensait à rien, elle marchait simplement, la présence de l'elfe noir l'ayant calmée.

Arrivée à la Tour du mage, elle frappa et entra, Silindë derrière elle, arrivant au moment des dernière paroles de Radamanthe.

_"Des douves ? Autour de la cité ? Vous n'aurez jamais le temps pour en faire des efficaces si c'est pour retarder l'armée. Plantez plutot trois rangées de pieux, ça arrêtera déjà les cavaliers et vous aurez le temps de lancer des flèches... et tout ce que vous trouverez à lancer. Sinon je conseille des fumingènes, une armée est moins rassurée si elle ne voit pas où elle met les pieds."

L'elfe noire se tenait droite, la tête haute et regardait chacun avec calme.

Sombre-chêne jusqu'alors était resté silencieux et avait écouté chacun des intervenants. Il avait beau être assis lui aussi à une chaise à l'égal des autres, il s'était fait oublié pour mieux mettre de l'ordre dans ses pensées. Il prit finalement la parole d'un voix calme mais ferme, et lente. Ses paroles tranchèrent avec l'exitation qui animait la conversation tandis que chacun exposait ses idées, trop heureux de pouvoir prendre pleine part à la défense de Minas Tirith.

Avant tout, je tiens à faire une remarque, bien que je n'ai aucune autorité en ce lieu, ni ailleurs d'ailleurs. Noyer les terres devant la porte empêcherait certes nos ennemis de s'approcher aisément, mais cela empêcherait également les défenseurs de sortir, hormi par une poterne, ce qui n'aurait pas le même effet que par la Grande Porte. Même remarque pour les fumigènes : ils nous empêcherait de voir nos adversaires, et dans une certaine mesure de nous voir nous mêmes.

En prononçant ces paroles il pensait à Nidnama dont les artifices avaient été si efficaces contre les renégats. Il continua :

Avant mon coma, j'ai envoyé un message aux miens en leur conseillant d'aller à Imladris en passant par la Moria, car je pensais à l'apoque qu'un conseil s'y tiendrait, ignorant de l'armée qui s'approchait. J'ignore quelle est leur situation en fait, car je n'ai pas eu de réponse. Et maintenant je suis dans l'ombre, car je ne sais comment conseiller Gelmir...

Au même instant, plusieurs coups de bec se firent entendre contre une des petites fenêtres de la Tour. Sombre-chêne l'ouvrit et prit le parchemin qui était accroché à la patte droite de son aigle qui eut tôt fait se s'envoler.

L'ambassadeur le survola des yeux et en rapporta le contenu aux autres.

C'est une lettre de Gelmir .Les restes de l'armée de meovan, l'allié de Marawin, ont été exterminés au prix de lourdes pertes. Certains des spectres ont été renvoyé dans leur sommeil. Les elfes se reposent désormais de la bataille et s'apprêtent à porter pour une nuit entière le deuil de Rustor. Le lendemain, ils partiront pour la Moria quérir l'aide des Nains.

L'elfe se tut un instant, puis continua :

La Moria est restée depuis longtemps dans l'ombre, il serait bon de savoir ce que sont devenus ses habitants.

Puis il attendit les réactions des autres, tandis que quelque chose le titillait, sans qu'il puisse discerner quoi.

"Oui Hahsarin, s'il font leur preuve ils pourront nous rejoindre. Et une réunion se tiendra bientôt... Car elle devient plus que necessaire..."

Voila ce que je répondis à Hasharin lorsqu'il me prit à part...

Puis Radamanthe parla de nouveau evoquant l'armée ennemi et ses capacités.

"La porte... Oui en effet si l'on les tient assez loin ce sera le point le plus faible de la Cité... mais elle est de Mithril, ne l'oubliez pas... Et on vient difficilement à bout du Mithril, aussi cela nous laisse-t-il de la marge... Il faudra protejer les archés exposés sur les remparts pour cela on peut faire forger des abris comme vous l'avez dit... Mais méfiez vous de l'usage du feu... N'oubliez pas que l'on peut détourner son usage... et je pense que celui qui les guide le pourra aisement..."

Puis Vhenom et Altaïr prirent la parole revelant des connaissances sur l'art de la Guerre qui m'étonnèrent.

"Ce sont des bonnes idées si l'on ommet le fait que nous ne pouvons contourner l'ennemi et qu'utiliser l'eau sera la gaspiller... Pour ce qui concerne l'huile, vous devriez savoir que jamais aucune cité n'en utilisa, l'huile est un bien cher, de l'eau bouillante fera l'affaire..."

Alira entra alors en compagnie de Silindë et je me tournais vers eux...

"Bienvenue en cette réunion de crise qui n'a absolument rien à voir avec les affaires de la Guilde si ce n'est que les peuples libres sont menacés... Alira vous avez vu juste, les douves ce n'est pas la peine d'y penser... mais les pieux par cotnre cela empecherai les beliers d'approcher de la porte... et nous pourrions aussi entassés après les pieux des charettes et autres objets encombrants et inutile... cela peut paraître rudiementaire, mais cela les retarda nous laissant alors l'occasion de nous défendre... Cependant ne nous leurons pas, ils passeront à un moment ou un autre... Quand aux fumigènes j'avais emis une idée proche, le brouillard et la fumée peuvent dissimuler la tromperie... Nous sommes en mesure de disposer des leures sur le terrain et de faire en sorte que celui-ci soit bumeux, alors les leures apparaitront comme des troupes d'homme nombreux et de plus je pense pouvoir modeler par ka foerce de l'esprit des formes humaines dans le brouillard..."

Comme pour illustrer mes dires Milindë fixa le feu dans la cheminée et la flamme se fit femme dansant d'une façon sensuel mais non moin agichante... L'un des assassins voulu la saisir et Milindë arreta son charme ramenenant celui-ci à la réalité...

"Vous voyez le genre de piège que l'on peut disposer, mais il faudra que les armes et projectiles soient abondants sur les remparts, car s'ils sont si nombreux arrivera un moment où ils seront proche et passerons les obstacles... et là la vaillance sera notre seule arme... Les leures magiques comme physiques pourront leur faire prendre peur, il faut qu'ils croient que nous sommes nombreux et puissants... Il faudra user d'autre chsoe que de ruse et de force... Alira, Silindë et moi-même pourront dévoiler une partie de notre puissance elfique et peut-être cela pourra-t-il les faire vaciller..."

Milindë s'approcha de Silindë et murmura à son oreille...

"A ce propos, regardez Mithrandir ne trouvez vous pas qu'il est changé, il a un air elfique... Je viens de remarquer cela et je commence à me poser des questions..."

Puis Sombre-Chêne intervint et nous l'écoutâmes...

"Vous avez raison, les fumigènes peuvent être un atout mais aussi une difficulté... aussi il en va de même pour le brouillard et pour l'illusion d'une grande armée...Bien qu'a mon retour j'ai parcouru la Terre du Milieu les choses semblent avoir changés...Des spectres... Je savais qu'il y avait eu un affrontement, mais j'ignorais l'existence de spectre, enfin là n'est pas l'essentiel. En tout cas j'apprécie qu'ils aillent s'enquérir des Nains car il n'y a guère longtemps il y a failli avoir un conflit..."

Je regardais alors Milindë et Sombre-Chêne avec un leger clin d'oeil et un sourire en coin...

Le secrétaire de Mithradir se leva d'un bond...

"Bien entendu, montez l'escaliers vous trouverez assez facilement...Quoique, ce nest aps sur..."

Puis finalement il se décida à l'accompagner.

//Désolé c'est cours mais je part//

Radamanthe resta silencieux un bref instant, avant de déclarer ainsi :

"Cela se tient. Mais nous n'avons aucune idée de qui les mènent. Avec la mort d'Amouth, aucun moyen de savoir qui est à leur tête à présent. Il ne faudra donc tout de même pas négliger l'usage du feu. D'autre part, pensez-vous être capables de faire croire des illusions à des milliers d'hommes, à vous seuls, Mithrandir... Enfin, dans tous les cas, les rapports précis des éclaireurs nous fixerons un peu davantage..."

Il réagit enfin à la présence de Sombre-Chêne dans la pièce, et esquissa un petit rictus amusé qui n'avait rien de mauvais.

"Pour un mort, vous avez l'air de vous porter bien... Quelles sont les nouvelles de ce commanditaire infiltré ? Vous avez parlé d'une description qui pouvait vous faire penser à quelqu'un, Mithrandir ?"

"En effet, mais je ne parler de cela ouvertement ou du moins je ne peux le faire qu'a peu de personne tant que je ne suis sur de rien... Le commanditaire qui est ici a été contacté par un dénommé Sarcha aux yeux de fauves et aux cheveux longs et mal coiffés... Quand à l'illusion, j'aurai pu la tenir sans difficulté trop grande sur le champ du pelennor mais dans la brume... Or la brume nous empecherait de voir l'ennemi... Aussi nous pourrions faire croire que nombreux sont les hommes dans la cité... Il suffirait de lpanter des torches un peu partout et de les allumer faisant croire à une foule nombreuse... On peut également utiliser les minces ruelles dans lesquelles l'écho est important... Pour le reste une illusion magique fera l'affaire...Mais nous aurions bien besoin d'un héros mystérieux semant la terreur parmi les rangs ennemis..."

Je regardais alors Sombre-Chêne qui fut le seul à comprendre ce que je voulais dire a ce moment.

L'ambassadeur ne réagit pas aux paroles du mage. Personne ne devait soupçonner que la vérité. Pour le moment, seules quatres personnes la connaissait, et ce nombre devait rester limité. Quoiqu'il en soit, Mithrandir avait raison, l'aide du Cavalier de la Lune serait bien précieuse. Sombre-chêne jetta donc un bref regard au mage, de manière que lui seul puisse le déchiffrer, lui intimant de ne pas faire d'autres allusions, aussi vagues soient-elles.

Ce qu'il ne pouvait comprendre et qui le nargait depuis un certain temps devint clair tout à coup, quang le magicien parla de la "sale tête" du commanditaire. La sale tête... Il avait déjà entendu cette expression à des milles de là dans un contexte entièrement différent. Maigre relation, mais tout de même frappant que la même caractéristique physique eut été retenue à deux lieux opposés des terres du Milieu. Mais le vieux prisonnier ne lui avait-il pas dit des faires des rapprochements, les plus improbables qu'ils soient?

Lors de ma visite à Blankanimâd, en Rhûn, j'ai eut vent de la venue d'un homme quelque temps auparavant en tant qu'ambassadeur. la première chose dont l'homme m'a parlé, à son souvenir, était sa sale tête. Il était au courant pour Morgoth.

Il s'arrêta, puis reprit :

Je sais, ils sont nombreuxen Arda ceux à ne pas posséder de beauté et il est tout à fait probable que ces deux personnes n'aient rien à voir, mais c'est tout de même troublant. l'homme dont je vous parle a fait une forte impression sur ce qui l'ont vu, cela ne fait aucun doute. Il n'est donc sûrement pas un simple ambassadeur...

J'avais compris le coup d'oeil de Sombre-Chêne...

"La sale tête... Cela peut paraitre maigre, mais je pense qu'il est posible que vous ayez la trouvé un fil important...Cet amabssadeur dites vous à fait beaucoup d'effet, il a eu un effet similaire sur le commanditaire"

Celui-ci aquiesca avant d'ajouter

"Oui je crains de le recroiser, j'amais je n'oublierais ses yeux, des yeux bizzares, on aurait dit un fauve..."
"Oui cela sembele se confirmer cet ambassadeur envoyé par les Melkorites à Blankanimâd ne peut-être annodins, n'oublions aos non plus un autre fait, cet homme peut-être Ammouth autrement dit la Bouche de sauron, il est possible que ce soit lui l'homme de Blankanimâd et non pas l'autre... En effet je pense que l'autre est une personne qui travailla avec la Cité et pour la Cité avant de ne plus donner signe de vie... Quoiqu'il en soit il faut nous préparer à la bataille elle est aux portes et nous devons être prêt..."

Morgoth était là et écoutez, tout en regardant Geliwean en lui caressant les cheveux...
Il dit à Milindë :

-Mithrandir a beaucoup changer depuis son retour, je ne l'ai aps recconu tout de suite quand il est venu sauver mon corps, mais j'ai bien cu que c'était lui, et j'ai recconu sa voix et ses intonations.
De là à dire qu'il est Elfe...Je n'en metterai pas ma main au feu! mais je peut tout de même voir quelque chose..j'irai lui parlé une fois que j'aurai fait part de mon idée pour ma mère.

Hasharin suivit le débat, comme à son habitude il n'intervenait jamais, Radamanthe fut une remarque sur le mort tres vivant de la pièce, Sombre-Chene, L'assassin eut un petit rictus...En parlant à toute l'asssemblée:
- Monsieur, je ne vous dit pas adieu, car je sais que chacun d'entre vosu survivra à cette bataille, car le Gondor n'a jamais failli et il ne faillira pas de si tôt. Altaîr quand à toi, je veux des rapport regulierement. Mes amis, la cité est entirement soumis à votre ingéniosité pour sa defense. Honorez vos grands rois de jadis, Isildur, Aragorn.... Faites leurs honneurs. Nous nous retrouverons à la fin, lorsque chacun aura fait son métier. N'hesité pas à passez à la boutique les amis, je vous ferais quelques surprises en fonctions des personnes...

Il salua brievemtn tout le monde, particulierement Morgoth:

- Freres d'armes, intouchable toujours...

Hasharin quitta la pièce suivit de ses deux compagnons. Ils prirent la direction d'une taverne mal fréquenté dans le bas de la cité. Hasharin avait toujours son équipement qu'il s'était preparer pour l'assassinat, hormis son grapin et sa corde, malheuresement pour lui.

Il laissa son loup se balader à sa guise, celui ci alla dans une ruelle a l'arrière de la taverne pour y trouver des restes à manger et couvrir s'il le fallait son maître, quand à Umbre il était perché sur l'épaule gauche du maître assassin....

Le Prince de Brethil eut droit à un rapide débriefing de la part du secrétaire, qui l'introduit immédiatement, et de manière fort discrète.

Eaque était sous le choc: Si prêt de la cité...

Et il ne s'en était pas remis lorsque, d'un léger toussotement, il prévint l'assemblé de l'entré du conseiller. Un siège fut avancé...

Il les dévisagea l'un après l'autre...

Et tous firent de même...

Il essayait d'imaginer ce qu'ils pouvaient penser

Si jeune, lui confier des responsabilités...

Il croisa les yeux de l'intendant dont le regard était indéchiffrable, puis il prit la parole:

"J'était venu dans le but de m'entretenir avec le mage Mithrandir des évènement ayant marqué ma famille ces dernier temps, mais je crois que me joindre a votre discutions ne serai pas du luxe: Si le Gondor est menacé, je me dois d'être à vos cotés, et de vous offrir toutes mon aide..."

Il avait dit ces derniers mots en regardant l'Intendant dans les yeux, voulant le convaincre de sa bonne foi...

"Eaque, je m'attendais à vous revoir tôt ou tard... Bienvenue dans ma demeure... Vous avez été mis au courant de ce qui se trame... Aussi si vous avez des propositions pour la défense de la Cité Blanche, nous sommes prêts à les entendre..."

Après m'être levé pour l'acceuillir je me rassit l'invitant à faire de même...

"L'ennemi est proche c'est irréfutable et les solutions que nous avons ne sont que provisoires, nous entendrons els votre et en discuteront... En attendant je pense que l'on peut faire parvenir une lettre aux gardiens des murs pour que ceux-ci commence à bombarder le Pelennor pour le rendre impraticable aux engins de siège."

"Cela peut sembler un détail pratique, mais il faudrait organiser ce bombardement. Je ne suis pas très au courant des nos munitions, mais je suppose que nous n'en avons pas à l'infini Il faudrait peut être penser à récupérer le maximum de munition. Si l'on ordonne au ingénieur de tirer d'Ouest en Est, il serai possible d'ordonner aux quelques unités disponible de nous faire rapatrier les munitions. Cela les occuperaient dans leur attente... Et ne donnera pas des munitions à l’adversaire…"

Il baissa la tête, attendant une autre idée, qui lui vient des qu’il pensa à lui… Enfin, à son père et son régiment d'hallebardiers qu'il utiliser pour protéger ses marchandises...

"Nous devrions ordonner aux marchand disposant de troupes pour protéger leur marchandise et autre mercenaire de se réunir. Le Gondor manque d’homme, ils en ont… Ils nous les prêterons pour ne pas voir tous leurs biens brûler en même temps que l’arbre blanc… Enfin, ce ne sont que des idées…"

Depuis que la conversation sur l'avenir du Gondor avait débuté, Balak s'était tu. il avait patiemment attendu,jusqu'à ne plus pouvoir maîtriser la fureur qui bouillonnait en lui. Il se leva, lentement, très lentement, et d'une voix qu'il ne se connaissait même pas, une voix sombre et froide, si calme pourtant que le silence paraissait plus sonore qu'elle.

Mithrandir, en vous écoutant, j'en conclus que nous sommes dans une situation extrêmement délicate. l'Arnor et le Gondor sont en proie à la guerre et à la haine des mauvais hommes. Il nous faut du renfort. Et je sais où en trouver. je vais retourner parmi les Ombres du Destin, et je deviendrais leur maître.

S'attendant à une réaction de la part de Mithrandir, à qui il avait expliqué que les Ombres étaient en réalité une monstrueuse union de guerriers féroces et sanguinaires, aux bottes de puissants seigneurs ayant embrassés la cause des ténèbres.

Mon plan est simple. Dans peu de temps, Nirrenraug sera sorti de son fourreau. A ce moment, toute Ombre du destin se croyant assez fort pour vaincre les autres candidats au poste de "Haut Suzerain des Ombres", a le droit de venir tenter sa chance. Jusqu'à maintenant, et depuis des années, du moins selon Alderic...

En repensant à l'archer vétéran, Balak ne pu s'empêcher de se demander où avait pu filer ce vieux brigand.

Une fois la lame brandie par le nouveau -ou ancien- maître des Ombres, il a obligation de mener ses troupes à la bataille. Elle doit durer trois jours et trois nuits sans interruption, au minimum. je me rapelle, alors que j'avais atteint l'âge de onze années, ce fut un spectacle abominable, même pour moi, un ancien fils des ténèbres. les hommes se préparent des semaines à l'avance, entraînés sans relâche par "le Pacte".

A l'évocation du monstrueux Croc-Noir, l'elfe qui avait trahis les siens il y a des milliers d'années en échange du pouvoir -et qui était également son grand-père!-, Balak ne pu s'empêcher de faire une moue haineuse.

j'irais au Domaine des Ombres du Destin. Et je vaincrai Arkanos, actuel Haut Suzerain. Alors, tous ces balourds seront à ma botte. Et le maître aux lames jumelles, le gardien du pacte, ne pourra rien faire contre moi avant la prochaine Nirrenraug. c'est ainsi.

Le mercenaire évita cependant d'évoquer le fait que le haut Suzerain ne pouvait attenter à la vie du Gardien durant son règne, sans en subir les conséquences. Au nom des Terres du Milieu, sa vengeance devra attendre.

Cependant, Arkanos reste l'un des plus puissants guerrier du Destin. le vaincre sera bien loin d'être aisé, et n'étant plus vraiment une Ombre, il est possible que mes anciens camarades ne m'autorisent pas à combattre ou refuse de m'obéir si je vainc. Mais je dois essayer! Toute aide extérieur est bonne à prendre, et une vie seule n'a aucune valeur dans cette guerre. Une ou deux centaine de guerriers assoiffés de massacres en a bien plus, mais si ma victoire n'est pas assurrée au contraire. c'est pourquoi j'ai besoin de toi, magicien! Apprend-moi à contrôler le pouvoir immonde qui coule en mes veines. Dirige mon bras et mon esprit, pour que je puisse à nouveau déchirer le Voile sans subir d'aussi grave conséquence que la dernière fois.

Balak se mit à genoux devant Mithrandir.

j'implore votre aide, Mithrandir, mage de la cité. mais que vous acceptiez ou non, ça ne changera rien à l'amitié que je te porte...

Le mercenaire n'était plus d'humeur à rire, ni à interpeller son probable futur maître par un sobriquet. sa décision était d'une extrême importance, et le replongera dans son passé barbare; mais c'était la seule façon à sa connaissance d'aider ses alliés contre les forces des ténèbres. Il courait à sa perte, physique ou moral. Il le savait, bien entendu, mais n'avait pas d'autres choix. il reviendra à Minas Tirith victorieux, ou il ne reviendra pas.

//Geliwean ?? Oo Ou t'as emmené t'as mère avec toi ou t'as des fantasmes bizzare mais change quand même le nom s'il te plait...//

Alira écoutait patiement chaque propos, chaque idée et salua chaque personnes entrante ou sortante, inclinant la tête sur le côté, intriguée, lorsque Eaque entra. Il semblait bien jeune et pourtant on voyait que ses épaules étaient déjà lassent de trop de soucis.

Les paroles de Balak l'intriguèrent encore plus. Les Ombres du Destin... elle en avait eu quelques vents lors de ses voyages en tant que voleuse, mais cela restait à chaque fois des mots murmurés sous capes, de peur que leur propre ombre les entendent...

//Rien à dire, juste histoire de suivre et de pas faire pot de fleur//

J'écoutais attentivement les dires de Balak, il semblait avoir murement refléchi durant son mutisme. Je restais calme arretant de faire les cents pas, écoutant ses paroles en regardant fixement les flammes de la cheminée, lorsqu'il s'agenouilla devant moi je portais mon regard dans le plus profond de ses yeux et le relevais

"En effet Balak nous somme dans de sales draps, mais plus encore que vous ne pouvez le penser... l'ennemi est déjà en marche vers Minas Tirith au moment même où je vous parle...Vous ne pourrez pas prendre le contrôle des Ombres du destin avant que la Cité ne soit attaquée...Vous ne me dites pas tout, mais qu'importe, cependant si vous avez la possibilité de défier le Haut Suzerain en duel, et que vous prennez sa place, un jour quelqu'un sera en mesure de faire pareil avec vous..."

J'abandonnais alors le vouvoiement.

"Je t'ai déjà dit que je t'apporterais mon aide et je tiendrais parole, tu sauras utiliser ton don, mais ne l'appelle pas pouvoir immonde car il n'est aucun de ces deux là... C'est plus une faculté qu'un pouvoir et c'est loin d'être immonde... Nous commencerons cet apprentissage dès que possible soit en sur..."