Soucis près de Fangorn

Gryf écoutait attentivemlent Bargono, ses arguments étaient sans failles. Gryf regarda ensuite les chiens et le loups, ils étaient bien batis, et avaient l'air fort

-D'accod, excusez-moi de mon emportement

"Tanarith je sais tout cela mais Fangorn ne passe pas tout son temps dans sa demeure, qui sait ? Il peut très bien se trouver non loin d'ici... Aussi nos tentatives d'appels ne seront pas totallement dénuée de sens... Il ne nous servira à rien de l'appeler en Entique, mias en Elfique cela sera plus simple car c'est un nom court que els Elfes lui donnèrent... Les Elfes ne sont pas des Ents..."

Puis Bargonno et un Rohirrim répondant au nom de Gryf parlèrent...

"Du calme, l'emportement n'est guère necessaire... Bargonno vos animaux ne feront certainement pas le poids contre des Huorns, même s'il dopivent être d'excellent chien de garde la présence humaine ou elfique d'ialleurs era également de mise...Nous avançerons avec précaution et lorsque nous devront camper nous alternerons les tour de gardes afin de veiller le mieux possible sur le bivouac. Je serai d'avis de partir le plus tôt possible cependant les Nains se font attendre... les attendrons nous ou alors partirons nous et nous rejoindront-ils ?"

Je m'arretais avant de reprendre...

"Quoi qu'il en soit gardez vos armes dans vos fourreau, car même une lame bien affuté ne ferait aps grand mal à un Huorn et je vous le repete notre but n'est pas de les tuer... Pour l'instant nous devons juste trouver Sylvebarbe..."

J'écoutais avec attention les paroles du Noble Elsar...

"Vous avez parfaitement raison... Il faut dire que j'ai toujours voulu être trop prompts et cela a etndance à me jouer des tours... Nous attendrons donc les Nains...Après tout vous nous avez bien attendu...Je vais de ce pas appeler Syvebarbe en esperant que mon message lui sera transmis par ses amis gardiens des arbes les plus proches..."

Je sortit de la tente prêt à appeler de ma voix la plus forte l'Ent , comme si je prononçais une incantation... Ma voix se fit profonde et forte, comme sortant de profondeurs insoupçonnées...

"Dargro Taur, Dargro Lebethron, mabam dortho na Fangorn, nam mellyn..."
>Ecoute ô arbre, écoute ô forêt, nous venons parler à Fangorn, nous sommes des amis...
Le ilence qui regnait fut perturbé par ma voix qui résonna loin et long, et seul l'écho me répondit... Il étais en tout cas sur que ces mots avaient té entendu loin, mais l'avaient-ils été par les bonnes oreilles ?

//Hrp : Bonjour, comme vous l'avez vu, je n'ai plus le temps de poster ici. Je voudrais donc quitter cette quête, et m'occuper uniquement de mon magasin. Merci de votre compréhension.//

Aerys, lorsqu'elle s'apprêtait a partir, se retourna vers ses compagnons et leurs dit :

-Nobles compagnons, j'ai une bien triste nouvelle. La nature m'appelle, et je ne puis rester plus longtemps avec vous. J'ai vais donc partir sur l'heure. J'espère que nous nous reverrons un jour, dans ma boutique. Je vous dit bonne chance.

Et elle partit préparer ses affaires, leurs dit au revoir, et partit.

Bargonno continuait à écouter les paroles de ses compagnons. Aerys leur dit qu'elle allait partir, il lui fit ses adieux, et les discutions reprirent où elle en était. Or Bargonno se souvint de quelque dessin qu'il avait fait durant un voyage, sans rien dire il partit retrouver l'elfe et quand il fit à côté d'elle il l'a fit s'arrêter et lui dit:
-Je vous ai rattrapé car je sais que vous êtes une forgeron mage je vais vous faire une commande.
Il sortit de sous sa cape deux desseins; le premier montait une épée à une main avec un manche qui représentait un dragon au yeux de rubis qui était enroulé la queue vers le bas et la tête vers le haut et en garde les ailes du dragon. Pour le deuxième dessein il représentait un bâton qui ressemblait à un arbre dont un gros lierre l'entourait, mais on pouvait encore voir le boit, le bat ressemblait à des sortes de racines et pour le haut on pouvait voir trois bout de boit dont un plus petit que les deux autres.
-Voilà je voudrais que l'épée puisse s'enflammer sur commande et qu'elle soit très tranchante, vous pouvez aussi me rajouter des pouvoirs dessus, pour le bâton je vous fait confiance. Envoyez moi ces armes quand vous les aurez finit, vous me les envoilerez à la tour de Mithrandir avec une lettre qui dit .ce qu'elles font et l'argent que je vous doit. Sur ce je vous redis en revoir.
Et Bargonno repartit au camp, où il reprit sa place.

Je me penchais légéremment sur le côté écoutant les paroles d'Elsar en regardant droit devant moi la forêt et scrutant dans ses profondeurs les moindres mouvements...

"Certes les Nains sont très longs et nous devons être prompts, cependant je ne sais ce que prévoit Firion ici présent... Devons nous attendre où allons nous partir afin de regler ce problème une bonne fois pour toute ? Si mon appel c'était fait entendre nous l'aurions déjà su... mais aucune nouvelles, aucun signe ne nous ai parvenue... je pense que cet appel fut totallement inutile... Nous devrons nous enfoncer dans les profondeurs de la forêt de Fangorn et tenter de ne pas contrarier ceux qui y vivent... La prudence et la discrétion seront de mise... Mais laissons au Roy du Rohan la décision, après tout il est Roy, pas moi..."

Et nous nous tournîmes vers le principal interessé...

Firion se préparait à formuler sa réponse lorsqu'ils virent arriver un cavalier au loin. Tous se turent jusqu'à son arrivée. Lorsqu'il fut là, il parla le premier :
-Félix, fils d'Eristar. Excusez-moi si j'arrive tard, mais il parait, à Edoras, qu'un groupe va essayer de pénétrer dans la forêt de Fangorn. Seriez-vous se groupe ?
-J'ai deux questions :
-la première, puis-je me joindre à vous ?
-la deuxième, quel est le but de cette "excursion" dans Fangorn ?

Edit Firion : J'ai effacé les paroles de Mithrandir et de Firion, tu ne peux les utiliser.

Firion regarda arriver le cavalier. Ils l'écoutèrent puis Firion prit tout naturellement la parole.

"Bonjour à vous, Félix, fils d'Eristar. Un peu plus de politesse envers nous ne serait pas de trop, et notamment envers moi qui suis ton roi, ne l'oublie pas. Nous sommes en effet ce groupe et tu peux te joindre à nous. Pour ce qui est du but de l'incursion, nous souhaitons comprendre les agissements des Huorns."

Il se tourna vers Mithrandir.

"Cher mage, je pense que nous avons assez perdu de temps. Entrons dans Fangorn et cherchons-y Sylvebarbe. Je vous le rappelle, les armes seront inutiles. Celui qui les utilisera mourra à coup sûr."

Firion regarda les autres attendant un signe d'approbation.

*Eorl venait de terminer recemment son combat près d'un village dans l'Ouestfolde, et avait entendu parler de problèmes a lisière de fangorn. Il s'était haté à leur aide, et vis plusieurs hommes. Dont le seigneur Firion. Eorl s'inclina puis se releva:*

- Mon seigneur, puis-je me joindre à vous? J'ai entendu parler de problème, et je me suis hâter jusqu'ici, a votre rencontre. Il semblerait que ce soit avec les Huorns...

*Il jeta un coup d'oeil dans la pénombre de la forêt et scruta les profondeurs sombres des arbres. Il eut un frisson:*

- Que se passe-t-il?

Félix reprit la parole pour s'excuser :
-Mon Roi, excusez-moi, je ne vous avais pas vu, et j'ai manqué de politesse, je m'en excuse. Mais pourriez-vous me dire que font les huorns pour que le Roi du Rohan en personne se déplace ?

Tanrith commençait à perdre patience. C'est à croire que les chevaliers du Rohan n'avaient ni ville à protéger, ni frontières à garder, ni chevaux à entretenir. En réalité, il souhaitait entrer en Fangorn pour ne plus voir arriver de nouveaux combattants. A quoi serviraient-ils si les armes étaient interdites.

-Mithrandir, je propose que nous rentrions, qu'au moins un groupe rentre dors et déjà en forêt. Si les autres souhaitent attendre les Nains plus longtemps qu'ils restent ici, mais nous avons perdu beaucoup de temps déjà il me semble non? Sylvebarbe ne nous a pas entendu allons le chercher.

La prise de parole du mage avait surpris. Il n'était rien en réalité, même si il conaissait bien cette forêt, ce n'était pas à lui de prendre les décisions...

-Ce n'est pas à moi de décider, je le conçois parfaitement mais, voyez-vous il me tarde de revoir les Ents, et d'en finir ici.

[HRP] je rentre dans trois jours et je serais absent la semaine, désolé de vous presser...mais j'aimerais être actif, au moins pour cette quête.[HRP]

"Vous avez raison Tanarith, entrons dans les confins de Fangorn, ceux qui le veulent nous suivrons, mais ceux dont le coeur est etrain de peur et de doutes, je vous conseille de partir... Si vous ne sortez aps les armes et que vous nous suivez, il ne devrais rien nous arriver... Alors maintenant en route..."

Je m'avançais jusqu'à la lisière de la forêt , enfourchait mon destrier en même temps qu'Elessarion et nous entrâmes dans la forêt par l'endroit duquel nous étions sortis quelques jours pus tôt... L'air se fit étouffant en même temps que la lumière baissait car les arbres très touffus cachaient les rayons d'Arien...

"Que Yavanna nous vienne en aide et nous protégent des Huorns nous permettant de rencontrer Sylvebarbe..."

//On va essayer de faire bouger tout ça car ça m'a l'air de dormir un peu, alelz à vos claviers//

[HRP] postez pour que l'on sache qui est entré, et qui est resté à la lisière[HRP]

Au bout d'une heure à cheval, ceux qui étaient entrés dans la forêt étaient plongés dans une pénombre assez importante. Longperiple, le pauvre cheval de traie de Tanarith, restait calme seulement grâce au parole que le mage lui murmurait à l'oreille. Toutes les armes avaient été laissé a la lisière des bois, sauf les batons des mages. Tanarith revivait ce qu'il avait vécu pendant une vingtaine d'années... le silence qu'on pourrait attribué à la forêt était réellement bruyant en Fangorn : les arbres qui craquent, les oiseaux qui s'envolent, le gibier qui déguerpit... et bien d'autres bruits qui ne pouvaient être identifiés. Pour l'instant la forêt était clémente avec eux.
Soudain, Tanarith aperçut des yeux derrière un arbre, lorsqu'il tourna la tête pour mieux voir, les yeux avaient disparu et à l'endroit où il se trouvaient; la forêt semblait avoir perdu un arbre.

-Les ents nous ont vu... dit-il à voix basse. S'ils m'ont reconnu, ce n'est qu'une question de temps avant que Sylvebarbe ne vienne à notre rencontre. En revanche, s'ils nous prennent pour des étrangers, je doute fort que ce soit Sylvebarbe qui nous accueille.

Edit Firion : je n'ai pas le temps de poster maintenant, donc je vous dis juste que je suis moi aussi rentré.

"N'ayez crainte Lorindol, respectez les arbres de cette forêt comùme ceux de votre race l'on toujours fait et rien ne vous arrivera... Quand à Sylvebarbe, allez savoir, je ne le connais pas personnelement..."

Puis nous fîmes silence... la forêt bruissait de petits bruits et de plus grand... L'obscurité était grandissante... mais au loin une petite lueur fut visible... A mesure que nous en approchions, l'air se faisait moins lourd... Nous arrivâmes alors au pied d'une petite colline...
Tanarith prit la parole... et nous écoutions tous la sagesse du Mage errant...

"Vous avez raison, ils nous ont vus, mais ce depuis bien longtemps j'en ai peur... Mais il me semble qu'il serait bon de leur rappeler que nous sommes des amis... Mellon nam, lasto beth nin, echoram pedo an Fangorn..."

Fis je en regardant les arbres alentours, parmis ceux-ci et derrière devaient se tenir des Ents qui comprendraient mes mots et iraient quérir Sylvebarbe...

"Prenons un peu de repos, montons sur cette colline que la lueur du Soleil nous éclaire... Nous en avons tous besoin..."

Bargonno réfléchissait et après quelque instant il se leva et suivit de loin ses compagnons, avec ses animaux qui faisait le moins de bruit possible, ils les rattrapèrent ensuite. L'apprenti et ses chiens était juste à côté d'eux, mais ils n'avaient pas vu qu'ils étaient là. Bargonno avait l'impression que la forêt les observait, ou quelqu'un. Le mage se glissa à côté de son cousin et il lui demanda:
-Te souviens-tu de quand on était enfant? Si oui peux-tu me dire?

Eorl s'avança et monta sur la colline. Un faible rail de lumière sortait du haut des arbres. Il dit:

- J'ai auparavant pénétré dans Fangorn, au cours de mes 11 années de chasse et d'errances... Mais les Huorns semblent dégager une émotion que je n'ai jamais senti...

Il continuait toujours de scruter les arbres.

Nous étions arrifvé en haut de la colline et nous regardions le Soleil qui nous innondait de ses rayons... L'air était réspirable et le vent soufflait assez fort... Alors Bargonno m'interrogea...

"Bargonno dix ans nous séparent, tua s 76 ans si mon compte est exact... je t'ai très peu vu... ma soeur est morte alors que j'avais dit ans... et ton père ta emmené avec toi... Mais nous pensions que tu étais mort, car il est revenu sans toi... j'ai du te voir au maximum une journée... Alors je n'ai pas un grand souvenir de toi... je dois l'admettre..."

Le silence regnait à nouveau... mais je décidais de le rompre...

"Sais-tu qu'il est à Minas Tirith ? Hobasian te l'a-t-il dit ? A-t-il révélé ce qu'il a tenu secret en te retrouvant ?"

Devant la mine de Bargonno je compris que oui...

"Il vit à la Tour car j'ai décidé de l'y acceuillir pour mieux le surveiller... mais Milindë diopt engager quelqu'un pour le faire suivre... ne te soucie pas de lui tous ces mots ne sont que poisons, il utilise bien les stratagèmes que les ennemsi ont souvent utilisés il sème le doute il te fera duter de toi... Il a fait la même chose avec moi mais la dernière fois à l'auberge il a compris que cela n'aurait plus court..."

Puis je me tournais vers Eorl...

"Oui ils sembelent avoir écghappé à la vigilence de leur gardien et il semblerait qu'il décident de mener leur propre loi emepchant les intrus de venir en ce lieu... Mais que Yavanna nous garde d'un tel désastre..."

Il se tourna vers lui:

- Cela ne présage absolument rien de bon... Que se passe-t-il? Sylvebarbe devrait remedier à tout cela, il l'a toujours fait!! Il semble que quelqu'un ait enflammé le coeur des arbres... D'une telle sorte qu'ils n'obéissent plus a personne!

//Minimum 5 lignes les posts stp... merci d'avance//

"Je ne pense pas que les Huorns soient plus enervés qu'aupravant... mais que personne ne les arrêtes...Il semble agir sans plus être cadré par les Ents... Mais nous aurons le fin mot de cette histoire quand un Ent aura la bontée de se montrer et de converser avec nous... Pour l'instant profitez du Soleil que cette colline nous offre... Nous aurons tôt fait de retourner dans les ténèbres de Fangorn... Mais si vous le souhaitez je pourrais vous réconfortez d'un peu de lumières..."

Je descendit de ma monture et m'assit au sol... et regardais le ciel que un ou deux nuages clairesemés...

Au moment même où le Magicien s'assaillait sur le sol, ce dernier trembla. L'instant d'après, un espèce de mugissement se fit entendre au loin, et un craquement lourd retentit. Aussitôt, le sol résonna d'autres chocs et d'autres craquements, comme des banches qui cassent, retentirent faiblement.
Le rugissement rauque rententit à nouveau, plus proche cette fois. Le sol tramblait, secouant les arbres. Un nid d'oiseaux tomba sur le sol.

Un des rohirrims qui avaient accompagné le Roi Firion se mit à trembler comme une feuille et déclara d'une voix brisée par l'angoisse :

"Il y'en a parmi eux qui arrivent..."

Un murmure d'affolement, mais d'aprobation s'en suivit.
Huorn ou Ent, devenu fou ou non, nul ne le savait mais quelque chose approchait. Et il était fort déconseillé de rester sur place pour vérifier de quoi il s'agissait, car ceux-là se déplaçaient vites.
Ils ne savaient pas s'ils avaient été repéré par quelque créature mauvaise, mais il leur fallait mieux se dépêcher d'avancer au coeur de la forêt pour tenter de régler l'affaire car la situation devenait précaire.

Bien sûr, il était encore temps de fuir pour les couards.

Quelque chose se passait... quelque chose approchait... aussi je me relevais d'un bond et m'adressais au Rohirrima appeuré...

"Que craignez vous mon brave ? Avez vous raison de craindre ce qui approche ? Les Hommes ont toujours eu peur de l'inconnu, mais il vous faut dépasser cette peur... N'ayez crainte tant uqe vous serez discret et ne porterez aps atteintes à cette forêt vous serez en relative sécurité..."

Puis je m'adressais à toute la troupe...

"Nous n'avons que trop trainé ici, rejoignons l'obscurité de la forêt et tachons de rester le plus discret possible... Continuons notre route vers les montagnes et ne prennons pas en compte les bruits de la forêt... Monter une garde, si nous campons, sera necessaire... Nous ne savons si ce qui est approche est ami ou ennemi... aussi tachons de quitter ce lieu...Il ne s'agit pas de fuir comme des Orcs affolés, mais de nous rediriger vers note but principale... c'est à dire trouver Sylvebarbe...Si c'est lui qui fait tout ce boucan nous le saurons car il nous en avertira.... Mais je doute fort que ce soit lui..."

Je menais alors ma monture par la bride au pied de la colline...

"La forêt ne nous permet pas d'aller grand train à cheval, de plus certains ne disposent pas de montures, aussi pour ceux à cheval, nous irons au pas... En avant quittons ce lieu et allons le plus vite possible vers le lieu de la demeure de Fangorn car il est venu le temps de regler cette affaire... Suivez la lumière d emon bâton, elle vous guidera dans la pénombre..."