A la recherche des 6 tueurs de Hobbits

Alors que j’approchais de chez Radamanthe, des frissons parcoururent mon corps, dans la cour devant chez lui, traînaient bon nombre d’objets de torture, pinces, colliers acérés, tables avec pointes, roue de torture, hallebardes et couteaux pointus…
Quelle drôle de fonction occupe donc mon ami… enfin, il faut bien que quelqu’un le fasse… par le passé, ses interrogatoires musclés nous furent parfois précieux…

« Toc Toc Toc »

Radamanthe m’ouvrit la porte et m’accueillit à bras ouverts…

-Entre donc Juliendhal, mets tes prisonniers dans la cage ici à gauche et viens boire un verre

*Mes prisonniers… Je n’en ai qu’un compagnon, l’autre risque de ne pas pouvoir t’apprendre grand chose…

Le prisonnier jeta le cadavre de son compagnon sur une banquette, Radamanthe le fouillerai plus tard.
Nous mîmes le malfrat survivant en cage puis nous nous installâmes autour de la table et je me mis en devoir de raconter toute l’histoire au Bourreau…

(…) voilà, tu sais tout mon ami, il semble donc que ces hommes aient enlevé les 2 femmes du Rohan et assassiné les Hobbits qui les accompagnaient, néanmoins, quelques questions demeurent…

Pourquoi sont-ils venus à Minas Tirith avec leurs prisonnières ?

Où sont les deux autres étrangers venus du Sud ?

Errent-ils dans la Cité Blanche ou se sont-ils enfuis ?

*J’espère que ton interrogatoire permettra de tirer ça au clair, je te laisse Origae, ma rapide colombe, quand tu en sais un peu plus, écris un message que tu lui confieras et qu’elle m’apportera au plus vite, je m’en vais flâner dans la cité voir si je peux apprendre quelques nouvelles au sujet des 2 derniers malfrats

Juliendhal refarma la porte derrière lui.Le prisonnier était maintenant seul...avec moi.
-Je peux être cordial avec mes amis,mais...tu n'en fais pas partie.Ici,la règle est simple,tu parles ou tu souffres.
-Tu sauras rien,sal'...
Baff
Deux dents en moins.-On verra ça
Je l'installai sur ma table,en serrant bien les poignets.
-Si longtemps que je n'ai eu de travail...tu n'as pas de chance,je serai fort cruel aujourd'hui.Qu'êtes vous venus faire ici?
Je lui brisai une phallange,dans un craquement sec
-Arrhh
-Dois-je répéter ma question...ou alors ce geste?
Un deuxième de ces doigts pendait mollement.
Un troisième,puis le quatrième suivirent.
-Les sales monteurs de chevaux nous ont surpris avec les cadavres...qu'ils soient m'...aagg( et une main complètement inutilisable)
-Continue!
-Ont a courru dans les ruelles,glups,et la nuit tombée ont a vollé des chevaux,en prenant leurs propriétaires en otage, pour rejoindre le Harad,ces bêtes sont mortes près d'ici,et ont a du venir dans ta cité pourri'...baff
-Que venaient fairent là-bas les deux suderons?
-Chercher des nouvelles proies ou que sais-je?Peut-être espéraient-ils rencontrer un gentil salopard qui leurs briserait les mains...
-Les doigts! (deux nouveaux craquements secs)
-Où sont-ils maintenant?
-Comme si j'allais le dire!
-Tu disais déjà ça au début mais puisque tu tiens tellement à ce qu'on s'occupe de tes mains...
Je saisi un maillet et lui clouai les mains sur la planche.
-Alors?
-Arh,nn-glups-on!
Je saisi alors un couteau et pratiquai une longue entaille sur son torse.Ecorchement vif...il ne faudra pas aller plus loin,on craque toujours.
-Jamais
Nouvelles entailles sur les flancs et l'épaule droite.
-Crèv'...
Epaule gauche.
-Stooop!Ils trainent-gasp-près du forgeron,ils veulent voler des meilleures armes pour ensuite voler des chevaux et partir au Harad.
-Très bien,tu vois que tu as parler...
-Arrêtez,je vous en supplie...
-Ces blessures ne guériront jamais...c'est maintenant un service que je te rends.
Le prisonnier attendit que la hache s'abaisse sans dire un mot...
-Ce n'avais pas l'air d'être un si mauvais type...enfin,après ce qui je lui ai fait,il vallait mieux qu'il meure.Ah,s'il avais cooppéré dès le début...

Je saisis un parchemin et écrivai,avec toute l'application qu'un bourreau peut avoir,le compte rendu de l'interrogatoire et l'attachai a la patte d'Origae,qui s'envola immédiatement rejoindre son maître,a une telle vitesse qu'on pouvait se demander si elle n'avait pas été traumatisée par le sinistre spectacle

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Arrivés dans la cour chez Radamanthe, les Suderons gémissant en un langage fort peu à mon goût, une odeur très désagréable prit d’assaut mes narines…
Qu’à t’il encore inventé ce cher Bourreau… ? ? ?

Après avoir délesté Solohan de son fardeau soit après avoir balancé les deux bandits au sol devant la porte de Radamanthe, je rendis sa liberté à mon cheval et l’envoya galoper dans la plaine en dessous de la Cité…

Je m’aperçus que l’odeur nauséabonde qui assaillait mes narines émanait d’une cage sur la gauche…
Tiens, il n’y avait pas de cage ici ce matin quand j’ai amené les deux premiers bandits…
Je m’approchais lentement, craignant ce que j’allais découvrir…
Ahhhh ! un warg ! Quelle drôle d’idée…. Enfin, j’imagine qu’il sait ce qu’il fait….

Toc Toc Toc !

Radamanthe ouvrit la porte aussitôt…

-Tu as vu ma dernière acquisition ? Mon warg ! Depuis le temps que j’en voulais un !

*Oui, oui, j’ai sent… j’ai vu…
Voici les deux derniers bandits mon ami, ils sont à toi, un peu amochés mais vivants !

Radamanthe se fendit d’un large sourire et m’invita à entrer…

-Tu boira bien quelquechose,après tes aventures,je suppose...dis-je en prenant deux verres et une bouteille.
-Volontier,ces deux canailles m'ont quand même vallu quelques frisssons.
-Réellement?Raconte-moi donc comment tu les as capturés .

Pendant que Juliendhal parlait de ses aventures à la forge,je voyais les deux prisonniers regarder d'un drôle d'air le warg,par la fenêtre.

*Hehe , je pense que ceux-là comprennent mieux que le premier que je ne rigolerai pas avec eux...me dis-je pour moi-même .*

-Cela devait être une jolie scène,dis-je quand Juliendhal eu finit son récit.Tu es bien digne de ton rang de seigneur,d'on je te félicite,tant que j'y pense.Dis-moi,as-tu encore une interrogation particulière à leur soumettre,ou puis-je m'en débarasser ?

Eh bien mon ami, ces deux-là ont commis suffisament de méfaits et je pense que leur peine est déjà toute vue...

Occupe-toi d'eux, ils sont à toi, j'en ai assez vu pour les retrouver !
Je vais aller voir comment se portent les deux dames du Rohan aux maisons de guérison, j'espère qu'elles vont vite se remettre...

A bientôt Radamanthe et, pense à nourrir ton warg...

Sur ces mots je pris congé du Bourreau, sortis de chez lui et pris la direction des Maisons de Guérison...

-Tiens , on dirait que tu as eu la même idée que moi... il n'a pas mangé hier , et je n'ai pas acheté de nourriture...il faudra faire avec ce qu'on a sous la main...mais d'abord qu'il se rendent utiles .

J'enfilai mes gantelets d'acier et attachai deux cordes à la cage ,puis avec quelques coups de fouet j'ordonnai aux prisonniers de rentrer la cage dans un coin de la salle de torture ,il ne faudrait pas laisser en public le spectacle qui va bientôt se dérouler.

Sitôt que j'eu le dos tourné , le plus petit dont j'avais enlevé les chaînes pour qu'il puisse tirer la cage,chercha à s'enfuir .
Mais un bon coup de fouet et une droite dans la machoire eurent vite fait de le calmer.Sa tentative m'ayant déplu je décidai que se sera lui qui , qui ,qui serait mangé ohé ohé ( je sais où est la porte,merci^^).

Ainsi ,entrebaîllant délicatement la porte de la cage , je le poussai dedans , où ses cris déchirant raisonnèrent durant quelques.
Quand à l'autre ,plus chanceux , je pense , après avoir regarder l'atroce fin de son compère, je lui tranchai la tête ,d'un coup de hache.

Ensuite,je m'empressai de passer un coup de torchon sur le sol ensanglanté , de ranger un peu mes affaires et mes cadavres , puis je me dirigeai vers l'auberge,ayant bien sûr entendu le tournée qu'offrait Juliendhal pour sa promotion