Le voyage du deuxième groupe

Bien qu'ayant l'air troublé, Ronfleur resta de marbre et coordona ses hommes sans avoir à faire grand chose : ils savaient tous leur boulot après tout, les tactiques étaient rapidement appliquable quand connues...

C'est ainsi qu'ils se placèrent le plus possible à couvert sur les flancs, par groupes de deux ou trois, surement dans l'idée de faire sous estimer les ennemies quand à leur nombre réel... L'encerclement étant alors une suite logique. Restait à voir comment les ennemies allaient réagir en les découvrant... Car eux aussi allaient utilisés une certaine tactique et il fallait pouvoir la contrée. C'est dans cette optique que les griffes ne dégainèrent aucune arme particulière, réservant le choix selon l'utilitée...

Gebir parla peu, se retournant souvent en arrière pour voir approcher une silhouette invisible.
Le professeur l'avait envoyé seul.Il ne comprennait pas.

En passant par Osgiliath, il fit un détour pour donner ses ordres aux marins et deux chevaliers de brethil l'accompagnérent.

Le reste devait descendre à pelagir puis récolter des informations concernant Dol Amroth car Gebir reprendrait avec Brethil la cité du cygne.

Puis un cavalier revint puis annonça des orcs.Un contingent faible mais non négligable.
Quand le chef de l'expédition donna ses ordres.Gebir et ses deux confréres se placérent en premiére ligne à côté des griffes si bien organisées et si calmes.Gebir plaça sa lance en desous de son bouclier pour pouvoir frapper de gurthascar de l'autre main.

Gebir voulait venger son prince mais ce n'était pas les orcs qui l'avaient tués.
Il attendit calme sur son destrier guettant le moindre signe.
La main ferme sur la garde et le bouclier serré sur le coeur.

Hrp d'accord je savais pas hrp

Erco resta en arrière. Il laissa son cheval reprendre son soufle, il bu une gorger et dégaina son épée, il avait entendu l'ordre de Radamanthe mais il se tenait sur ses gardes. On est jamais trop sur. Toute l'armé était silencieuse. Erco était tendu a la proche de la bataille. Son cheval aussi était nerveux mais mais son renard était parfaitement calme. Erco n'en était pas étonné, son renard n'avait encore jamais participé à un combat. il était avec le reste de la cavalerie. il regarda autour de lui. A coté de lui se tenait un homme en armure. Erco ne pouvait pas voir son visage mais il voyait qu'il était tendu et nerveux: il tremplait.

-Sa va? demanda Erco

-heins...quoi?

-sa va?

-Oui! Pourquoi cette question?

-ben..vous trempliez et j...

-Je ne tremplait pas. Le cavalier avait dit sa avec un ton outrager. Erco se dit qu'il ne s'était pas fait un amis.

Eaquem avança avec les autres. Il entraîna de force son frère:

"Tu ne fait pas partie de l'armée régulière..."

Eaque se retrouva donc au milieu des mercenaires, qui semblait tous heureux d'en découdre, et avec des orcs, une cible facile...

Eaquem sorti ses poignards. Il n'avait jamais tuer. Ce serait la première fois.

Eaque vérifia son épée... Il avait déjà tuer un homme, et ne voulait pas recommencer...

Ourim et Tourim, les deux lames étaient dans leur fourreaux, et voulaient du sang...

Eaque et Eaquem ne le savait pas, car il ne connaissait leur ancien propriétaire, ce guerrier mort il y a pas mal de temps, mais pas si loin de la, et pas sans honneur...

Dans un brouhaha de braillement et de lourds pas, les orcs apparurent finalement en haut de la colinne. Leurs conversations animées dans un langage qu'on avait plus entendu depuis longtemps en ces lieux continuèrent un instant à troubler le silence de leur accent bourru.
Soudain, leurs discussions grossières cessèrent brusquement. Ils venaient d'apercevoir la troupe de l'armée quelques dizaines de mètres plus loin, la partie qui ne s'était pas cachée et qui attendrait les orcs de front.

Soudain éclata un petit rire sardonique parmis les orcs. Une armée égarée. Que risaquaient-ils ? Ils n'allaient en faire qu'une bouchée...
Evidemment, ils ignoraient qu'il s'agissait là uniquement des premières lignes, qu'une partie de l'infanterie n'était pas encore arrivée et que beaucoup de cavaliers s'étaient repliés.

Dans un concert de cris et de bruits d'épées, la petite troupe de créature chargea.
Radamanthe était en première ligne. Il voyait bien la nervosité des combats, qui avaient envie de répondre à cette attaque par un assaut furieux sans réfléchir et foncer dans le tas pour frapper.

"Il y a deux choses qui comptent lorsqu'on est pris dans la mêllée...Le cerveau, et les trippes..."

Ici, c'était le cerveau qui prédominait.


"Encore un peu de patience..."

Tous les soldats avaient la main sur la garde de leur épée, qu'ils ne devaient pas encorer tirer, les archers avaient leurs arcs bandés et n'attendaient qu'un signal. Radamanthe tenait négligemment sa hache, comme s'il était inconscient de la charge ennemie.
Quand il n'y eu plus que quelques mètres en la ligne de front, quand tous les orcs feurent apparus de derrière la colinne...

"Maintenant !"

Dans un fracas métalliques, les épées furent tirées. Des cordes claquèrent et ceux qui étaient sur le côté dans les fourrés surgirent.
Les orcs étaient assaillis de toutes part et le combat commençait.
L'Intendant désirait que ce soit une attaque éclair, d'une grande rapidité, et qu'aucun orc ne repasse sa tête par dessus la colinne.

Le scribe fut impressionner par cette rapidité a mettre un plan à exécution... Il faudrait qu'il pose plein de question a l'intendant sur cette capacité à créer des stratégies...

Il avait son épée a la main...

Il s'avança au milieu de la mêlé...

Elle devait être rapide si il avait compris le mot d'ordre...

Il vit un orc...

Il vit le gourdin de l'orc...

Il sentit le choc.

Il s'effondra...

Il ne vit plus rien...

Cela aurait du se produire... Mais cela n'arriva pas...

Voila les faits

e scribe fut impressionner par cette rapidité a mettre un plan à exécution... Il faudrait qu'il pose plein de question a l'intendant sur cette capacité à créer des stratégies...

Il avait son épée a la main...

Il s'avança au milieu de la mêlé...

Elle devait être rapide si il avait compris le mot d'ordre...

Il vit un orc...

Il vit le gourdin de l'orc...

Son épée fut plus rapide que son imagination, et l'orc reçus le coup en plein cœur.

Il s'effondra.

Le temps passa au ralentie.

Eaque avait fait couler le premier sang.

Il tuait pour la deuxième fois...

Mais son esprit ne s'effraya pas. Il n'avait tuer qu'un orc, un méchant depuis plusieurs Ages... Rien de mauvais. Rien de répréhensible...

Il avait fait couler le premier sang

Gebir attendit un moment silencieux.Le cheval sentant le combat s'approcher puis soudainement, il se précipita au cri de l'intendant.
De chaque côté de ses flancs se tenaient les deux chevaliers de Brethil.
Les épées sifflérent sortant de leur fourreau puis ils fendirent rapidement l'air en signe de défi.
Les orcs se précipitèrent et le mal était fait.De chaque côté des fourrés surgirent les mercenaires.Gebir et ses compéres passérent dans le tas quasiment invulnérable de part leur vitesse de leur destrier et la surprise des orcs.

Le chevalier fort expérimenté sde ses combats tailla dans la tête d'un orc et planta sa lance dans la cou d'un autre.

Puis dépassant la petite horde, ils tournérent bride et revinrent à la charge puis renfermer en partie les orcs.

Aglarest taillait dans le vif mais Gebir fut impressionné par la furie de ses êtres sans foi, ni loi.

Il tailla dans la chait orc jusqu'à ce qu'un d'entre eux l'empoignent lourdement par le bras porteur de l'écu.

Gebir sentit sa monture s'affoler et elle fila vivement pour se mettre à l'écart.


Gebir sentit le choc et l'amorti du bouclier suous son poids.

Il se releva vivement et rejeta sur le sol bouclier et lance pour combattre au corps à corps.

Tout ceci était bien plus facile à présent car son ancienne armure possédait bien une large protection à cheval mais un grand desavantage à pied qu'était l'absence de mobilité.
Gebir feinta puis par briévement puis dans un élan d'inspiration,il frappa du revers de la lame dans le cou de son adverse qui agonisa.

Gebir regarda le sang noir s'écouler de sa gorge puis il revint à la bataille.
Laissant son bouclier sur le sol, il empoignat son étendart de Dol Amoth qui était aussi sa lance et se précipita dans le chaos bien qu'il en eût connu de bien pires.

Eaquem suivit le mouvement, plongeant inconsciemment dans la mêlée.
Il n'avait jamais tué qui que ce soit, mais dans quelques insatants, cette lacune serait comblée... Le combat avait commencé.
Eaquem esquiva plusieurs coups, et, par réflèxe, planta une de ses dagues en pleine jugulaire de son adversaire.

Le sang se répandit abondamment, et l'orc s'effondra.
C'était donc si facile de donner la mort ainsi?
Soit... Eaqem continua le combat, expert au maninement d'armes de combat...très rapprochés.

Eaque vit son frère tuer. Avec facilité en plus.

Un autre orc s'approcha par la gauche.

Fini pour lui???

Non. Un mercenaire se plaça entre eux deux. Et il tomba.

Eaque lâcha son épée. Il avait parlé avec cet homme durant le voyage. Il mourrait. Non!

Il lui prit la main. Dans ses yeux du mercenaire se reflétaient les nuages qu'il ne pourrait plus voir.

Eaque releva les yeux. Attrapa son épée.

Le regard qu'il lança effraya l'orc, qui recula de peur...

L'épée du scribe se nourrit encore de sang noir d'Orc

Fatal chargea, il était dans les premiers à arriver au combat. Son adrénaline était en son maximum. Mort le suivait les crocs dehors prêt à tuer. Il vit un homme tomber. Il le remplaça et laissa faire son instinct. Il entrevit une épée lui arrivée dessus. Il para et contre-attaqua et trancha la tête de l'orc, il en fut asperger, mais cela n'avait aucune importance. Fatal pensait à une chose resté en vie. Il se dirigeait déjà vers un autre adversaire. Devant lui arrivait en courant un Orc. Fatal cria

-Attaque mort!

Mort couru et attaqua l'orc fut trop occuper avec Mort pour qu'il puisse voir arrivé fatal, il le tua net.

Fatal aimait tuer c'était si facil un coup d'épée et son ennemi était mort. Il vit passer à quelque pas un orc. Fatal sortit son arbalète de poing et dit " fait de beau rêve" puis tira. Son ennemi tomba mort.

Le choc avec les forces du Mal avait été rude, Konrad étant comme tout simple soldat dans la première ligne. Il avait donc pris la charge des orcs de plein fouet. Son bouclier été déja tout souillé et cabossé. Sans regarder ou il frapper, Konrad lancait son épée droit devant lui, en direction des orcs.

Il sentit alors sa lame pénétrait la chair. Il ouvrit les yeux et vit un orc tombait à genoux, se tenant le bas du ventre, puis lacha un cri agonisant avant de basculer sur le côté.

Le combat faisait rage depuis un bon moment et, depuis sa première vicitme, Konrad ne comptait plus les orcs qu'il avait tranché ou embroché. Une estafilade le faisait souffrir sur l'épaule gauche; et son armure transpercé laissait paraître la blessure.

Konrad apercut tout à coup à sa droite Erwan se faire transpercait la cuisse par un orc. Puis un archer ennemi lui envoya une flèche dans le ventre. Konrad courut en direction de l'archer, volant au secours de son frère d'armes. Tandis que l'archer rechargé une autre flèche, Konrad lui coupit net la gorge, laissant le sang noir se répandre de part et d'autres du monstre.
Puis se retournant, il regarda Erwan. Malheureusement, le deux blessures qu'il avait subi le laissait en très mauvaise posture et de plus, il ne tarderait pas a se vider de son sang, à cause de la blessure ouverte a la cuisse et le trou qu'avait laisser la flèche.

Il ne put aider le soldat car deux orcs vinrent lui boucher le chemin. Il dut replonger au coeur de la bataille avec la rage au ventre de voir son camarade touché et très mal en point...

Une rage guerrier saisissait Eaque.

Il tua un orc en plantant sa lame dans le bassin de cet ennemi. Il trouvait limite cela jouissif de retirer la vie a quelqu'un, d'avoir le sort d'un être autre que lui dans les mains... Mais ce n'était que des orcs...

Il se souvint de la mort de son capitaine alors qu'il était dans la flotte. Il en était responsable, mais ne s'était jamais excuser auprès de la famille de la victime. Il le ferait.

De son bras gauche, il mit un coup de poing dans la tête d'un orc.

Une erreur.

Il ne s'en rendis compte qu'après avoir achever l'orc avec son épée, qui, en rentrant dans l'armure, émit un drôle de bruit. Elle était neuve, elle ne pouvait se casser.

Si. Elle se fissura en deux, et Eaque n'eut plus qu'un tronçons d'épée dans la main.

Et une douleur dans la gauche:

Une des dents de l'orc s'était incrustée dans le dos de sa main.

Il décida de reculer, pour ne éviter d'être une cible trop facile.

Il était blessé, il n'avait plus d'arme...

Radamanthe avait profité du choc causé par son cri, et par la révélation du piège qui s'en était suivis, pour, d'un unique coup de hache bien placé, ouvrir promptement le ventre du premier orc qui s'était présenté devant lui, ne savant pas vraiment s'il devait regarder devant lui, à droite ou à gauche.
Il laissa la cadavre choire à ses pieds, et dégagea son arme d'un petit mouvement sec tout en appuyant sur l'orc avec sa botte.
Immédiatement de retour en position de garde, il profita d'un léger répit pour balayer le champ de bataille du regard et évaluer la situation des combats.

Il put facilement remarquer que tout allait pour le mieux et que le piège était un véritable succès, et que la surprise avait été totale pour la petite patrouille, qui du fait qu'elle était fort éloignée, laissait présager qu'ils étaient sur la bonne voie.
Il ne put s'empêcher de remarquer Eaque, blessé, qui reculait. Il fit deux pas sur le côté afin de se placer de biais. Il ne tenait pas à perdre son scribe maintenant. Comme il fallait être fou pour entrer au service de l'Intendant, il lui était particulièrement précieux et utile.

"Il me semblait que le combat n'était pas votre domaine..."

Mais la conversation s'arrêta là. Un gourdin venait d'apparaître, suivit de très prêt par l'orc hideux qui le tenait et qui n'avait pas trouvé de meilleure cible que la tête de l'Intendant.
Il ne dut la parade qu'à un réflexe furtif. La solide hache de mithril contra la massue et il suffit à Radamanthe de forcer un peu pour envoyer valdinguer le bras de son adversaire. Quelques instants plus tard, un nouveau coup à l'horizontal séparait la tête de son corps.

Mais son attention fut attirée par deux points qui se détachaient. Deux orcs fuyaient vers l'arrière. Il le pointa du doigt en beuglant :

"Attention ! Ils ne doivent pas franchir la colinne !"

Il espérait que quelqu'un soit assez rapide. Tout son approche reposait sur le fait que personne ne puisse donner l'alerte, et de profiter correctement du relief.

Un duop de griffe se scinda à l'appel de l'Intendant, comme si seul ses paroles avaient un pouvoir d'invocation divine sur leurs actes. Une entitée qu'ils se devaient de respectés.
Dans le lot, Radamathe pu distinguer Ronfleur qui lui fit un hochement de tête en guise de compréhension pour l'ordre donné.
Quelques instants plus tard, les fuyards n'étaient plus et rejoignaient le lit de mort de leurs confrères...

Les Griffes n'agissaient d'aucune manière particulière en combat.
Elle exellaient en embuscade et choix tactique, combattant généralement à deux contre un, contournant, encerlant, soutenant des alliés...
Ils étaient un soutien utile, mais n'égalaient pas forcément le courage et l'héroisme de certains soldats plus engagés dans le combat. " A chacun son domaine" semblait très correct pour décrire la scène.

"Vous avez raison mon seigneur, eut le temps de lui glisser Eaque. Mais mon frère m'a demandé de l'aide, je n pouvait le laisser. Même si j'ai horreur de la mort, j'ai reçu un entrainement de guerrier, et tuer les orcs est plus aisé psychologiquement que de tuer un homme, mais du Harad."

Puis Eaque recula. Il fit signe a son frère que tout allez pour le mieux, et il s'accroupi dans un fourré. Il banda sa main, puis regarda autour de lui. La belle nature était saccagée par ce combat. Il imagina cet endroit lorsque le Mordor n'existait pas. Une nature sauvage que les poèmes chantaient...

Puis il revint a la réalité. La guerre. Comme dans son rêve, tous tombaient, aussi bien les bons que les méchants. Un groupe de mercenaires tuaient sans problème, sans que rien ne retienne leur bras.

Eaque vit soudainement prés de lui le cadavre d'un homme, qu'un orc mordait a la figure...

Il eut envi de vomir, mais soudain, une douleur se fit dans son crane et tout devint noir...

Gebir fendait avec Gurthascar et fendait tout orc se présentant enchainant diverse faites et parades.
Dans sa main gauche, il tenait sa lance en l'air, l'étendart de Dol Amroth frappé par le vent.

La bataille tournait facilement en leur avantage.
Nullement, les orcs ne purent prendre l'avantage devant un bon nombre de soldats aguerris dont des mercenaires.

Soudain, le destrier de Gebir revint vers lui à l'appel de son maître.

Il se remit en selle et frappa d'une facilité stupéfiante vu la hauteur de ses ennemis.

Soudain, une fléche siffla en sa direction et Gebir de part sa position ne put guére l'éviter et celle ci vint frapper le chevalier argenté à la hauteur des vertébres.La fléche ne pénétra aucunement les mailles mais offrit simplement à son porteur une pointe de douleur.

Ajax à la main lourde et Ordile combattait côte à côte en ne laissant aucun ennemi s'interposser.

Tout deux faisaient partie des sept derniers chevaliers de Brethil car nombreuses batailles, ils avaient enduré.Mais leur fierté et leur désir de vengeance était bien plus grand que il ne semblait.


Les orcs se firent moins nombreux jusqu'à être exterminé : l'escarmouche s'achevait.

Gebir, Ajax et Ordile firent ce que tout soldat avaient l'habitude de faire : ils se devaient d'achever les ennemis et de réconforter les vivants.

Gebir s'approcha d'un soldat dont il avait entendu le nom et regarda se qu'il avait.
Il put voir un carreau à son côté et vit une belle bosse qui l'avait endormi.
Un renard se tenait à côté de lui, fidéle à son poste.[HRP je parle de toi Erko si tu me le permets HRP]

Sortant son outre d'une poche de son cheval, il lui déversa de l'eau fraiche sur la tête.

Alors soldat, on dors pendant son service. ironisat-il.
Reste assis, tu as reçu un bon choc. Je suis Gebir, chevalier de Dol Amroth et voici mes compagnons Ajax à la main lourde et Ordile. Et toi? Tu as un bel animal avec toi.

Gebir désigna le renard qui lui rappelait Trawn, le renard de son Prince.

L'Intendant balaya des yeux le champ de bataille. Il secoua la tête avec désolation. Bien que l'opération avait été un assez bon succès et qu'aucun orc n'était parvenu à en réchapper.
Mais il voyait bien que la petite troupe de créatures braillardes et sadiques, bien que surprise, avait réussi à faire du dégat dans les rangs gondoriens.
Par terre, il vit de nombreux cadavres de recrues, et il aperçut des blessés couchés au sol ou a genoux.
Il esquissa une grimace à la vue de ce spectacle. Ce n'étaient que des orcs désorganisés, et il savait pertinament qu'il y avait bien pire de possible que cela.

Mais il jeta un coup d'oeil à ses troupes. Des nouvelles recrues pour la plupart, des bleus sans aucune expérience qui venaient de vivre leu premier combat, et encore, tous n'y avaient pas participé.
Heureusement qu'il pouvait particulièrement compter sur certains vétérans. Et puis, même parmis les jeunots, certaines batailles créent des héros.

"Soit, nous prendrons une heure pour nous occuper des morts et des blessés. En attendant, il faut envoyer à nouveau quelqu'un en avant, et plus en avant."

Radamanthe se dirigea alors vers Ronfleur et ses compagnons des Griffes d'Ammoth, qui s'étaient déjà proposés pour venir en avant, et qui avait admirablement réagis lorsque leur discrétion avait été menacée.

"Il est peut-être temps que nous envoyions les plus discrets en avant, pour éviter d'autres combats. Pouvez-vous éclairer la route ?"

Eaquem retira un poignard du cadavre d'un orc...
Son premier combat venait de s'achever, et il en était ressortit indem.
"La chance sourit aux audacieux" se dit-il.

Il chercha dans l'armée désorganisé, son frère.
Il craignait qu'il n'est été bléssé, ou pire...
Eaquem le retrouva allongé, face contre terre, maculé de sang.
Il prit peur, craignant sa mort.

Non! il vivait...
Il le ranima rapidement, et le sortit de dessous le cadavre du cadavre d'un orc...

Gebir s'approcha vers le "bleu" et examina brévement le genre d'impact.

Il vit que ses deux compagnons étaient partis, l'un vers d'autres bléssés alors que le second avaient pris les rênes des trois chevaux et avaient attachés les chevaux à un hêtre.

Attention, il faut essayer de ne pas trop bouger tant qu'on n'a pas examiné le type de blessures.


Gebir défit les cordelettes au dos de la cotte de mailles et elle se défit, emportant avec elle ses épauliéres.Gebir regarda s'il n'était pas blessé mais ne put le voir mais il était sûr qu'il souffrirai quelque peu avec des bleus.

Tu est bléssé ou pas car je n'arrives pas à le voir?

Attend, je reviens je vais chercher des bandages pour soigner les autres qui ont reçu de grosses blessures.


Gebir revint vers Erko, portant dans sa main des bandages pour arreter d'eventuelles hémorachie.
Il vit passer devant lui des griffes qui partaient semblait il en éclaireur pour ne pas avoir une nouvelle fois une telle rencontre.

Post supprimé
Rad'

Spoiler:

Eaque avait un mal de tête incroyable.

"Et zut. Je ne pourrais faire un rapport sur la bataille..."

Et il se rappela tout ce qu'il avait fait. Il avait tuer, et n'en ressentait aucun désarroi. Tout était calme dans son cœur. Tout allez bien pour lui...

Il ramassa les tronçons de son épée, referma le bouchon de l'encre, et partagea un morceau de pain avec son frère.

Il eut soif. Son frère accepta d'aller lui chercher de l'eau.

Il regarda autour de lui. La bataille avait fait son lot de victime, mais l'armée paraissait paisible. Aucun ennemi n'avait du s'enfuir.

Il se leva et fit deux pas.

Il butta, et se raccrocha au bras d'un homme a coté.

L'intendant. Il ne faisait que des gaffes depuis qu'il travaillait pour ce-dernier...