A la recherche du Roi [Près d'Isengard]

-Quoi déjà ?

L'elfe faillit s'étouffer en entendant ces paroles.

-Les nains sont déjà là ? Oh par Illuvatar...Le Seigneur n'avait pas prévu cela...Et il nous a laissé seuls...Le lâche...

En effet, son maître, un elfe aux courts cheveux noirs, qui n'avait pas l'habitude de porter des parures et objets de prestige, qui restait tout à fait calme, et qui s'était fait remarqué secrètement en manipulant à distance Kulion Fourben, était parti.

Il semblait avoir laissé tomber ce plan, et les avoir laissé tombés aussi.

Khror était enchaîné, dans une charette spéciale, sous la surveillance d'un simple capitaine elfe, avec quelques lieutenants d'élites, de vrai champions, ainsi qu'une troupe d'élite, de deux centaines d'elfes.

Le chef était blond, aux longs cheveux, un être ayant tout le charisme d'un elfe, mais sans plus.

Et là, il aprenait que les troupes nains étaient déjà là.
Comment étaient-elles organisées ?


//Bon, ai l'impression qu'il va falloir accélérer, plus grand monde n'a l'air motivé là...Lianur, je sais pas si auras ton guide...peut-être vaut-il mieux finir ça d'abord ? En tout cas, ça commence à cafouiller ici...//

//Bon, puisque Elende est pas là... faudra faire avec!//

''Bon Dorin, pas besoin de te le demander, dit horgeon avec un sourrire caché, tant qu'il y a une bagarre tu est partant.''

Horgeon lui donna deux bonnes tapes dans le dos, avec son armure il ne pouvait que les entendres. Horgeon souffla sur ses doigts devenus mauve. D'un geste rassembleur, il fit venir les nains vers lui. Il les reforma rapidement. Après un regard désaprobateur d'Elende, Horgeon et sa centurie sortirent des broussailles avec un manque flagrant d'agilité. Un elfe blond qui apparement, était le chef de cette bande de renégats s'avança sur un rocher. La barbe du général frémit. Comme lui avait dit, il y a lontemp, son père: ''Crois toujours ta barbe mon garçon.'' Il se méfiat emmidiatement.
''Moindre mouvement suspect, tu sais ce que tu as à faire'' murmura Horgeon à Dorin, surtout à son arbalète.

Son bouclier gris et brun au couleur de Belegost le couvrait à moitié. Sa hache était pointé vers le chef.

''Libérez Krohr! Nous ne voulons point que du sang souille cette terre, mais vous nous poussez à bout! Êtes vous un colaborateur de Kulion?

Un petit sourrir de pitié se forma sur la bouche de l'elfe. Horgeon le sentait mal.

//À toi rad//

Mildir, capitaine elfe et responsable de l'enlèvement du Roi nain, se sentait mal. Son maître l'avait laissé tomber mais que faire alors ? Relacher Khror et réduire à néant les efforts déployés dans ce coup de génie, elever le roi dans son propre palais ? Ou alors continuer de se battre, en espérant que son maître revienne les assister. Il se souvint de ce lui avait le Seigneur.

Les nains sont de furieux combattants, suceptibles, déterminés, irrascibles et terriblement rancuniers. Mais surtout prompts à se battre, pas à la diplomatie, même sans raisons.

Alors il choisit. Les nains les massacreraient sûrement même s'ils libéraient Khror. Alors autant jouer le tout pour le tout.

D'une voix hésitante, il cria :

-Mort aux nains...Gloire aux elfes !!

A ce mot, tous les elfes, déjà tendus, bougèrent comme un seul homme. Et nonante archers bandèrent leurs arcs et tirèrent. Une pluie de flèches se déversa sur les nains tandis qu'une centaine de guerriers sortaient leurs lames elfiques et se tenaient prêts.

Sombre-chêne s'approcha à une centaine de mètres du combat, derrière un bosquet. Le combat était commencé. Il arrivait trop tard. Son regard se balada sur le camps des elfes. Une idée lui vint... Il allait devoir faire très attention. Mais si il réussissait... Il prenait des risques, peu-être inconsidérés, mais c'était la seule solution.
Il vit alors les nains s'approchant de plus en plus de leur roi. Il devait agir , le plus vite possible.

Sombre-chêne remonta sur Niphredil , puis la talonna. La jument partit dans un galop éffréné. Le ranger contourna le combat, évitant carreaux et flèches qui volaient autour de lui. Puis, il sauta à bas de sa monture alors que celle-ci continuaot à galoper. L'elfe, se faufilant parmis les quelques kidnappeur qui le prenaient pour l'un des leurs arriva près du roi nain. Ne faisant pas attention au nain qu'il reconnut comme étant Derïn, il s'adressa au roi:

Seigneur, je vous en supplie, ordonnez à vos hommes d'arrêter ce massacre. Ils vous obéiront à vous seul. Tout ce carnage est inutile. Je vous en supplie!

Le roi, assailli par toutes ces paroles, ne répondit d'abord pas. Le ranger reprit:

Voulez-vous que l'on se souvienne de vous comme le roi étant la cause de la mort de centaines de personnes, ou plutôt comme le roi indulgeant ayant accordé la vie à touts ces elfes alosr qu'ils l'avait enlevé? S'il vous plait, vos frères n'écouteront que vous!

Devant le silence de Thror, Sombre-chêne enchaîna:

Je ne suis qu'un ranger et peut-être n'ai-je pas l'autorité de vous parler. Mais les mêmes paroles seraient sorties de la bouches d'Elende ou de Mithrandir. S'il vous plaît...

Ces derniers mots s'étaient terminés dans un murmure.

Vas-y Rad'

Ah, toutes ces epsérances. Cela aurait été si facile. Un mot de la part des du Roi et les nains auraient peut-être cessé. Mais qu'en était-il des elfes ? Eux, cesseraient-ils le combat ?
Sûrement pasn surtout qu'une apparition surgit au dessus de la tête de tous. Pour les elfes en tout cas.
Cette image était-elle réelle ou issue de la tête de tous ?

En tout cas, les elfes l'entendirent dire, d'une voix profonde, calme mais forte, et une musique ancienne semblait l'accompagner.

"Frères...ne laissez pas notre plan échouer par de la distraction, ils sont en train de libérer Khror...Mes frères...le temps des elfes est passé, les hommes, ces fourbes et les nains, fruits de la jalousie, nous on volé ces terres qui nous reviennent de droit. Il est temps de les reprendre..."

L'image disparu dans un éclair lumineux. Il n'était pas présent, mais leur maître ne les avaient pas abandonnés. Et cela suffit à leur redonner confiance.

Soudain, devant Derin et Sombre-Chêne, surgit un champion elfe, un grand blond aux cheveux courts.

Il avait une armure de Mithril incrustée d'argent et portait deux lames elfiques, longues et mortelles. Cela avait l'air d'être un fin bretteur. Il attaqua immédiatement.

D'autres soldats continuaient de tirailler les nains.

Sombre-chêne se releva puis cria aux elfes:

Ecoutez! Ce n'est pas la peine de vous entretuer! Si les nains vous épargnent mais que vous continuez le combat, votre dernière chanca de survie aura disaprue!

Puis se retournant vers Thror:

Vous fêterez peu-être cette vivtoire chez vous sous la montagne pendant longtemps et cette bataille restera dans la mémoire de tous, mais quand est-il des autres peuples? Pour eux, ce combat sera toujours une preuve de l'inflexibilité des Nains , et leur amitié envers vous n'en sera que diminuée!

Puis le ranger se tourna et vit le combat qui se déroulait à sa droite. Les deux nains combattaient le champion elfe. Ce dernier ne comprenait toujours pas le jeu du ranger, le prenant pour l'un des leurs. Sombre-chêne devait profiter de det avantage le plus longtemps possible. Thror était resté impassible à ses questions tandis que Derïn, L'elfe s'en étonnait, ne l'avait toujours pas interrompu.

Je vous en supplie!

Sombre-chêne vit le commendant elfe tomber, puis entendit les paroles du nain, son ancien concurrant. C'est alors qu'un nain, le prenant pour un ennemi, le chargea avec sa hache. Le ranger se déplaça vivement derrière la mule derrière laquelle se trouvait Thror et dit d'une vois précipitée au nain:

Je ne suis pas là pour me battre. Il y a quelques jours, j'étais un arbitre de la compétition. Je ne souhaite combattre ni nain ni elfe. Je suis ici pour assayer d'éviter un carnage inévitable. Ecoutez-moi, votre combat est gagné d'avance, vous le savez. Pourquoi vous acharnez-vous? Laisez-leur une chance de se racheter! S'ils ne le désirent pas, ils seront punis comme il se doit.

Sur ces paroles, l'elfe s'était tourné vers le roi nain. Le guerrier répondit:

Nous n'avons aucune raison de leur pardonner! Vous devriez avoir honte de les protéger ainsi!

Ce qu'ils ont fait est certes lâche, mais comment réagirait à votre avis le Roi de Gondor face à un tel affront? Il jugerait avant de punir! Ne savez-vous donc pas qu'un tribunal existe? Mais sachez que devant si ils y parviennent, ils seront punis, vous pouvez en être sûr.

Mais à ce moment, un autre elfe fondit sur le nain, près à frapper. Ce dernier n'avait pas eu le temps de réagir et ce fut Sombre-chêne qui para le coup d'une de ses dagues.

Quant à toi, tu penses que ton maître ne va pas te laisser pourir? Mais n'es tu pas au courant de la manière dont il a traiter Kulion? Il l'a abandonné. Alors comment va-t-il réagir à votre avis pour vous, simples soldats?

Les paroles, bien que incertaines, avaient eu l'effet voulu. L'elfe et le nain devant Sombre-chêne étaient héstantes, incapable de savoir quelle était la réaction à adobter. Il ne manquait plus que l'avis du Roi nain.

Holà, z'êtes au courant qu'il y a un boss au dessus uniquement par des suppositions hein...

Néanmoins, l'elfe qui avait à peine rencontré le Seigneur, et pourtant conaissait ses discours, répondit :

_C'est qu'il ne s'est pas montré digne de sa confiance. Le monde n'est pas fait pour les faibles, mais il revient aux elfes de haute naissance. Les autres créatures seront éliminées, et ceux qui les supportent aussi !

Et il repoussa violemment Sombre-Chêne, avant d'enfoncer sa dague dans le bras de l'autre nain.

A coté, le champion affrontait toujours les deux puissants nains, le fils du général et le maître d'armes. D'un mouvement habile de ses deux lames, il envoya la masse d'Horgeam valser à deux mètres et le fit trébucher d'un coup de pied. Il tenait sa garde de sa main gauche tout en s'apprêtant à frapper de la droite. C'était maintenant à Derin de l'aider.

Très vite, Dorin fut en difficulté et tandis que les autres nains protégeaient leur lieutenant, il fut pris pour cible par un archer habile un peu plus loin.

L'elfe ricana. Le général. Il se jeta sur lui.

//Khror est inconscient//

Sombre-chêne soupira. Sa tentative avait échouée. N'y avait il plus d'espoir? Khror étant incoscient, il lui fallait trouver un argument de taille... Mais lequel? Si les deux mages avaient été là, cela aurait été plus simple. Mais ils étaient absents, et ne semblaient pas vouloirs venir por des causes inconnues à Sombre-chêne. Il devait essayer! D'un bond, il s'interposa entre le général nain et l'elfe. Il sortit ses dahues, prêt à recevoir les coups, mais n'attaqua pas. Il dit:

Pauvres fous, mais si Kulion était trop faible alors qu'il était commandant, qu'êtes vous, simples combattants? Même si vous réussisez à capturer le roi nain, les soldats ici présents ne sont qu'une infime partie de leur force. Et que deviendra cette force si elle est grossit par les armées humaines? Vous n'êtes que des pions destinés à la mort par ce chef qui a des ambitions encore plus grandes! Si vous vous rendez, vous pourrez vous racheter en nous aidant à démasquer cette personne, et à la punir. C'est votre dernière chance!

Le ranger attendit la réponse, prêt à toutes éventualitées.

Les paroles de Sombre-chêne n'avaient eu aucun effet. Devant lui, Horgeam allait être tué. Pour attirer l'attention du champion, il tira une flèche dans la cotte de maille en du champion elfe. Comme il l'avait pensé, la flèche ricocha sur l'armure du combattant.Ce dernier se retourna et vit le ranger. Ses yeux se plissèrent. Qui était cet elfe qui lui tirait une flèche en pleine poitrine? Sombre-chêne dit précipitemment:

Vous ne m'écoutez donc pas? Vous êtes condamnés à mort par votre chef, vous ne lui servez que d'appât. Vous devriez savoir qu'à la pêche, l'appât s'en sort rarement? Vous n'êtes qu'une pièce dans une partie beaucoup plus grande. Réveillez-vous!

Le champion ne répondit pas, il s'approcha doucement, oubliant momentanément Horgeam. Il mit la pointe de son épée sous la gorge du ranger et dit:

Qui es-tu?

Mon identité importe peu. C'est la raison pour laquelle je suis là qui est importante. Vous devez vous rendre à l'évidence : Quand tous vos amis seront morts, les nains viendront vous achevez, et tout bon combattant que vous êtes, vous ne pourrez leur résister.

C'est ce qu'on verra...

Et la pointe d'acier rafermit sa prise sur la gorge du ranger. Une perle de sang écarlate glissa sur son cou. Sombre-chêne gagnait du temps, Horgeam se levait péniblement. Une diversion : il fallait une diversion. S'il continuait à discuter, Horgeam viendrait par derrière et aurait l'avantage sur le champion. Sauf ci celui-ci était plus rapide. Dans ce cas Sombre-chêne entrerait en jeu. Cela le désolait de sortir ses rames, mais il n'avait plus le choix. Il pouvait aussi agir maintenant, faisant croire à l'elfe l'attaque de Horgeam. Que faire? Les deux solutions étaient dangereuses, mais dans la deuxième il ne mettait que sa vie en jeu. Il la choisit donc.

Vous savez, je ne suis qu'une personne sans importance dans ce monde, tandis que derrière vous se profile Horgeam, fils d'Horgeon.

Le champion sourit:

Je ne marche pas.

Comme vous voudrez, mais tant pis pour votre vie!

L'elfe hésita. Il tourna tout de même légèrement la tête tout en laissant sa lame sur la gorge du ranger. Sombre-chêne profita de cette brêve inattention pour écarter la lame du champion d'une dague et mis la deuxième sous sa gorge. Sombre-chêne n'avait pas menti:Horgeam s'approchait bien du champion, masse levée, prêt à frapper.

Hrp: je m'arrête là pour une réaction éventuelle du champion. J'ai contrôlée un peu Horgeam, mais je pense qu'il aurait réagi de cette façon...

Sombre-chêne ne savait que faire... Il dit à Derïn:

Permettez-moi d'emmener votre roi à l'abri du combat. Ou du moins laissez-moi assayer.

Encore une fois il avait échoué, il aurait aimé se servir du champion commeargument pour stopper les hostilitées, mais il n'y était pas arrivé. Devait-il abandonner? Il aisserai au moins de limiter les morts. Peut-être que si il arrivait à faire échapper le roi, les nains se calmeraient. Mais il n'en était pas du tout sûr. Ils étaient si rancuniers... Pourquoi Elende n'était-il pas là? Mithrandir avait bien spécifié qu'il le laissait régler cette affaire. Mais il n'était pas venu. Cette inaction fit penser le ranger à lui-même lorsqu'il n'avait pas décoché la flèche. Il se secoua et se remit dans le monde réel, bannisant les pensées inutiles. Il reprit:

Oui, laissez-moi porter à l'abri votre roi. Ensuite, je vous en prie, cessez le combat. S'ils ne se rendent compte de la disparition de Khror qu'à cette instant, peut-être perdront-ils courage?

Mais le ranger, lui, n'en avait presque plus.

Sombre-chêne hocha la tête, heureux de l'accord des nains. Il eu beau assayer de soulever le corps du roi, il n'y arriva pas. Il ne pouvait que le trainer, et il ne pourrait pas être discrête de cette manière. Regroupant ses efforts, il hissa, Khror sur la mûle. Il dit à cette dernière quelques paroles elfiques pour la calmer, même si elle était restée étonnemment stoïque face à touts les combats qui se déroulait autour d'elle. Sombre-chêne se rendit alors compte de sa chance:les nains semblaient le reconnaitre pour avoir juger et les elfes le prenaient pour l'un des leurs. Mais peux, heureusement, avaient entendu son entretien avec Horgeam. Mais avaient-ils vus son affrontement contre le champion? Le ranger espérait que ce n'était pas le cas. Il se trouvait à la périphérie du combat, "l'enlèvement" n'en serait que plus facile. Faisant appel à sa discrétion, il fit avançer la mûle. Il parvint ainsi jusqu'à un terrain sûr. C'est alors qu'il poussa un cri de douleur, puis se retourna. Devant lui se tenait un elfe au regard fier. Il était vêtu d'une armure resplendissante et tennait à la main une lonque lance. Il dit:

Tu croyais que tu étais passé inaperçu? Tu es un lâche. Fraterniser avec des nains! Comment as-tu osé faire cela? Tu fais honte à ta race. Tu n'a plus lieu d'être. Mais d'abord je vais tuer ce pseudo-roi. Mais ne t'impatiente pas, voilà un aperçu de ce que tu va subir.

Joignant l'acte à la parole, il enfonça sa lance dans l'épaule de Sombre-chêne. Ce-dernier aurait voulu hurler, mais il n'en avait plus la force. Il s'écroula. Le meurtrier s'avança vers Khror, oubliant le ranger. Alors qu'il s'apprêtait à enfocer sa lame dans le corps du nain, un hénissement retentit. Il tourna la tête et vit Niphredil galopant vers lui. Il se tourna vers cette adversaire imprévu, prêt à frapper. Mais il n'en eut pas l'occasion. Sombre-chêne entailla sa cuisse. Le rénégat se courba, et dit avec un regard meurtrier au ranger:

Je vais être obligé de te tuer en premier. Dommage...

Il leva son arme, mais Sombre-chêne coupa la lance d'un mouvement rapide de sa dague. Cependant cette dernière partit valser au loin, emportée par l'élan du ranger qui ne put contrôler ses gestes. Le rénégat prit la deuxième dague puis dit:

Te voilà désarmé, inoffensif. Tant mieux. je vais pouvoir repartir à mes affaires.

Pendant ce temps, Niphredil s'était rapprochée. Sombre-chêne la regarda d'un air suppliant, espérant au fond de lui qu'elle ne viendrait pas. Elle ne devait pas mourir. Apperemment elle comprit et s'arrêta, tapant du sabot.
Le meurtrier prit cette attitude pour de la peur et en rit. Il approcha la dague d'un Khror inconscient n'attendant que le moment opportun pour lui trancher la gorge.

Adieu, grand roi!

NON!

C'était le ranger qui avait prononcé ces paroles. Il prit le bout de la lance de l'elfe et la planta de toutes ses forces restantes dans son dos. Le rénégat tomba, mort.
Sombre-chêne se traina juqu'au nain. Puisant dans ses dernières forces, il le fit basculer de la mûle et le retint dans sa chute. Prenant sa gourde, il nettoya les blessure de Khror. Sombre-chêne enleva sa cape et la déchira pour bander les blessure du roi. Les dernières gouttes d'eau, il les versa dans sa gorge. Puis il remit le nain sur la mûle et le conduisit à l'abris d'un talus. Il avait réussi. Il avait été obligé de tuer l'elfe, bien que contre son gré, mais le roi nain était sauf.

-C'est pas juste,il sont plus beau de ton côté!!
Et en plus j'en ai que 60!!//Historique aussi ça!//

Idée!!!

[Mode Obélix :P] -Et si on prenait leur casque pour voir c'est qui qui en a chopé le plus?? [/mode Obélix]
-Non,ça va nous gêner...
-T'as raison...

Derïn ne voulait pas engager le combat face à un Elfe,s'il chargeait il se retrouverait seul de son côté,en effet il y avait moins de Nains de ce côté-ci du champ de bataille.
Un renégat elfe se rapprocha alors,il avait une vouge qu'il tenait avec ses deux mains.Il lança un coup rotatif qui faillit trancher la tête de Derïn,mais celui-ci s'abaissa juste à temps et évita le coup.
Profitant ensuite de l'élan de l'Elfe il le chargea en lui enfouçant son marteau dans le ventre,son adversaire avait maintenant le souffle coupé et peut-être bien une ou deux côtes cassées.Il fallait profiter de cette avantage,le Nain ne relâchait pas la pression,son ennemi ne devait pas se remettre d'aplomb.
Derïn voulu porter un coup d'estoc à l'Elfe mais malheureusement celui-ci l'esquiva étonnement.Le renégat profita de l'occasion pour tenter un coup de haut en bas,mais Derïn pivota et cassa la vouge d'un coup ferme de marteau.L'Elfe dégaina alors une épée courte,Derïn n'y fit pas attention et balaya le sol avec son marteau ce qui eut pour effet de faire chuter l'Elfe.
L'adversaire alors à terre,Derïn l'acheva d'un coup de dague dans la gorge.
Reculant alors,Derïn se rapprocha d'Horgeam afin de rester groupé.Mais des renforts nains arrivaient de se côté,le combat allait s'équilibrer...

Sombre-chêne ouvrit les yeux. Ce n'était pas fini. Il avait encore quelque chose à faire. Il se leva et, en titubant, monta sur Niphredil qui s'était penchée our aider l'elfe. Le ranger talonna légèrement sa monture qui partit au petit trot vers le combat. Sombre-chêne avait la tête baissée et sa tenue v'avaiat aucune élégance. Lorsqu'il arriva près de la bataille, il fit une action, peut-être inconsidérée, mais nécéssaire.

Nains, votre roi est sauf! Vous avez gagné!

Puis il s'écroula et tomba à bas du chaval. Il allait paut-être mourir, il l'ignorait. Peut-être était-ce la meilleur solution? Peu lui imorptait désormais. Il ferma les yeux.

Non il n'est pas mort.