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Sujet: [RP Resynchro]Une histoire s'achève, une autre commence
Daix

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Rechercher dans: Minas Tirith - Le Haut de la Cité   Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: [RP Resynchro]Une histoire s'achève, une autre commence    Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyMer 11 Juin 2014 - 16:31

La jeune femme se releva brusquement et sorti du lit avec précipitation dès que son affaire fut faite. Daix soupira et lâcha un juron en se redressant péniblement sur ses coudes, ruisselant de sueur animale. Il regarda la créature qui se dressait devant lui, totalement nue, à la recherche de ses habits. Petite, potelée, elle n'avait rien d'un canon de beauté aux yeux de l'assassin. Pourtant, ce n'était pas la première fois qu'il la visitait elle en particulier et ça ne serait pas la dernière.

-T'es pressée ou quoi ? Pourquoi j'ai toujours l'impression de me faire arnaquer avec toi ?


La prostituée, Leila de son prénom, un pseudonyme certainement, lui lança un regard noir en remettant péniblement sa robe au décolleté affolant. Cela faisait maintenant plusieurs semaines qu'elle acceptait encore de coucher avec Daix, là où toutes les autres avaient abandonné. Dans cette maison de passe peu commune, les prostituée pouvait refuser un client. Mais Leila, elle, prenait toujours son argent et faisait son affaire, malgré la froideur, la sécheresse et la mauvaise odeur de son amant. Si Daix n'était pas attiré par cette femme, ce n'était rien a côté du dégoût que lui provoquait chez elle. Ses cheveux gras et son sourire malsain le rebutait, lui donnait des frissons. Elle en avait même cauchemarder une fois. Mais ce qui l'énervait le plus chez l'assassin c'était son inaction. Sa flemmardise. Elle ne le voyait qu'autrement que comme une espèce de grosse limace, sans but précis dans la vie. Mais des hommes comme ça, elle en voyait des dizaines tous les jours. Les habitués des maisons de passes étaient rarement des hommes dynamiques. Pourtant, Daix n'était pas tout à fait qu'un homme de plus parmi tant d'autre. C'était l'homme avec qui elle couchait le plus souvent. Incapable de s'expliquer pourquoi, elle continuer à prendre son argent et ils leur arrivaient même de discuter. Rarement, certes mais ça leur arriver. S'ils ne s’aimaient pas beaucoup mutuellement, ils ne se détestaient pas pour autant... et surtout, chacun avaient dans un sens besoin de l'autre.Leila était une femme très seule, très triste. Sa vie, ce n'était que ce bordel ; pas miteux certes, mais un bordel restait un bordel. Sa vie n'était que sexe. Pas d'homme pour l'aimer, pas d'enfant à chérir, la tendresse ne faisait pas partie de son monde. L'amour non plus. Elle vivait et vivrait probablement jusqu'à la fin de ses jours dans cet endroit sordide et en avait conscience. Daix lui assurait un revenu régulier et une certaine protection. Elle était sa "putain préférée" comme il le disait si bien. Personne n'osait porter la main sur elle depuis qu'il avait émasculé un ivrogne frustré dans sa sexualité, qui s'en était prit à Leila. Quant à lui, le Loup n'était plus que l'ombre de lui-même. Il avait besoin de Leila pour exister et pour s'oublier dans les plaisirs charnelles. La jeune femme faisait très bien son office et ça lui suffisait. Depuis son retour à Minas Tirith, l'assassin s'était laissé allé sans même qu'il ne s'en rende compte. A peine arrivé, 5 mois auparavant, il s'était éclipsé sans un revoir pour ses anciens compagnons de route et avait tenté de retrouver sa vie d'assassin d'antan. Il s'aperçut vite que les blessures reçu à Veille-Tombe l'en empêchait. Une douleur lancinante à l'épaule et à la cuisse l'assaillait dès qu'il faisait un effort trop intense physiquement. Dans ces conditions, impossible de réaliser des contrats d'assassinat d'intéressant et il s'était contenter de contrat médiocre pour assassin médiocre. Son train de vie était devenu ennuyeux et c'est ainsi qu'il avait doucement sombrer dans l'alcool et le sexe. Par ennui ; il avait eu son moment de gloire, et le voilà coincé à Minas Tirith, sans argent, sans ami et sans talent. Cette situation précaire avait néanmoins eu un avantage : il ne sentait plus sombrer dans la folie. Il se sentait peu à peu moins animal, moins avide de sang. Plus raisonnable tout en étant totalement déraisonnable. Disons simplement qu'il n'avait plus jamais écraser le crâne de quiconque à coups de poings depuis ses aventures à Carrock. Seul point positif. Son inaction lui avait fait prendre du poids. Son corps autrefois sec et musclé était recouvert d'une légère couche de graisse qui atténuait ses réflexes, le rendant moins rapide. Il n'était plus l'Ombre. Daix passa sa main dans ses cheveux sales et longs. Il les laissait pousser maintenant, ce qui accentué le côté négligé de sa personne. Il se laissa retomber dans le lit poisseux en soupirant de dépit devant l'absence totale de réponse de sa partenaire. Cette dernière ouvrit avec une certaine violence la fenêtre, en espérant faire entrer un peu d'air frais. A défaut de fraîcheur, les bruits de la rue assourdissant leur parvinrent. Un monde fou qui faisait une cacophonie folle.


-C'est jour de fête aujourd'hui. Je ne veux pas rater ça, c'est pas tout les jours qu'il y a autant d'activité en ville,
annonça mélancoliquement Leila en se penchant a la fenêtre.

-Et qu'est-ce qu'une putain irait foutre là bas ?


Un nouveau regard noir, suivit d'un sourire sans joie. Elle aimait les piques de l'assassin, en sachant pertinemment qu'il avait raison. Mais son ton froid et ironique avait quelque chose d'assez comique pour un homme rabaissé que lui.

-Crache autant que tu veux, j'ai autre à chose que de perdre du temps avec toi.


Et avec un dernier sourire mutin, elle sorti de la pièce, laissant Daix nu sur le lit, une expression dépité peinte sur son visage. Il se leva en jurant contre les femmes du monde entier et décida de la suivre sans trop savoir pourquoi. De toute façon, il n'avait rien d'autre à faire. Il se rhabilla rapidement, glissant un petit poignard dans un étui caché sous sa manche et sorti en hâte du bâtiment, qui s'était vidé d'une partie de sa population. Dans la rue, il aperçut la robe blanche et miteuse de sa prostitué et courut pour la rattraper, ce qu'il fit assez facilement.  Il lui adressa un sourire qui n'avait rien de charmeur et ils marchèrent côte à côte sans un mot, suivant docilement la foule qui se dirigeait dans les hauts quartiers, là où avait lieu le mariage. A mesure que la foule s'épaississait, ils durent ralentir le pas, jusqu'à s'arrêter complètement. La foule était bien trop dense pour être franchit et les deux amants ne voyait rien de ce qui se passait à quelques mètres d'eux. Impossible également d'atteindre le buffet, plus loin. Rapidement, Daix se demanda ce qu'il pouvait bien foutre ici.

-Tu veux pas qu'on retourne perdre du temps autrement plutôt ?


Troisième regard noir. Il sourit et essaye de reporter son attention sur ce qu'il se passait devant dans  la tente du roi. Rien du tout. Il observa la foule et reconnu de loin quelque ancien de ses camarade Passeur avec lesquels il avait sauvé tout ces gens autour de lui. Ils s'en sortaient tous avec les honneurs. Mais on ne faisait pas d’honneur à un assassin. Daix s'était isolé lui-même de ses compagnons, à Minas Tirith, mais il en avait éprouver une frustration qui n'avait fait qu'accentuer son mal être depuis 6 mois. Cette frustration avait certainement contribué à ce qu'il était devenu maintenant. L'ombre de lui-même. Il se demandait franchement comment réagirait les Passeurs s'ils le revoyaient tel qu'il était à présent. Ils ne le reconnaîtraient probablement même pas. Une bourse attira son attention, juste devant lui. Pendante, tentante, à la ceinture d'un noble replet trop occupé à courtiser une jeune fille qui devait être deux fois plus jeune. Daix la subtilisa sans soucis et en profita pour glisser quelques pièces dans la main de Leila avec un sourire. L'homme n'avait rien remarquer. Il fallait être inconscient pour afficher tant de richesse dans un endroit aussi peuplé. Il avait certes perdu de sa superbe, mais subtiliser une simple bourse était toujours dans ses cordes. Sur ce, il s’apprêta à faire demi-tour.

-Tu ne souhaites pas assister à la fin du mariage ?
-J'ai déjà rentabilisé ma journée,
répondit-il avec un sourire en montrant la bourse.[/list]

#Daix
Sujet: Il y a une fin a toute chose
Erco Skaline

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Rechercher dans: Vieille-Tombe   Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: Il y a une fin a toute chose    Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyVen 14 Fév 2014 - 18:36
Erco etait a bout de force. Il sentait tous son corps crier, le supplier de sarreter de se reposer, dattendre avant de continuer. Juste faire une petite pause, juste dix minutes. Mais le chevalier sy refusait categoriquement. Toute son attention etait porte sur une seul action: marcher. Aller de lavant. Rien dautre ne comptait. Il alla jusqau ignorer lexcuse de Daix. Ce netait pas le moment. Nul excuse navait sa place en ce lieu et il ny avait aucune rancoeur en Erco car il devait bien se lavouer il y avait aussi penser a eteindre la torche. Daix avait au moins eut le courage de mettre son intuition en pratique. Bonne ou mauvaise, cetait passe. Ils vivaient et pouvaient continuer grace a lintervention de Gnow et Alarthor. Cadeau du ciel, Erco ne pouvait y croire que ces deux compagnons laisser en arriere les avaient quand meme suivie. Cetait cela de la fidelite et Erco sen sentait honorer.

Ils couraient q present droit devant et lantre de la bete sembla se terminer et une certaine lueur despoir les atteint tous lorsquils sortirent de la grotte dobsidienne. La fin dun cauchemard. Un de plus etait passe. Mais combien allait encore suivre? Ils navaient meme pas encore penetre dans le fin fond de lantre de lOrdre et ils etaient deja tous blesse et fatigue.  Leur avancee continue encore quelqaue metre et ils durent suivre la courbe du couloir qui se raccourcissait petit a petit jusqua donner sur une porte. Loreille dErco habituee a discerner les bruits de combat reconnu le crissement dune lame en heurtant une deuxieme. Ils touchaient donc au but et y arrivaient meme en retard. Lautre groupe avait donc ete plus rapide que eux. Il articula entre deux inspiration saccadee:

-Suivez moi et tuez tous enemis sopposant a vous. Le temps de la pitie est finie, nous allons au-devant de notre destin!!!! Force et honneur!

Le comte, Amdir bien encree dans sa main, poussa dun coup sec la porte avec son bouclier et penetra dans une sorte de balcon. Dabord surprit il faillit se stopper. Quest ce que cetait??? Il neut pas le temps de sinterroger plus. Le combat commençait deja et se retrouva face a plusieurs pies et lalarme fut donnee en quelques secondes. Erco entrevit rapidement la loge ou tronait lOrchal et sut que cetait son objectif. Il ne remarqua pas tous de suite mais apres setre rapprocher de plusieurs metres il comprit que cetait une femme... Il allait donc devoir prouver a Learman que son discour au debut de leur quete etait bien reelle. Erco allait tuer pour la premiere fois de sa vie une femme. Son coeur se crispa un peu et sentit sa tension monte dun cran Y arrivera-t-il?

Pas le temps dy penser plus car Learamn criait lui demandant de regarder en bas. Ce fut alors que Erco prit conscience de larene sous lui et quil apercut deux de ses meilleurs compagnons se battre a mort. Gallen allait abaisser son epee sur Sirion.

Dun geste rapide Erco lascera le visage de son adversaire le tuant sur le coup et cria dune voix forte et pleine despoir pour ceux den bas:

-Gallen!!! Ne fait pas ca!!!.... Je suis la!!!! Tous nest pas perdu!!!!

Et il dut seloigner de la rembarde pour eviter un coup depee et entama une contre attaque fulgurante. Il ajouta sadressant directement a Learamn:

-Tu vois cette escalier? Il doit descendre vers cette maudite arene. Vas y et libere les!!! Maintenant!!!!

Et deja Erco reprenait sa route vers lOrchal, il y etait presque. Il fendit encore deux adversaires avant de se trouver en position de commencer son duel final. Il lacha rageusement le regard emplie de toute la haine accumulee depuis le debut de sa lutte contre lOrdre:

-Enfin nous y voila!!! Etes-vous pret a vous confrontez a votre propre mort?


***

Simultanément a tous cela, Dalamyr dut prendre ses responsabilite. Il avait apres tous ete charge de gerer la securite de larene et des loges la surplombant. Il connaissait par coeur le dedale du repere de lOrdre et savait donc que ces ennemis venaient de la partie la plus improbable. Ils avaient donc echappe a la bete? Cetait incroyable personne ne sen sortait. Cetait le meilleur predateur que lassassin aie put voir. Sespis allait lui faire une montagne de reproche mais ce netait pas le temps pour cela. Il se contenta de dire en selencant vers lq loge de lOrchal:

-Je vais regler ce petit probleme moi meme!


Il il parcourut la distance en une fraction de seconde dans une silence complet. Il se retrouva vite face Erco et ses deux compagnons. Il lentendit parler et ne put que se dire que ce chevallier etait fou. Nul ne pouvait reellement tuer lOrchal, enfin lui oui savait comment. Il netait meme pas sence savoir cela, mais il detenait cette information a force decouter et dobserver. Tous se voyaient dans le langage du corps. Il sourit, mais celui-ci disparut bien vite en voyant Daix. Bien quil etait sur de ne pas connaitre vraiment cette personne, il y avait quelques choses de famillier dans ce visage. Des vieux souvenirs remontaient du temps ou il venait darriver a Minas Tirith. Il devait comprendre!!!

Il se precipita donc vers ce nouveau adversaire dont meme la facon de se mouvoir lui disait quelques choses. Il sut des la premiere passe darme quil faisait face a un homme semblable a lui. Un tueur!

Hrp desole pour le manque daccent, mais jecris sur un ordi de merdre disons le et jai pas le temp de chercher comment les faire Jespere aue cest lisible quand meme Hrp


#Erco #Skaline #Gallen #Mortensen #Sirion #Alarthor #Learamn #Amadeo #Daix #Dalamyr #Warin #Orchâl
Sujet: Un peu de folie est nécessaire pour faire un pas de plus
Erco Skaline

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Rechercher dans: Vieille-Tombe   Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: Un peu de folie est nécessaire pour faire un pas de plus    Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyMar 1 Oct 2013 - 18:50
La fuit se décida très vite. Tous étaient d'accord qu'ils n'allaient pas tenir toute la nuit et dés que l'occasion de présenta, ce fut chose faite. Les chariots furent abandonnés et le gros de la troupe se dirigea au galop vers la Veille-Tombe, le but ultime de leur voyage. Deux hommes restèrent pour tenir quelques temps les chariots... Erco admira leur courage et ne prononça aucun mot alors qu'il s'éloignait laissant à une mort certaine deux combattants plus que vaillant. Il n'avait rien à dire, et personne ne dit rien du reste. Le silence valait mille mot, la reconnaissance que tous avaient pour eux ne pouvait se contenir dans une phrase.

Le Comte lança un dernier regard derrière lui, vers ceux qu'il abandonnait. Il serait bien resté pour montrer à l'Ordre qu'il restait des hommes prés à se confronter à eux quelque soit la situation, mais il ne pouvait pas. Il devait finir sa mission et aussi, au final, donner un certain sens à leurs morts. Il devait réussir, pour eux, et pour tous ses compagnons tués, tous les hommes morts en luttant. Il le devait, c'était tous.

Alors qu'il chevauchait, il rattrapa le dénommé Daix et lui répondit enfin, criant presque pour que ses mots soit saisit:

-Je crois que vous vous trompez, toute les informations que vous auriez me serait utile!!! Je suis ici pour mettre un terme aux méfaits de l'Ordre...

Il murmura alors pour lui:

-Rien que ça.

Puis reparla d'une voix haute et forte:

-Et franchement, j'en ai marre de combattre en ayant aucune information, alors si vous savez des choses, dites les moi!!!

Il menait ses hommes depuis un bout de temps, et plus il se rapprochait du but, plus il se demandait comment anéantir un "règne" aussi puissant avec une douzaine d'hommes... C'était presque inimaginable. Il était peut-être le seul à y croire avec sa foi sans nom en la liberté de tous. Il devait être vraiment naïve pour avoir voué sa vie à une telle cause qui ne sera jamais hors de danger... Combat infini. Combat ou la seule porte de sortie est la mort.... Comme chaque voie, la mort se trouve au bout... Il rit presque devant ses pensées.

***

Veille-Tombe était devant eux. Enfin. Ils y étaient tous arrivés. A l'heure qu'il était, Rhodamir et Ivica devaient être mort. Erco en était sûr, comme toute la troupe... Mais personne n'en parla. Personne.  Alors qu'il s'approchait de la porte de la ville, Erco lâcha à Daix qui n'avait toujours pas dit grand chose:

-Si l'envie vous vient, de me parler. N'hésitez pas, ce sera bientôt le dernier moment pour me donner des informations.

Et il talonna son cheval pour se mettre à la hauteur de Hector qui se trouvait à la tête de la colonne. Il croisa son regard. Pas une émotion travers les yeux du mercenaire. Le rohirrim lâcha alors, toujours fixant l'autre:

-Vous... Vous savez je suppose qu'on est pas que là pour escorter un convois... On est là pour disons mettre un terme à des agissements d'un groupe de personne.... Faites nous entrer sans encombre moi et mes hommes et après nous nous débrouillerons seul... Vous avez déjà fait bien plus que ce qui était prévu... Mais en toute sincérité j'ai envie d'espérer votre aide... Mais ceci est votre choix.

Alors que le Comte d'Esgaroth parlait, la grande porte de la ville se rapprochait de plus en plus. Ils l'auraient atteinte dans quelques minutes. Tous ce qu'espérait Erco c'était que les cavaliers de l'Ordre débouleraient pas juste avant que lui et ses compagnons soient dans l'antre du loup en "sécurité" dans un dédale de ruelle.

Qu'allait-il se passer une fois dedans? Erco soupira en attendant la réponse d'Hector sachant très bien qu'il n'avait pas la moindre idée de ou trouver l'Ordre et de comment allait-il le détruire... Bien que au fond de lui, il craignait de devoir s'attaquer à un édifice fortifier telle qu'un palais... Non. Oui. Qui sait?

#Erco #Skaline #Eradan #Thorseld #Amadeo #Learamn #Gnow #Alarthor #Daix
Sujet: En avant vers l'inconnu
Erco Skaline

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Rechercher dans: Rhûn   Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: En avant vers l'inconnu    Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyJeu 6 Juin 2013 - 22:14
Voilà, le départ avait été donné très vite à Osgiliath dans une froideur digne du Grand Nord. Gros manteau sorti et les capuchons rabattus sur le visage qui était quasiment cachée avec l'ajout de grosse écharpe. Il ne fallait surtout pas tomber malade, ce qui signifierait une mort certaine vu leur destination. Y aller avec une pneumonie ou une grippe serait totalement suicidaire.  Tous ignorait, mais si Erco voyait le moindre signe de maladie chez l'un de ses hommes, il le renvoyait sur le champs en arrière et cela quelque soit l'endroit. Tous ses compagnons avaient été choisi pour leur fiabilité et une personne malade ne l'était plus... Simple et Erco aimait la simplicité tant qu'il le pouvait. Ce qui n'était clairement pas le cas ces derniers temps. Tous était à l'inverse, compliqué et fourbe. Rien n'était clair, et Saemon n'avait rien voulu dire de plus au Comte qui ne se trouvait pas beaucoup plus informé sur ce qui l'attendait. Il avait le rire mauvais depuis le départ d'Osgiliath, et ses cernes prouvaient qu'il ne dormait pas beaucoup. Il s'interrogeait sur son rôle à jouer dans toute l'histoire avec l'Ordre, et surtout sur celui qu'il allait jouer. La discussion avec son "ennemi juré" avait été plus que troublante et au lieu de lui trouer l'estomac, il s'était retrouvé à quasiment lui serrer la main.

Perdu, oui il l'était. Il l'était depuis longtemps se dit-il, il ne s'en était pas rendu compte et avait eut toujours la "chance" d'avoir des ordres clair et un but assez clairement tracé. Mais à présent il s'était retrouvé à devoir agir lui-même et prendre des décisions sur des moitiés, même des tiers, d'information fiable. C'était un peu comme si on lui disait qu'il y avait peut-être un soldat ou peut-être mille, mais qu'il verrait bien sur place. En y réfléchissant, il se rendit compte que c'était totalement ça.

Erco regarda ses hommes chevauché en silence autour de lui. Depuis deux jours qu'ils étaient partis, que très peu de mot avait été échangé encore les deux "groupes", et s'étaient fait dans des murmures comme si le fait de parler aller les tuer. Les hommes d'Hector ne causaient carrément pas, perdu dans le mutisme ils avançaient en tête connaissant le chemin. C'était bel et bien des professionnelles et le Comte Skaline se demandait s'ils le suivraient au Rhun s'il le leur demandait... Sans doute contre une grosse prime. Mercenaire un jour, mercenaire toujours... Son attention se porta sur Learamn qui n'était pas loin de lui. Le jeune homme n'avait guère pas plus que vingt-cinq, même moins pensa Erco, et il l'emmenait avec lui vers une destination que sera sans doute fatal à une bonne partie de l'équipe. Allait-il mourir? Erco préféra oublier cette question aussi vite de possible. Il n'avait pas à se poser cette question en tant que chef son rôle était de le mener au combat et de faire son possible pour qu'il rentre. "Le plus possible" devait rentrer, pas tous. En guerre zéro perte n'existait pas, il y en avait c'était la vie...

Il lança un sourire à Learamn qui le regardait à présent. Comme pour s'excuser d'être se qu'il était, d'être l'homme qui l'emmenait peut-être vers sa fin. D'être un peu un bourreau d'un jeune homme courageux qui avait foi en la liberté et au Rohan. Enfait, Erco pouvait lancer ce regard et ce sourie à tous ses jeunes compagnons. Il avait été comme eux un temps, des années même. Il avait rêvé de vivre une vie dangereux luttant contre le mal et aujourd'hui qu'il pouvait dire "Je l'ai vécu" il y rajoutait une fin de phrase " et je regrette toute ses vies gaspillées".

Le soir arrivait, amenant avec lui sa dose de froid encore plus mordant. Le convoi était traversé par une vague de fatigue que personne ne pouvait ignorer. Tous las de deux grosses journées de chevauchée. Hector lança alors, sa voix fit se taire les hommes d'Erco qui babillaient doucement entre eux:

-On s'arrête sous cette arbre.

Un soulagement se fit sentir chez tous le monde. Erco appella Eradan et lui dit:

-Arrives-tu à envoyer trois de tes hommes explorer les alentours et les sécuriser.


Il acquiesça, et aussi tôt dit aussi tôt fait.

L'arbre en question était à moitié mort, mais tenait encore assez debout pour que des toiles soient accrochée au tronc et tendu vers le sol. Une fois le convoi parquer à côté de la "tente", les hommes s'activèrent à y faire un petit feu pour au moins manger un repas chaud.

Gnow grommela à haute voix:

-J'en ai plein le cul de ce froid... Pourquoi cette connerie d'Ordre va se planquer ou il fait froid.... Le harad serait plus plaisant.

Erco de son côté s'assit à côté du feu et bourra sa pipe pour la première fois depuis quelques jours. Il proposa alors à l'ensemble des hommes présent si quelqu'un en voulait avec un large sourire changeant totalement d'état d'esprit avec la fin de chevauchée.

#Erco #Skaline #Gnow #Alarthor #Eradan #Learamn #Thorseld #Amadeo #Daix
Sujet: Une croisade vengeresse
Sirion Ibn Lahad

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Rechercher dans: Les Terres Sauvages   Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: Une croisade vengeresse    Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyVen 31 Mai 2013 - 21:20
Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! Montar11

Aux paroles de Daix, Montaron tourna le regard dans sa direction. Il hocha la tête et ordonna à trois des leurs de suivre le Passeur d'Etoiles en éclaireur.

"Eliminez les hommes qui seraient sur notre passage avant le campement. Une fois en position de tir, attendez mon signal."

Loup et ses trois comparses accélérèrent alors le rythme, prenant une certaine distance avec le reste du petit groupe, de plus en plus divisé. Les arbres se firent plus denses et bientôt, ils se retrouvèrent dans une forêt où il fallait faire attention où l'on posait les pieds.

Bientôt des sons arrivèrent à leurs oreilles. Ils étaient sur la bonne piste. Puis à travers les grands chênes, une lueur orangée dansant parmi les bois se montra enfin. Puis un craquement.

"P'tain obligés de faire la ronde pendant qu'ces cons s'amusent avec l'autre..."

Aussitôt les Masques se baissèrent, deux patrouilleurs progressaient devant eux à quelques pas seulement. Ils ne les avaient pas entendus et continuaient à marcher, râlant davantage contre leurs congénères que se concentrant sur leur garde.

"Et c'est moi qu'ai volé cette arme au Passeur en plus ! J'pourrai même pas me marrer avec !"

Leurs pas les rapprochaient toujours plus des éclaireurs de Montaron. L'un arma une flèche dans son arc, tandis qu'un autre croisa le regard de Daix. Ils allaient devoir agir avec rapidité, force mais aussi et surtout avec une grande discrétion.

#Daix #Montaron
Sujet: La fumée domine Carrock
Sirion Ibn Lahad

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Rechercher dans: Carrock   Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: La fumée domine Carrock    Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyMar 8 Jan 2013 - 23:34
Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! Montar10

"Ma foi, ça m'étonnerait que ce soit un Oreilles-pointues !"

La voix perçante de Montaron surgit devant Daix. Le mercenaire était assis sur un tas de cendres où il avait dû se trouver une habitation il y a encore quelques jours. Se relevant, il s'approcha du Passeur blessé tout en scrutant ce nouveau venu de bas en haut. Sans aucune arme visible sur lui, l'homme s'arrêta à trois pieds de Daix.

"Qu'est-ce qu'un pauvre voyageur comme toi vient faire ici par ce mauvais temps ?"

Montaron se gratta l'arrière de la tête, ce qui fit apparaître autour des deux hommes une dizaine d'archers pointant leurs armes en direction du nouveau venu. Les derniers nuages de fumée se faufilaient entre les humains tandis que le vent portait des hurlements de bêtes étranges comme si elles étaient toutes proches.

"Et bien en tout cas, t'as l'air d'en avoir pris plein la mouille hein ? Faut te soigner ton bras sinon tu seras manchot !"

Le ton sur lequel le mercenaire avait dit cela semblait léger, étrangement léger. Une lueur de folie luisait dans la prunelle de ses yeux et pourtant, il semblait extrêmement sérieux. Soudain un nouvel individu surgit de la brume incendiaire, le colosse mesurait au moins sept bons pieds de haut, surplombant tous les acteurs du lieu. Sa barbe bien fournie et sa hache dans le dos ne laissaient aucun doute : un Beornide.

"Qu'attends-tu pour le tuer ? Les derniers visiteurs ne t'ont pas suffit, petit chef ?" demanda le géant.
"Hihi, doucement mon ami... je ne crois pas que celui-ci soit une réelle menace... hein ? (puis parlant à Daix) Au fait, mon nom est Montaron, ce gros ventre-là c'est Snulf de Carrock et ces gentils tireurs sont mes acolytes !"

Un à un, les archers baissèrent leurs arcs, se rapprochant de la discussion, toujours en silence.

"Allez encore une question hihi... d'où viens-tu là au fait ?"

#Montaron #Daix
Sujet: [Affrontement Final] Bas les Masques...
Forlong

Réponses: 38
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Rechercher dans: Dol Guldur   Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: [Affrontement Final] Bas les Masques...    Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySam 10 Déc 2011 - 2:26
Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! Orchal12

La tête couronnée de l'Orchâl se tourna lentement en suivant la trajectoire du doigt du grand homme.

-Si notre...ami...était plus compétent et moins arrogant, il contrôlerait à présent son misérable morceau de pâturage, et participerait à cette réunion plutôt que de faire le guet. Les mortels sont tellement peu fiables. Même toi tu pourrirais encore dans les geôles du Gondor si la Couronne n'avait pas décidé de faire usage de tes services...

Le mépris se fit entendre dans la voix étrange du personnage encapuchonné, bien qu'il semblait avoir une opinion plus élevée sur son compagnon barbu que sur la plupart des humains.


Les paroles des deux hommes résonnèrent dans la salle et dans les oreilles des Passeurs dissimulés. Un moment de silence s'ensuivit...puis le personnage encapuchonné se leva lentement. La capuche se tourna vers le mur derrière lequel s'étaient cachés les aventuriers, comme si les pierres n'offraient aucun couvert.

-Venez donc nous rejoindre, plutôt que de vous cacher comme des rats...

Et les Passeurs n'eurent pas d'autre choix que d'obéir...peut être parce qu'ils ne pouvaient plus se dissimuler, et ils étaient trop fiers pour fuir. Ou peut être parce que la voix de l'Orchâl était très difficile à résister...


Lorsque les fils des Etoiles apparurent aux yeux des dirigeants de l'Ordre, la main de l'Orchâl, recouverte d'un gant noir, se referma sur un pilier en acier qui soutenait une torche. Il le souleva, comme s'il s'agissait d'un vulgaire bout de bois, et d'un coup puissant brisa la torche sur la table où se trouvait la carte.

Les Passeurs eurent tout juste le temps d'apercevoir un pion d'obsidienne noire posé sur un point de la carte annoté Pelar...les pions volèrent dans tous les sens et le parchemin prit feu alors que le bruit métallique de l'impact résonna dans leurs oreilles.

Le pilier qui supportait la torche était ainsi devenu une arme; un bâton d'acier long de presque deux mètres. A présent levé de son trône, l'Orchâl ne semblait pas si grand que ca, mais il n'éprouvait aucune difficulté à manipuler son arme de choix. Un halo d'obscurité semblait l'entourer, déformant sa silhouette, trompant les yeux attentifs des Passeurs.

La rapidité de l'individu encapuchonné fut tout aussi surprenante que sa force...il s'élança dans la direction des Passeurs, son arme marquant un long arc dans l'air, et atterrissant sur la poitrine de Cerf, qui vola en arrière sous la puissance de l'impact, le souffle coupé.

-Il est temps d'éteindre les Etoiles avec le Fer...


Le combat en haut de la Colline de la Sorcellerie venait de commencer...

HRP: Voici l'ordre d'écriture; contactez moi si vous avez des soucis avec ca:
Donc après mon post-1) Dwilidan 2) Tarkandil 3)Gallen 4) Daix si il est là mais bon voilà, 5)Etelion 6) Sirion 7) à nouveau moi. HRP

#Orchâl #Gallen #Sirion #Daix #Warin
Sujet: [Entrée Sud-Est] Il y a des Héros en Mal comme en Bien...
Gallen Mortensen

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Rechercher dans: Dol Guldur   Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: [Entrée Sud-Est] Il y a des Héros en Mal comme en Bien...    Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyMar 1 Nov 2011 - 20:06
Erco Skaline stoppait les vagues d'agents sombres, le comte n'arrivait plus à compter les ennemis abattus. Puis plus d'assaillants. Le silence. Mâtin se permit un long soupir. Il ressentit un début de lassitude. Ses yeux délavés tombèrent sur la lame de son épée ensanglantée. Il entendait dans son dos les cliquetis du duel entre l'elfe et Poulain. Au ralenti, il tourna son visage buriné vers la scène grotesque qui se jouait. Le rohirrim fut anéanti.Il s'élança vers le lieu du drame mais jamais il ne sera jamais aussi rapide.

-----------------------------------------------------------------------------------------------------

Gallen suait sang et eau. pourtant il avait usé de tout son talent, toute sa dextérité mais rien à faire. Kaya ne trouvait que le vide et chaque coup d'épée de Lammath mettait le passeur en danger.Chacune de ses passes d'armes devenaient des jeux d'enfants: Gallen se représente comme un petit enfant jouant avec une épée en bois avec son camarade . mais l'épée de sa Némesis n'est pas en bois, elle est sertie de joyaux mais surtout acérée comme un rasoir. La rapidité et la fluidité des gestes de l'elfe touchait au merveilleux. Si Gallen était le danseur de guerre, Lâmmath était l'artiste de l'épée. De nouveau, il fut acculé. Le rohirrim sentit le  mur froid de la citadelle maléfique.

Poulain était épuisé, la sueur brulait ses yeux.

La tête dans le coton et dodelinant , le maréchal écouta l'ultime sentence de l'elfe. mais le regard expérimenté du guerrier elfe aurait pu remarqué la main gauche du rohirrim. Poulain serra de toutes ses forces son arme blanche. Ce geste était en contradiction avec le visage soumis du passeur.

Les yeux cobalt du maréchal fixaient la pointe de l'épée avec lassitude. Puis en une seconde son regard changea , ils devinrent enflammés de nouveau.


La voix pâteuse mais déterminée de Gallen s'éleva


"Je vais te montrer ce que volonté veut dire"

Lâmmath eut pour la première fois un instant de surprise mais son geste d'une fluidité  superbe propulsa la pointe de son épée vers la gorge offerte du rohirrim.

Avec force , Gallen lança sa tête vers l'épée fulgurante mais il déplaça son cou légèrement vers la gorge. L'arme de l'elfe déchira le coté droit du cou de Gallen, mais la carotide n'était pas atteinte.Poulain essaya de ne pas s'évanouir sous l'effet de la douleur  . Puis son arme gauche se leva avec rapidité. Le rohirrim accompagna son geste d'un hurlement se souffrance. L'elfe comprit la manœuvre mais un instant trop tard et Lâmmath perdit du temps précieux à retirer son rame du cou de son adversaire.

La main gauche s'engouffra avec force dans l'aine droite de l'elfe. Immédiatement un flot de sang rubicond jaillit. L'elfe sans un mot s'effondra comme un château de cartes.mais Gallen ne le vit pas, il s'était effondré lui aussi, un flot de sang noir coulait dorénavant de son cou.

Erco arriva près de son compagnon. Avec célérité , il mit un morceau de sa manche sur la gorge de Poulain. Puis il le mit sur ses robustes épaules. Il mit un coup de pied rapide dans le corps flasque de l'elfe.

Puis Mâtin repartit vers la sortie de la citadelle maléfique. Il sauvait à nouveau Gallen

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Fennec et lièvre firent un geste rapide à Loup. Fennec compta jusqu'à cinq et les trois passeurs s'engouffrèrent dans la pièce. Juste à cet instant, le cri de Gallen déchira la citadelle. Les trois passeurs en professionnels avertis en profitèrent. Fennec chargea avec fureur, Lièvre le couvrait de ses traits précis.Loup traversa avec rapidité la pièce il en profita pour occire deux agents sans réduire sa vitesse. Le jeune assassin fonçait dans les couloirs, son souffle maitrisé, il s'élança vers un escalier, il les grimpa avec agilité et aperçut deux silhouettes accroupis au fond du couloir.Qui était ce??

Ennemis ou amis ??

#Lammâth #Gallen #Mortensen #Daix #Erco #Skaline
Sujet: Les étoiles au firmament de Dol Guldur
Daix

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Rechercher dans: Dol Guldur   Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: Les étoiles au firmament de Dol Guldur    Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySam 30 Avr 2011 - 17:49
Un nouvel éclair zébra le ciel. Daix détestait les éclairs. Il détestait cette lumière, traître et agressive, révélatrice des noirs secret de la forêt, des secrets qui mériteraient de rester secrets. Ce genre de chose qui paraissent moins inquiétantes quand on ne les voit pas. Et ce bruit. Ce bruit, bon dieu ! L'assassin ne pouvait le supporter. Lourd et dur, la montagne s'écroulant sur lui, ce claquement sec, craquelant le ciel, fouettant ses oreilles et son corps, faisant remonté son coeur dans sa gorge. D'une certaine manière, ce bruit l'indisposait plus que le risque ridiculement faible de se faire foudroyer. C'était une hantise. Un regard froid vers le ciel a chaque coup de tonnerre. Un juron étouffé, et un visage rougis de honte. La peur que quelqu'un s'en rendent compte, le voient, le sentent.

La honte. Cette honte d'avoir peur, mais aussi la honte continuelle qui l'accablait depuis qu'il était Passeur, depuis qu'il fréquentait ces gens, ces guerriers, gens loyaux et puissants, sachant se battre. Cette honte, qu'il vivait, qu'il sentait, cette honte, autour de lui, comme une mauvaise odeur, s'attachant a lui, flottant, nauséabonde. Cette honte d'être aussi lâche, aussi vil, d'avoir cet esprit si torturé, si mauvais. Cette honte de ce cœur noir, dans lesquels les seules sources de puretés étaient celles qui créaient cette honte. Les Passeurs. Elle. Cette honte, oh oui, cette honte d'avoir tant tué pour... Pour se venger, juste par envie, par besoin, parce qu'il devait tuer pour oublier, pour l'oublier, les oublier. Cette honte d'avoir été si seul, un fantôme, insaisissable, torturant les vivants et lui même, cette honte d'avoir été la mort. Cette honte.

Daix avait rabattu sa capuche, laissé de cette pluie lui donnant ce mal de tête. Ou peut être était-ce dû au bruit. Ce tonnerre ! Sous sa capuche, celle qui avait été si fidèle depuis tout ce temps, il se sentait réellement en sécurité. Sentiment accentué quand il se dit que cela serait peut être pour la dernière fois qu'il le serait. La sécurité. Ah ah. Plus jamais, jamais, il ne le serait. Pas avec la mission en perspective, pas avec ce qui allait se dérouler. La plupart des Passeurs, nouveaux venus ou pas, avaient fait de même. L'assassin les avait rapidement observer, mais déprimé par les éclairs répétés, s'était isolé, à quelque mètre du camp, juste pour quelque instant. Penser.

Lenay. Il l'avait laissé a Minas Thirit. La reverrait-il jamais ? Surement pas. Tout le monde avait si pessimistes. C'était comme si chacun savaient ce qui allait se dérouler. Comme si tout le monde était certain d'y passer. L'assassin pensa a Vipère. Lui s'en sortirait surement, mais a quel prix ? Peut être que lui aussi était submergé par la honte, celle de ne pas pouvoirs aller au combat. Comment réagirait-il si il ne voyait personne revenir ? Loup, lui, s'en voudrait personnellement . Une honte de plus, au temps se donner la mort. Les pensées de l'assassin s'orientèrent vers Chôbag, enfin mort. Aucune satisfaction. Rien. Une leçon de plus. Il avait passé la moitié de sa vie à le traquer, à ne faire que ça, à ne rêver que de ça. Mais rien. Un vide, c'était tout. Et encore une honte, celle de s'être fait aveugler par la vengeance, une vengeance qui avait comme véritable raison sa seule soif de sang et de but.

Il tourna la tête vers le camp. Maintenant il en avait un. Toutes les personnes réunies ici, c'était son nouveau but, ses nouveaux compagnons, une manière d'effacé sa honte. Devenir un héros, peut être, quelqu'un. Pourquoi pas un ami. Il se redirigea vers le camp. Ils s'étaient tous isolés un peu, maintenant, ils devaient se reposer, mais dans quelque minute, les discussions devraient reprendre, tous devraient se préparé, tout devrait être prêt, la réussite passant sur la plus grande des organisations. Mais pour l'instant, le temps n'était pas à ça. Loup se plaça à côté d'une silhouette, grande et fort, qu'il identifia comme étant l'homme du Rohan. Non, le temps n'était pas encore en ça.

- Vous pensez qu'on y arrivera ?

Les premiers mots que Daix prononçait depuis le départ furent précédés d'un violent coup de tonnerre qui fit frissonner le Loup. Ce coup qui sonnait comme un triste réponse négative, un sombre signes.

- Je hais les orages.

#Daix
Sujet: Une bien lourde cargaison...
Daix

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Rechercher dans: La Maison des Compagnons   Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: Une bien lourde cargaison...    Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyJeu 20 Jan 2011 - 23:01
Accompagné de l'homme du désert, Daix avançait assez difficilement  dans la rue. La foule était revenue, transporter l'acier ne sera pas chose aisé. Ils venaient tous juste de sortir de la bâtisse. L'assassin n'avait plus dit mot après avoir la parole. Il estimait que ses capacités en décorateur d'intérieur et en rénovation étaient assez médiocre, il avait donc laissé les deux autres proposer leurs idées, qui lui paraissaient plutôt bonne. Il avait néanmoins peur que la loge devienne un endroit trop coloré et trop chaleureux : il n'y trouverait jamais sa place ainsi. Les deux Passeurs arrivèrent dans un endroit calme, à quelque pas de la maison du forgeron qui, Daix le savait bien, vendait aussi de la matière première.

- Bon. Nous y sommes. Je connais le forgeron, mais je suis pas tout à fait sur qu'il sera ravi de me revoir. Disons que nous ne nous sommes pas quittés en très bon terme tout les deux. Il ne faut donc pas nous attendre à être bien accueillis, ni à avoir un prix. Néanmoins, il pourra peut être faire en sorte d'oublier que nous avons acheter tout cet acier : Il est très malin et se doutera que je prépare quelque chose. Il sait que je ne laisse rien au hasard et ne fait aucun geste inutile. Aussi, évitons tout mot déplacé ou humour malvenu. Ça serait vraiment regrettable d'avoir besoin de lui coupé la..

Daix n'eut pas le temps de terminé sa phrase qu'il fut légèrement bousculé par quelqu'un qui avait l'air assez pressé. Après une série d'insultes en tous genres, ils décidèrent enfin de rentrer dans la forge du maître. L'endroit était chaud et l'atmosphère lourde. Daix n'y était pas vraiment à son aise. Être entouré de haches et d'épées de toutes tailles n'était pas particulièrement le bonheur auquel il aspirait. Ici, tout sentait la sueur et le travail acharné, les lames semblaient encore rougies du feu qui les avait forgées et la poussière s'accumulait dans les coins. Un endroit parfait pour un type tel que celui qui se présentait derrière un comptoirs noir et miteux.

- Hé, Ça fait longtemps mon vieux ! Comment va ton gros bid...

- Ferme-là Daix. Qu'est-ce que tu viens foutre ici après tout ce temps ?!

- Ne soit pas vulgaire mon gros, sinon j'fais en sorte de te faire perdre quelques kilos en trop.

Le forgeron grogna. Daix le titillait, il ne pouvait s'en empêcher à vrai dire. De toute façon, le temps que le gros bonhomme l'atteigne pour le frapper, l'assassin aurait le temps de faire le tour de minas thirit en distribuant des fraises à tout le monde. De plus, avec la somme qu'il avait a l'intérieure de la bourse, il ne pourrait rien lui refuser. Il savait qu'il pourrait lui vendre de l'acier, même si il ce n'était pas indiqué officiellement. Le problème, c'était le prix qu'il allait mettre dessus.

- Il me faudrait de l'acier. Pas mal d'acier, tu comprends. Et ne cherchent même pas a comprendre pourquoi, je connais ce regard-là. De toute façon, tu le sauras pas, et tu n'as pas besoin de le savoir. Sauf si tu veux connaitre une mort prématurée. Ce que je serais ravi de t'offrir, crois-moi.

- De l'acier... mais...

Loup l'interrompit d'un geste : il posa la bourse pleine de pièce d'or sur le comptoir, plantant ses yeux dans ceux de son interlocuteur. Un regard gris d'acier, dur et froid qui fit vaciller ce dernier, comme si il avait peur. Ahah, c'était tellement stupide ! Pourquoi diable pourraient-on avoir peur de Daix ?

- De l'acier, mon gros, et dépêche toi...

Le tas fit deux pas en arrière et partit un instant dans l'arrière-forge. Sa voix grasse et fade s'éleva alors derrière le vacarme de la rue tandis qu'un autre homme habillé de noir entrait dans la forge.

- Et comment vous allez transporter tout ça, toi et ta copine ?

- Allons, fait preuve d'imagination ! On a des bras tu sais, et ils ne sont pas plein de graisses comme les tiens. Et grouille toi, il y a un autre pigeon qui t'attend.



Deux minutes plus tard, les deux Passeurs sortaient de la forge suffocante, les bras plein d'aciers qui pesaient extrêmement lourds. Ils avaient finalement décidé de faire deux voyages, même si cela n'enchantai pas Daix de revenir voir son... "ami" dans son antre de malheur, même pour prendre un simple chargement. En tout, ils n'avaient pas put obtenir beaucoup d'acier, mais cela suffirait sans doute pour la maison ; et cela suffisait largement pour leurs bras meurtris.

#Daix
Sujet: Loge des Passeurs d'Etoiles
Daix

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Rechercher dans: Les Ruelles du Premier Cercle   Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: Loge des Passeurs d'Etoiles    Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyMar 18 Jan 2011 - 17:47
Daix écouta Tell  faire la liste des choses à faire ou a se procurer après avoir fait le tour de la maison. L'assassin n'y avait mis les pieds qu'à moitié et si peu de temps qu'il fut étonné de voir qu'elle était beaucoup plus grand que ce dont elle laissait paraître. Les travaux n'en seront que plus imposant. Mais cela ressemble plus à un demi-repos pour Daix : faire une activité calme et non violente après tant d'année plongé jusqu'au cou dans le crime. Il n'y était peut être pas encore sortit complétement, mais c'était en bonne voie, bien qu'il ne savait si cela lui plaisait ou non. Rénover la maison lui apparaissait donc comme une tâche secondaire, mais pas embêtante. Peut être cela allait-il nouer les liens entre les Passeurs de Minas Thirit ? Les Passeurs de Minas Thirit... Loup se demandait encore comme il allait se comportait en présence de noble et de personne qu'il pensait hautaine comme il allait surement en voir. D'après Etelion, cette loge pourrait accueillir beaucoup de gens appartement a cette catégorie. Néanmoins, ils n'étaient pas encore là, et Daix avait des préoccupation un peu plus importante. Comme réparer les volets, par exemple.

- Je pourrais me procurer de l'acier, mais je ne pourrais le transporter seul. Nous aurons besoin de beaucoup de matériau pour renforcer ces sorties. A mes yeux, c'est le plus important. J'irais également vérifier si il y a une porte arrière donnant sur la ruelle secondaire situé derrière les maisons, pour les serviteurs. Elle peut toujours être pratique. Un de vous devrait venir avec moi pour cet acier, les autres pourront chercher le tissus pour le canapé et les lits. Un lit sans draps, c'pas vraiment pratique hein ? Pour la décoration, je ne m'en chargerais pas. La seule maison que j'ai décoré n'a plus jamais servit et les murs ont pris une teinte étrangement rougeoyante. Les propriétaire n'ont pas du survivre a la beauté de l'œuvre, sans doute...

Daix se tut. Il connaissait un bon coin pas loin d'ici où l'on pouvait se procurer des matières premières. Le patron était un ami.... enfin, un ancien ami de l'assassin. Cela faisait longtemps qu'il n'avait plus d'ami, à vrai dire.

** Désolé c'est court, mais j'ai pas trop le temps, et désolé pour les temps de réponse et les ralentissement qui sont mes fautes :s **

#Daix #Etelion
Sujet: Loge des Passeurs d'Etoiles
Etelion

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Rechercher dans: Les Ruelles du Premier Cercle   Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: Loge des Passeurs d'Etoiles    Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyDim 16 Jan 2011 - 20:23
Pigeon, Tell de son vrai nom, menait la petite compagnie formée par les nouveaux Passeurs d'Étoiles: Daix le Loup, Hirzigan la vipère, et Tarkandil la colombe. Les deux-derniers venaient d'entrer dans la Loge de Minas Tirith, la seule Loge du Gondor, alors que le premier les précédait de plusieurs heures. Tous les quatre avaient pris la direction du batiment accueillant la Loge en question. Seuls Daix et Tell connaissaient l'emplacement de la bâtisse, laquelle était inhabitée depuis longtemps et venait seulement d'être rachetée par Etelion au dernier propriétaire connu.

Celui-ci était le fils unique de deux nobles originaires d'une région au nord des terres du royaume du Gondor. Etant tout deux décédés, l'homme d'une vingtaine d'années eut un héritage conséquent, dont faisait partie une grande parcelle de terre dans la région de ses parents - où il s'installa -  et la maison grisée par le temps dans la cité blanche. Le trouver ne fut pas chose facile, mais le résultat était là. La maison avait été acquise dans les règles.

Une sombre bâtisse, haute de deux étages, et très peu fenêtrée. La grande porte donnant sur la rue était à double battant et visiblement extrêmement lourde. Tell, une fois devant, l'ouvrit. Elle n'était pas fermée à clef, la verrou était usé et ne fonctionnait plus. Il faudrait y remédier rapidement, ainsi que renforcer les montants de la porte par des plaques de métal. A vrai dire, il y avait beaucoup de choses à faire, à refaire, ou à défaire. Pigeon fit un tour de la maison, l'inspectant rapidement, puis invita ses compagnons à entrer et leur fit faire la visite. A certains moments, il leur parlait des projets qu'avait Etelion pour la Loge, et accueillait leurs avis. Une fois la visite terminée, Tell laissa les trois Passeurs vadrouiller à leur guise dans le bâtiment, puis les rassembla dans le hall d'entrée.

Là, il leur dit ce dont ils auraient besoin pour rénover l'endroit: de l'acier pour renforcer les différentes sorties, du tissu et du bois pour remettre à neuf les meubles, et des objets plutôt de l'ordre du confort. Tous les quatre étaient en train de discuter sur ce que chacun ferait.
#Tell #Daix #Tarkandil #Hirzigan
Sujet: Fuir, courir, s'échapper.
Daix

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Rechercher dans: Minas Tirith - Le Bas de la Cité   Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: Fuir, courir, s'échapper.    Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySam 26 Sep 2009 - 20:53
Cinq ans qu'il moississait dans cette cellule miteuse. Cinq ans. Cinq ans qu'il dormait sur un lit dur, petit et incomodant. Cinq ans. Cinq ans qu'il avait passé en compagnie d'un être. D'un homme. Mystérieux, et identique. Jumeux. Assassin. Leur age était peut être différent, mais ils avaient le même mental, le même esprit, les mêmes caractéres. Peut être même les mêmes raisons de se retrouver enfermé. Daix n'avait pas posé la question. Daix. Il n'avait pas changé. Son esprit était toujours aussi dérangé. Tout comme celui de l'homme. Ce dernier s'apellait Die. Drôle de nom. Drôle de personne également. Cet homme était un mystére. Un mystére qu'on ne peut déchiffrer, un mystére condamné à le rester.

Die était vieux, au moins cinquante ans. Mais l'age ne l'avait pas rendu plus sage, bien que pour Daix, les paroles de ce "vieillard" étaient profonde. Sans ironie. Peut être était-ce la cas ? Là n'est pas la question de toutes maniéres. Après cinq ans passé, Daix n'en savait que très peu sur cet Die, mais cela n'avait pas empécher un lien fort, ou au moins unique, de se créer, et puis, ils avaient tous deux le même objectifs: tuer Chobag

***


- J'en ai ras le bol de moissir dans ce trou a rat...

Die regardait Daix pester, comme tout les jours. Il souriait. Cela faisait beaucoup plus longtemp qu'il était enfermer, et il avait perdu espoir d'en sortir un jour, mais il se souvenait avoir était comme ça, a son arrivé ici : échafaudé jour et nuit des plans fou, pester contre le monde pour finalement se laisser tombé dans son lit puant.

- Il y a obligatoirement un moyen de sortir d'ici !

- Tu réves petit !

- Arréte de m'appeller comme ça !


Daix observa la porte de la prison, comme il le faisait tout les jours, comme si la solution était inscrite sur celle-ci. Elle était résistante, impossible a démonter, a casser ou a enfoncer. Les gardes leur donnait a manger par une petite trappe inscrutée dans la porte. Il n'y avait pas de fenêtre. Pas de lumiére. Pourtant il y avait ce courant d'air, qui le narguait. Dès la premiére semaine où il était arrivé, il l'avait sentit, s'engoufrant dans ses vêtements. Pourtant il n'y avait pas de fenêtre... L'assassin recula de quelque pas, et tourna le dos a la porte et a Die qui le regardait avec un regard amusé.

Le courant d'air froid partait obligatoirement d'un endroit. Daix s'acroupit. Il sentait le vent frais caresser sa joue, la morsure intense du froid le fit frissonner. Il se concentra sur ce vent, cette morsure, cet espoir. " Il vient obligatoirement de quelque part"... Après quelque minute de reflexion intense, de trense , il sentit quelque chose de bizard. Il sentait le froid sur sa joue, oui il sentait le vent caressait sa joue... sa joue droite. Il ferma les yeux, essayant de creusé l'idée. Quest-qui se trouvait a sa droite ? Son lit. Il se leva, rouvrit les yeux et se dirigea vers son lit qu'il entrepit de soulever.

- Die, viens m'aider, c'est lourd...

- Quesque tu fais ?

Die s'avança vers Daix, et sans se poser plus de question de question, il l'aida à soulever le lit...

#Daix
Sujet: Infiltrer Warin [Passé]
Daix

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Rechercher dans: Minas Tirith - Le Centre de la Cité   Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: Infiltrer Warin [Passé]    Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyLun 17 Aoû 2009 - 12:59
A peine sortit du palais, Daix commença a réfléchir au moyen le plus efficace pour infiltrer la demeure de Warin. Après quelques recomandation du vieux fou, l'assassin avait conclut que le plus simple serait de se rendre sur place dans l'instant et de commencer par un tour du propriétaire. Une reconnaissance de terrain. Il aimait bien cela. Il avait appris que la demeure de Warin se trouvait au centre de la cité. Bien. Avec un peu de chance, sa demeure sera collé a un autre batiment. Après, Daix trouverai bien un moyen de monter sur ce batiment et de pouvoir s'infiltrer par le toit.

Sinon l'assassin se demandait également si les domestiques entraient et sortaient par une autre entrée, qui ne serait pas relié a la grande rue. Cela faciliterai grandement la tache, de plus, Daix savait - pour avoir du s'infiltrer a plusieur reprise chez des grand noble pour accomplir son devoir - que c'était souvent le cas : on ne voulait pas qu'on voit les domestiques, qui était souvent de pauvre personne, entrer chez lui, ou en sortir.

***



Trouver la demeure de Warin ne pris pas beaucoup de temps a Daix : C'était une des seule a être gardée par des soldats au garde à vous. La bâtisse était assez imposante et, comme l'espérait l'assassin, elle était entouré de deux autres batiments, beaucoup plus miteux et plus petits, eux mêmes collées a d'autre bâtiment ect... Une longue chaine d'habitat facilement escaladable et offrant un moyen très pratique d'aller d'un endroit a un autre sans être vu.

Tout en mettant sa capuche, il fit marche en essayant de trouver un endroit ou grimper a l'abris des regards. Il le trouva, une centaine de mètre plus loin : Un cul de sac sombre et des murs offrant de très bonne prise. Il aimait escalader - et il le faisait bien - : il atteignit le toît en une petite minute.

Une fois sur le toît, il repéra tout de suite la demeure de Warin. Mais il ne se dirigea pas vers elle. Il s'avança jusqu'au bord de la toiture oposé a la grande rue. Un sourire de satisfaction illumina son visage. Une petite ruelle a peine éclairée était là, a une dizaine de métre sous lui. La ruelle qu'emprunté les domestiques. Daix s'assit au bord du toît, près a bondir sur un des serviteur pour le dépouiller de son uniforme. Malheuresement, ils se rendit vite compte que personne de passerait par là avant un bon moment. Pas grave... Il sauta de son perchoir et attérit lourdement sur le sol cabossé. Un saut de dix métres. Il aurait put se péter la cheville. Il n'eut qu'une petite douleur qui passa vite. Depuis le temps, il avait appris comment se ramasser sans se faire trop de mal. Il se rendit compte aujourd'hui que cela aura été essentiel : Comment aurai-il continué avec un os cassé ? Il ne le savait pas, et ne voulait pas le savoir. Il continua sa route vers Warin.

***

Enfin, il se tenait devant la petite porte. La porte des domestiques. Il était sur d'être chez Warin : Il reconnaissait vaguement les moulure et le mabre taillé gracieusement qui se trouvait aussi a l'avant. Mais, un doute horrible lui vint a l'esprit alors qu'il s'apprétait à ouvrir la porte : Qui lui disait qu'il n'y avait pas de garde derrière celle-ci ? Après quelque minutes d'hésitation, il se dit :

" Qui en tente rien, n'a rien... allons-y."

Sa main légerement tremblante, il ouvrit la porte - non fermé, surement a cause de fait que Warin ne pensait pas que quelqu'un connaissait cette entrée -, des perles froide coulant sur front.

#Daix #Warin
Sujet: Rencontre avec la Tête. [Passé]
Daix

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Rechercher dans: Le Palais   Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: Rencontre avec la Tête. [Passé]    Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyLun 13 Juil 2009 - 13:12
Quand Nârwel mit fin a sa conversation avec le capitaine, Daix fut pris d'un doute. Qu'abviendrait-il de lui ? Nârwel savait surement que c'était un assassin a présent. Allait-il profiter de cette rencontre avec Nogard pour dicréditer l'assassin ? Ce dernier n'avait pas peur, les gardes seront surement facile a éliminer, mais il ne pourrait s'empécher d'en vouloir a l'ancien éclaireur de l'avoir livrer, même si ils ne se connaissaient pas beaucoup, vois pas du tout. C'est donc avec suprise qu'il acceuillit le propos de Nârwel sur Daix :

- Si Iriel me suit, il en va de même pour cet homme.

Content, Daix suivit Nârwel dans les rue  de Minas Thirit, en ignorant totalement sa destination. Il compris qu'il se dirigeait surement vers le palais majestueux.  En passant devant les gardes de la fontaine et l'abre blanc, Daix se sentit particuliérement mal a l'aise. Il ne se sentait pas a sa place. Ici tout respirait la grandeur, la noblesse. Les garde de la fontaine, impressionnant, ne les regardérent même pas. " Très impressionant même, pensa l'assassin, impréssionant mais ridicule  aussi... pourire leur journée et leur vie a gardée cette simple fontaine... ".  L'assassin n'avait jamais mit les pieds ici et ignorer totalement ce qui pouvait pousser ces gardes a rester en facture devant la fontaine.

Les battements du coeur de Daix s'accélerent quand ils entrèrent dans le palais. Il ne s'était pas tromper, ils allaient dans le palais. Qui était somptueux. L'assassin, qui avait passé sa vie dans les bas quartiers ou presque, resta bouche bée. Jamas il n'avait vu une aussi belle chose. Tout dans ce palais respirait la puissance. Absobé dans sa découverte, il ne découvrit que tard l'homme qui se tenait devant eux. Avec sa barbe grisonnante, ses perçants et son sourire presque invisible, Daix sur tout de suite qu'il fallait se méfier de cet homme. Instinctivement, il porta la main a sa dague, ne se doutant pas que ce geste pourrait lui portait préjudice...

#Daix #Nârwel
Sujet: La Justice par le Feu [Passé]
Nârwel Rusk-Iâr

Réponses: 23
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Rechercher dans: Minas Tirith - Le Bas de la Cité   Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: La Justice par le Feu [Passé]    Tag daix sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyDim 14 Juin 2009 - 1:22
Nârwel se jeta dans une ruelle voisine de la Grande Route et, suivit par les deux hommes, il grimpa sur le toit pour voir ce qui se passait devant, et pourquoi tous semblaient bloqués. Tous semblaient excité par la promesse d'une purge des bas quartiers. Nârwel trouva cela répugnant, mais il savait que les foules se manipulaient comme on guide des moutons, et il savait également qu'il ne serait jamais un grand orateur et que son esprit n'était pas celui d'un politique. Aussi, ils commencèrent à se rapprocher de l'avant garde ou les cris d'une discussion panachée se faisaient entendre. De Sora se dressait face à Warin, et Nogard restait muet.

Se laissant retomber dans la rue. Nârwel se tourna vers Iriel.

"Couvrez-ma droite, mais gardez votre sang froid."

Puis se tournant vers Daix, il sortit la dague qu'il lui avait substitué et la lui tendit.

"Vous pourriez en avoir besoin, couvrez ma gauche. Nous discuterons plus tard."

Nârwel s'avança vers la Grande route, écartant les pans de sa cape et laissant apercevoir sa cuirasse frappée des armes de l'Intendant.

#Nârwel #Daix
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