[Achat] L'antre Des Ombres

"Je vous laisserez fuire si vous nous dites tout ce que vous savez...Mais je pense qu'ironiser n'ets pas la bonne solution pour vous... Que vous ayez envie de me le dire ou pas, je m'en fiche totallement...Nous sommes plusieurs et contrairement à ce que vous pourriez croire nous sommes capable de vous faire subir des tortures que vous n'imaginez pas... Et n'allez pas me dire que la torture que vous ferait subir votre maître serait pire encore, je le sais... Mais si vous nous dites tout nous assurerons de façon discrète votre sécurité...Vos maîtres n'apprécient pas l'echec, mais pourquoi seraient-ils mis au courant d'un echec, vous les avez tué... ce n'est pas un echec pour eux..."

Alors que je disais cela Milindë semblait toujours autant en colère et une boule de feu tournoyait dans sa main... Et la lueur autour de cette beauté elfique n'allait pas diminuant, au contraire même...

"Vous voulez notre clémence, mértez là, ou alors vous connaitrez les pires tourments... Je peux vous torturer sans relache nuit et jour et dépasser le slimites que votre corps peut supporter et ce sans que vous perdiez connaissance pour que vous puissiez apprécié la totalité du spectacle... J'attends fit-elle en approchant sa main entourée de flamme du visage de Monâkir...Ne nous faites pas perdre notre temps..."

Ces menaces n'étaient pas à prendre à la lègère et pour la premièer fois que Milindë était prête à bruler le visage de l'homme si celui-ci ne lui livrait pas une réponse plus à sa convenance...

"Balak, pourriez vous prendre ce tisonnier, je pense qu'un atteinte bien ciblée devrait venir à bout de cette arrogance si ... viril"

Monâkir comprit que Milindë était vraiment remontée...et qu'elle n'hésiterait pas à le blessé dans un endroit fort sensible...

"Non pas ça ! N'y touchez pas, n'osez même pas femme elfe .. !"

Comprennant l'impasse dans laquelle il s'était fourée, Monâkir baissa la tête et soupira lentement. S'ils étaient prèts à assurer sa sécurité, il n'avait pas d'autre choix, il devait dire ce qu'il savait, et de toute façon il n'avait presque plus rien à perdre ..
Il reprit un ton plus bas, toujours de sa voix pâteuse:

"Le vrai commanditaire, celui qui m'a contacté pour ce boulot ingrat m'a donné rendez-vous un soir dans une auberge du Gouffre de Helm. Un type louche, bizarre, et qui fait froid dans le dos .. Il m'a laissé une terrible impression.. Des Cheveux bruns eternellement décoiffés, des dents de loups, un regard de timbré .. mais pire encore sont ses yeux jaunes de Rapaces qui vous troublent quand il vous regarde. Sarcha, c'est son nom ..
Mais cachez-moi car cet homme est un professionnel, il me retrouva par n'importe quel moyen, mais il me retrouvera .. Et pensez au fait que je n'ai guère envie de me retrouver devant lui .. Il est si terrifiant .. "

Milindë recula alors le tisonnier qui emettait un bruit de crépitement...
Puis je pris la parole...

"Cette description m'évoque vaguement quelqu'un qui n'était pas connu sous ce nom ici... Nous veillerons, mais pour votre sécurtié vous devrez rester vivre ici à Minas Tirith et même là il pourrait vous trouver...Nous ferons notre possible... allez maintenant et à la moindre incartade Milindë n'hésitera pas à reprendre le tisonnier..."

J'allais alors détacher Hasharin et Altaïr.

Hasharin avait pris son role tres au serieux , il n'avait rien dit depuis que Mithrandir parlait au commanditaire, Alitaïr arrivait plus tard, il se prit au jeu et dit qu'il devait tuer Mithrandir. Ce sujet allait devoir attendre, enfin vint Balak puis enfin la femme du mage. Chacun commenca à torturer l'employeur de l'assassin.... Enfin il avoua, alors là il sentit les cordes se desserent. L'assassin se leva. Il avait vu quelques pièce tombé de la poches du commanditaire. Il degaina sa lame de poignet et trancha la bourse de son employeur en disant:
- Cela m'appartient je crois.
ALors il deposa la bourse sur le comptoire et se tourna vers Sombre-Chene qui gisait mort là et sortit sa fiole d'antidote et en versa dans la bouche de l'ambassadeur, Tout le monde retenait son souffle sauf l'assassin car il savait que cela marchait. Enfin apres une minutes d'attente, l'elfe se releva, il devait avoir une petite migraine, il me regarda avec des yeux interrogateurs disant en gros " que s'est-il passé?"
- Bienvenue chez les vivants,vous avez du comprendre que nous avons reussit, alors mon employeur a été attrapé interrogé et maintenant sous notre " protection". Voici également mon aprenti, et la bas il y a Balak le mercenaire et Milinde.

Hasharin s'approcha de l'assassin, enfin l'apprenti assassin et lui dit:
- Si tu es revenue c'est que tu as reussi ta mission, les 300 pièces je t'en fait cadeau vu la fortune que j'ai gangé aujourdhui. Racontes moi tou, absolument TOUT .

Hum... Désolé, Mithrandir, je crois avoir été piqué parcque je ne sais quelle mouche sanguinaire du Harad... et ce brave marchand en a fait les frais. Mais la cassure de son bras est nette, on m'a appris à faire ça correctement : il n'y paraîtra plus dans une ou deux semaines. Je verserai également 1000£ au magasin pour le dédomagement, si vous jugez leurs propriétaires honorables. Quand à lui...

Après avoir désigné le prisonnier du regard, Le mercenaire s'approcha discrètement du magicien.

je peux vous en débarasser aisément, un seul mot suffit. J'ai également un maître qui m'enseigna les détails de l'assassinat, comme cacher les cadavres. N'étant pas vraiment un guerrier reconnu, c'était l'une de mes tâches habituelle à l'époque. Et croyez-moi, vu la barbarie de mes anciens compagnons, je ne manquais pas de travail...

Puis il reprit un ton de voix normal en s'adressant à Mithrandir.

Silindë va assez bien je crois... j'aimerais bien me battre en duel avec lui, un jour! Il semble être un valeureux adversaire... Et il nous faudrait avoir une petite conversation une fois au calme, Magicien... En attendant, je vais aller régler ma dette. Mais je doute que le tenancier soit en mesure de me servir...

//HRP\\ Pour comprendre d'où j'arrive, veuillez lire ceci: https://jeuderoles.forumactif.com/rath-dinen-f36/rencontre-secrete-t2955.htm#41433 //HRP\\

Vhenom entra dans le magasin d'Hasharin pour la première fois de sa vie. Il regarda autour de lui d'un oeil ébahi. Il n'en croyait pas ses yeux. Des katanas! Le seul qu'il eut jamais vu se trouvait sur le présentoir d'un musée au Harad. Des shurikens! Il n'en avait jamais vu non plus, mis à part au musée. Ce Hasharin devait vraiment être soit renommé, soit excellent pour avoir acquérit toutes ces richesses. Probablement les deux... Enfin bref, Vhenom se dirigeait ainsi lentement vers le comptoir, lorsqu'il entendit du bruit venant d'une autre pièce. L'une des voix était sans nul doute celle d'Altaïr, mais il ne connaissait pas les autres. Curieux, il décida d'aller voir ce qui se passait. Il ne savait pas du tout ce qu'il y trouverait, mais il était certain d'une chose: il saurait pourquoi Altaïr n'avait pas pu venir à leur rendez-vous. Il descendit des escaliers sans faire de bruit, et se cacha dans l'ombre, une fois en bas. Il observa les personnes qui se trouvait dans la pièce. Ils semblaient interroger quelqu'un. Il les regarda tous un par un. Le premier était Altaïr, le deuxième, sûrement Hasharin, mais Vhenom n'arrivait pas à identifier les autres. Puis, soudain, il aperçut Mithrandir, le mage de la Cité Blanche! Mais que pouvait-il bien faire ici? Vhenom pensa le prendre en traître par derrière lorsqu'il s'approcherait de l'escalier, mais se ravisa. Ils étaient bien trop nombreux. Puis, apercevant le regard du magicien, il se douta qu'il avait du le repérer, c'est pourquoi il sortit de l'ombre.

- Bonjour, messieurs. Bonjour madame, se dépêcha-t-il d'ajouter en apercevant la femme elfe. Mais qu'est-ce qui se passe ici? Pourquoi torturez-vous cet homme? Et pour quoi diable n'es-tu pas venu, Altaïr? Mais il y a plus important encore. Est-ce que je pourrais enfin savoir pourquoi personne ne me répond jamais?

Il voulait des réponses, et était bien décidé à en avoir. Quoi qu'il arrive, il se tenait prêt. Il observa tout le monde, scruta la pièce pour voir s'il n'y avait pas quelqu'un de caché. Il était prêt à toute éventualité. Enfin, c'est ce qu'il croyait...

Un nouvelle assassin penetra dans la pièce il connaissait apparement Altaïr.
- Bonjour, messieurs. Bonjour madame, . Mais qu'est-ce qui se passe ici? Pourquoi torturez-vous cet homme? Et pour quoi diable n'es-tu pas venu, Altaïr? Mais il y a plus important encore. Est-ce que je pourrais enfin savoir pourquoi personne ne me répond jamais?
- Bonsoir, assassin. On ne torture pas on interroge cet homme, Altaïr est occupé pour l'avenir de sa vie professionelle, il apprend.

A ce moment là Hasharin reveilla l'ambassadeur. Et attendait les reactions de tout le monde. Il dit en s'approchant du nouveau et d'Altaïr:
- Je dois vous parlez a la fin de cette histoire.

Puis il dit plus fort avec humour:
- Les ventes sont ouvertes.

"Non Balak, cet homme doit être protégé par la guilde... Nous nous y sommes engagés, je vous demanderez donc de ne pas le tuer et de ne pas dissimuler son corps...Quand à avoir une conversation au calme, oui en effet j'en aurait beaucoup à avoir..."

Fis-je au mercenaire pret à executer ses dires.
Hasharin reveilla enfin Sombre-Chêne qui se remit peu à peu de ce long "sommeil".
Puis j'aperçu quelqu'un observant par la oprte entrabaillé et cette personne sortit alros de l'ombre...

"Encore un nouveau venue..."

Celui-ci psa un tas de questions...

"Ola du calme...Cet homme avait commandité le meurtre de deux alliés du Gondor, mais il semblerait qu'il ai agit plus pa peur des représailles que pour l'argent...Ces réponses vous suffisent-elles ?"

Milindë prit la parole...

"Peut-être que personne ne vous répond mon cher car vous posez trop de questions à la fois..."

Elle lui sourit...

"Je suis Milindë, la femme de Mithrandir"

A ces mots sont regards le scruta profondemment, elle devinait quelque chose...

"Hasharin peut-être pourrions nous tous nous assoire autour d'une table et fermer la boutique momentannément ?"

Lorsque cela fut fait... je repris la parole

"Balak, il nous faudra reprendre votre initiation pour perfectionner l'usage de votre don et eviter que vous ne sombriez dans l'inconsicence"

Lui dis-je alors qu'il partait vior le marchand au bras cassé...

"Altaïr, vous m'avez parlé d'un meurtre contre ma personne... Cela ne m'étonne guère, mais j'aimerais en savoir plus... Mais avant cela... Hasharin, nous allons prévoire une réunion le plus tôt possible, des choses bougent et notre organisation flanche, deplus j'ai crut entendre dire que Méakil est mort, et personne n'est à sa succession... D'autre part Elessarion qui a reprit ma place à ma mort a disparu, cela m'inquiète... Il va nous falloir reorganiser tout cela pour éviter de reitérer pareille crise..."

Je regardais alors la personne qui semblait connaître Altaïr...

"Vhenom je suppose... Veuillez poser vos armes sur le comptoire si vous ne voulez pas vous retrouver devant une flaque de métal liquéfié... Ainsi vous et Altaïr avait été engagé pour me tuer... ltaïr, je vous suis reconnaissant de m'avoir vite averti...et ce malgré le fait que les apparences étaient contre-moi... Dites moi tout deux tout ce que vous pouvez me dire sur l'homme qui vous a contacté..."

Lorsque son maître entra dans la pièce,Altaïr fut surpris du nombre de personnes ayant le métier d'assassin ici.Enfin,le mage,Mithrandir, lui prêta un peu d'attention.Il lui demanda plus de renseignements sur le meutre que l'assassin tout de noir vêtu voulait perpetrer.

-Je vous le dirai seulement si,vous me libérez et vous me laissez m'entretenir avec mon collègue,Vhenom,ici présent.

//Que de posts en un soir!//

Sombre-chêne se redressa lentement, sortant du sommeil sans rêve dans lequel il s'était enfoncé. Il lui falut bien une minute pour regrouper ses pensées et rassembler ses souvenirs, pour finalement comprendre ce qu'il faisait allongé dans cette pièce sombre. Il se leva, remerciant Hasharin d'un mouvement de tête pour le remercier de son aide. Mouvant es muscles ankylosés, il détailla la situation.

La salle était bien bondée pour une affaire discrète... Mithrandir, Hasnhrin, Milindë et deux autres personnes que l'ambassadeur ne connaissait pas étaient attablés et étaient entrés dans une vive discussion. Dans un coin de la pièce, un inconnu, sûrement le commanditaire fixait l'elfe avec peur tandis que tout son corps était sécoué de spasmes. Il paraissait affolé. Enfin, en pleine discussion avec le vendeur, Balak. L'homme qui l'avait sauvé devant les Murs de la Cité Blanche. Sombre-chêne s'approcha de lui et lui dit :

Balak. C'est un plaisir de vous revoir. Je n'ai pas eu le temps de vous remercier pour m'avoir rapporté en lieu sûr aprèsnotrecombat en duo dans les Champs du Pelennor. Sans vous, je serais mort. J'avais pu alors remarquer qu vous étiez un excellent bretteur... Dîtes-moi, pourriezvous me renseigner sur ce qui s'est passé durant mon inconscience? je doute que notre ami soit en état de répéter ce qu'il a pu vous dire...

Altaïr m'adressa la parole je le regardais alors d'un air amusé...

"Mais vous êtes libre ne voyez vous pas que vos liens sont tombés au sol ? Je ne suis aps assez intimident pour que vous ne remarquiez pas ce détail... Allez discuter avec votre ami, mais quoi que vous vous disiez je le saurais... Je peut lire dans vos esprit comme dans un livre ouvert..."

Je me tournais alors vers Milindë.Elle semblait troublée...

"Qu'y a-t-il ?"
"Je ne t'ai jamais parlé de mon passé... mais c'est par totale ignorance... Je me suis reveillée un jour en Lothlorien... Et Galadriel m'y accueilli comme une vielle connaissance... Tous m'accordèrent leur amitié en Lothlorien et je me suis très vite intégrée, devanant la suivante de la dame Galadriel... Puis lorsque Galadriel quitta la Terre du Milieu je quittais la Lothlorien et entamait un long voyage... Qui me conduisit des années pluqs tard à te rencontrer... Voila ce que je savais... Mais depuis-peu, depuis Torech Ungol à vrai dire, des souvenirs profondément enfouis ont ressurgis...et la mot de la mère de Silindë m'a tout remémoré..."

Elle semblait bouleversée... Nous nous éloignâmes legerement... et elle poursuivit...

"Je suis née à Valinor alors que la lumière des arbres y était encore... Mais lrosque ceux-ci tombèrent... enfin tu connait l'histoire des Silmarils de la malediction des fils de Feanor... Bref, je le suivi et fut conquise par son discours, aussi... j'ai participé au massacre fratricide d'Alqualondë..."

Elle s'arreta, incapable de continuer... Je la serrais dans mes bras et elle poursuivis...

"Je regretterais cela à jamais... Mon histoire est ensuite une suite d'evenement inintéressant et de profonde douleur... Jusqu'à mon arrivée à Doriath... Jy vécu et en fut heureuse, ce fut la que je connut Galadriel bien que par la suite j'eu enfoui tous ses souvenirs... Je connut egalement Melian et Luthien... Mais un jour Doriath tomba et devant la violence et le desespoire de cette chute je me suis enfuis... j'ai longuement erré et j'ai fini par enfouir profondémment ces douloureux souvenirs...Lorsque je me suis reveillé à Caras Galadhon je pense que c'est parce qu'un elfe m'a retrouvé inconsciente au bord d'une route..."
"Chut... Tu me raconteras le reste après... Ne desespère pas, tu as commis des erreurs, nombreux furentles Elfes à en faire..."

Par les joyeuses des Valars! Heureux de te revoir, mon ami! Lorsque je t'ai emmené aux maisons de soin, tu parissais bien mal en point... mais tu sais, l'un de tes camarades, que je ne connais pas du tout d'ailleurs, est venu m'aider pour te porter secours. Le mérite lui revient, bien plus qu'à moi. Mais c'était une belle bataille, et son évocation me remplit d'allégresse.

Malgré les horreurs qu'engendraient une guerre, malgré les atrocités qui frappaient les hommes après une dure bataille, le mercenaire ne pouvait s'empêcher d'apprécier les combats, car sa vie n'a jamais été que haine, mort et souffrances. Il n'en envisageait pas d'autres cependant, mais il a retrouvé aujourd'hui un bien inestimable dont il s'était privé tout au long de son existence : son libre-arbitre. Désomrais, il luttait pour les Contrées du milieux, pour combattre le mal qui l'avait engendré et pour protéger ceux qui lui étaient chers. Un bon tiers d'entre eux se trouvaient d'ailleurs dans cette pièce. Il devint alors plus attentif au récit de Milindë. la peine qu'elle éprouvait semblait être grande, mais comme lui a signifié son sage mari, ce n'était ni le lieu, ni l'instant.

Mithrandir, nous devrions rentrer en votre demeure, à l'abri des murmures et des rumeurs. J'ai à vous parler de mon don, certes, mais également de mes projets pour mon futur, et vous avez un...rôle très important à y jouer, si vous l'acceptez, bien entendu. Mais avant, j'aurais grandement apprécié d'être avec vous tous à la taverne pour vous relater ma rencontre avec ce brave elfe! je sais que nous n'en avons guère le temps, mais je vous assure, ça vaut le détour!
Lors de la dernière bataille de Minas Tirith, contre une armée de féroces Haradrims fidèle à un sombre Sire, Nous étions deux guerriers assoiffés de victoire, luttant aux noms de causes nobles et justes.

A ses mots, Balak ne pu retenir un petit toussotement honteux.

Après avoir tranché à tout va dans les lignes ennemis, sans rencontrer d'adversaire à notre valeur, de gigantesque colosses haradrims, armés de deux énormes cimeterres chacun, nous chargèrent simultanément. Par les Valars, qu'il m'est difficile de ne pas tout vous raconter, mais soyez en sûr,ce fut un combat digne des Dieux!

Le discours du mercenaire aurait pu paraître présompteux, il était cependant relaté sous un ton bon enfant, de telle façon que les membres du petit commité se doutèrent qu'il plaisantaient et en rajoutait quelque peu pour enjoliver son récit. Certains, cependant, auraient pu en douter...

Bon, je propose de partir d'ici! Et pour mes achats... Je repasserai plus tard! Alors Mithrandir, que faisons-nous ?

Balak détestait donner à ses compagnons du "Sire" ou du "Seigneur" lorsqu'il se sentait proche d'eux. Ses manières brusques mais amicales ne gênait que rarement ceux qui lui accordaient leur confiance, et le Mage de la Cité en faisait parti.

En effet,les liens qui retenaient Altaïr prisonnier étaient tombés par terre et il fut content de retrouver enfin une petite liberté.Il se leva et fit quelques pas,ensuite,il se tourna vers Vhenom et lui fit signe de le suivre.
Il entra dans une petite pièce,à l'arrière de la salle où les autres personnes étaient réunies.

-Es-tu prêt à déshonorer un contrat pour un autre ou pas?
Moi,je préfere que Mithrandir soit den otre côté,on sera payé et s'il faut,nous pourrions voler l'homme qui nous a engagé.
Qu'en penses-tu?

Hasharin laissa Mithrandir, Balak, Milinde et Sombre-Chene entre eux, Il alla donc rejoindre ses freres de professions. Il les enmena dans l'arriere salle et Altaïr dit à Vhenom:
-Es-tu prêt à déshonorer un contrat pour un autre ou pas?
Moi,je préfere que Mithrandir soit den otre côté,on sera payé et s'il faut,nous pourrions voler l'homme qui nous a engagé.
Qu'en penses-tu?
- Apprenti sachez que j'ai entendu, si je peux me permette deshonorez ce contrat, s'attaquer à Mithrandir n'a jamais été bon je vous le dit. Vous pourriez plutot lui dire qui voulait sa mort. Ainsi il pourrait le trouver et l'eliminer. Vhenom si tu le veux tu peux egalement devenir mon apprenti comme Altaïr. Vous pourriez apprendre et on deviendrais associés. Mais il faudra patienter pour le devenir. Quand au 300£ que tu as recpéré Altaïr , gardes les. C'est ta première paie.

Le mentor d'Altaïr avait proposé d'embaucher son collègue Vhenom,cela ne pouvait lui faire de ma let il accepta.Seulement,pour le contrat qui pesait contre Mithrandir,il ne pouvait rien y faire.
Altaïr prit la parole:

-Je puis,aidé de mon maître ici,présent, aider Mithrandir à tuer cet homme et à récuperer nos primes.S'il meurt,le serment est rompu.
Je pense que le mieux,pour nous tous,est d'aider le mage Mithrandir car seul lui peut tuer cet autre mage qui veut sa mort.
Qu'en pensez-vous?

- Oui... dit pensivement Vhenom, se décollant soudainement du mur. Ça pourrait marcher. Oui, tu a raison, Altaïr. Si la personne à qui j'ai promis meurt, le serment est rompu. D'accord! Je te suis. Je t'aiderai autant que je le pourrai, ainsi que Mithrandir, à nous débarasser de cet homme mystérieux.

Vhenom regagnait peu à peu son entrain habituel. Il se sentait de plus en plus allègre à la pensée d'assassiner quelqu'un. Il se dit qu'il devrait peut-être se préparer, mais se rappela la force de l'étranger. Il se ravisa, un peu renfrogné de devoir laisser tout le plaisir à Mithrandir, mais pensa que ce serait mieux ainsi. Il leva la tête, retira sa capuche, dévoilant ainsi son visage, ce qu'il ne devait pas avoir fait depuis au moins dix longues années, et sourit à son nouveau mentor et à son collègue.

- Quand est-ce qu'on commence?

Altaïr fut satisfait de la réponse de son collègue et sortit de lap ièce le premier.Les autres hommes n'étaient pas partis de la pièce.
L'assassin tout de noir vêtut parla le premier.

-Après une petite concertation entre assassins,nous vous proposons de vous aider pour tuer l'homme qui nous a engager.
Sachez que nous aimerions être payer la somme promise par cet homme,autrement dit:3000 £
Vous nous laisserez parler le premier à cet homme.
Etes-vous d'acord?

Devant la proposition de l'homme à l'allure peu recommandable, Balak répondit, certes sans connaître tous les tenant et aboutissant de l'histoire, et en conservant son ton jovial.

Pourquoi pas... mais j'entrevois une autre possibilité : pour éviter que vous ne répétiez tout ce que vous venez d'apprendre, et que vous nous trahissiez, nous pourrions vous rattacher, commencez à vous débiter en petits morceaux de tailles équivalentes, c'est à dire jamais plus gros qu'un poing serré. bien sûr, je m'assurerai que vous soyez encore vivant pour voir cela, et encore apte à nous révéler qui vous as employé.

Toujours souriant, le ton léger, le mercenaire continua son petit discours.

Une fois que vous nous aurez donné le nom de ce dernier entre deux ou trois hurlements, nous irons le chercher nous-même, nous l'éventrerons, et lui feront endurer des tourments que peu d'humains imaginent possibles. Nous aurons ainsi épargné nos bourses de votre demande, et capturé un dangereux criminel qui luttait pour la chute de notre noble cité. Nous recevrons pour cela un prime ma foi, sans nul doute sympathique.

Puis Balak se fit plus dur, son visage fut alors déformé par une grimace haineuse, et ses yeux devinrent aussi froid qu'une nuit d'hiver.

Ne croyez pas détenir le monopole de la cruauté, assassin, je saurai vous démentir. je suis les ordres du Mage de la cité, aussi je me plierai à sa décision. mais sachez que si ça ne tenait qu'à moi, vous ne seriez plus de ce monde...

- Je ne compterais pas trop là-dessus, à votre place! lança une voix derrière Balak. Nous aussi, nous suivons les ordres de quelqu'un. Enfin, nous SUIVIONS. Mais maintenant, je crois savoir pourquoi vous vous êtes engagé dans le mercenariat. Ne croyez pas que je ne puisse vous tourmenter et vous torturer autant que vous nous le feriez. Moi aussi, je connais quelques techniques assez cruelles pour faire avouer quelqu'un...

Vhenom était sorti de la pièce à la suite d'Altaïr, mais sans se faire repérer, toutefois. Il voulait être prêt, au cas où toute cette histoire tournerait au vinaigre. Et maintenant que Balak faisait des menaces, Vhenom venait de le prendre de cours, et par-derrière, qui plus est. Mais il savait que ses paroles n'effraierait pas le mercenaire, tout comme le discours de celui-ci ne l'avait pas atteint. Il s'attendait toutefois à ce que Balak y repense à deux fois avant de refaire une menace de ce genre à un des collègues de l'assassin. Vhenom se tenait debout dans le dos du mercenaire, poignard sortit, prêt à bondir au moindre geste.

- Nous ne voulons pas vous trahir, ou vous arnaquer, mais seulement vous aider dans notre propre intérêt. Sans vous, nous n'arriverons jamais à éliminer cet homme. Et nous savons que ce ne serait pas sage que d'attaquer Mithrandir, car, voyez-vous, nous sommes capables de réfléchir. Et nous connaissons la puissance de Mithrandir. C'est pourquoi nous demandons son aide et son pardon, plutôt que sa pitié et sa clémence. Je suis au courant que je ne fais pas le poids face à vous tous, et face à cet homme, mais je me battrai jusqu'au bout. Soyez-en certain.

Puis il rangea son poignard et alla s'asseoir à la table, où il se servit un verre d'eau.

"Silence !"

Fis-je alors d'unton sec sans réplique...

"Vous parlez et echaffaudez des projets mais je suis le premier concerné, vous vous battez verbalement, cela suffit. Vhenom vous débutez en tant qu'assassin et croyez moi mieux vaut pour vous que balak ne se charge pas de vous comme il aurait pu souhaiter le faire. La loyauté est une chose... Mais être loyale à une personne mauvaise c'est être mauvais... Je comprends que votre sens de l'honneur vous pousse à ne rien reveler... Cependant j'en sais déjà plus que vous ne le pensez...Vous ne le tuerez pas aucun de vous ne le fera... Vous avez un contrat, mais acceptez un contrat à la va vite n'est jamais bon... Je l'ai déjà dit à Hasharin, vous êtes assassins, pas des esclaves, vous avez le droit de ne pas remplir un contrat si vous ne le souhaitez pas...Quand à l'argent je vous le dit sans détour, je ne vous paierais pas, non pas par radinisme, mais car vous avez exigé un paiement alors que vous êtes encore sous notre contrôle... Nous n'échaffauderons aucun plan scabreux... Vhenom vous dites que vous êtes prêt à vous battre, j'aime la determination, mais pensez vous reelement que lorsque vous m'aurez tué, il vous paiera ? Il serait en mesure de vous faire oublier ce contrat pour ne aps vous payer ou de vous entourloupé... J'ai vu dans vos esprit qu'il avait promis également de vous offrir une bague assez belle...Mais pourquoi vous proposer un tel objet si ce n'est pour vous arnaquer ? Nous savons que vous n'êtes pas idiots, soyez en sur, mais tout deux vous mentez assez mal... En vérité vous voulez remplacer ce contrat par un autre pour cacher votre ignorance totale sur le commanditaire... Un homme encapuchonné et vétu de noir... C'est tout ce que vous savez de lui... C'est bien maigre... Contentez vous donc, mes amis, si vous permettez cette appelation, de me dire où aura lieu votre prochain rendez-vous..."

Je m'étais tu... Ces deux assassins n'étaient pas méchants et aucun mal ne devait leur être fait... Mais l'arrogance de leur jeunesse sonnait assez mal aux oreilles de Balak et aux miennes... Je me levais alors...

"Vous comprennez bien la situation, mais Vhenom je m'adresserai à vous directement... Vous ne voulez point rompre un contrat qui n'a rien d'un pacte qui entrainerai votre mort une foi rompu... Vous repugnez à le rompre, mais votre ami Altaïr n'a pas hésité un seul instant... Je pourrais aisement tous vous faire jeter en prison, mais je n'en ai jamais eu l'intention... A l'avenir quand un contrat sur un dirigeant de la Cité ou de nos alliés vous sera proposé, il vous faudra coopérer avec le gouvernement... Nous ne pouvons nous permettre de nous faire battre si secretment... Vous êtes englobés dans un engrenage qui dépasse vos profits personnels cela Hasharin pourra vous l'expliquer étant lui même un important rouage pour contrer l'ennemi."

Le visage sombre de Balak ne se radoucit guère à l'entente des paroles du second assassin. Il vint lentement se mettre face à lui, et lui lança un regard chargé de mépris. Puis, le rictus haineux du mercenaire se transforma en pincement, et il semblait lutter interieurement contre un mal inconnu.
Puis n'y tenant plus, il éclata de rire.

Par les joyeuses des Valars, toi tu me plais! T'as le verbe franc, les tripes en place, et tu sembles pas né de la dernière pluie! Voila un bon guerrier. Oh, et ne me ressort pas ce que les soldats, les espions ou tes confrères me baratinent à chaque fois! Nous sommes tous des êtres de guerre, non ? Qui se soucis du nom qui qualifie notre manière de vous battre ? Vous autres, assassins, menez une guerre secrète, alors que nous, mercenaires, exprimons notre art sur un champ de bataille!

Au fur et à mesure qu'il parlait, Balak semblait s'exciter, et il offrait désormais à Vhenom un visage sincèrement amical.

Tu es une branche faites de la même souche que moi! Nous vivons pour tuer! Mais si tu es comme moi, tu as pris la bonne décision. Ce que je hais chez les assassins, c'est de n'avoir qu'un but lucratif, et que vos opinions ont rarement lieu d'être tant que la récompense est grande. Si c'est la première fois que tu romps un contrat, vois le bon côté des choses : tu exerces ton libre-arbitre! Tu as choisi un camp en fonction de tes sentiments, et non du poids de la bourse de celui qui t'emploie. C'est ce qui différencie le guerrier du meutrier! Enfin, c'est ce que j'ai toujours pensé...si t'es pas d'accord...

Cette fois-ci, Balak lança un regard railleur à l'assassin.

Il faut absolument que je me battes contre toi! Oh pas maintenant hein! Mais un jour, où tu te tourneras les pouces, penses au brave Balak le mercenaire, et passes lui faire un petit coucou! Je serais ravi de te botter le train dans les règles de l'art! Par contre...

Cette fois-ci, Balak scruta Altaïr, haussa piteusement les épaules, et pris un air gêné.

Désolé, mais toi, je te fais pas encore confiance. Bah, ça viendra peut-être!

Il s'adressa soudainement au Magicien.

N'empêche qu'il a pas tort, le Vhenom arkchose! Dans quoi nous as-tu encore embarqué, Mith' ? je peux t'appeler Mith'? Non... bon va pour Mithrandir. Bref j'attend quand même une réponse valable! Encore un Seigneur ténébreux à baffer ? Un traître à débusquer ? Ah ça me donne soif, rien que d'en parler! Que les Valars me protègent, je ferais tout pour un bon verre d'hydromel!

- Il faut absolument que je me battes contre toi! Oh pas maintenant hein! Mais un jour, où tu te tourneras les pouces, penses au brave Balak le mercenaire, et passes lui faire un petit coucou! Je serais ravi de te botter le train dans les règles de l'art! avait dit Balak.

- Je suis d'accord, répondit Vhenom. Je passerai chez vous un jour de soleil où il fera chaud et sec à Minas Tirith, et où il n'y aura nul contrat pour moi. Tenez-vous prêt, ce jour peut être proche...

Vhenom s'était rassis en disant cela. Ce mercenaire n'était peut-être pas aussi bête et sanguinaire qu'il le paraissait, après tout. Cela ne se voyait pas à cause de sa capuche qui lui masquait le visage, mais Vhenom souriait de toutes ses dents. Ce Balak lui plaisait. Peut-être un jour irait-il lui faire un petit "coucou". Qui sait? Mais en attendant, Vhenom l'écoutait s'adresser à Mithrandir.

- N'empêche qu'il a pas tort, le Vhenom arkchose! Dans quoi nous as-tu encore embarqué, Mith' ? je peux t'appeler Mith'? Non... bon va pour Mithrandir. Bref j'attend quand même une réponse valable! Encore un Seigneur ténébreux à baffer ? Un traître à débusquer ? Ah ça me donne soif, rien que d'en parler! Que les Valars me protègent, je ferais tout pour un bon verre d'hydromel!

Il avait raison. La soif tiraillait Vhenom. Et il avait faim aussi...

- Je vous approuve, Balak. Pourquoi n'irions nous pas discuter de tout cela dans un endroit où nous pourrions nous rafraîchir? Je meurs de soif, et de faim. Je suggère que nous allions à la taverne. Nous pourrions manger, boire, nous divertir, et ensuite revenir ici pour discuter tranquillement de toute cette histoire. Qu'en dites-vous?

L'allégresse regagnait peu à peu Vhenom. Il se sentait le coeur à plaisanter, comme s'il venait d'être libéré d'un grand poids. En fait, ce jour marquait pour lui la naissance de son libre-arbritre. À partir de ce jour, il déciderait lui-même s'il respectait ou non une parole, s'il honorait ou non un contrat. Pour lui, c'était le début d'une nouvelle ère.

Je rigolais franchement aux paroles de Balak...

"Appeles moi Mith' si tu le souhaites mon bon ami, quand au Seigneur Ténébreux à baffer, tu le sais, bien qu'on ignore toujours contre quoi on se bat... Mais pour ce qui est du boire et du manger, il y a ce qu'iol faut chez moi... Pourquoi ne pas y aller ? De plus je pense que j'ai de la visite là-bas...Balak, en tout cas saches que je n'ai embarqué personne dans quoi que ce soit... Nous sommes tous dans le même bateau... Vhenom et Altaïr, un ennemi s'élève, et nous devons le contrer. Il a réussi à faire revenir Melkor et Bouche de Sauron a fait connaître de ses nouvelles... Nous les avons vaincus, non sans mal, mais il y a toujours une volonté maléfique à l'oeuvre et elle est assez charismatique pour diriger ses pions... La partie d'echec dans laquelle nous nous trouvons entrainés, nous devons la gagner... Vous-êtes ici en présence des membres d'un organsime secret qui oeuvre pour contrer cet ennemi..."

Je regardais le commanditaire de la mort de Rustor et Sombre-Chêne...

"Vous, commanditaire, vous oublierez ces mots une fois sorti et ce n'est pas un ordre c'est une affirmation...Le pétrin dans lequel nous nous trouvons tous, nous ne pouvons le comprendre pleinement, nous ne pouvons qu'agir à notre petite façon en souhaitant que toutes ces petites actions mènent à la victoire...Vhenom et vous Altaïr, je compte sur vous pour nous raconter tous les détails de la nuit où votre commanditaire vous contacta... Si personne n'a d'objection allons donc à la Tour et promptement..."

//Si vous voulez vous pouvez encore poster un peu ici, mais ensuite il faudra aller à la tour...//