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3 résultats trouvés pour Beani_Boffin | Auteur | Message |
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Sujet: PNJ Kryss Ganaël | Kryss Ganaël
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| Rechercher dans: Les fiches des PNJs Sujet: PNJ Kryss Ganaël Jeu 22 Fév 2024 - 19:01 | PNJ - Chroniques De Mal en PisL'influence a ses LimitesPNJs - Event Rassemblement dans la Dernière Maison SimpleUne Ombre sur ImladrisQuand les Agneaux Chassent les Loups#Volkan_DolfenbrandSeigneur influent de l’Estenmet, aux frontières orientales du Rohan. Cela fait bien longtemps qu’il n’a plus mis les pieds à Edoras mais son nom est connu de tous, inspirant le respect, et parfois la crainte. Le Bal du RoiPNJs - Animation - Spoiler:
#AoifeDunlending - Messagère du Krall Conchobar Le Défi de la LouveUne Hobbit dans un Jeu de Quilles | Sujet: Quand les agneaux chassent les loups[Scénario ouvert] | Kryss Ganaël
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| Rechercher dans: Hobbitebourg Sujet: Quand les agneaux chassent les loups[Scénario ouvert] Jeu 16 Aoû 2012 - 20:41 | La première pause du matin, celle du second petit déjeuner, fut très vite assombri par les propos de Borlin avait refroidi les ardeurs de plus d’un, sauf de Béani toute éprise conquise de son cousin, à qui elle remit le bonnet soigneusement à force de grands sourires. Elle resserra amoureusement son écharpe autour du cou, et remit discrètement en place son propre bonnet de hobbite bleu ciel, avec une petite boule de fourrure blanche au bout. Elle avait trouvé ce bonnet dans le magasin le plus vip de Hobbit Bourg, et l’avait arrachée jalousement des mains d’une autre jeune hobbite qui l’avait pourtant vu en première. Non, quand on voulait être belle, il n’y avait aucune règle à respecter. C’était la jungle. De plus Béani était intimement convaincue que le bonnet lui irait nettement à elle qu’à l’autre gourdasse qui avait osé mettre ses sales pattes sur sa proie. Non en fait, en le lui prenant, elle lui avait fait une fleur. Elle lui épargnait une faute de gout des plus abominable. Oui, oui !Comment ça je m’éloigne du sujet ? Si peu ! Le bonnet était une digression incontournable ! Bref, nous disions donc que, malgré les propos sombres tenus par un non hobbit, le repas fut arrosé de bière de bonne qualité, ainsi que de parts de galette de tante Wilma, une des meilleures de la Comté ! Ainsi que de poulet, pommes de terres et autres victuailles gourmandes. Elle mangea avec le plus de grâce possible, toujours surveillant son cousin du coin de l’œil. Elle prit pour la première fois la parole au groupe en s’adressant au nain En voyant les difficultés que vous avez, les nains, à vous habiller à la mode, je comprends mieux que votre esprit soit aussi morose et terne.Elle pensait que sa révélation serait approuvée, comprise de tous, et qu’elle aiderait le nain à progresser sur la bonne voie, à s’accepter, à se sentir mieux dans sa peau, mais Béani n’avait pas du tout conscience, étant la seule femme du groupe, que les hommes n’en avaient que faire de leur apparence, encore moins de savoir si les couleurs de leurs vêtements étaient bien assortis.Elle jeta néanmoins sa tête en arrière avec un franc sourire, ses cheveux décrivant un mouvement latéral parfaitement maîtrisé qui retomba lestement sur ses épaules, persuadée d’avoir brillée auprès de son cousin avec sa remarque fort constructive.Un cri de loup lui enleva tout de suite toute fierté de son visage, remplacé par l’inquiétude. Son cœur n’avait pas arrêté de battre follement quand Will expliqua que le son venait de lui. Elle eut un vertige quand un nouveau cri lui répondit, ce coup ci nettement plus proche qu’ils ne l’auraient voulu, et visiblement, ce dernier ne venait pas de son cousin, ni d’un autre compagnon de route.La jeune femme se leva doucement, et s’empara avec lenteur de sa poêle. Elle affirma sa prise et regarda attentivement autour d’elle. Elle ne remarqua pas son cousin caché derrière l’homme pour se tenir en sécurité. Lorsqu’il vint se mettre devant elle, elle gloussa, et ses pensées furent momentanément hors service, toute occupée à ses fantasmes irréalisables. Du moins pour le moment, car elle ne le lâchera pas de prise.Son esprit fut de nouveau douloureusement arraché de son cher et tendre lorsqu’un elfe arriva. Elle écouta les propositions de Popo, et se permit elle aussi une remarque Mais… j’ai cru comprendre que les loups arrivaient parce que le fleuve était gelé… ce serait pas plus simple de faire des feux sur la rivière pour faire fondre la glace ? Comme sa, ils pourront pas passer.Il allait de soit qu’elle non plus n’était pas vraiment d’accord avec l’idée de donner leur nourriture, encore moins de trouver un appât. Elle connaissait les hobbits. Ils préféreraient peut être se servir d’ELLE comme appât au lieu de donner leur nourriture, et bien qu’elle fut persuadée que son cousin la sauverai, la défendant bec et ongle tout en lui faisant une déclaration des plus passionnelle et larmoyante, elle ne pouvait cacher son inquiétude. | Sujet: Quand les agneaux chassent les loups[Scénario ouvert] | Kryss Ganaël
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| Rechercher dans: Hobbitebourg Sujet: Quand les agneaux chassent les loups[Scénario ouvert] Sam 11 Aoû 2012 - 18:10 | La comté, et Will Will Will encore et toujours Will. Will, cela n’était pas une marque de future dans une des langues étranges parlées par les hommes ? C’était en tout cas ce que croyait dur comme fer notre très chère Beani Boffin qui était folle éperdue, et béate devant son cousin éloigné au quatrième degré du côté de sa mère. Elle était son aînée de trois mois, deux jours et cinq heures, et cette différence d’âge lui provoquait des malaises à chaque fois qu’elle y pensait. Quel homme serait il capable de s’éprendre d’une femme plus âgée que lui de trois mois deux jours et cinq heures ? Personne ! Personne vous dis je ! C’est du moins ce que croyait dur comme fer notre jeune hobbite. Elle était bientôt en âge de prendre époux, mais elle ne voulait considérer aucun autre prétendant que Will, même si ce dernier n’en était pas un. Elle croyait dur comme fer (non notre jeune dame n’est pas forgeronne mais c’est tout comme) qu’un jour, il changerait subitement et se mettrait à l’aimer d’un amour aussi fort que le sien, non, même plus encore, car tout femme voulait être aimée plus fort que ce n’était possible d’aimer. De ce fait, tout les jours, elle se mettait en beauté et suivait docilement notre cher Will, et était à ses petits soins, elle pouvait même passée aux yeux de tous pour une grande sœur surprotectrice, mais dans ce petit pays qu’était la Comté, tout le monde connaissait les vrais sentiments de Beani…sauf le concerné. Il faudrait vraiment qu’il songe à l’achat d’une paire de lunettes.Elle avait dévorée son discours aussi bien avec les oreilles que la vue, et ne fut même pas tirée de ses rêves fantasques par l’intervention de sa tante. Elle remit sur son épaule son large sac, contenant nourriture, soins, affaires de toilettes, puis vêtements, encore des vêtements, chaussures, encore des chaussures, et nécessaire de beauté (il fallait bien être la plus belle de toutes pour espérer attirer le regard de son cher Will !), et des casseroles, poêles, et même des graines. On ne savait jamais, s’ils tombaient en rade de nourriture, ils seraient bien contents de planter des carottes et des pommes de terres ! Beani savait que Will raffolait des pommes de terre…Comme arme ? Pourquoi une arme ? Ils allaient en voyage de noce ! Ah bon ? Non ? Dommage. Pour arme donc, elle avait opté pour une poêle à frire de bonne qualité avec un manche en ébène lisse et doux héritée de son arrière grand mère maternelle du côté paternel, ainsi qu’un bon bâton de marche, qui pourrait servir comme tel au cas où les choses dégénéreraient (n’essayez pas de comprendre sa logique. De sombres expériences dans son enfance lui ont prouvé qu’une poêle était une arme des plus redoutables !).Ils prirent la route, traversèrent le petit pont, et continuèrent toujours plus loin. Un pas après un autre, qui sait jusqu’où allaient ils se rendre ? comme le disait le bon vieux Bilbo Baggins.Ils s’arrêtèrent sous peu pour prendre un deuxième petit déjeuner sur le bord du chemin de terre. Beani s’assit aussitôt auprès de son cousin et lui prodigua milles attentions, comme lui saler son plat doucement, et vérifier maintes fois que son bonnet était bien mis pour ne pas rafraîchir ses frêles oreilles qu’elle aimait tant, comme tout le reste chez lui d’ailleurs. | | |
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